Sujet: JULIA ∞ I'm not self-absorbed, right? Me, me, me. Mer 3 Oct - 15:42
my little secret
• Ton prénom, ton pseudo et ton age → Jilly | Wild Hunger | 18 ans et 7 mois. Ca n'a pas changé, non, non. • Comment es-tu arrivée ici ? → On m'a traîné ici par la peau du cou, j'vous assure ! Et même que j'fais les designs. • Ce personnage est-il un double compte ? → Fût un temps où je n'étais pas schizophrène... Mais c'était il y a fort, fort longtemps. • Présence sur le forum → 7/7. AU MOINS. • Personnage inventé ou scénario ? → Inventé. • Crédit images → Shattered, tumblr. uc uc
Mon exemple de RolePlay:
James&Roxanne
I LOST ALL CONTROL AND I NEED YOU NOW
Il fallait se l’avouer… Je n’avais pas spécialement envie d’affronter James ce matin, que ce soit à cause de l’histoire « Kaitlin » ou à cause de ma nuit blanche tout sauf productive. A vrai dire, je n’avais même pas envie d’aller au boulot et j’aurais préféré de très loin bosser chez moi comme avant, un plaid sur le dos, affalée dans le canapé à faire les yeux doux à Nathan pour qu’il se plie en quatre pour moi – sans succès – et écrire à mon rythme avec de la brioche pour me motiver. Si j’avais pris la peine de me déplacer pour venir bosser au bureau, c’était uniquement parce que je savais que James aurait été capable de venir me chercher directement dans mon appartement pour me trainer par les cheveux à la rédaction, manque de motivation ou pas, fatiguée ou non, sans l’ombre d’une brioche moelleuse en prime pour me récompenser. C’était évident qu’il allait finir par me faire ce coup-là. Ce n’était qu’une question de semaines. J’étais donc venue, malgré mon manque de motivation palpable et mes cernes d’une taille affolante, pleine de bonne volonté même si visiblement cela n’allait pas me suffire pour m’avancer dans les couloirs de notre étage avec un pas assuré. De plus, je savais parfaitement il allait me faire le numéro qu’il me faisait tous les jours, accompagné de ces sourires en coin en nombre incaculables, d’étirements et de sobriquets idiots, tout en ne se gênant pas pour me faire des remarques et ne jamais me laisser tranquille. Au fur et à mesure des mois, j’avais fini par le connaître par cœur, tout comme lui avec moi d’ailleurs. A force de nous chercher des poux, nous avions fini par réellement nous trouver. Ou presque. J’étais persuadée qu’il ne me connaissait pas aussi bien qu’il aimait me le sous-entendre, et malgré tout, je savais que cela en était de même pour moi envers lui. Cependant, j’avais fini par en arriver au point d’être exaspérée quoi qu’il dise et quoi qu’il fasse, même si ce petit jeu m’amusait et me donnait envie d’y avoir le droit, beaucoup trop régulièrement. S’en devenait perturbant. Alors, je me contentais d’éviter de me poser des questions et je me tuais à la tâche ; tâche qui consistait en m’énerver après lui, essayer de garder le peu de fierté que je pouvais avoir et bosser dans le même bureau que lui sans avoir d’envie meurtrières à chaque fois qu’il ouvre la bouche. Bouche plutôt sexy, d’ailleurs, surtout quand elle abordait ce sourire en coin auquel j’avais souvent le droit. Mais, une nouvelle fois, c’était un sujet que j’évitais soigneusement dans mon propre esprit.
J’entrai donc dans notre bureau commun en le saluant, comme à mon habitude, toujours les mêmes mots soigneusement calculés, toujours tournés de la même manière. Bonjour, James. Tout un art. Je préférais feindre une journée normale, comme si j’étais arrivée en même temps que lui, comme tous les jours de la semaine normaux et sans incident. Je préférais m’accorder quelques minutes de répit avant de pouvoir affronter la bête – autrement dit, James. Alors que je m’avançai vers mon fauteuil, je l’entendis faire craquer ses articulations, allant de celles de ses doigts à celles des épaules, comme pour attirer mon attention. Je levai un sourcil en posant mon regard sur lui, et je détaillai ses bras avant de poser mon regard sur son visage. Essaye toujours, Svensson. Tu crois vraiment que je m’amuse à te mater quand tu fais ta parade nuptiale ? Certes, ce n’était pas totalement faux, mais bon… Dans ces moments-là, je pensai à Nathan. Ca ne marchait pas toujours, mais j’étais suffisamment convaincante avec moi-même pour me dire que je n’avais pas le droit d’avoir des yeux baladeurs. « Bonjour à toi rayon de soleil. Tu es tombée du lit ? Je m’en doutais que tu aurais du retard mais merci de venir pointer le bout de ton nez. Ton sourire m’aurait manqué. » Rayon de soleil. Tombée du lit. Mon sourire. J’eus pendant un instant envie de lui lancer mon agrafeuse dans la figure, mais j’étais presque persuadée que la moindre et infime petite force dans mes bras m’avait abandonné et que j’aurais bien été incapable de la soulever correctement afin de bien viser son crâne. Je me contentai donc de lever les yeux au ciel, m’asseoir dans mon fauteuil et allumer mon ordinateur. « Ca aurait été une véritable tragédie, en effet. » lâchai-je. Il aurait surtout eu le bureau pour lui tout seul, sourire ou pas impliqué dans l’affaire. Il aurait pu rien faire, personne ne s’en serait rendu compte, hormis moi le lendemain. Et puis, il aurait également pu m’harceler de messages. Je fis lentement la liste dans ma tête de toutes les choses qu’il aurait pu faire si je n’avais pas été là, tout en ouvrant ma session professionnelle sur mon poste.
