Sujet: MATT ∆ Quand j'ai vu ta gueule, j'ai compris que Dieu avait le sens de l'humour. Mer 26 Déc - 22:43
FEAT. JACK O'CONNELL
MATTHEW TYRON HARPER
20 ans → Né à New-York le 24/12/1992 → étude littéraire célibataire → hétérosexuel → membre des Rebels.
And who am i ?
★Quelles sont tes caractéristiques? → Il a été retiré à sa mère quand il avait huit ans parce que celle-ci était alcoolique. Il n’a pas de père et il ignore si celui-ci existe encore. A l’âge de dix ans, il entre dans une famille d’accueille. ∆ Il fume sa première clope à l’âge de dix ans et consomme de la drogue vers ses treize ans. Matt à coucher pour la première fois à treize ans, actuellement c’est le meilleur coup de New-York. ∆ Si on le provoque de trop, il peut-être capable du pire. Matthew est fou dans sa tête. Il n’a pas souvent les idées claire. ∆ Il deal depuis l’âge de quinze ans, il parvient à se faire de l’argent de poche grâce à ce qu’il gagne en bénéfice. Il est fêtard et se défonce la gueule pratiquement tous les jours. Son alcool préféré est le Whisky. ∆ Il n’est jamais tombé amoureux, il ne sait même pas ce que signifie le mot amour. C’est un goujat avec toutes les filles, mais malgré tout il les respecte. Jamais il lèvera la main sur une femme. C’est bien sa seule qualité. ∆ Il est homophobe. Voir deux hommes s’embrasser, très peu pour lui. Son trou de sortie restera son trou de sortie. Par contre, s’il voit deux lesbiennes la situation ne sera pas la même. Il proposerait même un plan à trois. ∆ Il a apprit qu’il avait un petit frère à l’âge de dix sept ans. Il s’appelle Aaron est il a 8 ans. Ce petit bonhomme à exactement le même tempérament que lui. ∆ Il ne boit jamais de café, il a horreur de ça. ∆ Il est retourner vivre chez sa mère à dix-sept ans après avoir dormit quelques mois dans la rue. ∆ Il fume au moins quinze pétard par jour, il ne s'arrête jamais. ∆ Il n'a jamais touché à autre chose que le shit et des pilules de speed. ∆ Il rachète un téléphone quasiment tous les mois. Parfois le même que le précédent. ∆ il ressent quelque chose pour blaise, mais il ne sait pas vraiment ce que s'est. ∆ Il a un très long casier qui s’effacera que l'année prochaine, à sa majorité. Il a eu beaucoup de problème avec la police. ∆ Matt se fourre toujours dans de sale draps, mais parvient souvent à s'en sortir.
★Quel est le caractère de ton personnage? → Plus méchant que lui ? Sa n’existe pas. Autant le dire maintenant, Matthew n’a pas réellement de qualité. Toujours là pour provoquer, rabaisser les gens en particulier les mecs qu’il trouve plus superficielle que lui. Il déteste qu’on soit au-dessus de lui. Il se croit le meilleur, il croit avoir tout vu et tout fait dans la vie alors qu’il ne sait pas encore tout. Il peut être gentil parfois, mais ceci est quelque chose de rare. Quand il a l’occasion de faire du mal, il n’hésite pas. Matthew est impulsif et très possessif. Quand il n’a pas quelque chose, il peut se mettre dans tout ses états. Il est infidèle. Une histoire avec une fille, ok, mais rester sérieux c’est impossible. Il ne connait pas le mot « sentiment », être amoureux il n’a jamais connu. Il est franc, quand il a quelque chose à dire il ne passe pas par quatre chemin. Il est agressif de temps à autre, moins actuellement. Il sait se contenir et parfois réfléchir avant de parler, sauf lorsqu’il est en colère. Parfois, il prend tout au premier degrés. Il sait faire la fête, ah sa oui il sait. C’est certainement un des plus grand fêtard de New-York. Il a des amies, mais aussi beaucoup d’ennemies. Il a quand même un cœur, mais il est bien trop fier pour montrer ce qu’il ressent. Il cache ses émotions derrière un masque, mais au fond de lui sa brûle.
my little secret
★Ton prénom ou ton pseudo & ton age → Charlène. ★Comment es-tu arrivé(e) ici ? → Je suis là depuis presque un ans. ★Ce personnage est-il un double compte ? → Oui, j'ai également Lorenzo C. Loris. ★Présence sur le forum → Très souvent. ★Personnage inventé ou scénario ? → Scénario. ★Crédit images → Tumblr, bazzart ou livejournal.
