Sujet: MARIE-JEANNE DE LAROCHE ▬ it's too cold outside for angels to fly. Ven 5 Oct - 10:22
FEAT. AMBER HEARD
Marie-Jeanne De Laroche
22 ans → Née à Paris le 05/10/1990 → Étudie la Politique célibataire → hétérosexuelle → membre des Beauty Queens.
And who am i ?
★Quelles sont tes caractéristiques? → Talons aux pieds, maquillage léger, robe de créateur et le tour est joué. Si elle ne se maquille pas comme un pot de peinture, elle se démarque autrement en portant des vêtements de créateurs car c’est la seule chose qu’elle daigne porter. Les vêtements de mauvaise qualité ? Très peu pour elle. Il lui faut des vêtements à la hauteur de sa beauté et elle trouve son bonheur à Rome quand elle vient faire son shopping mensuel. Tout dans l’excès. Vrai petite bourge, elle prend le temps chaque matin de se poser au café le plus chic de la ville pour boire un café, un croissant –qu’elle aime la France- se pose de longues minutes, parfois une ou deux heures et à l'université. Ses amis essayent de garder un minimum de tact quand ils sont avec elle car mademoiselle se prend pour une princesse et la moindre remarque, elle la prend mal et s’emballe. Narcissique à souhait, elle ne peut pas s’empêcher de se regarder dans un miroir quand elle passe devant un. Une autre de ses manies qui peut en énerver plus d’un, est qu’elle ne peut s’empêcher de chanter une chanson quand un mot lui fait penser à des paroles. Son problème ? Elle ne sait pas chanter, elle en est consciente et si on ose lui faire une remarque, ça peut partir très loin.
★Quel est le caractère de ton personnage? → « Sadique avec une tête d’ange, un charisme étrange. » Du charisme, on peut dire qu’elle en a et elle s’en sert bien. Elle n’a pas simplement une présence, elle a aussi une façon de parler captivante. Il est très rare qu’elle ne se fasse pas remarquer et elle en joue. Exubérante à souhait, son but, c’est de ne pas passer inaperçue. Elle a une forte personnalité et bien qu’on lui ait souvent fait des reproches à propos de ça, elle en reste fière et est prête à en abuser. Elle ne cache pas le faite qu’elle est un peu rebelle dans l’âme et voir toutes ces personnes lui en vouloir parce qu’elle est différente la ravit. Comme elle dit toujours, il vaut mieux avoir de la pub, même mauvaise que pas de pub du tout et c’est ce qu’elle prouve chaque jour depuis maintenant 22 ans. Parlons-en de sa pub. Elle utilise ce point fort à merveille pour se faire remarquer et donc afin de faire parler d’elle. En plus d’avoir la parole facile, elle cerne facilement les gens et peut donc les manipuler à sa manière. Elle ? Une petite garce ? Totalement. Vous feriez bien de vous méfier d’elle car peu importe qui vous êtes elle ne change pas sa nature. C’est assez récurant chez elle, cette manie qu’elle a de vouloir tout obtenir, quitte à manipuler ses amis les plus proches. L’amitié pour elle, c’est qu’un moyen comme un autre de profiter des autres. Il y a quelques rares personnes qui ont son respect et ce n’est as rien car ils sont en minorité. Le reste, elle ne leur accorde même pas un regard. En ce qui concerne ses amis, ses critères de sélections sont élevés et le premier est l’argent. Il n’est pas question pour elle d’être vu avec des paysans, car si vous n’êtes pas un minimum aisé, c’est tout ce que vous êtes à ses yeux. Sa réputation, c’est tout ce qu’elle a dans la vie et il n’est pas question pour elle la compromettre simplement pour être gentille avec quelqu’un. Après tout, la gentillesse et elle ça fait deux. Il faut le mériter et encore, à ce niveau-là il faut vraiment qu’elle soit de très bonne humeur. Mauvaise de nature, c’est une petite garce, riche, qui sait ce qu’elle vaut et sa personnalité se résume à ça. N'allons pas plus loin. Mais finalement, si on gratte un peu la surface et qu’on se donne du mal pour atteindre le cœur, on se rend vite compte que tout ça, ce n’est qu’un masque. Au fond, elle n’est pas si méchante et cruelle que ça. Ce n’est qu’un simplement moyen qu’elle a trouvé pour faire plaisir à son père qui ne veut que le meilleur pour elle et qui n’accepte donc pas la médiocrité. La poussant toujours un peu plus à bout, il veut la faire aller le plus loin possible ne cherchant pas à savoir si c’est ce qu’elle souhaite. Voulant depuis toute petite faire de la politique, il est encore plus exaspérant avec elle lui faisant comprendre que si elle ne voulait pas échouer elle ne devait pas réussir, elle doit exceller.
