Christian ♪ La vie a un parfum savoureux, jusqu'à ce que l'on croque dans le mauvais fruit
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Sujet: Christian ♪ La vie a un parfum savoureux, jusqu'à ce que l'on croque dans le mauvais fruit Ven 2 Nov - 23:03
FEAT. CHRIS PINE
Christian Adam Elwin BROWN
27 ans → Né à Santa Fe le 25/03/1985 → Ambulancier Paramédical & en première année de médecine marié → pansexuel → membre des Workaholics.
And who am i ?
★Quelles sont tes caractéristiques? → Comme beaucoup d'étudiants américains, ou même partout dans le monde, Christian travaille pour financer ses études. Mais il est un professionnel dans son domaine, le paramédical. Secouriste en après-midi, soirée ou lors de la nuit, il reste un étudiant en médecine plutôt doué pour le moment et extrêmement travailleur. Il n'a pas choisi cette voie par hasard, bien au contraire, il en rêve depuis son plus jeune âge. Il veut se dévouer aux autres. Preuve en est, le jeune homme fera toujours passer son bien-être après celui des autres. A l'université, il emprunte des cours à de nombreuses personnes, qui, souvent, le prennent pour un fumiste, peu de gens étant au courant des efforts qu'il fournit, Christian restant évasif en ce qui le concerne face à ses camarades. Mais il ne fait pas attention au qu'on-dira-t-on. Et heureusement. Inscrit en première année, il ne sait absolument pas s'il pourra réussir, avec la fatigue et ses problèmes familiaux... mais à force d'entendre de la part de son épouse qu'il est un bon à rien, il risque de finir par le croire. Alors, bien qu'il ne le voit pas comme ça, cela reste un moyen formidable de se prouver à lui-même et aux autres qu'il peut déplacer des montagnes.
Christian fait plutôt attention aux apparences car il veut éviter tout ennui à sa femme. Voilà pourquoi il ne porte que des vêtements à manches longues lorsqu'elle l'a un peu trop brutalisé. Il sait comment cacher ce qu'il veut cacher. Niveau santé, le jeune homme est allergique à la poussière et possède quelques problèmes de vue, ce qui l'oblige parfois à mettre des lunettes pour lire ou écrire.
★Quel est le caractère de ton personnage? → Vous ne trouverez pas plus gentil que Christian. C'est un ange. Un peu naïf peut-être, mais personne ne lui en voudra, bien au contraire. Il sait toutefois comment éviter de se laisser mener à la baguette, bien qu'il tente d'abord de voir le bien avant le mal, quoi qu'il arrive. C'est d'ailleurs la raison pour laquelle il n'a jamais rendu les coups et la douleur qu'a pu lui prodiguer son épouse... D'ailleurs, il pourrait nourrir de la haine à son encontre, mais ce n'est pas le cas, loin s'en faut. Il serait capable de voler au secours de son pire ennemi si celui-ci était dans le besoin... En vérité, il est difficile, dans son cas, de parler d'ennemi car Christian apprécie et est apprécié de tous... C'est le petit gars timide que tout le monde remarque lorsqu'il arrive en retard en cours, car il s'excuse souvent. Peut-être s'excuse-t-il un peu trop. Encore un peu et il s'excuserait de vivre. Son pêché ? La gourmandise. Personne n'est parfait et il ne fait pas exception à la règle... Malgré les apparences. Il possède de nombreux défauts, dont la jalousie. Pas dans le sens qu'il envie les autres, non il ne se le permettrait pas, pensant que l'on obtient toujours ce que l'on sème, mais il s'attache rapidement et n'aime pas qu'on le délaisse un peu trop. Même s'il est totalement en mesure de comprendre que les autres ne sont pas toujours disponibles... De plus, il a une fâcheuse tendance à se rabaisser. Il joue trop les gamins.... En fait, il est un gamin dans un corps d'adulte. A croire que Felicity lui a volé ses dernières années d'adolescence. Mais attention, il reste quelqu'un de rigoureusement responsable, sans quoi il n'aurait jamais pu être secouriste ! L'on va encore souligner qu'il aime donner de son temps aux autres, même s'il en a très peu. De plus, il tente d'aller à la messe chaque dimanche... à l'église de son père, évidemment ! Christian est quelqu'un de très sociable, bien que timide. Evidemment, le contraire aurait été étonnant pour quelqu'un qui possède une famille si grande que la sienne. Il est un excellent grand-frère pour ses sœurs et frères, remplaçant parfois même le rôle de ses parents lorsqu'il le faut. Il apprécie grandement le contact avec les gens et aime l'humanité toute entière. Certainement est-ce utopique de sa part de croire à cet amour dont chaque être humain peut faire preuve pour les autres, mais il a été élevé dans ses valeurs. Bien sûr, du fait de son union avec une femme qui aurait pu être sa mère, il a failli rompre les liens avec son père et sa mère. Ils n'ont pas très bien accepté cette situation, ayant même songé à porter plainte envers Felicity pour détournement de mineur (en effet, Christian n'avait que dix-sept lorsqu'il commença à la fréquenter), mais le bonheur de leur fils a pris nettement le dessus. C'est même le pasteur Brown qui les a mariés... Mais si seulement notre jeune homme avait été moins naïf, il ne serait pas entré dans cette relation malsaine avec son épouse. En vérité, il est devenu qu'un objet à ses yeux... Son martyr, celui sur qui elle peut déchaîner tout son mal être. Elle l'aime, c'est certain, mais la jalousie et la possessivité ont dépassé le stade de l'amour. Alors, Christian a peu à peu perdu tous les sentiments qu'il pouvait ressentir à son encontre, comme un oiseau quittant un nid où il se sentait trop mal.
