Sujet: alexei q. stephenson ⊱ call her, she knows what to do Ven 2 Nov - 14:46
FEAT. DIANNA AGRON
Alexei-Quinn STEPHENSON
22 ans → Né(e) à Casper dans le Wyoming (États-Unis) le 10/10/1990 → Membre du célèbre New York City Ballet (depuis janvier 2012) et étudiante régulière dans les Master Class de Broadway. célibataire → homosexuelle → membre des Artists.
And who am i ?
★Quelles sont tes caractéristiques? → Alexei possède une étoile derrière l'oreille qu'elle a fait tatouer à l'âge de dix huit ans et qui ne signifie rien si ce n'est le fait qu'elle a beaucoup trop bu ce soir là. → Elle porte toujours (en dehors de son travail) un fin bracelet brésilien aux couleurs de la gay pride autour du poignet. → Elle a découvert son allergie aux rongeurs lorsqu'elle a acheté son lapin et n'arrive pas à s'en débarrasser car trop attachée à lui. Également allergique aux méduses, Alexei a peur des fonds marins et ne sait pas nager (secret), elle trouve toujours une excuse pour ne pas rentrer là ou elle n'a pas pieds. → La jeune femme rêve de danser dans le milieu de la cinématographie et a passé le casting pour être la doublure de Natalie Portman dans Black Swan, ce fut un échec et elle fut éliminée dès le premier tour.
★Quel est le caractère de ton personnage? Douce ☇ alexei est quelqu'un de très délicat, elle s'énerve rarement et n'a pratiquement aucun geste brusque. Loin d'être impulsive, elle réfléchit avant d'agir et est plutôt terre à terre. Bienveillante ☇ la jeune femme n'a jamais profité des gens. Elle tend la main à son prochain, que ce soit héberger un ami alors qu'elle n'a pas les moyens de le faire ou laisser passer une femme enceinte devant elle à la caisse. Elle déchante néanmoins depuis son installation à New York, tombant de haut devant la mentalité de certaines danseuses de sa compagnie. Décalée ☇ alexei vit dans son monde. Elle commence ses repas par le dessert, commande systématiquement du pop-corn salé au cinéma alors qu'elle ne les aime pas. Il lui arrive de porter des sandales en hiver ou des bottes en été. C'est une jeune femme excentrique qui ne cherche pas à attirer l'attention mais à vivre, tout simplement. Rayon de soleil ☇ elle ne se plaint jamais et vit les choses avec beaucoup de recul et d'humour. Elle ne se laisse jamais abattre et est un véritable exemple de force et de courage. Ce petit bout de femme est solide et n'a besoin de personne pour exister.
Rancunière ♢ elle n'oublie jamais rien et ne sera pas du genre à vous dire en face ce que vous lui avez fait, se contentant d'agacer la personne, de se montrer froide ou de lancer des piques. Agaçante ♢ la jeune femme porte une attention particulière aux détails. Elle observe et tire ses propres conclusions (elle se trompe très souvent d'ailleurs). Elle (sur)interprète les choses et se fait beaucoup de films. Fière ♢ elle n'osera jamais demander de l'aide, préférant se débrouiller seule même si la partie est perdue d'avance.
my little secret
★Ton prénom ou ton pseudo & ton age → j'ai pas d'nom et toutes mes dents (enfin pour le moment), ah et j'ai aussi dix neuf ans chéri. ★Comment es-tu arrivé(e) ici ? → en tapant le nom du forum dans ma barre de recherche ★Ce personnage est-il un double compte ? → non ★Présence sur le forum → deux réponses par semaine et je peux monter si j'ai le temps à une par jour. ★Personnage inventé ou scénario ? → scénario de la belle Julia K. S. Williams. ★Crédit images → Répondre ici.