Well... It's my story...
Veuillez écrire ici l'histoire de votre personnage. 30 Lignes minimum.
my little secret
★Ton prénom ou ton pseudo & ton age → Clémence, 18 ans ★Comment es-tu arrivé(e) ici ? → Déjà inscrite ★Ce personnage est-il un double compte ? → Nop. ★Présence sur le forum → Tous les jours sauf exception. ★Personnage inventé ou scénario ? → Personnage inventé. ★Crédit images → Répondre ici.
Mon exemple de RolePlay:
→ « J'ai besoin de toi Lily.. » Ses mots résonnent dans ma tête et j’ai le cœur qui se serre mais je reste sans peur. Je ne suis plus effrayée d’entendre ses mots. Ils me paraissent de plus en plus importants, comme si la nuit agissait et qu’elle nous permettait de laisser parler nos cœurs sans craintes. Je sens celui-ci qui bat. Il a un tas de choses à dire mais je ne le laisse pas parler, c’est encore trop tôt. Ma langue se noue, et j’essaye de ne pas m’emballer mais il sait qu’il est en train de gagner, qu’au fond de moi, je ne peux résister et que ses mots me traversent, me transpercent et m’attendent profondément. « Si tu as tourné la page, Lily, pourquoi est-tu si en colère? Pourquoi tu me parles de cette façon? Si je t'étais si égale que ça, pourquoi est-ce que tu te mets dans cet état? » Je n’écoutais plus qu’à moitié. Je savais que si j’osais penser à une réponse, j’allais la dire sans réfléchir. L’alcool avait un effet dévastateur chez moi. Il me faisait dire ce que je pensais et il était de plus en plus dur pour moi de cacher ce que je ressentais vraiment. C’est pourquoi je préférais me taire car je savais que si je le pardonnais trop vite j’allais m’en vouloir et on but premier était de lui faire comprendre ce que j’avais sur le cœur. Je voulais qu’il prenne conscience du poids de la douleur que je porte sur mon dos depuis trois ans. Nos regards ne se quittaient plus et c’est sens retenu que je m’abandonnais dans ses yeux. Je m’y plongeais et je prenais un tendre plaisir à m’u perdre. Seuls ses mots me faisaient sortir de mes pensées. « D'accord. Peut-être que ça ne te fais pas plaisir, que ma vue te donne la nausée, que tu ne ressens plus rien pour moi, mais je sais que quelque part en toi, il y a quelque chose qui dit le contraire, je sais que tu ne nous as pas oublié. En tout cas, moi, je n'ai pas oublié. Alors s’il faut que je me batte pour que cette part de toi refasse surface, je le ferai. » C’est à cet instant que j’ai sentis a gorge se nouer de nouveau. Je tentais de ne rien dire, ne rien répondre car il avait raison au final. Il y a une part de moi-même qui lui en veux terriblement et qui ne se sent pas prêt à tenter le coup et lui donner une chance. Cette part ne me laissait pas la possibilité de regagner son amitié pour peut-être repartir sur de nouvelles base mais il a cet autre moi qui n’espérait qu’une seule chose : que tout s’arrête et que l’on oublie tout pour enfin profiter l’un de l’autre. C’était tellement dur. J’étais partagé entre le cœur et la raison et tout le monde sait qu’un homme sans raison ne pourrait pas s’en sortir et se remettre de certaines douleurs mais sans cœur, on ne pourrait pas vivre passionnément. L’un et l’autre crée un équilibre qui semble être indispensable pour l’être humain. Ce soir c’était plus ma raison qui parlait et parfois mon cœur prenait le dessus, je faisais la girouette et je me laissais aller aux commandes de mon corps et de mon esprit. J’étais un pantin. J’étais à fleur de peau et la moindre parole qu’il prononçait me paraissait beaucoup plus belle que la précédente. J’étais arrivée à un stade où l’objectivité n’était plus au rendez-vous et où je devenais bien trop porté sur mes émotions mais une chose était sûre, je n’étais pas prête à le laisser gagner. C’était simple pour lui ce