Il m’observait m’installer tranquillement sans faire le moindre bruit. C’était le moment ou jamais. Je pris une grande inspiration avant de lui annoncer que j’avais quelque chose à lui dire. Je lui donnai quelques secondes pour mettre son cerveau en mode écoute active et j’eus le feu vert une fois qu’il posa ses pieds sur son bureau, ses bras croisés sur son torse, le visage sérieux. Classique. C’était presque du foutage de gueule, mais à vrai dire, je n’y faisais même plus attention. Je lui dis alors d’ignorer mon dernier email puisque j’avais des corrections à lui apporter ; au moins, je plantais le décor. J’espérais sincèrement qu’il allait comprendre le sous-entendu de ma phrase, qui pouvait se résumer à si tu fais la moindre critique sur mon travail je te jure que je t’arrache les yeux avec les dents ou bien à j’étais crevée, Kaitlin a encore fait des conneries et je n’avais pas d’autre solution que d’essayer de bosser cette nuit pour tout rattraper mais ça a fini en désastre, je sais. Il avait le choix. Bien entendu, il n’interpréta pas mes lourds sous-entendus de la même manière. Ce fût comme s’il s’en fichait, et il se focalisa sur une seule chose. « Tu t’es regardée dans la glace ce matin ? Non car tu as une tête horrible, combien de fois je t’ai dit que si tu crapahutais toute la nuit, met une petite cuillère au frigo pour le matin. Ainsi tu peux la mettre sur tes yeux et tes cernes vont diminuer. C’est prouvé ma biche et puis franchement ton mec arrive à avoir autant d’endurance ? » J’ouvris la bouche pendant un instant, puis la refermai tandis que j’ouvrai le dernier document que je lui avais envoyé pour tout reprendre. Mes cernes, bien entendu. Il y avait bien une seule personne sur cette Terre capable de me faire une remarque, et il fallait que je bosse dans le même bureau qu’elle. Mon esprit tenta même en vain de ne pas relever la petite remarque à propos de Nathan. Si seulement j’avais des cernes à cause de ça… Je relevai la tête pour lui lancer un regard à la fois fatigué et noir, lui faisant comprendre que je n’étais pas d’humeur. « Svensson. » articulai-je. « Je n’avais pas franchement le temps d’essayer tes expériences de petites cuillères ce matin, tu vois. » C’était surtout que je n’y croyais pas une seule seconde, à ses histoires de frigo et de cernes. Cela marchait certainement sur lui, mais c’était simplement parce que son organisme ne devait pas être humain. Il ne pouvait pas l’être. « Quant à N… » « Si t’étais avec moi je peux te dire que tu serais pas dans cet état à l’heure qu’il est. Il est temps pour toi d’innover, de faire de nouvelle rencontre. » Il fit une pause théâtrale, en profitant pour quitter sa position de pacha pour se rapprocher de moi au dessus de son bureau. Je posai mon regard dans le sien, le défiant presque d’oser articuler ce qui allait suivre. Il m’énervait quand il se lançait sur ce sujet là. Il savait parfaitement que 1) mon cœur était donné depuis bien longtemps à Nathan et que 2) j’étais fidèle, dans mon genre. « Si tu as besoin tu sais où me trouver. » Bien entendu. Il l’avait dit. Je poussai un soupir au moment où il m’offrit un clin d’œil et qu’il reprenait sa position initiale, puis je me penchai au dessus de mon bureau. « La force et l’énergie que tu mets pour me mettre dans ton lit me faire presque rougir. » lançai-je avant de reporter mon attention sur mon ordinateur, m’horrifiant au fil de ma lecture des énormités que j’avais pu écrire cette nuit. Cependant, je n’étais pas concentrée. Pas avec un James qui me regardait depuis tout à l’heure, pas avec les remarques qu’il avait pu faire sur ma vie sexuelle et mes cernes. Je lui jetai un vague regard en coin. « Au risque de te décevoir, je suis obligée de décliner ton invitation une centième fois. Je-suis-fiancée. Je suis très bien comme je suis. Je n’ai pas besoin d’aller voir ailleurs, figure toi. » dis-je avec une petite voix satisfaite. « Et j’ai mon compte d’orgasmes, si jamais tu veux le savoir. » Je me défendais comme je le pouvais. Cependant, la conviction que j’y mettais était de moins en moins forte ; après tout, ma relation avec Nathan n’était pas au beau fixe. Je n’étais pas fiancée non plus, puisqu’il semblait ne pas encore avoir compris mes signaux désespérés. Cependant, je me gardais bien de dire tout cela à James. Cela lui aurait donné une bonne raison d’être satisfait et de redoubler ses avances. Quoi que… Je m’étais toujours demandé s’il ne faisait cela que parce que cela représentait un beau jeu pour lui ; faire des sous-entendus à une femme qu’il croyait fiancée, amoureuse, sur le point de fonder une belle petite famille, blablabla. Je ne lui avais servi que mes rêves et mes objectifs. Il ignorait le vrai dans tout cela, même si je savais qu’il avait de gros doutes sur certains points. Parfois, je me disais que si je lui avouais que Nathan et moi n’avions plus la même alchimie qu’avant et que nous faisions que de nous éloigner, il finirait par me ficher la paix. Le problème, c’est que je n’avais pas envie que cela se produise.