Well... It's my story...
Christian est loin d'être une personne comme l'on en croise tous les jours. En effet, il est l'aîné d'une famille de treize enfants ce qui, avouons-le, est plutôt exceptionnel. Le jeune homme a cinq sœurs et sept frères, le plus jeune ayant un peu plus de trois ans à présent. Cela n'a jamais été vraiment facile de vivre dans le brouhaha incessant que pouvait bien émettre une telle ribambelle d'enfants, d'autant qu'étant le plus âgé, Christian se devait de tenir certaines obligations et corvées. En vérité, bien que l'on puisse croire le contraire, il a été très vite arraché à l'enfance, devenant même parfois le parent de substitution de sa fratrie lorsque sa mère était malade et son père, pasteur, au travail. Mais, il a tout de même su ordonner sa vie de manière correcte, bien qu'il n'ait pas beaucoup de temps à lui. Dans l'enfance, c'était un gamin vraiment difficile, du fait de sa maladie, l'hyperactivité, mais les signes de celle-ci ont disparu durant sa pré-adolescence, pour le plus grand bien de ses proches, qui n'en pouvaient plus, d'autant qu'à l'époque, sa mère avait déjà six autres enfants. Il a toujours été un bon élève, ayant un excellent relationnel. D'après ses professeurs, malgré son hyperactivité et ses soucis de concentration, il restait un ange. Le premier à lever la main lorsqu'il s'agissait d'aider quelqu'un, le premier à se lever contre les injustices. Il fallait avouer que son père, pasteur, a toujours été un excellent exemple, lui administrant les meilleurs des valeurs. La famille a toujours vécu dans la même maison, à proximité de l'église, dans la cité de Santa Fe, où sont nés la plupart des gamins Brown, jusqu'à ce que le pasteur soit appelé à changer d'église. Ce fut à l'âge de dix-sept ans que le jeune Christian déménagea en même temps que l'ensemble de la tribu, direction New York ou plutôt une petite ville se situant à quelques kilomètres. Ce fut à cette période qu'il rencontra la femme qui allait partager sa vie, sa future épouse. Il s'agissait d'une avocate prénommée Felicity qui venait chaque dimanche à la paroisse où officiait son père... Elle était de vingt ans son aînée, mais il ne lui fallut pas longtemps pour tomber sous son charme. Elle était belle, elle était gentille et intelligente. Et surtout, elle savait ce qu'elle voulait... Et ce qu'elle voulait, c'était Christian. Alors, à coup de manipulation et de stratagèmes, il lui fut vraiment évident de prendre sous son aile et de voler le cœur de ce jeune homme si angélique et si naïf. Ils se marièrent un an plus tard, bien que la famille Brown soit assez réticente vis-à-vis de cette union. D'après eux, la différence d'âge n'était pas une bonne chose et Christian était trop jeune pour prendre en main une vie de famille, combien même il avait beaucoup d'expérience dans ce domaine. Mais il avait l'air si heureux qu'ils ne purent imposer leur véto bien longtemps. Si bien que notre jeune homme n'avait que dix-huit ans lorsque Felicity lui passa la bague au doigt.
La famille n'avait pas vraiment les moyens d'offrir des études à chacun de leurs enfants, et Christian, qui ne voulait pas vivre uniquement grâce à l'argent de son épouse, décida donc, pour se faire, de trouver un emploi, afin de pouvoir ultérieurement choisir sa voie. C'est ainsi qu'il fut embauché comme stew dans un fast-food. Il n'y resta pas très longtemps, seulement le temps d'effectuer sa formation de secouriste paramédical, qui nécessitait de nombreuses heures d'études et de pratique. Depuis qu'il a terminé celle-ci, au prix de très nombreux efforts, à présent depuis sept ans, il travaille dans les ambulances des urgences de la ville, pour le fameux 911. Un métier fait pour lui, qui n'a pour unique but que de sauver l'humanité. Mais il veut viser plus haut, et cette année, il est inscrit à Fordham en médecine. Bien évidemment, passer les examens d'entrée n'a pas été chose aisée, du fait de sa profession et de la préparation qu'ils nécessitaient, mais il les passa pile poil. Il arrive souvent à Christian de sécher de très nombreux cours, du fait de son emploi du temps, et il doit étudier beaucoup plus en dehors, suivant ses propres moyens, s'il veut réussir. Exerçant toujours le métier de paramédic, à des horaires parfois pénibles, Christian est l'exemple-même de l'homme qui veut réussir malgré les difficultés. Il n'abandonnerait pour rien au monde sa profession, tant qu'il n'aura pas son diplôme de médecin, non pas pour l'argent que cela lui rapporte, mais bien parce qu'il éprouve vraiment une joie extrême à sauver des vies. Il ne veut pas de remerciement, un simple sourire, la simple vue d'un patient vivant et sauf lui suffit. Malheureusement, tout ce beau paysage est noirci, abîmé et dérisoire. Christian a l'air d'un homme heureux en apparence, mais il n'en ait rien. Alors qu'il avait vingt-trois ans, son épouse, déjà âgée de quarante-quatre ans à l'époque, tomba enceinte. Quelque chose d'improbable et de risqué, mais il était évident pour Christian qu'elle ne pouvait pas avorter. Jamais. Il avait été élevé dans la foi et le respect de la vie humaine. C'était un don du Seigneur, la plus belle chose qui pouvait arriver. Un présent du ciel qu'ils n'eurent pas le droit d'apprécier bien longtemps. En