FEAT. Daniel Craig

William Peter O’Connel

40 ans → Né à Belfast le 01/12/1971 → Professeur d’économie-droit-management à Columbia University et agent dans les forces spéciales britanniques
célibataire → hétérosexuel → membre des Outsiders.

And who am i ?

★Quelles sont tes caractéristiques?
William respire la classe British. Il n’y a qu’à le regarder quelques secondes pour comprendre qu’il a vécu de nombreuses années en Angleterre. Ce blond aux yeux azurs, toujours propre sur lui fait le bonheur de ces dames. Son charme sans égal sait tourner les têtes et c’est bien la raison pour laquelle il en joue. S’il se présente le plus souvent dans des costards hors de prix qui souligne son éducation stricte anglaise, il n’est pas rare qu’il troque ses vêtements contre une paire de jeans et un T-shirt aussi vieux que délavé lorsqu’il rentre chez lui. La quarantaine entamée, Mister O’Connel s’est malheureusement vu devoir porter des lunettes de vue lorsqu’il travaille trop longtemps ou bien trop tard. Un accessoire qui le rend toujours plus sérieux. Quant à son sourire, il ne tire certainement sa beauté que par sa grande rareté. Lorsque les lèvres de William s’étire dans un sourire timide poussant ses fossettes à se creuser et ses yeux à se plisser afin d’accentuer ses pates d’oie, on aimerait qu’il s’y prête plus souvent. Pourtant, notre irlandais d’origine n’est pas seulement un visage. Son corps sculpté et élancé ne fait que traduire un travail de toute une vie où l’activité physique restait obligatoire. A quarante ans, O’Connel garde la pêche d’un homme de vingt-ans. Et s’il peut faire un marathon comme un entrainement militaire poussé, c’est tout d’abord dû à une forme physique naturelle. En effet, ce n’est pas une vie saine qui l’a poussé à de tels résultats. Fumeur invétéré, William dépense une partie de sa fortune chez les marchands de tabac. Cigarettes, cigarillos, cigares, chichas, tout y passe. Un goût également prononcé pour les boissons alcooliques, il n’est pas rare de voir notre homme descendre une pinte de bière ou encore enchaîner les verres de Whisky, son petit pêché mignon. Aucun tatouage, aucun piercing, son corps reste seulement marqué par quelques vilaines cicatrices, résultat d’un passé mouvementé

★Quel est le caractère de ton personnage?
William est un homme très droit, loyal, en qui l’on peut avoir une confiance aveugle. Pourtant, ça ne l’empêche pas d’être un manipulateur particulièrement doué, connaissant parfaitement la nature humaine et les choix de chacun. Il faut savoir qu’O’Connel a une longueur d’avance sur bien des personnes. Il est difficile de le prendre par surprise et pour cause : il a été formé pour tout prévoir afin de garder ses distances.

Parfait gentleman, charmant et plein de bonnes manières, William ne renie pas une seule seconde son éducation stricte anglaise, ce qui ne l’empêche pourtant pas de se comporter parfois comme ce gosse impoli issu de Belfast. Il aime les femmes, les femmes l’aiment. Il faut savoir que très rares sont les femmes qui savent lui résister. Et même s’il en exaspère plus d’une, ça finit inévitablement sous les draps. Véritable Casanova, O’Connel aime son célibat et ne l’échangerait pour rien au monde. Il aime sa liberté, son autonomie et voit les relations sérieuses comme une corvée.

L’arrogance est le maître mot pour caractériser William. Il se fiche totalement des règles et a tendance à mener sa propre politique du « Je fais ce que je veux, quand je veux et où je veux » ce qui l’a souvent mis dans des situations désagréables avec ses supérieurs. Pourtant, il ne chercha jamais à changer, conscient qu’il restait un homme talentueux sur lequel on ne pouvait pas faire une croix. Ce qui restait cependant sûr, c’est que s’il avait connu la mort au lieu de la frôler, peu de personne l’aurait pleuré.

Well... It's my story...