Mon exemple de RolePlay:
→ En ce moment, Vanille est un peu trop désorientée. Tout d’abord pour un premier point qui est : son travaille. Elle ne supporte plus les déprimer de la vie qui vienne dans son salon de psychologue dans le simple de but de se donner une raison, d’essayer de trouver des résolutions à leur problème. Vanille a bien plus de problèmes dont elle devrait s’occuper plutôt que d’arranger ceux des autres. Vous imaginez toutes les têtes qu’elle voit défiler en une journée ? Alors en premier, il y a le tout malheureux qui se montre pas trop. Lui, c’est plus celui qui reste dans son coin, qui est du genre à se lâcher quand il est avec sa psychologue tandis que lorsqu’il se trouve avec quelqu’un qu’il connait, il ne parle pas. Un muet presque. En venant ici, il essaie de se donner une raison. Il ne comprend pas pourquoi il est comme ça. En général, c‘est parce qu‘il lui manque un truc. Peut-être la présence d‘un père ou je ne sais quoi. Après, il y a le suicidaire. Lui, il veut en finir parce que sa copine la largué … Bon c’est des choses qui arrive. Mais lui, il était fou amoureux d’elle. Alors, il ne se voit plus vivre. Au final, bah c’est Vanille qui doit s’en occuper, comprendre ses agissements. Il en est à sa septième tentative. Un jour, il y arrivera vraiment. Vanille est là pour que cette chose n’arrive jamais. Puis, il y a le tout calme, toujours en train de sourire. D’ailleurs, parfois on se demande bien ce qu’il vient faire chez une psychologue. Bah lui, en général on lui conseille d’aller en consulter une. Mais il s’en fiche et il n’hésite pas à le faire comprendre à la jeune brunette. Celle-ci ne rentre jamais dans son jeu. Elle se contente d’exercer son métier en bonne et du forme. Évidemment, il y en a encore un bon paquet de profil comme ceux-là, mais beaucoup trop pour pouvoir tous les expliquer. Tout ça pour dire, qu’elle en ral le cul de son métier et qu’elle veut vite retourner à ce qu’elle sait faire le mieux : avocate. Défendre les gens qui ne sont pas coupable. Voilà ce qu’elle veut retrouver. Vanille a toujours été très doué pour se métier, elle suit les traces des membres de sa famille. La jolie brune a toujours eu de l’ambition dans la vie. Elle voulait avoir une grande carrière, pour n’avoir aucun problème dans une éventuel recherche pour d’autres emploie. Après tout, il faut tout essayer dans la vie. Mais finalement, en y repensant, avocate c’est ce qu’elle préfère. Bref, de ce côté-là sa ne va pas trop fort.
Aujourd’hui, Vanille avait plutôt envie de profiter un peu de sa journée, car c‘est son seul jours de repos. La psychologue a donc invitée deux trois copines à la maison histoire de se changer un peu les idées. Elle se prépare en début d’après-midi et enfile une petite tenue adéquate. Pas trop cliché non plus, mais stylé. Une robe saumon qui la rend encore plus jolie. Des chaussures à talons rose, qui complète assez bien la robe. Ainsi qu’un léger maquillage, simple, mais jolie. Une heure après, ces amies arrivent et c’est un début de journée qui s’annonce rudement magique. Les ragots, les potins, les rumeurs voilà de quoi est fait cette petite après-midi entre copines. Vanille en avait un peu marre d’écouter tout le temps le même discours alors elle propose à ses copines un petit jeu. C’est simple, une dizaine de petit verre se trouve devant elle, évidemment ils ne sont pas vide. Vanille y ajoute de la Tequila. Ensuite, il faut boire tous les verres cul sec le plus rapidement possible. Celle qui fait le meilleur score à gagner. C’est donc comme ça que se termine la