soir. Il arrivait à jouer avec mes sentiments en jouant avec les mots et moi, comme une enfant, je m’ébahissais devant son drôle de manège. « Au bout d'un certain temps, je n'ai plus oser revenir vers toi car j'avais peur que tu me remballes. J'ai eu peur, ça m'a stressé et j'ai préféré laisser les choses se faire. Tu sais, ce soir, c'est une chance pour moi. Mais même, je crois que si je ne t'avais pas revu ce soir, je serai revenu, tu m'aurais peut être repoussé, mais j'aurais essayé de prendre de tes nouvelles par n'importe quel moyen, pour veiller à ce que tout se passe bien pour toi. Je suis peut être un gros connard, mais je ne suis pas totalement bête non plus, tu sais. » J’ai finis par détourner le regard. Le jeu avait pris fin. Nous parlions sincèrement à présent. Il m’ouvrait peu à peu son cœur. Il ne l’avait jamais autant fait que ce soir. Le temps l’a fait changer. Ce n’est plus le même homme. Il semble différent de celui que j’ai connu. Auparavant, Danahiel ne se serait jamais mis à nu devant moi pour essayer de me récupéré. Il aurait fait quelques tentatives basiques et si je l’avais repoussé, il m’aurait envoyé baladé et il serait partit. Là il me montrait qu’il n’abandonnera pas. Il me montrait que quoi qu’il arrive, il essayerait de me récupérer. Pourquoi était-il si obstiné ? Comptais-je alors vraiment plus pour lui que ce que j’avais imaginé ? Mon cœur souriait mais je dois avouer que j’avais peur. J’ai toujours eu cette peur constante dont je n’arrive pas à me débarrasser. Depuis qu’il est sorti de ma vie, je ne m’accorde plus le droit d’être faible et de vivre dans la dangerosité. A présent je prends mes précautions. Je ne saute pas parce que j’ai envie de sauter, non, j’examine chaque conséquence. Je suis tellement effrayée, j’ai tellement peur de la chute, j’ai si peur de tomber et de ne plus pouvoir me relever que je n’ose même plus sauter sans prendre mes précautions. Je n’ai pas perdu ma fougue mais quand il s’agit des relations humaines, il m’arrive parfois de me dire que je suis qu’une simple mortelle et que mon cœur ne tiendra pas le choc si je vais trop loin avec. « Regarde-moi Lily. » J’ai marqué un temps d’arrêt, prenant une grosse bouffée d’air frais qui me brula la gorge la fraicheur de la nuit était devenu intense puis sas une grande motivation j’ai monté mon regard jusqu’au sien. Jusqu’ici j’étais resté muette et son regard ne me donnait pas envie de rompre mon silence, bien au contraire, il me nouait la gorge et je n’étais plus capable de répondre. « Si je ne tenais pas à toi.. » Nos regards ne se quittaient plus, le mien était encré dans le sien et le sien dans me mien. « Si je ne tenais pas à toi, Lily, ça ne ferait pas une bonne demi-heure que j'essaierais de te convaincre que je regrette mes actes. Si je ne tenais pas à toi, je ne te dirais jamais que tu es la femme la plus importante de ma vie, et que, oui, je tiens à toi. Et si je ne tenais pas à toi, je ne te prendrais pas dans mes bras. » Et je le sentis m’étreindre. Son corps se colla timidement au mien et je n’ai pas bougé. J’ai simplement fermé les yeux et pour la première fois depuis le début de la soirée, je comprenais qu’il était sincère. On peut mentir avec des mots, on peut essayer avec les yeux mais ce qu’il venait de faire me prouvait qu’il avait ce qu’il avait sur le cœur. L’estomac noué, je ne savais pas si je devais le serrer aussi dans mes bras ou si je devais attendre qu’il mette fin à notre échange. Et contre toute attente, je n’ai pas resserré mes bras autour de sa taille, et je ne l’ai pas non plus repoussé. C’est contre ma volonté que je me suis mise à sangloter. Mon corps tout entier tremblait. J’avais froid mais mon cœur se réchauffait. J’en ai eu les