effet, au sixième mois de grossesse, Felicity perdit le bébé, dans un regrettable accident. Un accident presque stupide. Un jeune garçon lui avait volé son sac dans la rue, à l'arraché, la faisant tomber violemment... Une histoire banale, une histoire stupide. La mort d'un enfant contre un sac qui contenait tout au plus quelques dollars. Suite à cette tragédie, elle tomba en dépression et commença à changer. Son caractère enjoué fut perdu. C'était comme si elle refusait de voir la vérité en face. Non seulement Christian était totalement anéanti par la mort de leur enfant, mais il dut supporter les sautes d'humour et le mauvais comportement de son épouse. Voilà comment il entama une lourde descente aux enfers. Christian avait tout fait pour son épouse, sachant se montrer tendre à souhaits, comprenant son mal-être et sa souffrance. Sa présence avait été sans bornes...Elle l'avait souvent frappé. Il n'avait jamais rendu les coups. Et ensuite, cette déchirure morale : injures, insultes à répétition, dénigrement. Il sentait qu'il allait exploser ; supportant tout, par amour. Jamais il ne baissa les bras, supportant les moindres disputes. Disputes durant lesquelles l'histoire se répétait sans cesse : griffures, claques, coups et parfois même brûlures de cigarette de la part de Felicity. Elle s'excusait ensuite des heures durant et le jeune homme la fuyait, lui jetant un regard de dépit. Jusqu'à ce que les injures cessent. Il crut que tout irait mieux, qu'il pourrait de nouveau sourire et la voir sourire, mais, malheureusement, c'était une espérance bien trop élevée. Un jour, alors qu'il rentrait, fatigué, du travail, il trouva sa femme totalement agacée par le fait qu'il était en retard. Elle l'accusa de la tromper, elle fit une crise de jalousie des plus folles. Elle avait toujours été possessive, mais là, cela atteignait des sommets ! Dans sa main, elle tenait un couteau, pire qu'énervée, semblant prête à se tuer et à le tuer s'il osait encore nier le fait qu'il la trompait avec une « plus jeune et plus belle qu'elle ne l'était ». Ils avaient criés, tous les deux. Beaucoup. Elle avait hurlé, elle avait pleuré. Et ensuite, il ne se souvient plus de rien que du sang qui coulait entre ses mains, glissant au-delà de la blessure qu'il possédait sur son ventre. Le coup de couteau avait été brutal et il commençait à ressentir la douleur comme une brûlure démoniaque. Christian avait jeté un regard triste, un regard d'imploration en direction de la femme se tenant face à lui, avant de ne perdre totalement connaissance. Ce fut dans un hôpital qu'il rouvrit les yeux, le lendemain, encore tout en émoi. On lui avait juré qu'il ne risquait rien. On lui avait raconté qu'une voisine, alerté par la dispute, avait appelé la police. Felicity était assise au bord du lit et elle se fondit en excuses multiples et variés. Elle promit que cela ne se reproduirait jamais, que plus jamais elle ne lui ferait du mal. Elle lui promit les monts et les merveilles... Et Christian pardonna. Il comprenait qu'elle allait mal, mais aussi qu'elle avait raison de s'énerver. Il n'aurait jamais dû rentrer en retard. Ce qui peut vous sembler totalement fou était l'évidence à ses yeux : il était l'unique fautif et, à présent, il devait comprendre qu'il devait tout faire pour racheter sa faute. C'est ainsi qu'il devînt l'esclave de Felicity, cédant au moindre de ses caprices et surtout... Il était si faible face à elle, baissant le regard à chaque fois qu'elle lui parlait... Les promesses qu'elle avait faites furent de très courte durée et les insultes ainsi que les coups recommencèrent. Jamais Christian ne rendit les coups. Jamais. Car il ne voulait pas faire de mal à celle qu'il avait épousé. Mais, rapidement, il comprit une chose. Il ne l'aimait plus. Lorsqu'il décida de commencer des études de médecine, Felicity l'accusa de vouloir la fuir, l'accusa d'être bien trop incapable pour réussir ce genre de défi. Elle lui interdit même de tenter sa chance, l'enfermant dans une des chambres de leur appartement, afin de l'empêcher d'agir. Il dut sortir par la fenêtre afin d'aller envoyer son dossier... Ce qui lui valut par la suite de très longues et douloureuses remontrances. La jalousie et la remontrance de son épouse lui interdisent de vivre pleinement. Il travaille, va à l'université. Mais tout le reste, il le fait en cachette. Et après, à chaque fois, il se sent fautif et va s'excuser auprès de celle qui, pourtant, lui fait tant de mal. En bref, Christian est un homme battu et tyrannisé par son épouse... Il paraît pourtant que ce sont les femmes les plus atteintes par les violences conjugales dans la société actuelle. Il faut croire que notre ambulancier est une exception comme il l'a toujours été dans des domaines bien différents. Christian sourit tout le temps lorsqu'il est en public. Christian adore la nature et pourrait passer des heures à observer une abeille. Christian ne boit pas, ne fume pas et ne se drogue pas. Christian aime regarder les dessins-animés à la télé. Christian étudie beaucoup et travaille d'arrache-pied. Christian est altruiste, innocent et rêve souvent d'un monde parfait. Mais Christian, bien qu'on lui ait souvent répété que les garçons n'en avaient pas le droit, pleure beaucoup trop.