soirée, jusqu’à ce que les amies décident de partir. Autant vous dire que le meilleur reste à venir. Vanille a un petit coup dans l’aile, mais rien de bien méchant. D’ailleurs, elle se trouve assez « sobre » pour prendre le volant. Seulement, en se retrouvant dans sa voiture, elle avait du mal à tourner la clef dans la serrure. Finalement, au bout de deux trois minutes elle y parvient. Mais un bruit étrange surgit du moteur alors elle se contente d’appeler un garage afin de voir les dégâts. Un quart d’heure après, une dépanneuse arrive devant chez la jeune femme et il se trouve que c’est son ami Jackson au volant de cette petite camionnette. « Eh bien sexy on a des ennuis ? Tu vas enfin me laisser regarder ton moteur... » dit-il la voix vicelarde. Vanille ne put s’empêcher de se mordillait la lèvre. Elle affiche un sourire, les yeux pétillant à cause de l’alcool. Jackson n’a encore jamais eu la chance de coucher avec elle et ce n’est pas maintenant que ça va arriver. Loin de là. Elle a beau être un peu saoule, elle n’est pas prête de faire quelque chose qu’ils pourraient regretter tout les deux. « Il faut croire … » dit-elle tout simplement en faisant allusion à son moteur et non pas aux sous-entendus du beau brun. Vanille avait l’habitude des petites réflexions du jeune homme et cela ne lui déplaisait pas pour autant. Elle a toujours apprécié Jackson, même un peu trop d’ailleurs. En tout cas, aujourd’hui elle serait capable du pire, même de coucher avec s’il continue de la draguer comme ça. Il ne faut pas oublier qu’elle n’est pas dans son état. Ce n’est pas la bonne Vanille qu’il a sous les yeux. « Hum.. désolé. Tu vas bien sinon ? » demande-t-il ensuite en s’excusant de sa petite « phrase de drague » d’avant. Elle lui affiche son plus beau sourire. Rien ne pouvait aller mieux aujourd’hui. D’habitude, Vanille boit que lorsqu’elle est invitée à un événement important ou alors quand elle a vraiment envie de déprimé et de se mettre mal. Mais là, ce n’était pas vraiment le cas et pourtant, elle ne s’est pas gêner. « Sans problèmes. Un peu trop bien ouais, trop bien et toi ? » demanda-t-elle à son tour. Elle avait cette petite voix de femme bourrée mais qui restait tout de même très sensuelle. Enfin de compte, même bourrée, Vanille reste la plus sexy. C’est une belle femme, il ne faut pas le nier. « Tu es jolie. » dit-il. C’est devenue une habitude de recevoir des compliments de sa part. Vanille fut plutôt heureuse de le savoir, même si elle le savait très bien, sans se vanter bien sur. Elle plaît à beaucoup d’hommes, elle a des atouts qu’elle parvient à mettre en valeur. Comme cette jolie robe saumon qui lui va à ravir. « Je te remercie beau brun. Tu n’es pas le premier à me le dire. » avoue-t-elle en se mordillant la lèvre. En effet, son facteur ce matin lui avait fait le même compliment. Ainsi qu’un de ses nombreux voisins. Enfin bref, toujours une beauté parfaite notre brunette. Elle s’approche légèrement de lui, sans vraiment le coller, mais presque … « Alors, tu as trouver la panne ? » dit-elle sur un ton provocateur. La jeune femme se redresse légèrement tout en le regardant droit dans les yeux. Ceux-ci pétillaient tellement que c’est limite si elle ne le voyait plus.
Le code règlement:
→ Code Ok by Hunter
Dernière édition par Matthew T. Harper le Jeu 27 Déc - 1:20, édité 9 fois
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: MATT ∆ Quand j'ai vu ta gueule, j'ai compris que Dieu avait le sens de l'humour. Mer 26 Déc - 22:43
double compte de lorenzo c. loris, acceptée par le staff.
Well... It's my story...
