2O Septembre – 6hOO am.
Les tout premiers rayons de soleil pénétra par la fenêtre à demi-ouverte de la chambre de Jazzlyn. Toujours étendu sous les draps, la belle ouvrit lentement les yeux et s'étira. Ses muscles endoloris par la nuit ce contractèrent, puis elle repoussa les draps de satin qui couvrait son corps nue, la lumière du jour l'éblouie et elle dut refermée les yeux à cause de la douleur causé. La beauté de la jeune femme était comparable au lever du soleil, étincellente, magnifique, gracieuse et élégante. Après quelques minutes, elle repoussa entièrement les couvertures et son corps fut prit de frisson. La belle tourna dans son lit et posa ces pieds sur le sol froid, elle ce releva de toute sa longueur et fila sous la douche. L'eau chaude réveilla toute son corps, elle passa près de trente minutes sous la douche, bien qu'elle devait ce presser, car l'avion décollait vers huit heure trente. Après une longue et bonne douche chaude, elle fila dans son garde-robe et fouilla pour des vêtements approprié. HERE! Ces vêtements ce composait d'un short de jean et d'une camisole jaune/verte qui juraient très bien avec son teint bronzée. Une fois fin prête, elle déposa quelques vêtements dans ces valises, fermèrent celle-ci et ce prépara à quitter le confortable appartement qu'elle habitait. L'air de l'extérieur lui caressa la peau, sur le pavé de la ruelle, la blonde ce rendit jusqu'à sa voiture où elle y monta, mis la musique au fond et fila vers l'aéroport. Plusieurs des mannequines était déjà arrivée et ce fut un plaisir de les revoir, quand Jazzlyn sorti de la voiture, elle s'empressa de ce diriger vers elle. L'attente pour l'embarquation de la vie ne dura pas plus d'ne demi-heure et le vole près de deux heures. Jazzlyn avait souvent prit l'avion c'est temps-si et chaque fois elle s'émerveillait de la beauté du paysage. La ville qui rétrécit, le bleu du ciel, le calme plat, le soleil, les nuages tout était si splendide. Elle ce prenait même à rêvé de passée à côté du domaine des dieux, saluent Zeus, Athéna et Poseidon, cela la faisait toujours bien rire.


2O Septembre – 12hOO p.m – Rowanda.
Dès l'atterissage de l'avion, la différence de température était remarquable. Le paysage aussi était tout autre, mais Jazzlyn commençait à être habitué de voir cette pauvreté qui faisait mal, ce n'était pas son premier voyage humanitaire, et elle adorait faire ça. Les filles ce dirigèrent vers une petite hôtel où elles passeraient la nuit, mais sans plus tarder, elles déposèrent leur bagage et ce rendirent sur le terrain. L'air semblait irespirable, contaminé, les maisons aussi petite était-elle semblait crier à la douleur, comme si elle ce préparait à tomber à miette. Le paysage semblait désertique, vide, les seuls arbres dans les environs ne laissait pas beaucoup de place pour l'ombrage et les ressources d'eau ce trouvait à quelques kilomètres du villages. Jazzlyn ce sentait gâtée par la vie, elle avait tout ce qu'elle désirait alors qu'il y avait des gens dans les pays comme celui-ci qui ne demandait qu'à manger. Pour commencer leur journée, les filles accompagnés du groupe de Victoria's secrets ce balladèrent dans le ville afin de voir par où elle commencerait. Une petite fille s'approchait de la belle blonde et celle-ci baissa les yeux pour l'observer, la petite lui offrit un large sourire et Jazzlyn le lui rendit avant de lui tendre un petit bout de pain. La petite s'enfuit en courant, le sourire aux lèvres. Après quelques heures, les filles en conclurent (le projet aussi d'ailleurs) qu'elles leur apprendrait la salubrité. Jazzlyn s'occupait alors de la réorganisation du village en commencent par indiquer le nom des bâtiments et leur fonction. Il y avait l'école et l'infirmerie, la blonde avait beaucoup de plaisir à apprendre des mots dans leur langue. Elles étaient sur le site depuis près de huits heures, lorsqu'elles ce mirent au boulot afin de construire une nouvelle école, plus grand cette fois-si. C'était un travaille très exigent, le romain bâtissaient comme ça avant, brique par brique, mais dans le reste du monde, maintenant c'est les machines qui font presque tout à notre place. C'est à ce moment là qu'un groupe de militaire entrèrent dans le village, sans doute pour donner un coup de main eux aussi. Jazzlyn remarqua l'un d'eux davantage que tout les autres, il était terriblement craquant. Vêtu d'un pantalon typique de l'armée, les bottes, un t-shirt blanc qui moulait à la perfetion c'est muscle il était délicieux. Jazz l'observa un long moment avant de ce remettre au travail.