larmes aux yeux. C’était beaucoup trop d’un coup. En une soirée il m’avait dit ce que j’attendais depuis toujours, il s’était ouvert à moi et avait finis par me prendre dans ses bras. J’étais submergé d‘émotion mais je ne voulais pas qu’il me voit dans un tel état. Je pense que dans d’autres circonstances je n’aurais pas pleuré mais le froid, la fatigue, les émotions, l’alcool, tout ça était réuni pour que je craque et je craquais. Je n’ai finalement pas eu à attendre très longtemps, il se sépara de moi quelques secondes après. Il s’alluma une cigarette sous mes yeux. Je me suis souvenu que j’en avais allumé une et je me suis demandée ce que j’en avais fait puis j’ai vite chassé cette idée de ma tête. « Danahiel je.. »« Je crois que je t'aime Lily. Je crois qu'en fait, si j'ai été aussi con, c'est parce que de toutes les personnes que j'ai jamais rencontrée dans ma foutue vie, t'es la seule que j'apprécie, et que je suis tellement con que je ne sais pas comment faire avec toi. » Et ce qui était des sanglots sont devenu des pleurs. Je me suis mise à pleurer devant lui, une chose que je m’étais promis de ne pas faire. . « Tu n’as pas le droit Danahiel. Je t‘interdis de me dire tout ça. J’ai mis 2 ans à m’en remettre, à me remettre de ton départ. J’ai perdu mon meilleur ami quand tu es parti. Les deux premières années ont été atroces et je me sentais vide et triste sans toi. J’ai commencé à vivre il y a un an. J’ai enfin comprit que je pouvais être heureuse sans toi. Ca reste dur malgré tout parce que j’ai toujours l’impression de te croiser à tous les coins de rues. Je te vois partout, même là où je ne devrais pas et toi tu débarques et tu fous en l’air là promesse que je me suis faite, celle de ne plus pardonner aussi facilement. Pourquoi tu me fais ça ? C’est comme si t’avais un pouvoir sur moi, des que t’ouvre la bouche je suis incapable de rester dur. Pourquoi tu me rends si faible ? T’as foutu en l’air trois ans de ma vie et en à peine une heure tu viens de foutre en l’air tout ce que je m’étais promis. » Je me suis arrêtée et je l’ai regardé dans les yeux. « T’as toujours été un connard, tu le restera alors ne crois pas que ce que je vais faire veut dire que je te pardonne, que je t’aime et ça ne veut pas dire non plus que je suis prête à t’accepter de nouveau dans ma vie. C’est un geste tout à fait innocente, j’ai juste besoin de le faire. » Et c’est sans plus attendre que je l’ai pris à mon tour dans mes bras. J’ai resserré ms bras autour de lui et nous n’avons jamais été aussi proche, pas même il a quelques secondes. J’ai glissé mon visage dans le creux de son cou, entre mes bras, et je me suis calmée. Mon cœur battait toujours aussi fort mais la tension redescendait mais je ne me suis pas attardée et je l’ai repoussé, allant finalement m’assoir sur le banc de la station de taxi. J’ai sortis mon téléphone de mon sac j’ai regardé l’heure puis je l’ai rangé. « Mon taxi devrait bientôt arriver. »
Le code règlement:
→ Let's go Knicks
Dernière édition par Marie-Jeanne De Laroche le Sam 6 Oct - 9:29, édité 6 fois
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Sujet: Re: MARIE-JEANNE DE LAROCHE ▬ it's too cold outside for angels to fly. Ven 5 Oct - 10:24