NEW-YORK, 2002 ▬ « Putain mais c’est quoi ce bordel !? » criait-elle a tout vas en entrant dans la chambre du petit Matthew. Ce petit bonhomme de dix ans allait déjà très loin. Il venait à peine de trouver une famille d’accueille qu’il foutait déjà le gros bordel dans sa chambre. Il partageait la même chambre que le petit garçon de cette famille anglaise, Nolàn qui s’appelle. Matthew ne l’apprécie pas vraiment, pour lui il n’existe pas. Oui, depuis qu’il grandit, Matt devient de plus en plus agressif avec tout le monde. Un caractère qui le poursuivra toute sa vie. Monsieur Harper a une mère, mais celle-ci est bien trop occupé à gérer son label de musique pour élever son fils. Cette dernière avait même des problèmes d’alcool à l’époque, ce qui fait que la garde du petit Matthew lui a très vite été retirée. Le père ? Aucune idée d’où il peut bien être. Matthew ne l’a jamais vu et en toute franchise, il ne sait même pas s’il existe encore. « T’as rien a faire dans ma chambre, barre-toi. » hurle-t-il en plein milieu de la pièce faisant retentir l’écho de sa voix. Malgré son jeune âge, Matthew a déjà pas mal de répondant, un langage vulgaire issu de son petit quartier à New-York où il traîne souvent. Il n’appelait pas cette femme maman, mais simplement « Nyny », issu du prénom Jenny. Il l’appréciait beaucoup car après tout elle a fait beaucoup pour lui mais il est déjà trop fier pour se l’avouer lui-même. Alors il se contente de faire de sa vie un enfer. Triste histoire. Le père de cette famille ? Il est militaire, quasiment jamais là. Il revient seulement lorsqu’il en a l’occasion, quelques fois pour les fêtes de noël et tout ça, mais rarement. Cette femme aime venir en aide aux jeunes dans le besoin, qu’il soit âgé de cinq mois, onze ans ou encore la majorité absolu en Amérique, vingt et un ans. « Tu me parles sur un autre ton, je ne suis pas ta copine ! Nolàn viens manger, c’est l’heure du dîner. Matthew aussi par la même occasion. » précise-t-elle avant de s’extraire de sa chambre suivit par le plus petit de la famille âgée de huit ans. Matthew n’avait pas mis un seul pied dans le salon de cette immense maison pour manger avec sa famille, non, il s’est contenter de rester planté devant son ordinateur à écouté de la musique dans son casque « beat » avant de rejoindre ses copains au Central Park.
« C’est quoi ça ? » dit-il en regardant son copain mettre quelque chose sur ses lèvres. On appelle ça une cigarette. Matthew n’a que dix ans et il va connaître une toute première erreur, celle de goûter à la clope. Son ami, qu’on va prénommer Lucas, fume depuis quelques jours suite à de mauvaises fréquentations, les mêmes que Matthew en parallèle. C’est ce jeune enfant qui va entraîner Matt dans ses exploits. « Essaie, tu verras. » A cet âge là, on écoute son cœur et surtout on fait en sorte de ne pas décevoir ses amies, alors Matthew récupère la cigarette de son ami et se mit a tirer une taffe dessus. Il recrache de suite la fumer et se mit a tousser quelques minutes après. Tout ses copains se mit à ricaner en lui disant : « T’es un gros naze ! » Évidemment, il n’a pas du tout aimer qu’on le traite comme ça. Et puis quoi encore. Alors, il lança un regard vraiment méchant et se mit à tirer une seconde latte, puis une troisième et ainsi de suite jusqu’à ce qu’il est consumer toute la cigarette. Sa tête se mit à tourner doucement, puis un peu plus jusqu’à ce que ça cesse. Il en avait mal au crâne mais malgré ça, il a relevé le défis alors sa fierté pris un grade. Il est heureux, ses potes sont content … c’est sa qui compte. Première cigarette et ça, il s’en souviendra toute sa vie. En rentrant du parc, il se retrouve nez à nez avec Jenny. Elle est planté devant la porte, les bras croisé. En tant que mère, elle ressentit aussitôt l’odeur suspecte de la cigarette. Elle s’approche de lui et n’hésita pas une seule seconde pour lui coller une baffe en pleine face. Il hurla de toute ses force qu’elle n'avait pas le droit de faire ça et il se réfugia dans sa chambre. Malgré tout, cela ne l’empêcha pas de continuer les jours à venir.
NEW-YORK, 2005 ▬ Le jeune homme a complètement changer en trois ans. En effet, il y a vraiment du souci à se faire. Jenny est convoqué dans le bureau du directeur du collège privée où il est inscrit. Qu’avait-il fait encore ? C’est la question que la jeune femme au foyer avait en tête tout le long du trajet. En arrivant, elle pouvait constater l’état physique du garçon, les mains couvert de sang avec un oeil au beurre noir. Elle salue le directeur honteuse du comportement de son fils. Elle ne sait pas réellement ce qu’il y a eu, mais elle sait déjà qu’il y est en parti pour quelque chose. « Madame, Matthew c’est montré violent envers un de ses camarades. Il la frapper à la figure à plusieurs reprises. Il ne souhaite pas communiquer. » La jeune mère en avait marre, marre de ce comportement agressif. Pourquoi est-il aussi fou à treize ans ? Elle ne comprenait pas. Elle tente de comprendre. « Pourquoi tu as fais ça ? » souffle-t-elle au petit bonhomme qui fronçait les sourcils gardant toujours les yeux fixés sur son directeur. Un regard provocateur, comme s’il allait lui sauter dessus. « Il m’a insulté de fils de pute ! » lâche-t-il instantanément. Là, les choses s’éclaircisse. Il est évident que si on le traite vulgairement et qu’en plus sa touche un membre de sa famille, Matt devient fou directement. Au final, la famille du blesser ont porté plainte pour coup et blessure. En effet, Matthew lui a casser le nez et également quelques côtes fêlées. Ce n’est pas pour autant qu’il s’en ai voulu. Il a envoyé ce petit à l’hôpital et c’est comme si ça ne lui faisait rien. Quand il l’a su, il a eu un sourire de satisfaction … étais-ce un défis de ses copains pour qu’il entre dans la « bande » ? Aucune idée. Mais cette histoire n’est pas finis.
