FEAT. CHRISTIAN BALE

John MOODY

32 ans → Né(e) à Brooklyn le 17/10/1980 → écrivain
célibataire → hétérosexuel → membre des Populars.

And who am i ?

★Quelles sont tes caractéristiques?
Vêtu la plupart du temps d'une chemise et d'un jean, le style de vestimentaire de John en dit long sur le personne qu'il peut être. N'étant pas un individu particulièrement narcissique, le physique n'est pas réellement sa priorité dans la vie. Il est la plupart du temps mal coiffé, rarement rasé de près. Certains diront qu'il est négligé, d'autres diront que son aspect est en totale adéquation avec le personnage. Néanmoins, physiquement, on peut dire qu'il est charmant. Sans être très imposant (1m83), sa carrure n'en reste pas moins honnête du fait de son ancienne activité régulière sportive. Sa chevelure frisée, brune comme ses iris, s'accorde merveilleusement bien à sa pilosité faciale, mais aussi à son visage fins qui apparaît néanmoins comme strict à cause de ses outrageuses consommations d'alcools mais aussi de cigarettes. Effectivement, vous le trouverez très fréquemment avec une cigarette au bout des lèvres ; signe de son addiction très prononcée à la nicotine depuis son adolescence. Si vous ne le voyez pas dans un bar, vous le croiserez sûrement au détour d'une rue dans Brooklyn, ou bien à un feu rouge, assis sur les sièges miteux de sa mythique porsche noire datant des années 90 des lunettes de soleil sur le nez, signe de sa soirée fortement alcoolisée de la veille. Dernier signe distinctif, un tatouage, effectué lors d'une soirée apocalyptique dans la Cité des Anges avec son meilleur ami et agent. Cette gravure à l'encre indélébile se situe sur le haut de son omoplate gauche et représente le prénom de sa fille en typographie spéciale : BECCA.

★Quel est le caractère de ton personnage?
Psychologiquement, John est un vrai foutoir. Partagé entre l'amour pour sa fille et celui qu'il voue aux femmes, notre personnage n'est pas quelqu'un que l'ont peut qualifier de « stable ». A moitié dépressif dû à ses erreurs passées, il reste en apparence souriant. En effet, c'est une personne toute à fait charmante à cotoyer, qui par un regard, un sourire, peut mettre son interlocuteur en confiance. Ce trentenaire est très taquin, use beaucoup de l'ironie, ce qui lui permet de dédramatiser sa vie, et les choses qui l'entourent... Une thérapie en soi. Il agit la plupart du temps à l'instinct sans réfléchir aux conséquences de ses actes ce qui lui vaut des ennuis très régulièrement. Très doué pour se foutre dans les embrouilles, il apparaît aussi très fort, malgré lui, pour faire souffrir son entourage à cause de ses conneries ; malgré qu'il soit rempli de bonnes intentions. Et ce n'est pas comme s'il le savait pas. Mais c'est dans sa nature. Il a horreur de se sentir piégé par quoi que ce soit, et il a toujours pris habitude d'être totalement autonome, d'où sa profession, d'où son style de vie. L'autorité, les codes de la société, tout ça John Moody n'en a que faire. Ce sont les raisons pour lesquelles vous le rencontrerez très (très) rarement dans les soirées mondaines de New York, en dehors de ses sorties prévues par son « agent » pour ses livres. Il veut vivre libre en suivant ses pulsions, ses sentiments, malgré que ces derniers se soient quelques peu éteints depuis qu'il a été rejeté par la femme de sa vie, et mère de sa fille, Karen... Mais pour réellement comprendre notre personnage, il vous faudra lire son histoire...

Well... It's my story...

Il était de retour. New York, là où tout avait commencé...
Né au mois d'octobre, John a toujours pris ça comme un signe. L'automne, la saison où les feuilles tombent, où la nature meurt et s'installe sous un amas terne, triste.
Il trouva le jour dans Brooklyn, quartier de la grosse pomme réputé pour être le quartier des artistes, de la moyenne voire basse société, en lien avec le Bronx. Très proche de sa mère durant son enfance, il subsista toujours un fossé entre lui et son père, comme si celui-ci en avait toujours voulu au jeune Moody de s'accaparer l'amour de sa mère. Très marginaux, ouverts d'esprit comme très peu, notre personnage fût éduqué dans un moule qui l'amena toujours à réfléchir, prendre du recul sur les choses au lieu de suivre le moule que l'on appelle société. Très vite, il se prit d'un goût très prononcé pour la littérature. Ce n'est pas pour autant qu'il oubliait de se sociabiliser avec les jeunes de son quartiers, personnes qui l'a côtoyé durant ses vingt premières années au bord d'un terrain de basketball, ou bien de la terrasse d'un snack. C'est d'ailleurs avec ses gens qu'il connût toutes ses premières expériences. Tous ses premiers vices aussi comme l'alcool, la drogue, le sexe, les problèmes judiciaires... Pendant ce temps, John, scolairement, était à la traîne. Non pas que ses capacités intellectuelles l'en empêchaient mais plutôt que cela ne l'intéressait pas. Être assis derrière un bureau, à écouter une vieille personne qui ne le comprenait pas, qui n'arrivait pas à l'intéresser l'a vite barber. C'est pour ces raisons qu'il arrêta les cours à ses 18 ans, une fois son diplôme en poche. Cela, il l'avait fait pour ses parents, qui malgré sa jeunesse, commençaient à vieillir du fait qu'ils l'avaient eu tard. Mais les études à l'université coûtaient un bras. Sa famille étant modeste, cela n'était bien évidemment impossible à notre jeune homme de continuer ses études.