Ce qui était problématique.
James finit par se rappeler de notre véritable sujet de conversation ; non, celui-ci ne tournait ni autour de ma vie sexuelle, ni même de mes problèmes à cacher mes cernes quand je me payais que minables heures de sommeil en une nuit. « Sinon pour le papier je ne l’ai pas pris en considération, me doutant que tu ne devais pas être toi-même cette nuit. J’ai même cru un moment que ça pouvait être Kaitlin qui l’avait écrit mais elle m’a confirmé ce matin que s’était toi. Cette petite a du génie et de bonnes idées, tu devrais la laisser venir ici plus souvent. Surtout qu’elle m’a dit qu’elle été suspendu. » Tiens. Je l’avais presque oublié, celle-là, avec James jouant avec mes nerfs dès le matin. Je poussai un soupir fatigué avant de m’enfoncer dans mon fauteuil, abandonnant mon écran. « Franchement, tous les deux, vous faîtes la paire. » Je pressai mes doigts contre mes lourdes paupières comme pour essayer de faire disparaître cette incroyable envie de m’assoupir pour ne plus l’entendre et surtout rattraper ma nuit. Cela était vain, bien entendu. A la place de me décontracter, je me sentis de plus en plus frustrée. Le fait que James et Kaitlin s’entendaient bien me gênait. Pas qu’il réussisse à m’aider à la comprendre parfois me dérangeait – j’avais peine à l’avouer mais ça m’aidait bien de temps en temps – mais savoir qu’elle était toujours prête à aller se plaindre dans ses jupes et passer du temps au téléphone avec lui m’irritait. Enfin, façon de parler. Je n’aimais tout simplement pas cette idée là. « Bien sûr, elle t’a appelé. J’imagine qu’elle s’est plaint de mon côté tyran en plus de te raconter comment elle avait réussi à se faire mettre dehors trois jours pour avoir tiré sur une alarme incendie ? » articulai-je lentement. « Hors de question de vous avoir tous les deux dans les pattes aujourd’hui… » Cela ne servait à rien d’essayer de garder tout pour moi, j’en avais conscience. Kaitlin avait déjà dû lui raconter sa version des faits. L’avantage, avec James, c’est que je savais qu’il n’allait pas la blâmer. Au contraire, il allait rire (ce qui, fatalement, m’énervait aussi puisque cela ne faisait que me montrer un peu plus qu’il se fichait à peu près de tout sur cette Terre, à commencer par le futur aux abonnés absents de ma cousine), mais cela allait me changer de Nathan qui ne la supportait pas. Bien entendu, il avait profité de cet incident pour me faire la morale. Bref. « … Surtout que tu aurais été du genre à lui faire croire que c’était bien, de se faire jeter dehors par le lycée. Et non, ce n’est pas elle qui l’a écrit, je confirme. A quatre heures du matin, elle dormait. » Comme tout adolescent. Certes, elle veillait parfois jusqu’à trois heures du matin pour le fun, rentrait de soirées dans ces eaux-là régulièrement, cependant, elle ne se serait pas amusée à me faire enrager à quatre heures du matin alors qu’elle avait mieux à faire. Genre dormir.
Je reportai mon attention sur mon ordinateur, guère motivée. Je savais que James n’avait pas fini de me parler, et à vrai dire, je préférais presque l’écouter plutôt qu’essayer de sauver quelque chose d’insauvable. Je tournai lentement la tête vers lui. « Dis, Svensson ? » lançai-je d’une voix adorable. « Tu voudrais pas aller me chercher un café à la machine ? » Je lui lançai un petit sourire. Au moins, j’aurais essayé. Personnellement, pour lutter, je n’utilisais pas de cuillère froide ou peu importe. Non. Pour moi il n’y avait qu’un seul remède. Sept lettres. C-A-F-E-I-N-E.