1990 / Paris ► Certaines personnes sont destinées. C’est le destin, c’est comme ça, ça doit se faire et on ne peut emmètre de jugement, de toute manière cela ne servirait à rien, ça ne changera pas leurs futurs. Lily-Rose ancienne hippie avait rencontré Joseph grand ingénieur Britannique lors d’une convention sur les méfaits des usines nucléaires et il ne fut que quelques heures de discutions aux eux jeunes gens pour que ce soit le coup de foudre. Ils étaient tout l’opposé l’un de l’autre et pourtant, c’est avec un plaisir et un amour immense qu’ils prirent du plaisir à se connaitre l’un et l’autre. Ils ont commencé à se voir plus régulièrement, se découvrant petit à petit, jouant avec le feu de leur amour naissant. C’est avec gentillesse et timidité qu’il l’invita finalement un soir à participer à une réception qu’organisaient ses parents chez lui. A l’époque, ils n’étaient que de simple amis et ce sont des tas de questions qui arrivèrent jusqu’aux oreilles des parents du jeune Joseph et eux-mêmes n’étaient pas capable de définir la relation qu’ils entretenaient car ils se proclamaient amis, mais il était flagrant qu’ils étaient attirés l’un par l’autre mais aucun des deux n’osait se l’avouer. Cette relation ambigu et sans nom dura pendant un peu plus d’un an. Ils n’avaient besoin de rien et même si dans leurs têtes, tout était devenu plus clair, limpide, l’idée d’aller plus loin leur faisait peur. Ils n’en ont jamais réellement parlé mais la magie de leur lien était là : ils se cherchaient, jouaient et ça rendait le jeu intéressant et ils avaient tout simplement peur qu’en officialisant leurs sentiments, tout parte en fumé. Pourtant, tout changea en Juin 1987. Imaginez la scène. Joseph qui n’a jamais bu un gramme d’alcool, refusant catégoriquement de tomber dans le cliché du petit jeune qui s’amuse avec de l’alcool et Lily-Rose qui veut à tout prix le faire boire, adorant ça. Elle rêvait de le voir boire un peu et elle était persuadée qu’elle allait bien rire en le voyant complètement bourré. C’est alors avec plusieurs heures de pression mentale, de chantage et d’usage de son charme féminin qu’il accepta. Elle l’emmena dans son bar préféré, le plus côté de Rome et elle lui proposa différent alcool et très peu connaisseur, il prit le plus fort de la liste sans prendre la peine de regarder ce qu’il y avait dedans. Il préférait ne pas savoir à vrai dire. Il le but cul sec et sentit que cela passait mal, très mal et décida de ne pas en reprendre mais Lily n’avait pas dit son dernier mot et continua de la forcer un peu plus et il ne put lui résister et elle savait comme c’était facile pour elle de lui faire tourner la tête. Et plus il buvait et plus il était simple pour elle de le persuader. Et c’est vers les deux heures du matin qu’ils finirent allongés l’un sur l’autre sur le canapé, complètement saoule et à moitié endormit. On pourrait trouver ça beau et touchant i l’odeur de l’alcool n’envahissait pas la pièce, si leurs positions n’étaient pas à leur désavantage, c’est-à-dire, à moitié sur le sol, le visage dévasté par tout ce qu’ils avaient bu et le mal de crâne qui commençait à arriver. « Tu crois qu’un jour je vais réussir à me relever ? » « Laisse-moi mourir en paix. » Ils se mirent à rire ensemble, souffrant ensemble. Ils étaient saoulés, mais ensemble, heureux. C’est peut-être à ce moment-là qu’ils ont compris que quoi qu’il se passe entre eux, rien ne pourrait les séparer, même le bonheur platonique. Alors une heure est passée, puis deux. L’alcool gargouillait encore dans leurs estomacs mais peu à peu il disparaissait, prenait son temps. Discutant encore et encore, un geste, puis un autre. Une main qui glisse, des lèvres qui dérape, un baiser. De fil en aiguilles les choses ont évolués et c’est pour la première moi qu’ils se firent l’amour car il n’y avait rien de sexuel là-dedans. Il y avait du romantisme, du sensuel, de l’érotisme et des sentiments mais rien de barbare. C’était leur première fois. Un mélange insensé d’ivresse et d’amour.Il finit par la serrer dans ses bras comme il ne l’avait jamais fait avec personne. « Je t’aime. » Il lui embrassa le front et ferma les yeux. Ils n’imaginaient pas à cette époque que cette nuit leur donnerait une magnifique petite fille.
