24 ans → Née à San Francisco le 27/01/1988 → Aucun. On vit bien avec l'héritage de parents milliardaires... Mais je vends parfois mes services en tant que chanteuse ou pianiste. célibataire → hétérosexuelle → membre des artists.
And who am i ?
★Quelles sont tes caractéristiques? → Certes, Keira est très belle, mais ça reste un peu vague, non ? Ne préféreriez-vous pas une description avec tous les détails ? Bien, c'est ce que je pensais. Dotée d'un charme naturel du à une expression de son visage qu'elle sait adopter, la rendant faussement innocente et persuasive. Bon, d'accord, ça marchait surtout quand elle était enfant et voulait convaincre ses parents, mais on peut toujours rêver, non ? Passons à son corps. Grâce à des exercices quotidiens de gymnastique, elle est souple et gracieuse. Ses courbes féminines très belles mettent en valeur sa beauté ; une poitrine petite et ferme, des épaules et des hanches assez menues, des longs doigts fins et un cou gracile. Son visage ? Entouré de longs cheveux châtain ondulés lui arrivant jusqu'aux omoplates, c'est son principal atout. Un menton assez pointu, des lèvres douces et roses, un nez fin et droit, des pommettes saillantes. Elle a aussi des yeux de biche, aux pupilles vert-gris, surmontés de cils longs et garnis. Ses sourcils possèdent une courbe non sans charme, et sont longs et fins. Quant à ses vêtements, elle se plaît à dire qu'elle s'habille à la "mode simple". Ce qui est vrai. De beaux habits aux formes et couleurs variées. Mais Keira possède une attirance sûre pour les robes de soirée longues, chic et élégantes dans laquelle danser un slow ne lui déplairait pas... La dernière chose qu'il vous faut savoir sur son physique est qu'elle a une cicatrice le long de son poignet, longue, blanche. La cause de cette blessure n'est pas difficile à deviner.
★Quel est le caractère de ton personnage? → Ses connaissances vous diraient : « Keira ? C'est ce que j'appelle une fille qui sait s'éclater ! », « Keira est une fille vraiment sympa, ça vaut le coup avec elle. » et d'autres choses du genre. Bien sûr, ils sont très proches de la vérité, qui est pourtant bel et bien différente. La souffrance, la colère, les sarcasmes et la haine cachés sous une carapace de gentillesse, de joie de vivre et d'un talent irréprochable pour faire la fête. Mensonges et faux semblants sont ses amis quotidiens. Qui ne souffrirait pas d'avoir peur de ne déplaire aux gens ? C'est ce que Keira endure, en plus de son passé. Bien sûr, en chaque personne une lueur d'espoir vit. Elle se dit souvent qu'elle aimerait trouver l'homme de sa vie, à qui elle pourrait être vraie. Mais il subsisterait la peur de rater quelque chose, de tout gâcher : alors elle réfléchit toujours avant chacune de ses actions, ne s'arrête jamais d'ailleurs. La seule chose qui la ferait sortir de ses gonds est la colère. En ces moments, il vaut mieux se boucher les oreilles et attendre que ça passe. C'est une des caractéristiques principales de Keira : l'instabilité. Oh, bien sûr, elle est intelligente et perspicace, sinon elle ne pourrait jouer la comédie. Mais il y a aussi la peur de paraître égoïste et égocentrique. Bien des moments, Keira se pense ainsi. La vérité est que la jeune femme n'a plus personne, depuis des années, possédant une épaule sur laquelle pleurer et tout déballer, confier des secrets qui seraient bien gardés. Oui, c'est une façade, non, ce n'est pas toujours très simple. Ainsi, Keira est sensible et a bon fond, mais ne se laisse jamais marcher sur les pieds. Et est une romantique dans l'âme. Elle a aussi tendance à partir on ne sait où, sur la planète Imagination peut-être, où il est difficile de l'en faire ressortir. De cet univers ressortent fantasmes et rêves fous. Mais ce n'est pas tout. Il vous faut savoir que Keira est plus têtue qu'un troupeau de mules ; lorsqu'elle a une idée en tête, elle ne la lâche pas, sauf si elle change d'avis, et ce d'elle-même. La jeune femme est aussi d'une curiosité insatiable : elle a toujours soif de connaissance, essaie toujours de pousser ses limites plus loin. Keira est donc dotée d'une personnalité à plusieurs facettes, toutes différentes l'une de l'autre.