A treize ans, c’est également l’âge assez « potable » pour un petit garçon d’avoir une copine. A vrai dire, il en voulait pas. Pour lui, les filles ne servent strictement à rien si ce n’est que faire le ménage, à manger, la lessive et ainsi de suite. La Conchita tout simplement, ce fut son point de vue à cet âge-là. Inquiétant. Malgré tout, une femme sa se respecte et c’est bien la seule qualité chez lui. Taper une femme ? Jamais il le ferait. Au collège, il y a cette fille qui n’arrête pas de lui tourner autour. Il la trouve plutôt jolie, mais elle est plus vieille que lui, bien qu’il fasse plus âgé que son âge. Elle a quinze ans et c’est avec cette fille-là qu’il aura son premier rapport sexuel. Oui, vous avez très bien compris. A treize ans il couche pour la première fois. Vous n’êtes pas au bout de vos surprises de toute manière. « Met un préservatif. » c’est ce qu’elle lui a dis en tout premier. Il ne sait pas ce que s’est, il n’en a jamais mit du moins il n’a jamais vraiment compris le système. Ok, il y a eu des cours là-dessus au collège mais à chaque fois il séchait les cours pour aller fumer avec ses copains au Central Park. Malgré tout, ce jour-là il s’en est très bien sortit. Il avait déjà vu des vidéos sur internet. Lucas lui avait montré. Contrôle parental ? Il n’était pas activé sur l’ordinateur des parents. Et puis, il y a également les magazines qui traîne dans les tiroirs. Autant dire, qu’il aura tout vu rien qu’avec son enfance. Il n’est même pas encore un adolescent et il connaissait tout les aléa de la vie par cœur.
NEW-YORK, 2007 ▬ Quinze ans, l’âge parfait pour avoir toute les filles à ses pieds. Et c’est bien le cas. Matthew entre dans un lycée et à peine arriver il se fait déjà un nom au sein de l’établissement. « The King » … oui, c’est bien le nom qu’on lui a donné dans cette enceinte. Il en était fier ! Aucun garçon ne venait lui casser les couilles. Il séchait les cours quand il en avait envie, il sortait avec toutes les filles qu’il voulait. Pour tout vous dire, il n’y en a aucune qui lui a vraiment été importante. Et oui, coureur de jupons renommée, Matthew couchait avec celle qu’il voulait sans les revoir le lendemain. Et pour tout vous dire, il s’est même taper une nanas de vingt ans alors qu’il n’en avait que quinze. Du grand n’importe quoi. Pour ce qui est de la famille, il ne voyait quasiment jamais Jenny ni même Nolàn. Toujours dehors à traîner avec ses copains. Il connaissait la débauche à présent. Il sortait tôt le soir et rentra parfois que le matin sans faire un bruit pour ne pas que sa mère se rende compte de ce qu’il vit actuellement. Lucas lui a fait goûter un nouveau truc. Du cannabis, de la beuh enfin tout les produits illicites de jeunes. Matt en fume depuis quelques mois maintenant et personne n’est au courant si ce n’est que son meilleur pote. Ils se défoncent tous les soirs et sorte dans les rues pour foutre le gros bordel. Jusqu’à ce qu’ils se fassent attraper. « C’est du shit que vous aviez dans vos poches ? » questionna l’inspecteur de police. Matthew venait de se mettre dans de sale draps et ce sera dur de rattraper ça près de Jenny. Il s’en veut pas, non, il s’en fiche. Bien trop fier pour assumer ses conneries, trop fier pour s’excuser du mal qu’il cause à tout le monde. Les flics n’ont pas perdu de temps pour contacter le responsable légal à deux heures du matin. Ce n’est qu’une demi-heure après qu’elle se pointa au commissariat avec Nolàn. « J’en ai ra-le-cul de tes putains de conneries Matthew ! » hurle-t-elle dans la pièce tout en lâchant une larme. Elle est malheureuse et surtout très mal de savoir qu’elle a échoué pour l’élever en tout dignité. Son moral en avait prit un coup et c’est à ce moment-là qu’il ressentit un peu de regret. Il a baisser la tête pour la toute première fois, triste d’avoir fait mal une fois de plus à cette femme qui a toujours tout fait pour lui rendre la vie simple. Cette histoire n’est pas finit, elle sera réglé devant un juge. Trois mois après, le voilà dans cette immense salle, entouré de pleins de monde. Il ne sait même plus où se mettre, mais dans tout les cas il restait courageux, déterminé et sans aucune émotions apparente. Le juge apparait et le bilan sera dicté quelques heures après. Résultat ? Un rappel à la loi sera donner. Juste ça. Enfin presque. En rentrant du tribunal, Jenny se stoppa derrière lui et se mit à parler. « Je ne veux plus de toi ici. Je ne suis plus capable de m’occuper de toi. J’ai fais tes valises, tu pars dans une heure. » Matthew resta sans voix. Il avait était honteux avec elle, il lui a fait empirer les pires choses et encore, cela n’est pas terminée pour lui. La seule chose qui lui vint à l’esprit et : " où est-ce que je vais aller ? " c’est simplement ça.