Décembre 2004 / Paris ► Je viens d’avoir mes 15 ans. J’étais jeune, en pleine forme et heureuse. Maman était devenu l’égérie de la nouvelle ligne de maillot de bain que papa avait dessiné et elle allait défiler sur le podium dans 10 jours pour lui. Elle sera le clou du spectacle. Il avait tout quitté pour se lancer là-dedans et grand-mère l’avait aidé. Elle connaissait énormément de monde dans le milieu et pour elle, la famille compte plus que tout, alors elle l’avait fait rencontré des têtes dans ce domaine et voilà qu’il organisait son premier défilé. On pourrait croire qu’il est novice mais quand on le voit travailler avec autant de vigueur et professionnalisme, on sait déjà qu’il ira très loin. Quant à maman, elle était très belle mais elle ne voulait pas devenir model. Elle se contentait simplement de faire plaisir à papa et elle posait pour lui. Photo, défilé, réception, elle assistait à toutes sortes de choses pour se faire voir et faire un peu de pub à mon père. C’était quand même quelque chose de simple pour eux. Issus tous les deux de milieux très aisés, ils demandaient et l’argent suivait. On est comme ça dans la famille, très porté sur l’argent. Enfin heureusement pour eux car sans ça, rien n’aurait pu être possible. Moi ? Je suis une adolescente comme les autres. Je bosse pour avoir mon diplôme, je sors, je ris, je pleure, je vis enfin ma vie est assez calme. Je n’ai que 15 ans en même temps. Quoi que, il y a bien ce garçon. On s’est rencontré à une soirée, la seule à laquelle j’ai pu aller car mes parents, bien qu’ils soient très peu là sont extrêmement protecteurs et je n’ai pas vraiment le droit de sortir le soir. On a échangé plusieurs regards, puis on a discuté et on a finit la soirée dans une chambre à nous raconter nos vies. Il n’a pas une histoire facile. Il a été abandonné et a erré dans des centres pour jeune toute son adolescence et aujourd’hui, il a 19 ans et il a son propre appartement, essayant de se débrouiller seul comme il le peut. Je n’ai pas tout de suite comprit pourquoi il restait avec moi au lieu d’aller avec les autres, d’aller avec des filles de son âge mais c’est finalement beaucoup plus tard que j’ai compris. Ce qui s’était passé ce soir-là était un véritable coup de foudre amical. On s’est tout de suite compris, on s’est mis à l’aise l’un et l’autre comme si on se connaissait depuis des mois. C’était étrange, ça ne m’était jamais arrivé et pourtant, j’étais là, à lui parler depuis plusieurs heures, comme si nous étions amis. On s’est recroisé plusieurs fois d’ailleurs depuis cette soirée, avec d’autres personnes puis finalement que tous les deux, c’est comme ça que nous aimions être, ensemble et tous seuls. Très vite, des liens que je qualifierais d’indestructibles se sont créés et j’ai senti qu’avec lui je pouvais braver le vent des tempêtes, la peur des orages et les difficultés de la vie. Nous avions beau être très différent l’un de l’autre, c’est ce qui faisait tout le charme de notre relation. J’avais beau être la plus fortuné dans deux, c’était toujours lui qui me payait à manger quand on sortait. C’était ça notre amitié et l’argent n’y avait pas sa place. Je tenais à lui comme je ne tenais à personne d’autres. Il était mon âme sœur. C’est au bout de quelques mois que j’ai compris. Il était la personne la plus importante à mes yeux après ma famille et il est pourtant très difficile pour moi de m’attacher. Je n’ai jamais eu la fibre affective. Je suis plutôt du genre à fuir les sentiments et e battre pour la popularité mais des amis, je n’en avais jamais eu comme lui. Puis un soir, alors que j’allais le voir, je l’ai croisé en bas de son appartement, des sacs à la main, il était sur le départ. Comptait-il vraiment partir ? Allait-il m’appeler avant de s’en aller ? Alors finalement les derniers mois n’avaient pas compté pour lui ? J’ai couru jusqu’à la voiture et je l’ai arrêté. « Tu vas où ? Tu te casses ? C‘est quoi ces sacs ? » Il m’expliqua que mon père avait eu une discussion avec lui et lui avait donné de l’argent pour qu’il parte et il avait décidé d’accepté. Je fus anéantit sur place. J’étais statique, je ne bougeais plus. J’avais le cœur en miettes, le cerveau en miettes, j’étais toute en miettes. Le seul geste que j’ai pu effectuer était celui d’aller m’assoir sur le sol, un peu plus loin, n’était même pas consciente que je me ridiculisais devant tous les passant.