A côté de tout ça, John continuait à dévorer des bouquins, sa personnalité se développant elle aussi au fur et à mesure de ses diverses lectures. Le dégoût de toute cette haute société, pas besoin d'y avoir goûté pour s'en écarter le plus possible. John était quelqu'un de vrai, franc, spontané et non pas quelqu'un de calculateur. Tout ces traits de caractères qui suivront finalement notre protagoniste... Mais revenons-en à notre histoire.
Vingt ans. Dans la fleur de l'âge. John, contrairement aux autres jeunes individus de son âge - qui voulaient croquer le monde à pleine dent; avait une vision assez terne de la vie. Il ne voulait en rien changer les choses autour de lui. Il avait grandit dans des coins très modestes, rencontré toutes sortes de personnes qui avaient vécus de lourds traumatismes... Depuis rien n'avait changé. Il s'était rendu compte que lorsque l'ont né dans la misère, à part si on a du talent ou une grosse chance, on reste où l'on est. A vie. Comme le disait Marx, il y avait cette lutte des classes. Les oppresseurs et les oppressés. Les riches et les pauvres. Tout ça pour dire que notre John Moody ne se sentait pas concerné par tout ces problèmes. Lui, tout ce qu'il désirait, c'était vivre décemment sans avoir de patron ni de règles. Alors quand un jour il fit lire ses quelques bribes d'histoires à un grand ami et que celui-ci l'encouragea à écrire un roman, il trouva sa vocation: écrivain. Ca peut vous paraître ridicule mais c'est comme ça que ça s'est passé. A part boire, fumer des pétards et ramener des femmes chez lui, dans son appartement, c'est tout ce qu'il savait faire.

En parlant de femme, venons-en à Karen. Jeune fille élancée, blonde, avec un charme à en faire pâlir plus d'un, elle avait rencontré John par des connaissances interposées. Et tout de suite, quelque chose se passa entre eux. Pas le baratin habituel du jeune homme non, quelque chose de spécial. Au départ, ce n'était qu'une relation d'une nuit. Puis le hasard les rassembla au coin d'une rue. Ils se retrouvèrent pour ne plus se quitter avant longtemps. Ce fut la période la plus prolifique professionnellement parlant pour le jeune Moody. Comme si cette charmante blonde était sa muse. Et puis d'un coup, alors qu'il venait de boucler son premier roman, la nouvelle tomba : Karen était enceinte. Tout se chamboula alors dans leur vie...

Une dizaine d'années plus tard...
Un véritable idylle. Il vivait un véritable idylle avec les deux femmes de sa vie. Mais il avait tôt gâché, dans la cité des anges, Los Angeles, ville du vice et de la connerie selon lui. Son incapacité à être responsable, à se conformer à un moule lui avait ôté sa fille Becca et sa femme Karen. Il erra un moment dans la ville californienne, afin de garder contact avec sa progéniture mais tout était cassé. Karen avait retrouvée quelqu'un, Becca vivait avec eux, malgré sa complicité, sa proximité avec son père. De plus, John enchaînait les conneries; alcool, drogues, embrouilles... Il était venu à LA parce qu'il avait connu la célébrité, qu'il était désormais un "people" et que changer d'air pouvait lui faire du bien. Foutaises. Plus personnes ne voulait de lui maintenant que l'inspiration qu'il avait avait disparue. Sa muse n'était plus là. Il décida, un bon soir de novembre, de prendre le volant de sa vieille porsche noire et de se diriger vers la route qui menait vers New York... Revenir chez lui, cela lui ferait du bien à lui, et sa famille.

my little secret

★Ton prénom ou ton pseudo & ton age Jons, 18 ans
★Comment es-tu arrivé(e) ici ? Google is my friend
★Ce personnage est-il un double compte ? Non
★Présence sur le forum Régulière
★Personnage inventé ou scénario ? Fortement inspiré d'un personnage de série
★Crédit images → actucine.com

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Tu verras il y fait bon vivre. non je plaisante !

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Merci Lucas