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→ HEAVEN ET ARIA C'EST LES PLUS BELLES.
Dernière édition par Julia K. S. Williams le Ven 5 Oct - 19:19, édité 5 fois
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Sujet: Re: JULIA ∞ I'm not self-absorbed, right? Me, me, me. Mer 3 Oct - 15:42
Your birth is a mistake you'll spend your whole life trying to correct.
INTRODUCTION ∞ On naît, on vit, on meurt. Personne ne choisit ses parents, son milieu, personne ne choisit cette base qui va être si importante pour le restant de ses jours. Non. On va lui donner toutes ces choses, lui imposer des situations qu'il aurait préféré ne jamais affronter, ne jamais connaître. Et toute sa vie, il va devoir faire avec, en rêvant à ce à quoi son existence aurait bien pu ressembler s'il avait eu un tout petit peu plus de chance. S'il avait eu ce qu'il voulait. S'il avait obtenu ce qu'il désirait. Il existe des gens qui ont eu de la chance. Cependant, il existe aussi des personnes qui en ont eu et qui auraient préféré ne pas en avoir. La vie est mal faite. La vie est injuste. Cependant, personne ne peut rien y faire. Nous pouvons juste le constater, encore et encore, subissant ses aléas sans espérer qu'un jour tout cela puisse changer. Elle s'appelle Julia Karen Sierra Charlize Williams. Elle a hérité d'une vie que tout le monde souhaiterait avoir. Elle a hérité d'une vie que des milliers de filles rêvent d'un jour vivre ; que des milliers de filles voient dans diverses séries télévisées en se disant si seulement je pouvais être à leur place. Son père est trader. Sa mère est une femme au foyer, véritable accro aux galas de charité et activités entre copines-commères. Elle a une soeur jumelle. Ils sont riches. Ils sont beaux. Ils sont cultivés et carriéristes. Ils possèdent une villa sur la côte Californienne ; lieu dans lequel ils ont toujours vécu et vivront toujours. Il y a des règles. Des coutumes. Des choses à respecter pour toujours faire parti de ce clan très privé sans qu'aucun faux pas ne soit accepté. Elle porte des robes hors de prix pour une simple soirée, elle va dans le meilleur lycée de la ville. Elle peut tout acheter, se permettre toutes les folies dépensières, participer aux plus grandes fêtes du comté. Des milliers de personnes se damneraient pour avoir la chance qu'elle a eu à la naissance d'avoir une vie pareille. Cependant, Julia n'en veut pas. Elle ne veut pas de cette vie, de cette chance. Elle n'en a jamais voulu.
You're safe because you're trapped inside your culture.
CHAPITRE PREMIER ∞ « Oh mon Dieu, Julia ! » Madame Williams se précipita sur sa fille, occupée à faire des tas de terre dans un coin, à côté de la piscine. La petite fille regarda sa mère sans comprendre, puis celle-ci la releva avant de lui faire traverser leur jardin avec de grandes enjambées pour rejoindre leur villa. Madame Williams prit grand soin de la faire passer par la cuisine avant de la faire monter à l’étage pour que les invités ne la voient pas dans cet état là, pleine de terre sur l’ensemble de sa robe. Après tout, cela pouvait être très mal vu. En chemin, elle appela également sa deuxième fille, Lyvia, pour les monter toutes les deux. Madame Williams entraina les deux jumelles dans la salle de bain qui leur été réservée, puis fit couler un bain. Elle y ajouta de la mousse avec empressement ; déshabilla dans la même hâte ses deux filles. Il ne fallait pas qu’elle tarde trop, après tout. Apparence, apparence. Son mari était en repas d’affaire. Il fallait qu’elle soit présente, qu’elle soit la femme modèle. S’occuper de ses filles devenait presque accessoire dans ces moments là. Elle les mit toutes les deux dans le bain chaud, puis déposa un baiser sur le front de chacune avant de redescendre rapidement, leur indiquant qu’il valait mieux qu’elles se lavent tranquillement et qu’elle reviendrait dans quinze minutes. Les deux petites filles demeurèrent silencieuses, et Julia observait ses doigts sales et la terre sous ses ongles. « Pourquoi maman voulait pas que je joue dans le jardin ? » demanda-t-elle d’une toute petite voix. A cinq ans, elle ne comprenait pas encore les interdits, les règles. Elle avait déjà l’impression de se sentir étrangère à tout cela, d’être spéciale, de ne pas forcément rentrer dans le moule comme on aurait souhaité qu’elle le fasse. La seule personne avec qui elle se sentait bien était sa sœur jumelle. Mais c’était normal. Elle était comme elle. Elle n’imaginait pas sa vie sans Lyvia. Sa sœur haussa les épaules pour dire qu’elle ne savait pas. Lentement, Julia souffla sur la mousse qu’il y avait devant elle, et celle-ci atterrit sur le nez de sa jumelle. Elles se mirent toutes les deux à rire. En bas, les adultes parlaient affaire, buvaient du vin à sept cents dollars la bouteille. Normal. Parfaitement normal. Depuis le départ Julia s’était révélée être un peu garçon manqué, avait tout de suite marqué un certain intérêt pour les bêtises en tout genre. Mais cela n’allait pas s’arranger.