Mon exemple de RolePlay:
→
ALEXEI/JULIA MAKES ALEXIA
Comme tous les mercredi depuis un an, je me rendis au Comic Book-Store avec la ferme intention d'acheter de nouveau la parution de la semaine, impatiente à l'idée de découvrir ce que mon père avait pu dessiner, surtout parce qu'il m'avait annoncé au téléphone qu'il s'était inspiré de moi pour le numéro de la semaine. Après mon rituel habituel – qui consistait à boire un long et crémeux smootie à la banane en chemin et acheter un petit pain au raisin à la boulangerie du quartier –, j'entrais dans la boutique, le sourire aux lèvres. J'y venais régulièrement dans le but de croiser Julia, une jolie blonde avec qui je passais du bon temps et qui rendait ma vie un peu plus ensoleillée chaque jour, elle avait changé ma vie. Elle avait su raviver chez moi de vieux sentiments et en créer de nouveau avec une facilité déconcertante. Je pensais très souvent à elle et rêvais plus d'une fois que nous nous rapprochâmes d'avantage, si cela était possible, évidemment. Et puis, je la vis, penchée au comptoir, dans son monde, plus belle que le jour, plus rayonnante que le soleil lui-même. Derechef, je sentis mon cœur faire un bond, c'était ma Julia, mon petit bout de femme, du moins, c'était comme ça que je la voyais et je me faisais souvent la réflexion qu'elle ne devait pas être aussi attachée que je l'étais, ce qui me faisait me sentir plus que ridicule parfois et je tentais de faire des rencontres à côtés, comme si, en prévoyance, en imaginant recevoir un coup de fil un jour qui me dise qu'elle s'était finalement mise avec quelqu'un, qu'elle mettait un terme à notre liaison, à notre relation des plus bordélique. J'esquissais néanmoins un sourire, m'avançant vers le comptoir.
« Bonjour toi. » Laissais-je entendre dans mon tendre demi-sourire qui en faisait craquer plus d'une, le regard émerveillé en direction de la jolie blonde. « Tu es jolie comme ça. » Relevais-je, le plus innocent du monde, la tête penchée et le regard distrait, un sourire toutefois toujours présent au coin de mes lèvres. Ma longue chevelure blonde retombait en cascade sur mes épaules, retenue sur le front par une barrette rose qui me donnait l'air d'une poupée ou pire, d'une barbie. Et ce n'était pas la jolie robe blanche qui allait contredire cette idée. Seules les bottes en cuir marron donnaient à la tenue un peu plus de maturité, ainsi que la veste en cuir bleue qui reposait délicatement sur mes épaules. J'attrapais une mèche de ses cheveux que je caressais avant de la lui laisser et de reporter celle-ci à mon sac énorme au tissu orangé. Fouillant dans cet énorme bordel, je finis par trouver ce que je cherchais, à savoir mon porte-monnaie dans lequel je tirais un billet, plus ou moins déterminée à ne repartir qu'avec une bande dessinée. « Tu finis à quelle heure ? » Finis-je par demander, la question m'ayant brûlée les lèvres à mesure qu'elle se formait dans ma tête. Retiens-toi. M'ordonnais-je, me faisant une nouvelle fois de plus l'impression d'être vraiment la seule impliquée dans cette histoire, essayant de paraître un peu plus détachée, reportant mon regard sur divers points, le rayonnage, l'arrière boutique... pour revenir encore plus précisément à mon point de départ, raté. Je laissais tomber et attendis une réponse de mon interlocutrice que j’espérais disponible pour discuter un peu.
Comptant appeler mon père dans la soirée pour lui dire mes impressions sur son numéro de la semaine, je l'imaginais déjà me demander des nouvelles de la jeune femme dont je le bassinais à chacune de nos conversations depuis quelques mois déjà. Il rêvait d'une présentation officielle, de mettre un visage sur celle qui faisait battre mon cœur, me reprochant – selon lui – de la lui cacher pour des raisons totalement folles (conclusions bien dignes d'un Stephenson, je devais bien l'avouer), troisième œil, pieds palmés...
Le code règlement:
→ okey by dy'
Dernière édition par Alexei Q. Stephenson le Sam 3 Nov - 5:54, édité 12 fois
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Sujet: Re: alexei q. stephenson ⊱ call her, she knows what to do Ven 2 Nov - 14:47
Well... It's my story...