NEW-YORK, 2009 ▬ La question que tout le monde se pose est : Où est-il aller ? Matthew a vécu dans la rue pendant quelques mois. Jusqu’à ce qu’il se fasse une raison et qu’il trouve un moyen pour vivre autre part que dans les rues. Au final, il se rend chez sa mère qui habite à l’autre bout de la ville. Il ne sait pas comment elle allait réagir, mais il ne pouvait pas rester dehors comme ça. De plus, l’hiver approchait de plus en plus. « Qu’est-ce que tu fous là ? » dit-elle après avoir ouvert la porte de cette jolie maisonnette. Matthew la regarde un peu plus intensément, le visage ravagé par la saleté. Elle ne pouvait pas non plus renier son fils et le laisser dehors. Alors elle se contente de le laisser entrer. « Je vais prendre un douche, je t’explique après. » Il ne voulait pas chercher plus loin, il a juste besoin de se laver, d’être propre et de sentir le gel douche sur sa peau. Il y resta bien deux heures, à en sortir avec les doigts plissés par l’eau du bain. Il se sentait mieux, c’est le plus important. Sans suit, une très longue discussion avec sa mère qui durera bien une heure grand maximum. Au final, elle l’héberge, mais en échange elle veut qu’il fasse des études. Matthew allait en cours ? Ironique. Et pourtant, à son grand étonnement il accepte. C’est donc avec assurance qu’elle lui paiera ses études à l’université de New-York. Matt ne manquera donc de rien par la suite. Malgré tout, son comportement, son caractère restera toujours le même. Cela empirera avec le temps. Matthew n’a pas perdu ses habitudes, même s’il ne voit plus ses potes, il fume toujours autant et même dix fois plus. Alors qu’il jouait à la console de jeux, son attention pour le jeu cessa. Il entendit un coup de klaxonne dans la cours et il vit un petit garçon, cheveux blond, environ sept ans sortir de cette voiture. Ainsi qu’un homme vêtu d’un costard cravate et de lunettes en plein hiver. Matthew en profite pour descendre et se retrouve avec ce petit bonhomme. Le même que lui quand il avait son âge. « Alors c’est toi mon grand-frère ? » dit-il en s’approchant de lui. Matthew ne comprenait pas, mais la réponse est simple. Ce petit bonhomme est le fils de sa mère et d’un autre homme. Il a huit ans et il s’appelle Aaron. Une nouvelle qui bouleversera le quotidien de l’adolescent. Finalement, entre eux le courant passe plutôt bien d’ailleurs, Matt en profite même pour lui apprendre deux trois bêtises.