Nobody's all the way dead yet, but lets just say the clock is ticking.
CHAPITRE SECOND∞Le bruit des vagues. La sensation que procurait le sable chaud contre ses orteils. Le vent venant caresser sa peau simplement vêtue d’un maillot de bain deux pièces. Elle était bien, là. Elle se sentait libre. Son esprit s’en allait très loin, emporté par la mer, accompagné de tous les problèmes qui pouvaient la travailler en ce moment. Des problèmes comme la tenue que sa mère voulait qu’elle porte ce soir. Des problèmes comme ces gens au lycée qui l’agaçait. Des problèmes comme son sentiment d’appartenir à un autre monde, d’être détachée de tout ça, de ne pas être comprise. « Julia ? » La demoiselle ouvrit les paupières et ses yeux se posèrent sur Zach. Elle lui fit un petit sourire, et celui-ci vint s’installer à côté d’elle, à même le sable, juste en face de l’Océan. Il n’ajouta rien pendant quelques instants. Le silence leur convenait. Après tout, ils partageaient tous les deux cette même passion de la Mer, ils avaient tous les deux le sentiment qu'ils étaient liées à elle. Qu’ils ne faisaient qu’un. Le surf, la voile. Ils étaient une bande d’amis, une bande d’amis qui se connaissaient depuis de longues années maintenant. Lyvia et Julia en faisaient parties. Elles avaient appris à surfer avec eux, elles avaient appris à s’échapper de la bulle dorée dans laquelle elles étaient enfermées depuis leur enfance. Julia poussa un soupir. Elle avait quinze ans maintenant. « A quoi tu penses ? » Julia tourna la tête vers Zach. Elle lui lança un petit regard complice. « A ce soir, principalement. » lâcha-t-elle. « Mes parents organisent une réception pour je ne sais quelle cause… Enfin, tu sais ce que ça veut dire. » Zach hocha la tête lentement. Bien entendu qu’il savait ce que cela voulait dire. Il était certes issu de classes moyennes, allaient dans un modeste collège de Californie, avait de temps en temps des problèmes financière, cependant, les deux jumelles lui avaient suffisamment parlé de leur monde pour qu’il sache qu’une réception signifiait être à la hauteur, supporter des gens pendant de longues heures, faire semblant et surjouer. Julia détestait cela. Elle détestait ce monde. Mais sa sœur était là. Elle supportait elle aussi. Elles étaient toutes les deux. « Je peux te kidnapper ce soir, si tu veux. » Julia leva les yeux au ciel, lui faisant un grand sourire. « Viens plutôt avec nous. » répondit-elle. « Je t’invite. » Cela allait faire enrager ses parents, mais elle s’en fichait. Cela faisait maintenant longtemps qu’elle avait presque deux vies ; celle que ses parents voulaient qu’elle ait, celle qu’elle vivait pour elle. Elle participait aux galas et toutes sortes d’activités de riches, allaient dans un établissement privé pour étudier, mais vivait sur sa planète. Ses amis faisaient partis d’une autre classe. Ils étaient plus modestes. Et elle les aimait plus que tout. Ce qui la rassurait, c’était que dans son combat, elle n’était pas seule. Il y avait Lyvia. Il y aurait toujours Lyvia.
When did the future switch from being a promise to being a threat?