my little secret
★Ton prénom ou ton pseudo & ton age → Julia & 20ans ★Comment es-tu arrivé(e) ici ? → J'y ai atteri y a longtemps! ★Ce personnage est-il un double compte ? → Oui héhé ★Présence sur le forum → 5/7 en période normal ★Personnage inventé ou scénario ? → Inventé ★Crédit images → Brittany
Mon exemple de RolePlay:
→ Il regardait sa montre, lançant un œil hâtif, souhaitant que la journée soit enfin terminée. Il lui arrivait de travailler en soirée ou de patrouiller de nuit, mais ce jour-là, c'était au Soleil qu'il avait fait son service, accompagné de ses deux coéquipiers. C'était rare qu'il ait tant de hâte à rentrer chez lui, d'habitude, il était un garçon fonceur et indéchirable. Raisonnable, mais indéchirable et énergique. Mais en cette fin d'après-midi, il n'avait qu'une hâte, se retrouver chez lui avant 21heures, avant que sa sœur jumelle ne parte au travail. Il voulait la voir, lui parler. Ce matin, alors qu'elle dormait, elle avait fait un cauchemar. Mais ce n'était pas la première fois et ce ne serait sans doute pas la dernière. Il voulait lui parler encore une fois, la rassurer avant qu'elle ne parte au travail. Des fois, il se demandait comment elle pouvait avoir le courage de bosser en tant que barmaid la nuit, avec les vicelards et les drogués qui peuplaient les rues à ces heures-là. Il se demandait si cela ne la mettait pas encore en face de ce qu'elle avait vécu, si elle n'avait pas peur des regards que les hommes posaient sur elle, avec envie. D'autant plus que vu les tenues qu'elle arborait en partant travailler, le plupart du temps, ne pouvaient pas laisser indifférents, d'autant que c'était une très belle femme et que l'alcool efface toute timidité chez de potentiels prétendants. Adam avait beau n'avoir rien dit lorsque sa sœur avait commencé à travailler dans ce bar, il n'était pas vraiment d'accord. Il voulait lui laisser de la liberté, ne pas jouer les pères ou les frères pesants, mais le mode de vie que sa sœur entreprenait commençait à lui faire peur. Elle pouvait se retrouver dans des situations délicates desquelles elle ne lui parlait pas ou ne lui parlerait pas, de peur de le voir s'inquiéter ou faire des bêtises ? En bref, il avait peur de la voir grandir et battre de ses propres ailes car il se demandait si elle savait voler. Personne n'avait été en mesure de le lui apprendre sauf lui. Et lui, il avait failli dans cette tâche. Amy avait souffert et il n'avait rien fait pour la protéger. Pendant ce temps, il se trouvait à des kilomètres d'elle, si loin, si désarmé. Pendant ce temps, il dormait, confortablement. Pendant ce temps, il rêvait. Et elle, elle souffrait. Rien qu'à cette pensée, il serra les dents, furieux et attristé. A cause de son impuissance à lui, Amy était un oiseau qui ne pouvait pas savoir voler. Ce n'était pas les psychiatres et les psychologues qui lui avaient enseigné cela. Enfin, il en doutait. C'était un papillon mutilé, un moineau dans une ville polluée. Adam avait bau se rendre compte du fait qu'ils avaient, tous deux, déjà vingt-trois ans et qu'il était grand temps pour chacun d'acquérir une indépendance certaine, mais il voyait sans cesse sa sœur comme une pauvre petit bête fragile et manipulable. Il n'aimait pas lui mentir, ni crier sur elle, bien qu'il lui arrivait de s'énerver de temps en temps, comme cela se produit dans la plupart des familles, même celles particulièrement soudées. Mais c'était elle la manipulatrice et de cela, il n'était pas près de s'en apercevoir. D'ailleurs, il ne pourrait sans doute jamais le croire. Elle était un ange, un ange à qui l'on avait arraché les ailes, mais un ange paré d'une auréole. C'était la parfaite allégorie de la pureté. Certes, il savait qu'elle voyait des hommes, qu'elle usait parfois d'un drôle de vocabulaire, mais cela ne faisait pas d'elle une délinquante. Ce n'était qu'une petite fille. Simplement. A chaque fois qu'il fermait les yeux, il la voyait comme lorsqu'elle avait dix ans, avec son petit sourire enjoliveur, lui demandant s'il n'avait pas vu son ours en peluche. Elle le perdait tout le temps, à croire que c'était simplement pour le plaisir de voir son frère se décarcasser pour le retrouver. Une sorte de partie de cache-cache avec des objets. Un jeu. La vie, à cette époque, était un jeu continuel et éternel, comme un manège tournant en rond, en rond, en rond, tout doucement, dans une farandole d'animaux exotiques et pourtant si dociles. C'était si différent du présent qu'ils vivaient. Le présent était rempli de noirceur. Une noirceur presque totale. Adam aimait son travail, il était heureux de vivre avec sa jumelle, mais pas vraiment d'être celui qu'il était. Évidemment, il ne regrettait pas le meurtre qu'il avait commis, alors qu'il n'avait que seize ans, mais dans son esprit, il le savait, qu'il pouvait