NEW-YORK, 2012 ▬ Trois ans ce sont écoulé depuis qu’il a apprit l’existence de son petit-frère de huit ans. Il est plutôt content de le savoir et surtout d’apprendre à le connaître. Plus les jours passent et plus ils s’entendent à merveille. Autant dire qu’Aaron a exactement le même caractère que le jeune homme. Ensemble ils ne font qu’un. Ce qui n’est pas très favorable pour la mère. Malgré tout, elle se contente de les élever comme elle le peut tout en leur offrant ce qu’ils souhaitent. Matthew est entrée à l’université à ses dix-huit ans, cela fait maintenant deux ans qu’il y est et il s’en sort plutôt bien. Enfin c’est ce que sa mère pense. En réalité, sa se passe très mal. Il n’est pas souvent en cours, mais lorsqu’il y est c’est pour foutre le bordel, ces notes sont catastrophique et le bulletin du trimestre est plutôt comique. « monte sur sa table, baisse son pantalon et crie vive l’Amérique » ou encore « s’amuse à mettre son tube de colle dans sa bouche au lieu de coller une feuille dans son cahier. » des appréciations inutiles et qui apparaissent tout de même dans le bulletin. Matthew est toujours le même est les choses ne risque pas de changer. Pareille avec les filles, c’est un goujat. Il les traite comme des moins que rien. Il couche avec elles et se casse le lendemain sans donner signe de vie. Typique d’un comportement de mec de toute manière. Seulement voilà, ça fait maintenant quelques jours qu’il a quelque chose en tête. Quelque chose qui ne veut pas partir, comme si c’était encrée dans son crâne. Il a vu cette fille pour la première fois dans un bar. Elle l’avait complètement hypnotisé, mais étais-ce un coup de foudre ou simplement une forte attirance physique ? Matthew ne saurait l’expliquer. Depuis, il a réussit à l’aborder. Elle s’appelle Blaise, elle est comme lui. Enfin presque comme lui. Ils sont devenues très proche, Matt a pas mal tenter de se la faire, d’essayer de la mettre dans son lit mais elle le repousse à chaque fois. Cela ne le dégoûte pas. Au contraire, elle lui résiste et c’est ça qui fait qu’il persiste toujours avec elle. Il ne sait pas ce qu’il veut d’elle … il n’en a aucune idée. Matthew n’a jamais été amoureux, ce n’est pas maintenant que sa doit arriver. Est-ce de l’amour lorsqu’on voit une fille souffrir à cause d’un autre garçon, que cela nous inquiète et qu’on aimerait l’aider ? Voir Blaise dans un si mauvais état à cause de son ex, Jack, sa rend Matt furieux. Ce dernier est fou dans sa tête, il peut vraiment devenir violent. Un tueur en série … tout ce que vous voulez. Quand je vous dis qu’il est fou, c’est qu’il l’est. Il ne faut pas prendre cela pour de la rigolade. Blaise est importante pour lui, c’est tout ce qu’il arrive à comprendre.
Dernière édition par Matthew T. Harper le Jeu 27 Déc - 0:49, édité 13 fois
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: MATT ∆ Quand j'ai vu ta gueule, j'ai compris que Dieu avait le sens de l'humour. Mer 26 Déc - 22:53
Rebienvenue à toi ! Superbe prénom et superbe avatar !
Dernière édition par Carel L. Warren le Mer 26 Déc - 22:56, édité 1 fois
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: MATT ∆ Quand j'ai vu ta gueule, j'ai compris que Dieu avait le sens de l'humour. Mer 26 Déc - 22:56
Son tatouage est juste magique :brigitte: Rebienvenuuuue
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: MATT ∆ Quand j'ai vu ta gueule, j'ai compris que Dieu avait le sens de l'humour. Mer 26 Déc - 22:57
Re-Bienvenue parmi nous Bon courage pour ta fiche
Dernière édition par Dylan L. Cooper le Mer 26 Déc - 23:44, édité 1 fois
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: MATT ∆ Quand j'ai vu ta gueule, j'ai compris que Dieu avait le sens de l'humour. Mer 26 Déc - 22:57
Merci les filles
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: MATT ∆ Quand j'ai vu ta gueule, j'ai compris que Dieu avait le sens de l'humour. Mer 26 Déc - 22:59
Bienvenue sur NYCL
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: MATT ∆ Quand j'ai vu ta gueule, j'ai compris que Dieu avait le sens de l'humour. Mer 26 Déc - 23:07
Merci Juliano
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: MATT ∆ Quand j'ai vu ta gueule, j'ai compris que Dieu avait le sens de l'humour. Mer 26 Déc - 23:12
Bienvenuuue
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: MATT ∆ Quand j'ai vu ta gueule, j'ai compris que Dieu avait le sens de l'humour. Mer 26 Déc - 23:21
Meeeeerci
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: MATT ∆ Quand j'ai vu ta gueule, j'ai compris que Dieu avait le sens de l'humour. Mer 26 Déc - 23:30
T'es sur que t'es totalement hétéro ?