Mon enfance fut celle dont tout le monde rêve : des parents riches qui s'aiment et aiment leur enfant, du bonheur chaque jour, de très bon résultats scolaires, un talent inné pour le chant et le piano... bref, vous l'avez compris, j'étais comme dans un rêve. Mais tôt ou tard, il faut se réveiller. Tout commença à mes seize ans, quand mon petit-ami, Ethan, qui j'aimais réciproquement à la folie, rompit avec moi. Comment l'ai-je surmonté ? Je ne le sais pas. Nous étions pourtant allés loin. Très loin... Vous suivez ? Ce fut donc un enfer durant une année entière, durant laquelle je passai mon temps à éviter Ethan dans les couloirs du lycée, à me placer le plus loin possible de lui en classe. Et je le regardais toujours, dès qu'il avait le dos tourné. Je ne voyais alors aucune trace de remords ni de tristesse. Mon entourage s'inquiétait, car j'avais toujours un air misérable. Je commençai donc à jouer la comédie. Lorsqu'on me demandait si tout allait bien, je répondais avec un sourire trompeur : « Oui, tout va bien, ne t'inquiète pas. ». Mais la nuit, je frissonnai de dégoût envers moi-même, parce que mentir était devenu une habitude. Et alors que je commençais tout juste à reprendre goût à la vie, il revint vers moi. Je m'en souviens encore comme si c'était hier.
─ Keira, il faut qu'on parle. Lorsque je lui répondis, je mis tout mon mépris dans ma voix. ─ Pourtant, Ethan, on n'a plus rien à se dire. Alors que je tournais les talons, il attrapa fermement mon poignet, déclenchant un frisson dans tout mon corps. Dieu, que j'avais aimé ce simple contact par le passé ! J'avais chéri chacun de ces moments, souri la nuit à ces doux souvenirs. Seulement, aujourd'hui, alors qu'il m'avait brisé le coeur sans raison aucune, je ne ressentais que la peur d'être à nouveau vulnérable, et pire, de me mettre à pleurer devant lui. ─ Ne me mens pas, dit-il tout près de moi, pas à moi. Je te connais. Je sais que ça ne va pas. ─ Tu devrais être dégoûté par moi alors, répondis-je les larmes aux yeux, toujours retournée. Ethan me força à me retourner et je vis alors son expression. Les yeux remplis de tristesse et de remords, ce que j'avais cherché en vain durant une année entière. Alors, pensai-je, il savait mentir aussi bien que moi. ─ Pas du tout... (Je sentis l'hésitation dans sa voix. Il regarda autour de nous. Personne) Je... je t'aime toujours. Le choc me fit perdre le contrôle de moi-même, et les larmes roulèrent sur mes joues sans que je puisse y faire quoi que ce soit. J'aurais tellement voulu qu'il mente, que ce ne soit qu'une ruse... Pourtant, quelque chose au fond de moi me disait que c'était la vérité. ─ Ethan, dis-je, c'est fini entre nous, tu le sais. Je ne peux plus te faire confiance. Alors que je m’apprêtais à m'en aller, il me prit par les épaules et m'accola au mur, apparemment décidé à ne pas me lâcher. ─ Je ne crois pas que ce soit fini entre nous, murmura-t-il, dangereusement proche de moi. Dis-moi... dis-moi comment me faire pardonner. Oh ! Que j'avais rêvé d'entendre tout cela ! Comme j'avais attendu en vain qu'il revienne vers moi en me suppliant de le pardonner, et comme j'avais rêvé de lui pardonner la souffrance qu'il m'avait causée. Dieu, que je l'avais aimé ! Je je regardai droit dans les yeux cette fois-ci, ne pouvant m'empêcher de dévorer ces magnifiques pupilles bleu azur. ─ Tu ne peux pas, répondis-je. Il me lâcha alors, le choc peint sur son beau visage. Je m'en allai sans rien dire de plus, et pour la première fois depuis longtemps, j'avais le coeur serein.