C’est l’histoire d’un gamin, né le 1er décembre 1971, dans la ville sombre de Belfast, en Irlande du Nord. Un gamin blond aux yeux bleus, aux traits angéliques, issus d’une famille pauvre dont le seul bien se résumait à une vieille voiture rouge et à une maison délabrée d’un quartier malfamé de la ville. Jamais William n’a su comment ses parents en étaient arrivés là. Le climat politico-économique de l’Irlande du Nord à l’époque peut-être. « L’argent ne fait pas le bonheur. » Certes, mais même s’il y contribuait beaucoup, le jeune O’Connel s’est toujours plié à cette expression. Et pour cause : ses parents lui ont donné certainement bien plus d’amour qu’une couple roulant sur l’or. Après tout, n’avaient-ils pas que ça à donner, de l’amour ? Notre petit blond s’est épanoui dans cette maison pourrie où s’est parents n’avaient même pas l’argent pour refaire la toiture. Cela ne l’empêcha pas de passer totalement inaperçu auprès de ces camarades de classe dans une école publique à deux pas de chez lui. Contrairement à bien d’autres, on sentait que lui voulait s’en sortir. Facilités ou travail ? Probablement les deux. William s’est révélé rapidement être un petit génie, capable d’assimiler tout et n’importe quoi en un temps record. Cependant, aurait-il pleinement profité de ce don s’il n’avait pas été le gamin le plus curieux d’Irlande ?




Belfast. Conflit nord-irlandais. Terrorisme. IRA. De nombreux mots pour revisiter cette longue période de trouble. Le danger restait omniprésent. Les actions terroristes également. Et c’est de cette façon que William se retrouva orphelin, perdant ses parents dans une attaque à la bombe à quelques mètres de leur lieu de travail. L’enfant avait dix ans à l’époque et se trouvait à l’école. Dans l’après-midi, on lui expliqua que ses parents s’étaient trouvés au mauvais endroit au mauvais moment. Un manque de chance. Une mort stupide. Un ‘‘pas d’pot, p’tit gars…’’.

A peine un an plus tard, William s’envola pour Londres, dans une famille d’accueil très aisée, une famille avec beaucoup de valeurs et une prestance à toute épreuve. C’est à ce moment là qu’O’Connel se vit offrir une éducation stricte et sévère. Il prit du temps à trouver sa place entre deux frères et une sœur soudés, alors que lui n’était que le gamin pauvre de Belfast qu’on avait amené ici de force. Renfermé sur lui-même à outrance, il ne daigna pas sortir un seul mot à sa nouvelle famille avant quelques semaines. On se demanda même s’il fut muet, ou encore autiste.




En grandissant, William fut métamorphosé en parfait gamin British de bonne famille. Même si la haine l’habitait, il décida de se fondre dans la masse, comme s’il se lançait dans un jeu de rôle. Il apprit les bonnes manières, le savoir-vivre anglais, l’hymne du pays et fut traîné dans les plus grandes soirées mondaines de Londres. On fit de lui un parfait gentleman. Il intégra le meilleur lycée privée londonien, en compagnie de camarades issus de familles toutes aussi riches les unes que les autres. Là-bas, on lui expliqua que les fils de médecins devenaient médecins et que les fils d’ouvriers finissaient ouvriers. A partir de là, une grande question existentielle déboula dans son esprit. Que deviendrait-il alors ? Sénateur ou simple employé de rayon dans un centre commercial ? De qui était-il le fils aujourd’hui ?




Puis l’on avait choisi pour lui. A tout juste dix-huit ans, on prit contact avec lui. Sa forme physique ainsi que son géni attirait l’attention depuis un moment déjà. C’est à peine sorti de l’adolescence que William O’Connel entra dans les forces spéciales britanniques. On le soumit à un entrainement militaire, on lui apprit à se servir d’une arme, à savoir réagir en un dixième de seconde sans faire une seule erreur, à garder un mental d’acier, à résoudre des affaires avec seulement quelques indices, à le transformer en soldat soumis et ayant perdu une grande part d’humanité. Il faisait parfaitement l’affaire. Un orphelin traumatisé par son passé en Irlande du Nord, victime de terrorisme. Ca tombait bien car le service qu’il venait d’intégrer servait justement à arrêter ces hors la loi. On se chargea de nourrir sa haine déjà présente envers les terroristes pour faire de lui un agent digne de son nom. On réussit d’ailleurs, car il fut l’un des plus prometteurs.


A seulement vingt-ans, il mena à bien plusieurs missions. Et sa seule distraction restait les femmes. A cette époque, encore jeune et rêveur, il tomba amoureux d’une belle new-yorkaise. Une amourette qui les fit vivre une passion de quelques semaines seulement. Mais il dû repartir, ce qui mit fin à leur petite idylle. Quelques mois plus tard, elle lui annonça qu’il était l’heureux papa d’une fillette. Pourtant il refusa catégoriquement d’abandonner son travail. Et par souci d’attachement, il ne donna plus aucune nouvelle. Après tout, il avait bien d’autres chats à fouetter que de jouer le baby-sitter pour un gosse. Ca ne l’intéresse pas dans sa quête de vengeance.




C’est après plus de vingt-ans de carrière et un échec particulièrement cuisant que l’envie d’arrêter commencer à se faire ressentir. D’une part, l’âge commençait à avoir le dessus sur lui. Il ne pourrait pas continuer éternellement, donc autant commencer à songer à arrêter maintenant plutôt qu’attendre avec stupidité l’incompétence. Finir sur une bonne note. Voilà ce que sa famille d’accueil lui avait appris. Il vint à se demander à quoi pouvait ressembler la vie de tous les jours. Cependant il se savait incapable de tout plaquer pour devenir un « Monsieur Tout-le-monde ».

Un compromis fut alors trouvé. Comme ses supérieurs se refusaient à le laisser partir aussi facilement, mais qu’ils désiraient tout de même pouvoir répondre à quelques unes de ses attentes, dont une certaine stabilité, William fut envoyé aux Etats-Unis, plus précisément à New-York. Il continuera ses missions de cet endroit, en gardant contact quotidiennement avec ses alliés qui, de cette façon, pouvait agir sur des groupes terroristes de la région en ayant un agent sur place. Cependant, si O’Connel devait s’installer ici, il fallait lui donner une couverture. Quand on jugea qu’il pouvait mettre à profit ses diplômes d’économie, de droit et de management qu’il avait acquis avec le temps, de manières différentes des autres étudiants, on lui proposa un poste d’enseignant dans la prestigieuse université de Columbia University. De cette façon, il pouvait se fondre doucement dans la foule, ce qui n’était plus arrivé depuis vingt ans, tout en continuant ce travail d’agent sur lequel il ne pouvait clairement pas faire une croix.

my little secret

★Ton prénom ou ton pseudo & ton age → Panpan – 21 ans
★Comment es-tu arrivé(e) ici ? → Je connais le forum depuis bien longtemps !
★Ce personnage est-il un double compte ? → Nop !
★Présence sur le forum → Régulière.
★Personnage inventé ou scénario ? → Inventé.
★Crédit images → Bazzart

Mon exemple de RolePlay:

Le code règlement:

Bienvenue!

Bienvenue à toi et bon courage pour ta fiche !

Salut compatriote!

Bienvenue sur NYCL et bon courage

Bienvenue chez nous !

Bienvenue sur NYCL prof! <3

Excellent choix d'avatar au passage!

Bienvenue !

I Like Daniel Craig (surtout dans Dream House avec Rachel Weiss sa chérie dans la vie) :brigitte:

Bienvenue

Aha ouais UK en force, on envahit New York

Bienvenue parmi nous

Bienvenue James Bond et bonne chance pour ta fiche

Bienvenue parmi nous Excellent choix d'avatar!

bienvenue à toi ♥

Merci à tous =)

C'est vrai qu'on ne voit jamais Daniel Craig sur les forums. Je suis content qu'il plaise.

Bienvenue parmi nous
N'hésite pas si tu as besoin

Bienvenuuuuuue ! *_*

Merci ! =)

Bon ba je pense avoir terminé

bienvenuue parmi nous

Bienvenue à toi :brigitte:

Merci ! =)

Haha on a un copain qu'on appelle Panpan pour une raison bien précise
Bienvenue parmi nous

Bienvenue parmi nous tout d'abord.
Ta fiche est en ordre, je te prévalide donc avec plaisir. Une administratrice viendra t'ajouter à ton groupe sous peu. Bon jeu parmi nous.

Merci beaucoup =)