CHAPITRE TROISIÈME ∞ Julia se racla la gorge. Ses yeux parcoururent l’assemblée. Elle n’avait pas peur, non. Pourquoi aurait-elle eu peur ? « On naît, on vit, on meurt. C’est le cycle de la vie, cela a toujours été comme ça et ça le sera toujours. Le lycée n’est qu’une partie infime de notre existence… Et pourtant. » articula-t-elle lentement dans le micro, confiante, la voix posée. « C’est ce moment-là qu’on découvre qui on est. Qu’on apprend à se connaître avant de connaître les autres. Qu’on apprend à se supporter, à devenir quelqu’un. On nous dit que c’est à ce moment là qu’on se construit, mais je ne suis pas d’accord ; en réalité, on fait de nous ce que les autres ont toujours voulu qu’on soit. Nous nous fondons dans la masse. En pensant devenir quelqu’un d’exceptionnel, nous appliquons simplement les règles qu’on nous a imposées dans notre vie et nous finissons par devenir comme les autres. On finit par se fondre dans le moule. » Des murmures commencèrent à s’élever dans la salle. Les parents s’agitaient, les élèves regardaient Julia avec la plus grande incompréhension. Cependant, la demoiselle ne fixait qu’une seule personne. Sa sœur. Elle savait que ce n’était pas une bonne idée, que de profiter du discours de la remise des diplômes pour dénoncer toute cette société allait très certainement avoir un grand impact sur leurs vies. Sur leur famille. Mais elle s’en fichait. Elle avait besoin que cela sorte. Elle avait besoin de les dénoncer. Et puis, au final, quelle famille, hein ? Elles étaient une famille à elle-deux, après tout. Et puis, Julia s’en fichait. Elles partaient pour New York. Ce n’était qu’une question de temps. Elles allaient enfin pouvoir lâcher prise avec tout cela. « La vérité, c’est que nous sommes simplement des automates, des adolescents faits sur-mesure pour l’excellence. Nous n’apprenons pas à vivre, non, nous nous contentons d’exister. Nous sommes beaux. Nous sommes riches. Nous avons un grand avenir. Nous faisons la fête. Nous avons une vie que tout le monde rêve d’avoir. Mais est-ce vraiment vivre ? Connaissons-nous réellement la définition de ce mot ? Non. J’ai passé mon adolescence entière à me dire que je m’étais trompée de monde. Parce que les familles qui n’ont rien hormis tout l’amour qu’ils ont savent mieux que nous la véritable valeur des choses. Nous nous contentons d’artifices. Eux connaissent le véritable sens de la vie. » Un silence de mort planait finalement dans la salle. Julia leva les yeux de sa feuille, décidée. Les regards sur elle étaient froids. Elle s’en fichait. Elle avait toujours été considérée comme marginale, de toute manière. Ce n’était pas ce genre de moment qui allait lui faire perdre tous ses moyens. Elle ne mâchait pas ses mots. Elle ne l’avait jamais fait. « Le lycée est la fin d’un chapitre où nous avons tous été forcé d’être pareil. L’université est une nouvelle page, blanche. Les règles sont redéfinies. Nous allons peut-être tous apprendre à vivre, finalement. » C’était ce qu’elle comptait faire.
Make me into anything, but just love me.
CHAPITRE QUATRIÈME ∞ Julia leva les yeux au ciel. « Désolée. » dit-elle, légèrement exaspérée. « Je te l’ai dit déjà cent fois mais on a eu des problèmes de livraison cette semaine. Les parutions hebdomadaires sortiront demain. » Le gamin en face d’elle lui lança un regard de chien battu, comme si cela pouvait réellement changer quelque chose. Un comic dans la main, elle lui donna un petit coup sur le haut du crâne avec un sourire et celui-ci, penaud poussa un petit sourire triste. « D’accoooord Julia. Tu m’envoies un texto dès qu’ils arrivent hein ? » La Williams hocha la tête. « Tu seras le premier au courant ! » C’était la quinzième fois qu’elle disait cela à quelqu’un aujourd’hui, et tous allaient bien entendu être « les premiers » au courant. Elle était aussi frustrée qu’eux. Cependant, devoir répéter à tous les habitués que non, les nouveaux numéros de leurs comics favoris n’étaient pas sortis devenait un peu… Lassant. Hormis cela, Julia adorait son job. Elle pouvait passer des soirées entières à lire dans son coin, parler avec des gars branchés sur la même fréquence qu’elle. De manière générale, elle adorait sa vie New Yorkaise. Oui. Sa vie. Elle était étudiante à Columbia. Elle bossait pour gagner son propre argent. Depuis qu’elle était dans la Grosse Pomme avec sa sœur jumelle, elles vivaient toutes les deux par elles-mêmes et se débrouillaient du mieux qu’elles pouvaient. Leurs parents ne les aidaient pas, alors elles se démenaient. C’était le but, à la base. Elles avaient sous-loué un petit appartement dans le Bronx, elles avaient toutes les deux pris des jobs à mi-temps pour financer leurs dépenses. C’était plus dur… Mais elle se sentait à sa place. Il lui manquait juste le surf… Mais il y avait toujours la voile pour compenser. Et elle s’était mis au jogging, à la gym, au self défense. « Eh, Julia ! » La concernée releva la tête. « Huuum ? » Son responsable eut un sourire. Il n’était guère plus âgé qu’elle, juste une poignée d’années. Quand elle avait débarqué devant lui pour avoir un poste dans le comic-book store, il lui avait ri au nez. Une fille, dans un antre de mec ? Never. Puis quand il avait compris qu’elle était littéralement fan de cela, il avait tout remis en question. Et puis, elle gonflait les ventes. Parce qu’elle était une fille. Belle, apparemment. Donc les gars venaient plus facilement dans le magasin pour l’observer du coup de l’œil… Tout une stratégie commerciale ! « Viens m’aider à déplacer les anciens numéros là. » « J’arrive, le feignant ! » Elle sourit, puis descendit de la chaise qui lui servait de perchoir. Elle vivait la vie qu’elle avait toujours voulu avoir. Enfin.