Ainsi, je poursuivis mes études enfin soulagée de mon fardeau. Je chantais à nouveau, je dansais, je m'amusais comme jamais auparavant, je jouais aussi beaucoup de piano. Nous avions déménagé à New York, mes parents et moi. C'était le lieu de leur rencontre, un véritable coup de foudre, dirent-ils. Peut-être souhaitaient-ils retourner aux sources ? C'est donc à vingt ans que je les rejoignis dans le grosse pomme, ayant insisté pour payer de moi-même le loyer de mon petit appartement très coquet. Mais mon histoire ne s'arrête pas là. Qui aurait pu croire qu'en ce 17 décembre 2009, par une soirée glaciale, deux milliardaires sortant de l'opéra se feraient tuer parce qu'ils avaient juste refusé de donner leurs bijoux et leur porte-feuille à un voleur à l'arme à feu pointée sur leur coeur ? Je n'ose vous raconter ce qui m'arriva ensuite. Ma grand-mère vint à New York pour pleurer sa fille et son beau-frère à mes côtés. Seulement, je ne cessais de pleurer, à chaque jour et chaque heure. Je me sentais pourtant si vide... un vide profond, un gouffre insurmontable qui ne cessait de résonner de la voix de mes parents, des mots que nous avions échangés tout trois. Je ne sortais plus de chez moi, refusais toute invitation. Étais-je pitoyable ? Certainement. Mais je m'en fichais. Je me fichais de tout, à vrai dire. Peut-être exagérai-je ? Peut-être aurais-je dû cesser de me lamenter sur mon sort et tenter d'aller de l'avant ? Mais ils avaient été toute ma vie. Et, alors que je me sentais plus proche du fond du gouffre que jamais, je pris un couteau dans le tiroir de la cuisine. Savais-je ce que je faisais ? Peut-être pas. Le vide qui comblait mon esprit semblait me murmurer de le faire. De faire le geste qui mettrait fin à mes souffrances. Je levai le bras et ma veine me parut encore plus saillante qu'avant. Était-ce un signe ? Ou simplement moi qui délirais complètement ? Comprendrais-je un jour seulement pourquoi j'avais voulu affronter la mort ? Heureusement pour moi, ma grand-mère était là. Grâce à elle, je n'eus pas droit à une tombe mais à une cicatrice longue et blanche le long de mon poignet. Et à un réveil douloureux dans une chambre d'hôpital. Ce soir-là, alors que je regardais ma grand-mère endormie, me tenant la main, je compris que j'avais encore quelqu'un à qui me raccrocher, quelqu'un à qui confier mes hauts et mes bas, quelqu'un à aimer. Elle était là, pour moi, et j'avais été égoïste de vouloir l'abandonner. Un an plus tard, alors que j'allais chaque 17 du mois sur la tombe de mes parents afin d' déposer des fleurs, quelques larmes et des confidences, ma grand-mère m'annonça qu'elle devait retourner à Boston, où était son mari. Il était très mal en point et je lui dis au revoir sans regret. Après tout, je m'étais enfin relevée. J'étais de nouveau prête à aller de l'avant.
my little secret
★Ton prénom ou ton pseudo → Mon pseudo le plus courant est Ausra. ★Comment es-tu arrivé(e) ici ? → En cherchant, cherchant et cherchant encore. ★Ce personnage est-il un double compte ? → Négatif. ★Présence sur le forum → Fréquente. ★Personnage inventé ou scénario ? → Inventé, voyons ! ★Crédit images → Euh... ça compte, Google Images ? x)
Mon exemple de RolePlay :
→ C'était le bal de fin d'année, cette année où j'avais enfin pu me libérer de ma douleur après ma séparation avec Ethan. J'étais venue avec quelques amies et c'était la première soirée durant laquelle je pouvais enfin m'amuser sans regret. Nous dansions tous comme des fous au son de la musique, nous buvions aussi, bref, nous nous amusions durant ce dernier bal de lycée. ─ Je ne savais pas qu'on pouvait autant s'amuser à une soirée organisée par le lycée, me cria Lila, une de mes amies, afin de ne pas se voir voler ses mots par la musique à fond. ─ Et tu t'es encore trompée, répondis-je en riant. La soirée se déroulait sans encombre, j'acceptais les invitations à danser des garçons, mais jamais les slows, je criais, je hurlais, je bougeais avec tout le monde, pleine de joie. Vers la fin du bal, j'entendis quelqu'un dire qu'une dernière chanson pouvait être chantée par un élève de Terminale. Je souris et m'avançai vers la scène. Mes amies hurlèrent, totalement déchaînées : ─ Keira ! Keira ! Keira ! Ce qui me fit bien entendu rougir. Mais je continuai tout de même d'avancer et lorsque je me retrouvai sur la scène, je me dirigeai en direction du micro. ─ Bon, dis-je, la timidité colorant mes joues de pourpre, je crois qu'un dernier slow s'impose. La foule hurla un « Oui » sonore et je soufflai un nom de chanson à l'orchestre. Les couples se formèrent, le silence se fit. Puis, la musique commença, doucement, envoûtante. Cela faisait des mois que je n'avais pas chanté en public. Je me doutais donc qu'il me faudrait quelque temps avant de me mettre à l'aise. Mais ça en valait le coup. Le rythme changea. Et je me mis à chanter.