refaire la même chose. Il était capable de tuer un homme. Des hommes et ce, sans ciller, sans éprouver le moindre regret. Alors, à chaque fois qu'il sortait son arme en service, il tremblait. Il tremblait de tirer. Car, il savait qu'il pouvait le faire. Il suffisait que l'autre en face réagisse de manière stupide, de manière irritante. Les psychologues l'avaient affirmé totalement apte à posséder une arme et à s'en servir en connaissance de cause, mais il n'en était pas sûr et certain. Il se demandait souvent s'il se rendait vraiment compte de ce qu'était la mort. La mort, personne n'en sait exactement la signification, personne ne sait ce qu'il advient de nos corps une fois la vie terminée. Mais dans son esprit, c'était encore plus flou. Plus fou. Il ne comprenait pas. C'était quelque chose qui séparaient les êtres, comme les kilomètres ou les divorces. Rien de plus. La séparation était une épreuve. Il l'avait subi lui aussi. Pourtant, il était encore là. Alors la mort est-ce simplement ne plus exister tout en existant encore ? La voix de son coéquipier le sortit de ses pensées, et il comprit qu'ils étaient revenus au commissariat, qu'un tout aux vestiaires s'imposaient avant de chacun rentrer chez soi. Sortant de sa torpeur, il courut presque vers les casiers, et ne prit même pas le temps de passer sous la douche. Il le ferait en rentrant chez lui. Amy avant tout. Il avait une chance de la croiser, de prendre le temps de lui parler s'il faisait vraiment vite. Il ne lui fallut pas plus d'une minute chronomètre en main afin de se changer, de se vêtir en jean et t-shirt. Une tenue peu soignée, mais très agréable à porter et facile d'entretien. Il fallait dire qu'il n'avait pas besoin de plus, comme tous les garçons de son jeune âge. Il pouvait enfiler un sac poubelle sur le dos, ça suffirait, il ne ferait pas le difficile question mode vestimentaire. De toute manière, depuis que sa sœur et lui n'avait plus de relations proches avec leurs parents, ils n'en n'avaient plus les moyens. Ils vivaient grâce à leur salaire respectif et refusaient la plupart des cadeaux de leur père. Ce dernier les avaient trop déçu, en un sens. Adam se retrouva chez lui en une vitesse éclair, mais il était trop tard. A peine avait-il ouvert la porte, qu'il avait hurlé le nom de sa sœur à plusieurs personnes. Personne n'avait répondu.Il était allé vérifier dans sa chambre, mais elle était vide. Jetant un regard à la montre qu'il portait au poignet, il s'aperçut qu'il était déjà bien tard en vérité. 21H45. C’était évident qu'elle n'était plus là, sinon, cela aurait été vraiment étonnant de sa part. Elle ne loupait jamais le travail, à croire qu'il lui procurait une joie immense. Poussant un soupir, se disant qu'il ne la verrait certainement pas le lendemain au petit matin car elle ne rentrerait certainement pas directement. Ils avaient le terme « traîner » ancré fortement dans leurs gènes. Ce devait être de famille de perdre son temps, d'errer un peu sans but dans les rues ou de chercher à prendre l'air sans cesse. Certainement cela ressortait de l'étouffement qu'ils avaient pu éprouver dans l'adolescence. Soudain, alors qu'il venait d'allumer une cigarette afin de la fumer calmement, sur le balcon, il eut une idée. Une excellente idée. Et s'il en avait le cœur net et allait dans ce bar, où travaillait sa jumelle ? Ainsi, il serait fixé sur les lieux, bien qu'il se doutait que tout ne soit pas calme. Et ils pourraient parler. Enfin, il l'espérait en tous cas. Amy serait sans doute surprise de le voir mettre les pieds dans cet endroit, mais cela valait le coup. Le jeu en valait la chandelle. Ce ne serait qu'une autre partie de cache-cache, mais où il la trouverait cette fois. Il saurait enfin si sa sœur se sentait vraiment bien au travail ou si elle faisait simplement digne et belle figure face à ses questions incessantes. Posté derrière le comptoir, elle ne serait pas difficile à interpeller.
Il savait qu'elle s'énerverait peut-être, malgré l'amour qu'elle lui vouait, n'appréciant pas qu'il joue les papas poules à tout bout de champs et qu'il ne l'espionne sans regrets. Car il n'était pas son père. Et elle en avait assez qu'il fasse preuve d'autorité sur elle, comme sur une enfant. Éteignant sa cigarette en l'appuyant contre le béton du balcon, il décida de prendre sa douche. Il serait temps. Et à présent, il avait tout son temps. Il se dévêtit rapidement, au fur et à mesure qu'il approchait de la salle de bains et fourra ses vêtements sales, emplis de sueur du fait de la chaleur de la journée, dans la corbeille à linge. L'eau s'écoulait de la tête de douche alors qu'il y entrait afin de se savonner. Mais c'était davantage les pensées dans son esprit qui gigotaient que les bulles de savon. Il repensait encore à Amy. Elle avait parfois un comportement