Dernière édition par Marie-Jeanne De Laroche le Sam 6 Oct - 9:44, édité 4 fois
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Sujet: Re: MARIE-JEANNE DE LAROCHE ▬ it's too cold outside for angels to fly. Ven 5 Oct - 10:30
Bienvenue sur NYCL et bonne fiche à toi!
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Sujet: Re: MARIE-JEANNE DE LAROCHE ▬ it's too cold outside for angels to fly. Ven 5 Oct - 10:42
Jeanne qu'elle me sort elle ELLE EST OU JEANNNNNNNE je suis gavée
en espérant que tu termines ta fiche cette fois ci, pour l'avatar on va en chercher un autre hein rebienvenue ici & bon courage pour ta fiche vieille jeanne
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Sujet: Re: MARIE-JEANNE DE LAROCHE ▬ it's too cold outside for angels to fly. Ven 5 Oct - 10:51
Bienvenue parmi nous & courage pour ta fiche
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Sujet: Re: MARIE-JEANNE DE LAROCHE ▬ it's too cold outside for angels to fly. Ven 5 Oct - 11:01
Bienvenu sur le forum
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Sujet: Re: MARIE-JEANNE DE LAROCHE ▬ it's too cold outside for angels to fly. Ven 5 Oct - 11:15
Bienvenue Jeanne !
Bon courage pour ta fiche
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Sujet: Re: MARIE-JEANNE DE LAROCHE ▬ it's too cold outside for angels to fly. Ven 5 Oct - 12:00
Serena L. Douglas a écrit:
Jeanne qu'elle me sort elle ELLE EST OU JEANNNNNNNE je suis gavée
en espérant que tu termines ta fiche cette fois ci, pour l'avatar on va en chercher un autre hein rebienvenue ici & bon courage pour ta fiche vieille jeanne
putain je viens d'exploser de rire la j'ai pensé à la meme chose very bad blague en force
bienvenuuuueeeeeeee
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Sujet: Re: MARIE-JEANNE DE LAROCHE ▬ it's too cold outside for angels to fly. Ven 5 Oct - 12:21
Bienvenue & bonne chance pour ta fiche
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Sujet: Re: MARIE-JEANNE DE LAROCHE ▬ it's too cold outside for angels to fly. Ven 5 Oct - 12:22
Re-Bienvenue N'hésite pas si tu as besoin
Mackenzie J. Howard
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▌INSCRIT LE : 01/07/2010
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Sujet: Re: MARIE-JEANNE DE LAROCHE ▬ it's too cold outside for angels to fly. Ven 5 Oct - 13:58
re-bienvenue chez nous alors apparemment !
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Sujet: Re: MARIE-JEANNE DE LAROCHE ▬ it's too cold outside for angels to fly. Ven 5 Oct - 14:02
C'est qui? C'est qui?
Rebienvenue parmi nous
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Sujet: Re: MARIE-JEANNE DE LAROCHE ▬ it's too cold outside for angels to fly. Ven 5 Oct - 16:15
Merci tout le monde.