☇ when i was sixteen
J'ai déménagé en tout et pour tout, sept fois dans ma vie. Parfois, j'appelais ça chez moi et parfois, chez eux. J'ai eu beaucoup d'amis, seulement, voilà le problème, j'ai eu. Nous ne sommes pas restés en contact, j'ai oublié de répondre, ils ont cessé d'écrire. Au fond, ça m'importait peu. Tant que je restais auprès de mon père, de mon magicien comme je l'appelais, tout irait pour le mieux. A l'âge de seize ans, il m'arrivait encore de dormir dans le lit de mon père, lorsque je faisais de mauvais rêves, surtout lorsque je dormais d'un sommeil agité. A l'école, sans trop savoir comment, cela fini par se savoir. Je fus convoquée dans le bureau de la psychologue de l'établissement et du subir une psychothérapie, j'ai fini par savoir pourquoi avec le temps mais, je n'ai jamais compris pour autant. Apparemment, ça dérangeait. Assez pour me coller, deux fois par semaine une heure de thérapie au sein de mon lycée, heure pendant laquelle je devais danser. Préoccupé par le fait que je délaissais mes chaussons de danse devant la minuscule barre qu'il avait fini par installer dans ma chambre, mon père décida de s'en mêler. Les évènements s'enchaînèrent rapidement; nous passâmes au tribunal et mon père perdit ma garde. Je fus placé dans une famille d'accueil qui ne comprenait rien à l'art, à la beauté d'un jet de peinture, à la courbe du corps, à la poésie de la musique, à la finesse d'une vocalise. Je fus malheureuse, réellement pour la première fois de ma vie et ne fus pas la seule comme en témoigne les œuvres de mon père à cette période. Il n'a jamais cessé de peindre, de dessiner, chose pour laquelle je l'admire. Il n'a jamais cessé de croire en son art, de peindre ses rêves d'un coup de crayon, de pleurer la vie dans une esquisse de tableau, il n'a jamais baissé les bras, même lorsqu'on riait de son travail, même lorsque des gamins se moquaient de lui. Jamais. Ce fut dans cette période que je rencontrais mon premier amour, une jeune fille du nom d'Erikhat qui tout comme moi vivait ses émotions à travers la danse. Nous vécûmes des moments merveilleux et je pensais que mon monde commençait finalement à se mettre en place. Et puis, je fus de nouveau ballottée dans un autre foyer avec interdiction de revoir la jeune fille qui avait su me faire découvrir la beauté d'un sentiment amoureux, l'étreinte sereine que procure l'être aimé. Je ne l'ai jamais oubliée mais je n'ai plus jamais eu de nouvelle d'elle. J'ai longtemps eu le sentiment d'être une paria, de ne pas appartenir à ce monde que je jugeais fou, érigé par des conventions sociales toutes plus stupides les unes que les autres. Longtemps rejetée pour mon homosexualité, il m'arrivait de penser que cela était mal, que j'étais un monstre, que j'étais anormale. Ceci changea lorsque je récupérais mon père, lorsque le tribunal revint sur son propre jugement. Mon père apprit mon homosexualité dans la foulée et ne me demanda qu'une seule chose « es-tu toujours la fille que j'ai élevée ? », ce à quoi je répondis par un hochement de tête. « Alors sois heureuse. » M'avait-il répondu avant de reprendre son crayon en main, détachant sa main noircie par ses feuilles usées de mon épaule, ajoutant à travers ses lunettes en demi-lunes : « je pense que tu peux désormais décrocher ton poster de johnny deep. » J'avais levé les yeux au ciel et ris avant de déposer un baiser sur son front et de rejoindre ma chambre ou je n'avais non pas décroché le poster de mon acteur favori mais contemplé la fenêtre et commencé à me dire que tout irait désormais pour le mieux.
☇ life goes on, no matter what
Juillet 2009, New York. Il faisait nuit lorsqu'on me réveilla au téléphone. Blottie dans ma couette, la sonnerie du téléphone manqua de me faire tomber du lit lorsqu'elle résonna dans toute la pièce en crescendo. « Allô mon ange ? Je t'avais promis de te passer un coup de fil dès que j'arrivais à New York. Je ne te réveille pas j'espère ? » « Hum, quoi ? Heu non, bien sûr que non... » « Oui c'est ça... » M'avait-il dit dans un rire à vous faire trembler le combiné. « Dis, est-ce que tu as mangé ? Parce que je pensais faire une halte et te ramener quelque chose à man-... » Je me souviens avoir porté la main à ma bouche, avoir tremblé si fort que j'en avais lâché l'appareil et m'être effondrée en larmes en imaginant le pire, en imaginant d'or et déjà mon père dans un cercueil en bois premier prix au fond d'un trou dans la fosse commune, faute de pouvoir se payer une concession de pierre tombale. J'attendis ce qui me semblait être une éternité et sauté sur le combiné lorsque l'on me rappelait pour me demander de retrouver mon paternel à l'hôpital. J'ai sauté dans un taxi et j'ai jeté pour la première fois de ma vie un billet au chauffeur sans regarder le montant et couru comme une folle jusqu'à l'accueil pour que me l'on me dirige vers le service des urgences ou j'appris que mon père attendait une transfusion de sang. Ni une ni deux, je suis entrée dans la pièce et j'ai proposé mon sang, tendant mon bras comme si ma vie en dépendant, hurlant que l'on pouvait me prélever tout ce que l'on voudrait. On m'a demandé mon groupe sanguin et j'ai vu mon père hocher la tête, murmurant quelque chose à l'oreille de l'urgentiste, pâle comme la mort, faible comme s'il était entrain de vivre ses derniers instants. « Papa, prends mon sang je te dis ! » Insistais-je en me précipitant vers lui. « C'est quoi ton problème ?! » Avais-je ajouté, un éclat de rage au coin des yeux. « Ma princesse... nous sommes... incompatibles. » « De quoi, par rapport au groupe sanguin ? C'est ce que tu essaies de me dire ?! » « Si je meurs... je veux que tu saches... je veux que tu saches que je ne suis pas ton père. » Je n'ai pas compris sur le moment, je me souviens juste l'avoir regardé sans rien dire et m'être assise dans le fauteuil que l'un des médecins avançait dans ma direction, avoir fermé les yeux et m'être endormie quelques minutes plus tard.
Après une opération consistant à lui remettre le fémur en place et trois mois d'hospitalisation qui nous ont mis une fois de plus sur la paille, j'appris enfin ce que mon père avait voulu dire, le jour ou il s'était cru mourir. Il s'agissait bel et bien de mon père, mon père stérile qui, fou de ma mère avait voulu vivre les joies de la paternité aux côtés de l'amour de sa vie. Ils avaient, tout simplement fait appel à une banque de sperme qui avait permit à Elizabeth, ma mère de tomber enceinte. A sa plus grande surprise et son plus grand soulagement (et un bon coup de poing sur son épaule), je lui avais assuré que cela ne changeait rien quant aux sentiments que j'éprouvais pour lui, et qu'il serait toujours mon père puisqu'il m'avait élevée comme telle. Je lui avais ôté le plus grand fardeau de sa vie mais ça, ça n'avait rien changé à la mienne.
Dernière édition par Alexei Q. Stephenson le Jeu 22 Nov - 14:27, édité 7 fois
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Sujet: Re: alexei q. stephenson ⊱ call her, she knows what to do Ven 2 Nov - 14:48
Bienvenue parmi nous Très bon choix de scénario
N'hésite pas si tu as besoin
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Sujet: Re: alexei q. stephenson ⊱ call her, she knows what to do Ven 2 Nov - 14:51
Bienvenue à toi ! Excellent choix de scénario et bon courage pour ta fiche !
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Sujet: Re: alexei q. stephenson ⊱ call her, she knows what to do Ven 2 Nov - 14:54
AGRON !! Bienvenue et bon courage pour ta fiche !!
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Sujet: Re: alexei q. stephenson ⊱ call her, she knows what to do Ven 2 Nov - 14:56
Excellent choix de scénario! Bienvenue et bonne fiche! <3
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Sujet: Re: alexei q. stephenson ⊱ call her, she knows what to do Ven 2 Nov - 15:36
bienvenue parmi nous ♥
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Sujet: Re: alexei q. stephenson ⊱ call her, she knows what to do Ven 2 Nov - 15:44
Welcome, belle Agron
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Sujet: Re: alexei q. stephenson ⊱ call her, she knows what to do Ven 2 Nov - 16:15
excellent choix de scénario bienvenuue parmi nous + bon courage pour ta fiche
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Sujet: Re: alexei q. stephenson ⊱ call her, she knows what to do Ven 2 Nov - 17:14
haan. agron + signature toute mignonne + pseudo = bienvenue et je viendrai réclamer un lien forcément.
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Sujet: Re: alexei q. stephenson ⊱ call her, she knows what to do Ven 2 Nov - 17:16
Merci encoooooooore. Si tu as des questions ou quoi que ce soit à propos du scéna n'hésite surtout pas. En plus, Dianna. + j'aime beaucoup le pseudo. Bref, bienvenue parmi nouuuus. & bon courage pour ta fiche.
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Sujet: Re: alexei q. stephenson ⊱ call her, she knows what to do Ven 2 Nov - 17:43
Quel accueil J'ai pas l'habitude :brigitte:
Koba-Robbyn Oxden-Meyer a écrit:
haan. agron + signature toute mignonne + pseudo = bienvenue et je viendrai réclamer un lien forcément.
C'est toi qui est mignonne
Pas de soucis, je commence ma fiche ce soir (et je la terminerais sûrement dans la foulée)
PS Julia, je t'aime.
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Sujet: Re: alexei q. stephenson ⊱ call her, she knows what to do Ven 2 Nov - 18:30
Bienvenue
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Sujet: Re: alexei q. stephenson ⊱ call her, she knows what to do Ven 2 Nov - 18:45
Bienvenuuuuuuuue. \o/ Hanw, bon choiw de scénario. :3 (Même si personnellement, je préfère Karen Gillian, mwahahahahaha. 8DDDDD)
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Sujet: Re: alexei q. stephenson ⊱ call her, she knows what to do Ven 2 Nov - 20:07
bienvenue à toi & bon courage pour ta fiche
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Sujet: Re: alexei q. stephenson ⊱ call her, she knows what to do Ven 2 Nov - 21:51
Merci à vous tous Je m'attaque à l'histoire, j'espère que le reste te conviens
Mackenzie J. Howard
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i love the ring of your name you're the yin to my yang
▌INSCRIT LE : 01/07/2010
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Sujet: Re: alexei q. stephenson ⊱ call her, she knows what to do Ven 2 Nov - 22:12
Bienvenue chez nous!
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Sujet: Re: alexei q. stephenson ⊱ call her, she knows what to do Ven 2 Nov - 22:22
Alexei Q. Stephenson a écrit:
Je m'attaque à l'histoire, j'espère que le reste te conviens
C'est parfait, j'ai rien à redire. Bon courage pour la rédaction, encore une fois si tu as des questions ou besoin de précisions n'hésite pas. J'ai hâte de lire.
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Sujet: Re: alexei q. stephenson ⊱ call her, she knows what to do Ven 2 Nov - 22:24
Bienvenue parmi nous Tu es bien mieux de prendre soin de ma jumelle! Je dis ça comme ça
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Sujet: Re: alexei q. stephenson ⊱ call her, she knows what to do Ven 2 Nov - 23:20
Agron :brigitte: Bienvenue
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Sujet: Re: alexei q. stephenson ⊱ call her, she knows what to do Sam 3 Nov - 1:12
Merci Lyvia, oh oui j'y ferais gaffe, comme à la prunelle de mes yeux
L'histoire est terminée, je n'attends plus que ton avis
Je vais écrire le RP d'exemple qui servira de RP pour nous deux
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Sujet: Re: alexei q. stephenson ⊱ call her, she knows what to do Sam 3 Nov - 1:26
Tu as arrangé l'histoire à ta manière mais j'aime beaucoup les modifs que tu y as apporté, donc je trouve ça très, très bien.
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Sujet: Re: alexei q. stephenson ⊱ call her, she knows what to do Sam 3 Nov - 1:30
Je suis contente que ça te plaises, au cas ou j'avais écris une autre version mais bon je préfère celle-là alors tant mieux
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Sujet: Re: alexei q. stephenson ⊱ call her, she knows what to do Sam 3 Nov - 1:48
Bienvenue!
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Sujet: Re: alexei q. stephenson ⊱ call her, she knows what to do Sam 3 Nov - 2:00
Bienvenue & bonne chance pour ta fiche
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Sujet: Re: alexei q. stephenson ⊱ call her, she knows what to do
alexei q. stephenson ⊱ call her, she knows what to do