Rebienvenue
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Sujet: Re: MATT ∆ Quand j'ai vu ta gueule, j'ai compris que Dieu avait le sens de l'humour. Mer 26 Déc - 23:33
Oui, totalement sur d'ailleurs si ton perso est homo, tu peut-être sur qu'ils ne s'entendront pas
Meeeeeerci autrement
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Sujet: Re: MATT ∆ Quand j'ai vu ta gueule, j'ai compris que Dieu avait le sens de l'humour. Mer 26 Déc - 23:34
Il l'est pas totalement. Juste à 95%
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Sujet: Re: MATT ∆ Quand j'ai vu ta gueule, j'ai compris que Dieu avait le sens de l'humour. Mer 26 Déc - 23:38
Rebienvenuuuuuuuuuuuue! Bonne chance pour ta fiche Malheureusement, je m'absente pendant trois jours donc je saurais te valider mais plus tard.
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Sujet: Re: MATT ∆ Quand j'ai vu ta gueule, j'ai compris que Dieu avait le sens de l'humour. Jeu 27 Déc - 0:08
rebienvenue à toi & bon courage pour ta fiche
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Sujet: Re: MATT ∆ Quand j'ai vu ta gueule, j'ai compris que Dieu avait le sens de l'humour. Jeu 27 Déc - 0:29
Bienvenue
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: MATT ∆ Quand j'ai vu ta gueule, j'ai compris que Dieu avait le sens de l'humour. Jeu 27 Déc - 0:32
@iron; tu seras certainement déçu de savoir qu'il a caractère de merde, un comportement de merde et que les homos il les déteste; autrement dit il est homophobe.
@blaise; de toute manière, ma fiche sera surement terminée ce soir voir demain dans la matinée ou début d'après-midi. si tu as l'occasion de me valider le plus vite possible sa serait bien, mais sinon je saurais être patiente et te faire un sujet pour ton retour digne de ce nom. par contre je suis triste, j'ai plus de place dans mon second poste pour l'histoire, j'aurais du en faire un autre au cas où encore merci pour ton accueille et surtout pour avoir créer ce scénario du tonnerre
merci serena & mike
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Sujet: Re: MATT ∆ Quand j'ai vu ta gueule, j'ai compris que Dieu avait le sens de l'humour. Jeu 27 Déc - 0:42
Welcome
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Sujet: Re: MATT ∆ Quand j'ai vu ta gueule, j'ai compris que Dieu avait le sens de l'humour. Jeu 27 Déc - 0:43
pas de soucis j'essayerai mais je promets rien
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Sujet: Re: MATT ∆ Quand j'ai vu ta gueule, j'ai compris que Dieu avait le sens de l'humour. Jeu 27 Déc - 0:51
merci adama
j'ai déjà terminé l'histoire, il me reste plus cas faire le reste et c'est bon
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Sujet: Re: MATT ∆ Quand j'ai vu ta gueule, j'ai compris que Dieu avait le sens de l'humour. Jeu 27 Déc - 0:51
Matthew T. Harper a écrit:
@iron; tu seras certainement déçu de savoir qu'il a caractère de merde, un comportement de merde et que les homos il les déteste; autrement dit il est homophobe.
Ne lui dit surtout pas, il serait capable de le provoquer exprès. :brigitte: Tu as un caractère de merde, mais Iron c'est le roi de la provoc
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Sujet: Re: MATT ∆ Quand j'ai vu ta gueule, j'ai compris que Dieu avait le sens de l'humour. Jeu 27 Déc - 0:53
Matt est fou dans sa tête (a) il serait capable de faire un meurtre alors attention quand tu le provoquera
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Sujet: Re: MATT ∆ Quand j'ai vu ta gueule, j'ai compris que Dieu avait le sens de l'humour. Jeu 27 Déc - 0:57
Mec, il nous faut un lien, histoire de faire profiter NY de nos étincelles. Je laisse ta fiche en paix
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Sujet: Re: MATT ∆ Quand j'ai vu ta gueule, j'ai compris que Dieu avait le sens de l'humour. Jeu 27 Déc - 1:26
Re-bienvenue
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Sujet: Re: MATT ∆ Quand j'ai vu ta gueule, j'ai compris que Dieu avait le sens de l'humour. Jeu 27 Déc - 1:33
Merci
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Sujet: Re: MATT ∆ Quand j'ai vu ta gueule, j'ai compris que Dieu avait le sens de l'humour.
MATT ∆ Quand j'ai vu ta gueule, j'ai compris que Dieu avait le sens de l'humour.