étrange. Évidemment, cela datait de son retour de l'hôpital psychiatrique et était donc totalement compréhensible et explicable, mais il lui semblait depuis quelques temps qu'il y avait autre chose. Lorsqu'elle le regardait, lorsqu'elle lui souriait. C'était indéniable, elle se posait des questions sur son compte. Mais quel genre de questions pouvait-elle bien trouver à se poser sur son propre frère ? Était-ce à propos de cette affaire, lorsqu'ils n'avaient tous deux que seize ans ? Adam désignait l'événement tragique qui s'était produit à l'époque par le terme « affaire » car c'était le seul mot qui ne lui donnait pas des frissons, qui ne lui rappelait pas des souvenirs trop lourds. Une affaire, c'est quelque chose que l'on peut régler et même négocier, et ce qui s'était produit à cette date fatidique de juillet n'était ni négociable ni effaçable. C'était le passé et personne n'avait et n'aura les moyens de le réécrire. Vivre avec. Il savait que c'était on ne peut plus difficile pour Amy. Difficile. Il regrettait parfois de ne pas avoir un peu forcé pour lui rendre la mémoire. Mais il avait préféré la voir ignorante de son vi...de l'affaire. C'était stupide. Il aurait dû l'aider davantage. L'eau se déversait à présent sur ses cheveux, coulant le long de son visage. C'était plaisant, c'était comme s'il se purifiait un peu après avoir traîné dans ce monde de débauche et de cruauté. Monde qu'il fréquentait au jour le jour. C'était son lieu de vie, son lieu de récréation, son lieu de tristesse, de joie, mais surtout de déboires. Amy prenait peut-être de la drogue dans ce bar, entraînée par le jeunes de son âge ? Cette idée lui était parvenue d'un coup, subitement, alors qu'il fermait les yeux pour profiter de la douceur offerte par la douche qu'il était en train de prendre. Effrayante perspective. Elle risquait de mal finir si elle se mettait à jouer à ce jeu-là. Il laissa doucement couleur l'eau entre ses doigts, tenant fermement le pommeau de douche de son autre main. Ce courant entre les doigts le faisait encore penser à sa sœur. Elle était comme un court d'eau, qui cherchait où s'arrêter, mais ne le trouvait pas. Un espèce de fleuve reliant deux mers et sans cesse nourri par de la clarté, mais envahi par des algues. Des algues nocives et qui l'entraînaient vers le fond, l'asséchant au fur et à mesure qu'elles en aspiraient l'oxygène. Adam regrettait de n'être pas plus présent pour elle, ces temps-ci. Mais avec leur emplois respectifs, ils n'avaient pas vraiment le temps de se poser et de respirer un peu. Partager des moments avec elle, cela lui manquait car ils restaient cependant toujours aussi proches que dans leur enfance. C'était comme si chacun vivait pour l'autre. Et ce n'était peut-être pas qu'une impression, Adam ne savait pas comment il survivrait si sa sœur devait mourir avant lui. En fait, il était presque clair et net qu'il ne survivrait pas, ou alors qu'il finirait en hôpital psychiatrique, lui aussi. A la différence qu'il n'en ressortirait jamais. Cela serait comme se faire arracher une part de soi-même, mais avec violence et cruauté. Et lorsque nous ne sommes plus pleinement nous mêmes, nous ne pouvons que souffrir. Et d'une souffrance à finalité mortelle. Adam en frémit, malgré la douceur de cette eau qu'il aimait tant, de ce moment qu'il appréciait. Prendre sa douche, seul ou avec Amy, cela avait toujours été un moment rassurant, comme une bulle. Se passant une main sur le visage, il entreprit de mettre un terme à sa toilette et éteignit le robinet, replaçant le pommeau à sa place. Poussant un large soupir, il sortit furtivement du bac de douche et se faufila dans sa serviette. Il s'essuya rapidement, et se sécha les cheveux furtivement. Pas la peine d'user du sèche-cheveux, il faisait plutôt chaud dehors, sa chevelure aurait tout le loisir de sécher naturellement. Il ne s'en souciait pas. Il se dirigea ensuite vers sa chambre où il trouva un nouveau jean et un nouveau t-shirt à enfiler. Il hésita avec une chemise plus classe. Après tout, aller voir Amy au boulot, cela ne voulait pas dire qu'il ne pouvait pas un peu s'amuser et profiter de la gente féminine présente sur les lieux. C'était un bar, les gens venaient pour draguer. C'était l'essence même des bars-boîtes de nuit. Il pouvait bien s'adonner à une partie de découverte, lui aussi. Finalement, après s'être regardé quatre ou cinq fois dans le miroir intégré sur la porte de son armoire, il choisit une belle chemise noire. Il aimait la porter. C'était Amy qui la lui avait offerte pour son vingt et unième anniversaire. Encore une part de bonheur. Réajustant le col de façon à ne pas paraître un clochard, il était paré pour sortir. Se recoiffant un peu, il jeta un dernier regard dans le miroir. Mieux vaut être présentable pour sa sœur et ne pas lui faire honte !