Dernière édition par Julia K. S. Williams le Sam 6 Oct - 18:06, édité 10 fois
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Sujet: Re: JULIA ∞ I'm not self-absorbed, right? Me, me, me. Mer 3 Oct - 15:48
Jennifer te va si bien
Bon courage pour ta fiche
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Sujet: Re: JULIA ∞ I'm not self-absorbed, right? Me, me, me. Mer 3 Oct - 15:49
Re-bienvenue
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Sujet: Re: JULIA ∞ I'm not self-absorbed, right? Me, me, me. Mer 3 Oct - 16:20
Re-Bienvenue
Je pense que tu as le masochisme dans le sang. Mais ça te va si bien !
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Sujet: Re: JULIA ∞ I'm not self-absorbed, right? Me, me, me. Mer 3 Oct - 16:32
Lien de malade lalala re-re-re-bienvenue & puis bonne chance pour ta fiche, FEMME.
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Sujet: Re: JULIA ∞ I'm not self-absorbed, right? Me, me, me. Mer 3 Oct - 18:12
re-bienvenuue bonne chance pour ta ficheee
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Sujet: Re: JULIA ∞ I'm not self-absorbed, right? Me, me, me. Mer 3 Oct - 18:51
Dylan L. Cooper a écrit:
Jennifer te va si bien
Bon courage pour ta fiche
Merciiiii. Mon bébé. Bon courage pour ma fiche, merci j'vais en avoir graaaand besoin.
Maya L. Fabregas a écrit:
Re-bienvenue
Merci beaucoup ma.
Hunter Brunkhorst a écrit:
Re-Bienvenue
Je pense que tu as le masochisme dans le sang. Mais ça te va si bien !
Merci Hunteeeeer. Maso, moi ? Jamaaaaaais j'vois pas du tout de quoi tu parles. J'SUIS TROP MOTIVÉE.
Adrian N. L. Cavendish a écrit:
Lien de malade lalala re-re-re-bienvenue & puis bonne chance pour ta fiche, FEMME.
BFF Tu me réserves un rp avec ton sexyAdrian hein. Merci beaucoup mon HOMME.
Raleigh A.Z. Schmidt a écrit:
re-bienvenuue bonne chance pour ta ficheee
Merci beaucoup, beaucouuuup.
Dernière édition par Julia K. S. Williams le Mer 3 Oct - 22:21, édité 1 fois
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Sujet: Re: JULIA ∞ I'm not self-absorbed, right? Me, me, me. Mer 3 Oct - 18:57
Inutile de dire aussi que je veux un lien Je sais pas avec quel compte par contre
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Sujet: Re: JULIA ∞ I'm not self-absorbed, right? Me, me, me. Mer 3 Oct - 19:37
Sujet: Re: JULIA ∞ I'm not self-absorbed, right? Me, me, me. Mer 3 Oct - 19:59
aw les prénoms, le pseudo complet et tout rererererereBienvenue sur nycl, bon courage pour ta fiche et puis en espérant qu'elle durera moins longtemps a rédiger que la fiche d'aria, même si c'est classe d'avoir plus de vu que le sujet du modèle de présentation lui-même
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Sujet: Re: JULIA ∞ I'm not self-absorbed, right? Me, me, me. Mer 3 Oct - 20:04
Welcome,
Katerina M. Lehtonen
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▌INSCRIT LE : 15/04/2012
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▌CÉLÉBRITÉ : Demetria Devonne Lovato.
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Sujet: Re: JULIA ∞ I'm not self-absorbed, right? Me, me, me. Mer 3 Oct - 20:27
re-bienvenue Jillychérie
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Sujet: Re: JULIA ∞ I'm not self-absorbed, right? Me, me, me. Mer 3 Oct - 20:32
Ma jumelle!!!!! Re-bienvenue parmi nous! Excellent choix d'avatar
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Sujet: Re: JULIA ∞ I'm not self-absorbed, right? Me, me, me. Mer 3 Oct - 20:42
Re bienvenue !
Et bon courage pour ta fiche !
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Sujet: Re: JULIA ∞ I'm not self-absorbed, right? Me, me, me. Mer 3 Oct - 20:57
Rebienvenue
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Sujet: Re: JULIA ∞ I'm not self-absorbed, right? Me, me, me. Mer 3 Oct - 22:12
Dylan L. Cooper a écrit:
Inutile de dire aussi que je veux un lien Je sais pas avec quel compte par contre
Non mais je t'explique, le lien c'est même pas négociable. Peut-être avec ta bitch.
Valentina S. McAllistair a écrit:
LAWRENCE
Bonne chance pour ta fiche ^^
Tu t'es vue avec Ginta. Merci beaucoup sweetie.
Owen Stewart a écrit:
aw les prénoms, le pseudo complet et tout rererererereBienvenue sur nycl, bon courage pour ta fiche et puis en espérant qu'elle durera moins longtemps a rédiger que la fiche d'aria, même si c'est classe d'avoir plus de vu que le sujet du modèle de présentation lui-même
Je les ai choisi avec soin les prénoms. rererererereMerci Wenouu. Aaaaah je l'avais oublié celle-là. Non mais j'ai pas trop le choix là, si je veux avoir ma couleur faut que je l'écrive. XD Mais la fiche d'Aria, j'aime bien, j'ai la classe et tout.
Matthias J. Dornovan a écrit:
Welcome,
Merci beaucoup Matthias.
Katerina M. Lehtonen a écrit:
re-bienvenue Jillychérie
Thanks nod'amour.
Amethyst-Elyn S. Burberry a écrit:
Ma jumelle!!!!! Re-bienvenue parmi nous! Excellent choix d'avatar
MA JUMEEEEELLE. Le choix d'avatar, ça je te le fait pas dire. Merci.
Carrie J. Grant a écrit:
Re bienvenue !
Et bon courage pour ta fiche !
Merci beaucoup Carrie, je vais en avoir besoin.
Mike D. Spencer a écrit:
Rebienvenue
Thanks a lot Mike.
Dernière édition par Julia K. S. Williams le Mer 3 Oct - 22:20, édité 1 fois
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Sujet: Re: JULIA ∞ I'm not self-absorbed, right? Me, me, me. Mer 3 Oct - 22:15
Julia K. S. Williams a écrit:
Dylan L. Cooper a écrit:
Inutile de dire aussi que je veux un lien Je sais pas avec quel compte par contre
Non mais je t'explique, le lien c'est même pas négociable. Peut-être avec ta bitch.
oh oui avec ma Candice
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Sujet: Re: JULIA ∞ I'm not self-absorbed, right? Me, me, me. Mer 3 Oct - 23:10
re bienvenue avec ce nouveau perso
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Sujet: Re: JULIA ∞ I'm not self-absorbed, right? Me, me, me. Jeu 4 Oct - 9:44
Jennifer Re-bienvenue & courage pour ta fiche :brigitte:
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Sujet: Re: JULIA ∞ I'm not self-absorbed, right? Me, me, me. Jeu 4 Oct - 17:27
Candice A. Eubanks a écrit:
oh oui avec ma Candice
Elle va faire qu'une bouchée de ma pauvre petite Julia, tss.
Dallila I. Alessandrelli a écrit:
re bienvenue avec ce nouveau perso
Thanks a lot sweetie.
Raphaël L.N. Pazzini a écrit:
Jennifer Re-bienvenue & courage pour ta fiche :brigitte:
Et toi avec HNH. Merci beaucoup Raphaël.
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Sujet: Re: JULIA ∞ I'm not self-absorbed, right? Me, me, me. Jeu 4 Oct - 23:32
Mince alors tu me préviens même pas!
Moi qui avait un lien avec l'ancienne faudra un nouveau ma J. favorite
T'auras pas trainée pour la saisir la Lawrence ^^.
Re chez toi.
Spoiler:
Je t'aime!!!!!!!!
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Sujet: Re: JULIA ∞ I'm not self-absorbed, right? Me, me, me. Ven 5 Oct - 11:04
Bienvenu sur le forum
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Sujet: Re: JULIA ∞ I'm not self-absorbed, right? Me, me, me. Sam 6 Oct - 18:11
Conor O'Dwyer a écrit:
Mince alors tu me préviens même pas!
Moi qui avait un lien avec l'ancienne faudra un nouveau ma J. favorite
T'auras pas trainée pour la saisir la Lawrence ^^.
Re chez toi.
Spoiler:
Je t'aime!!!!!!!!
Je voulais que tu le vois tout seul. Bien entendu qu'il nous faudra un lien. Attends, tu sais qu'on parle de LAWRENCE là. Ma plus belle. Anyway, merciiiii.
Spoiler:
Moi aussii je t'aaaaaaime.
Lorenzo C. Loris a écrit:
Bienvenu sur le forum
Merci beaucoup Lorenzo.
FICHE TERMINÉE HELL YEAH.
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Sujet: Re: JULIA ∞ I'm not self-absorbed, right? Me, me, me. Sam 6 Oct - 19:01
Validée !
Un système d'intégration est mis en place sur le forum sous forme de flood d'intégration, mélangeant anciens et nouveaux membres, n'hésite pas à t'y inscrire ! N'oublie pas de compléter ta fiche personnage, ton profil et de faire toutes les demandes nécessaire. Si tu as la moindre question ou problème, tu peux bien sur contacter un membre du staff par MP. Nous t'invitons aussi à aller lire ce sujet premiers pas sur le forum Et puis tu peux bien sur voter toutes les deux heures pour aider le forum en cliquant sur le petit noeud (a)
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Sujet: Re: JULIA ∞ I'm not self-absorbed, right? Me, me, me.
JULIA ∞ I'm not self-absorbed, right? Me, me, me.
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