Serena L. Douglas a écrit:
Jeanne qu'elle me sort elle ELLE EST OU JEANNNNNNNE je suis gavée
en espérant que tu termines ta fiche cette fois ci, pour l'avatar on va en chercher un autre hein rebienvenue ici & bon courage pour ta fiche vieille jeanne
La vieille morue est là, la voici la voilàààààààààààà ELLE EST OU JEANNE? JEANNE VA NOUS CHERCHER DU CAFÉ S'IL TE PLAIT. JEAAANNE. MDR. Je suis morte. Bref, merci face de cake, avatar trouvé, et je compte bien finir ma fiche OUI !
Neal B. Parker a écrit:
Serena L. Douglas a écrit:
Jeanne qu'elle me sort elle ELLE EST OU JEANNNNNNNE je suis gavée
en espérant que tu termines ta fiche cette fois ci, pour l'avatar on va en chercher un autre hein rebienvenue ici & bon courage pour ta fiche vieille jeanne
putain je viens d'exploser de rire la j'ai pensé à la meme chose very bad blague en force
bienvenuuuueeeeeeee
Mon dieu, je suis fichée. Jeanne, la fille au café qui ne viendra jamais, bonjour. Merci en tout cas.
Oksana D. Walker a écrit:
C'est qui? C'est qui?
Rebienvenue parmi nous
Je suis l'ancienne Lily-Rose Pettigrew, j'avais Hannah Beth. Merci. ♥
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Sujet: Re: MARIE-JEANNE DE LAROCHE ▬ it's too cold outside for angels to fly. Ven 5 Oct - 16:19
Bienvenue parmi nous
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Sujet: Re: MARIE-JEANNE DE LAROCHE ▬ it's too cold outside for angels to fly. Ven 5 Oct - 18:11
Bienvenue
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Sujet: Re: MARIE-JEANNE DE LAROCHE ▬ it's too cold outside for angels to fly. Ven 5 Oct - 18:22
Est-ce que t'es la personne à qui je pense ou non ? Dans tous les cas, rebienvenue parmi nouuuus et bon courage pour ta fiche.
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Sujet: Re: MARIE-JEANNE DE LAROCHE ▬ it's too cold outside for angels to fly. Ven 5 Oct - 19:31
Re-bienvenue parmi nous
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Sujet: Re: MARIE-JEANNE DE LAROCHE ▬ it's too cold outside for angels to fly. Ven 5 Oct - 19:39
jeanne fais ta fiche
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Sujet: Re: MARIE-JEANNE DE LAROCHE ▬ it's too cold outside for angels to fly. Ven 5 Oct - 20:57
Bienvenue et bonne chance pour ta fiche
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Sujet: Re: MARIE-JEANNE DE LAROCHE ▬ it's too cold outside for angels to fly. Ven 5 Oct - 21:11
Bienvenue et bon courage pour ta fiche !
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Sujet: Re: MARIE-JEANNE DE LAROCHE ▬ it's too cold outside for angels to fly. Ven 5 Oct - 22:30
bienvenuue parmis nous
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Sujet: Re: MARIE-JEANNE DE LAROCHE ▬ it's too cold outside for angels to fly. Sam 6 Oct - 2:18
t'auras passé la soirée à faire ta signature là mais ça va elle est pas mal
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Sujet: Re: MARIE-JEANNE DE LAROCHE ▬ it's too cold outside for angels to fly. Sam 6 Oct - 2:21
Merci tout le monde ! ♥
Avoue, elle est quand même grave bien hein Puis y a aussi un bout de mon histoire qui est posté !
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Sujet: Re: MARIE-JEANNE DE LAROCHE ▬ it's too cold outside for angels to fly. Sam 6 Oct - 2:23
BIENVENUE MJ
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Sujet: Re: MARIE-JEANNE DE LAROCHE ▬ it's too cold outside for angels to fly. Sam 6 Oct - 9:31
Merci.
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Sujet: Re: MARIE-JEANNE DE LAROCHE ▬ it's too cold outside for angels to fly.
MARIE-JEANNE DE LAROCHE ▬ it's too cold outside for angels to fly.