Il connaissait l'adresse alors il ne lui fallut pas longtemps pour arriver sur les lieux, bien qu'il ait un instant rebroussé chemin pour s'assurer qu'il avait bien fermé la porte de l'appartement. Ce genre de doute lui arrivait souvent, c'était presque devenu un tic. Un regard amusé et un sourire aux lèvres, il franchit la porte d'entrée du lieu où déjà de nombreuses personnes s'étaient réunis. En vérité, c'était déjà presque plein. Ses pensées de flic lui arrivèrent même à l'esprit et un instant il pensa qu'il faudrait vérifier si les lieux étaient assez sécurisés et assez spacieux pour accueillir tant de monde. Beaucoup de boîtes trichaient de ce côté-là, mettant la sécurité en second rang derrière le profit. Profit, toujours profit ! Regardant les alentours, tentant de voir les moindres recoins du bar, de savoir exactement à quoi l'on pouvait bien se prêter en ce qui concernait les différentes activités dans le coin, son instinct lui soufflait que tout n'était pas net et clair. Il aperçut enfin sa sœur, à son poste comme prévu. D'ailleurs, elle lui fit de grands signes, semblant même le hâter à venir la rejoindre. C'était plaisant de voir tant d'amour venant de sa part, il s'était plutôt attendu à ce qu'elle baisse les yeux afin qu'il reste loin d'elle, pour ne pas attirer l'attention. Évidemment, il ne put s'empêcher de regarder quelques jambes en se faufilant vers le comptoir. Il faut dire que c'était empli de nénettes habillées à ras-la-touffe ici. D'ailleurs, il put faire exactement la même évaluation de la situation en ce qui concernait Amy lorsqu'il fut près d'elle, se penchant légèrement au-dessus du bar. Il la laissa déposer le traditionnel baiser contre sa joue, avant de ne lui offrir un sourire radieux. Saisissant doucement sa main, il lui sourit de plus bel. Il fut un peu étonné par la vivacité de sa question. Comme s'il n'avait pas le droit de traîner dehors à cette heure-ci. Ou plutôt comme si elle avait quelque chose à cacher. D'ailleurs, pendant un court instant, il remarqua ce regard. Le regard qui lui faisait penser qu'elle n'était plus la Amy qu'il connaissait. Sa jumelle adorée. Encore cette histoire de papillon mutilé aux ailes brûlées. Il l'observa un instant, hésitant même à prendre la parole dans l'espoir de voir sa sœur lui dire quelque chose. Mais elle restait muette, et toujours autant étonnée de sa présence dans les lieux. On aurait dit qu'il était un fantôme. Un instant il eut même la sensation qu'elle voulait qu'elle dégage au plus vite. Non pas car elle s'inquiétait de le voir faire des bêtises, ou pour le protéger, mais car elle lui cachait un lourd secret. Secret qui lui fonderait le cœur s'il le découvrait. Qui le lui briserait, l'écraserait comme un insecte, comme une larve de papillon emmêlée dans son cocon et arrachée par un enfant curieux de passage. D'ailleurs, le jeune officier de police en ressentit un intense frisson lui parcourant l'échine. Une crainte certaine. La crainte qu'elle ne le déçoive. Il avait confiance en elle. Une confiance absolu alors il se reprit. Ne pas douter, il n'en avait pas le droit. Et si elle avait des ennuis, elle lui aurait dit, n'est-ce pas ? A moins qu'elle... Qu'elle lui en veuille ? Qu'elle ne lui en veuille de ne pas avoir été là tant d'années plus tôt ? Encore une pensée qu'il s’efforça d'oublier. De nombreux conditionnels lui envahissaient l'esprit alors qu'il commençait à se débattre contre l'envie de prendre sa sœur par le bras et de la tirer tranquillement au-dehors afin de parler plus calmement.
« Je suis venu te voir, Amy. Est-ce que je dois toujours avoir un raison de vouloir te voir, petite soeur adorée ? » dit-il finalement à demi-mots. Il ne voulait pas non plus que les clients ou même le patron sache qu'il était son frère. C'était un peu la honte pour la barmaid que son frérot vienne la voir au travail, à leur âge. Et puis, ça donnerait l'impression qu'elle doutait de sa sécurité entre ces quatre murs. Certainement pas un bon point pour son patron. Alors qu'il continuait simplement de la fixer, se demandant comment aborder le sujet de ses cauchemars sans qu'elle ne le prenne pour un grand frère trop inquiet et pour un espion de ses nuits, il ne remarqua pas que d'autres le regardait, lui. Et de manière encore plus prononcé que le regard qu'il posait sur sa jumelle. D'ailleurs, un jeune homme, le DJ, se rapprochait d'eux, une idée derrière la tête. Adam ne savait pas, mais en ce moment, on le prenait pour un drogué. Un vulgaire drogué qui venait quémander sa dose quotidienne ou même hebdomadaire à son dealer attitré. Et bientôt, on lui proposerait de la marchandise, on le pousserait à consommer, à acheter.
« Tu peux me mettre quelque chose de bien fort ? Je suis un peu tendu ce soir... » fit-il en réponse à la question de la barmaid. Il se voyait bien boire une des vodkas les plus fortes ou un whisky bien corsé. De quoi se détendre, se relaxer. L'alcool fait relaxer, tout le monde le sait dans la communauté des jeunes adultes. Et il en aurait besoin pour le reste de la soirée, bien qu'il ne s'attende pas encore à ce qu'on allait lui dire. L'homme qui les approchait s'était enfin retrouvé à leur hauteur. Sentant qu'on l''épiait, Adam tourna le regard vers lui et lui envoya un magnifique sourire. C'était une habitude de sourire à chaque fois que quelqu'un le regardait. Souvent, cela mettait en confiance son interlocuteur, mais il était aussi arrivé que l'on pense qu'il se moquait. Mais comme la plupart des tic, notre policier n'était pas prêt de lutter contre celui-ci. Du moins, pas suffisamment pour s'en défaire un jour.
« Tu pourrais mettre des glaçons, s'il-te-plait ? Fais vraiment chaud dans cette baraque ! » ajouta-t-il à l'attention d'Amy. Cette dernière se retourna à l'entente de la voix de son frère. Elle avait une drôle de lueur dans les yeux. Différente d'un regard suspicieux, ou de n'importe quelle autre regard. Comme si elle paniquait. Comme si une mauvaise pensée commençait à prendre possession de sa raison et de ses sens dans leur totale pleinitude. D'ailleurs, elle semblait tellement tourmentée qu'Adam commença à stresser pour elle, bien qu'il n'en fit rien paraître. Il restait stoïque et souriant. Une personne le bouscula, il ne réagit pas, préférant se taire. C'était encore un atout de leur gémellité, il ressentait les émotions l'un de l'autre de manière décuplée, comme s'il s'agissait de leurs propres émotions, de leurs propres sentiments.