Le code du règlement :
→ Let's go Knicks
Dernière édition par Keira Clarke le Dim 4 Nov - 16:35, édité 5 fois
Mackenzie J. Howard
Empire State of Mind
i love the ring of your name you're the yin to my yang
▌INSCRIT LE : 01/07/2010
▌MESSAGES : 20301
▌AGE DU PERSO : 23
▌ADRESSE : 6812 Beverley Road #104, Brooklyn. avec l'amour de sa vie.
Bienvenue sur le foruuum \o Bon choix d'avatar ! Au plaisir d'avoir un lien avec toi ! (a)
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: Keira Clarke Dim 4 Nov - 1:06
Au plaisir aussi et merci pour ton accueil
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: Keira Clarke Dim 4 Nov - 1:13
Bienvenue parmi nous N'hésite pas si tu as besoin
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: Keira Clarke Dim 4 Nov - 1:57
Welcome,
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: Keira Clarke Dim 4 Nov - 1:59
Bienvenue parmi nous ♥
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: Keira Clarke Dim 4 Nov - 2:00
OMG WILDE !!
Bienvenue !!!
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: Keira Clarke Dim 4 Nov - 2:11
Bienvenue parmi nous
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: Keira Clarke Dim 4 Nov - 2:24
excellent choix de prénom voilà, voilà. bienvenue à toi & bon courage pour ta fiche
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: Keira Clarke Dim 4 Nov - 2:26
Bienvenue parmi nous
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: Keira Clarke Dim 4 Nov - 2:30
Bienvenue officiellement
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: Keira Clarke Dim 4 Nov - 4:11
Bienvenue sur NYCL
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: Keira Clarke Dim 4 Nov - 7:05
bienvenuue parmi nous wilde, excellent choix :brigitte:
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: Keira Clarke Dim 4 Nov - 11:54
OLIVIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIA. Excellent choix d'avatar. Bienvenue parmi nous
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: Keira Clarke Dim 4 Nov - 12:30
WILDEEEEEEEEEEEE
WELCOME HUNNIE
Bonne chance pour le reste de ta fiche
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: Keira Clarke Dim 4 Nov - 13:27
Olivia Wilde est magnifique. Bienvenuuuuuuuuuuuuue. \o/
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: Keira Clarke Dim 4 Nov - 14:20
Euh, ben, merci à tous, hein x) Je viens à peine de me réveiller (ben kwaa, on est en vacances, non ?) alors je trouve pas d'autre chose à dire... A part que je suis contente que l'avatar vous plaise, et je suis d'accord avec le fait qu'Olivia est magnifique
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: Keira Clarke Dim 4 Nov - 14:29
Oh j'avais pas vu ta tête... sur la TB on voit pas ces choses là.. mais jaime beaucoup =3
Bienvenue officiellement alors
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: Keira Clarke Dim 4 Nov - 14:48
Merci à toi James
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: Keira Clarke Dim 4 Nov - 15:43
bienvenue sur nycl
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: Keira Clarke Dim 4 Nov - 16:07
Bienvenue parmi nous jolie demoiselle
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: Keira Clarke Dim 4 Nov - 16:26
Oh, merci, Stephan Salvatore J'ai fini ma fiche !
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: Keira Clarke Dim 4 Nov - 19:05
Wilde la magnifique Bienvenue parmi nous :brigitte: