Il était tard, 23h36 exactement, je venais à peine de finir mon service que mes pensées s’envolaient parmi ta personne. Pourquoi ? Cela était l’ultime question que j’osais me poser, il faut simplement dire que j’étais simplement envieux et désireux envers ta personne. Que malgré ma timidité tu vins à m’envoyer au plus vite loin de ce monde où le mal rainait sur chaque coin, mes pas, firent balancer au rythme d’un tambour. Je vins immédiatement pénétré dans le vestiaire réserver au personnel, et pas n’importe lesquels, bien sûre que non, cela n’aurait pas de sens ! Cela était mon simple vestiaire, cars en effet mes parents voulaient le meilleur pour ma petite personne. C’est vrai que s’est super d’être sans cesse seul comme la plupart du temps.
< Fais chier.. >
Murmurais-je à moi seul, j'étais réellement détendu même si mon visage lui n'exprimait aucun sentiment ainsi qu'aucune émotion. Je restais figeais face au miroir, mon corps, la carrure parfaite d'un homme masculin du moins vu les nombreux compliments que je recevais. Assez parler assez penser. Je vins lentement décrocher ma longue chemise en venant la pendre à l'un des crochets j'étais déjà habillé, heureusement d'ailleurs. J'infiltrais mes longs bras dans les manches de ma veste en cuir en l'attachant correctement en passant habituellement ma phalange droite à l'intérieur de mes cheveux déjà en bataille. J'étais vêtu, d'un jean noir ainsi qu'un simple tee-shirt ou quelques motifs vulgaires traînaient à gauche à droite. Je ne savais pas quoi faire, t'appeler ? T'envoyer un SMS . Après tout tu connaissais mes envies et comment celles-ci pouvaient augmenter au fil des secondes où tu n'étais plus présent. Je me reculais de quelques pas lorsque les plis de mes genoux percutaient le banc en bois massif et dans un hélant je laissais mon corps se relâchait en arrière pour laisser mes fesses s'asseoir calmement sur le banc. Mon portable entre mes mains, je fixais intensément ton numéro qui s'affichait au premier lieu. Je cliquais et j'écrivais [color=darkred]« Rendez-vous dans ma chambre d'hôtel dans trente minutes environ. J'ai hâte. James. » Message envoyé, cela était fait et je pouvais enfin me dépêcher de partir de ce lieu où la mort était partout, n'oublions pas que moi-même j'étais épris de cette dernière depuis mon plus jeune âge et que les couloirs de cet hôpital je l'ai connu par-coeur. Je parcourais les longs couloirs blanchâtres, les personnelles disaient que les murs représentaient l'âme pure, l'espoir. Alors que pour moi cela voulait simplement dire le vide. Lorsque mon corps était enfin loin de ce lieu je pouvais ressentir immédiatement le vent frais du mois de novembre s'empreint de ce dernier ce qui me fit procurer des multiples sensations des plus agréables. L'impatience m'envahissait comme jamais et j'avais qu'une hâte s'était d'assoupir mes envies avec ta douce personne, tu me connaissais, malgré que j'étais romantique jusqu'aux bouts des doigts je savais me montrer des plus sauvages lors des rapports que nous avions eus. J'arrivais enfin à destination, m'orientant sans ajouter un seul mot à cette stupide bonne femme qui travaillait à la réception je montai les deux étages qui m'indiquaient ma chambre depuis quelques jours. La chambre numéro 303. Dans un mouvement précis et maladroit je sortis ma clef en ouvrant alors la porte et de renfermer cette dernière aussitôt derrière moi. Je savais que tu n'allais pas tarder c'est donc naturellement que je hâtais mais, habilles en les jetant dans un coin de la chambre, mon corps venait simplement s'allonger sur le lit déjà utilisé, cars non, j'avais réellement la flemme de faire cela.
< Entres ! C’est ouvert. >
Ma voix à ce moment-là devenaient des plus graves bien qu'elle restait douce comme toujours. J'étais sans cesse légèrement gêné de faire cela avec une personne que je ne connaissais strictement rien, mais tu savais rapidement me mettre dans le bain, bien que toi, tu le sois aussi, tu étais réellement différent des autres et c'est pour cette unique raison que tu avais réussie à t'infiltrer dans ma bulle où maintes et des maintes personnes avaient échoué. Mon corps était donc allongé sur le lit par-dessus les couvertures blanches et noir. Un seul tissu recouvrait ce dernier et c'était mon simple boxer légèrement transparent et nous pouvions parfaitement distinguer ma verge en repos, mais pas pour longtemps, certainement. Mes phalanges se posant sur le sommet de mon buste, qui par ma respiration se levait au même moment. Mon regard s'orientait peu à peu en direction de ta carrure, les traits de ton faciès que je commençais à connaître comme jamais, je pouvais ressentir lentement mes lippes s'étiraient pour laisser enfin apparaître un faible sourire qui se voulait bien plus jovial que tous les sourires que j'ai pu avoir en cette merdique journée.
< Je suis désolé de t'avoir envoyé un message aussi tardivement, j'ai réellement passé un journée des plus merdiques et puis, peut-être que toi, tu arriverais à tourner celle-ci dans un bon côté. >
Mon visage exprimait alors une expression assez neutre bien qu'au fond de moi les émotions se bousculaient fermement. Mon corps se levait après avoir infiltré mes doigts habiles entre mes racines afin de pouvoir ressembler à quelque chose je ne savais pas comment faire, comment réagir si je devais m'approcher de ta personne ainsi ou si nous devions simplement passer un bon moment avant de passer à l'acte qui m'envolerai loin de tout. Le bout de ma muqueuse passait discrètement entre mes lippes sèches en les humidifiant rapidement.
< Tu veux que je commande quelque chose ? Un bon champagne ? Ou peut-être que tu as faim. À toi de décider. >

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