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Dernière édition par Christian A. E. Brown le Sam 3 Nov - 0:02, édité 8 fois
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Sujet: Re: Christian ♪ La vie a un parfum savoureux, jusqu'à ce que l'on croque dans le mauvais fruit Ven 2 Nov - 23:04
Re-Bienvenue Bon courage pour ta fiche
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Sujet: Re: Christian ♪ La vie a un parfum savoureux, jusqu'à ce que l'on croque dans le mauvais fruit Ven 2 Nov - 23:06
Pansexuel + Santa Fe... Tu cherches à me tuer ? xD
Rebienvenue en tout cas
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Sujet: Re: Christian ♪ La vie a un parfum savoureux, jusqu'à ce que l'on croque dans le mauvais fruit Ven 2 Nov - 23:07
Reuh, même si je sais pas qui c'est !!!
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Sujet: Re: Christian ♪ La vie a un parfum savoureux, jusqu'à ce que l'on croque dans le mauvais fruit Ven 2 Nov - 23:10
Merci les loulous
Et oui, Mike Je veux te voir crever avec un filet de bave coulant le long de ta joue :p
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Sujet: Re: Christian ♪ La vie a un parfum savoureux, jusqu'à ce que l'on croque dans le mauvais fruit Ven 2 Nov - 23:19
Bienvenue et bonne chance pour ta fiche
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Sujet: Re: Christian ♪ La vie a un parfum savoureux, jusqu'à ce que l'on croque dans le mauvais fruit Ven 2 Nov - 23:23
Re-bienvenue parmi nous Excellent choix d'avatar!
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Sujet: Re: Christian ♪ La vie a un parfum savoureux, jusqu'à ce que l'on croque dans le mauvais fruit Ven 2 Nov - 23:46
Merciiii
Et voilà, je pense avoir terminé ma fiche
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Sujet: Re: Christian ♪ La vie a un parfum savoureux, jusqu'à ce que l'on croque dans le mauvais fruit Ven 2 Nov - 23:54
rebienvenue parmi nous
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Sujet: Re: Christian ♪ La vie a un parfum savoureux, jusqu'à ce que l'on croque dans le mauvais fruit Sam 3 Nov - 0:02
Merci Heaven
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Sujet: Re: Christian ♪ La vie a un parfum savoureux, jusqu'à ce que l'on croque dans le mauvais fruit Sam 3 Nov - 0:15
Hum, hum... Re-bienvenuuuuuuuue. :3
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Sujet: Re: Christian ♪ La vie a un parfum savoureux, jusqu'à ce que l'on croque dans le mauvais fruit Sam 3 Nov - 0:25
Re bienvenue !
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Sujet: Re: Christian ♪ La vie a un parfum savoureux, jusqu'à ce que l'on croque dans le mauvais fruit Sam 3 Nov - 0:25
Merci
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Sujet: Re: Christian ♪ La vie a un parfum savoureux, jusqu'à ce que l'on croque dans le mauvais fruit Sam 3 Nov - 0:29
Mon chhhayyrriii! *sort*
Re-bienvenue toi! =)
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Sujet: Re: Christian ♪ La vie a un parfum savoureux, jusqu'à ce que l'on croque dans le mauvais fruit Sam 3 Nov - 0:32
T'es trop jeune, ma chérie ! :p
Merci
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Sujet: Re: Christian ♪ La vie a un parfum savoureux, jusqu'à ce que l'on croque dans le mauvais fruit Sam 3 Nov - 1:01
Re
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Sujet: Re: Christian ♪ La vie a un parfum savoureux, jusqu'à ce que l'on croque dans le mauvais fruit Sam 3 Nov - 1:11
Re-bienvenue apparemment
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Sujet: Re: Christian ♪ La vie a un parfum savoureux, jusqu'à ce que l'on croque dans le mauvais fruit Sam 3 Nov - 1:12
Merci
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Sujet: Re: Christian ♪ La vie a un parfum savoureux, jusqu'à ce que l'on croque dans le mauvais fruit Sam 3 Nov - 1:59
Re-bienvenue
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Sujet: Re: Christian ♪ La vie a un parfum savoureux, jusqu'à ce que l'on croque dans le mauvais fruit Sam 3 Nov - 4:58
piiiiiiiiiiiine. (re)bienvenuue parmi nous
Katerina M. Lehtonen
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what doesn't kill you makes you stronger
▌INSCRIT LE : 15/04/2012
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▌CÉLÉBRITÉ : Demetria Devonne Lovato.
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Sujet: Re: Christian ♪ La vie a un parfum savoureux, jusqu'à ce que l'on croque dans le mauvais fruit Sam 3 Nov - 11:18
Citation :
le petit faon, ou la petite biche. On n'est pas sûrs du sexe de l'animal.
toi je t'aime (comme si tu le savais pas déjà )
re-bienvenue darling
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Sujet: Re: Christian ♪ La vie a un parfum savoureux, jusqu'à ce que l'on croque dans le mauvais fruit Sam 3 Nov - 11:35
pansexuel haaaaaan rebienvenueeee
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Sujet: Re: Christian ♪ La vie a un parfum savoureux, jusqu'à ce que l'on croque dans le mauvais fruit Sam 3 Nov - 14:20
Welcome,
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Sujet: Re: Christian ♪ La vie a un parfum savoureux, jusqu'à ce que l'on croque dans le mauvais fruit Sam 3 Nov - 14:22
Validé !
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Sujet: Re: Christian ♪ La vie a un parfum savoureux, jusqu'à ce que l'on croque dans le mauvais fruit
Christian ♪ La vie a un parfum savoureux, jusqu'à ce que l'on croque dans le mauvais fruit
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