Sujet: On envahit Berlin, ensuite on encercle la Pologne et on crie « surprise » ! Mer 9 Jan - 18:30
FEAT. HUGH JACKMAN
Charlie Wyatt Hopper
40 ans → Né au Kansas le 20/04/1973 → Propriétaire d'un bar, ancien Marines. divorcé → bisexuel → membre des Populars.
And who am i ?
★Quelles sont tes caractéristiques? → Charlie a plusieurs tatouages, répartis sur tout le corps, représentant tantôt la tête d’un tigre, tantôt des symboles grecs, ou encore une plume d’oie – il est allergique aux noix de pécan et aux pétales de rose - il n’a aucun piercing – a tendance à fuir la conversation dès qu’elle aborde un peu trop le thème ‘sentiments’, étant donné qu’il n’est pas doué dans ce registre – il a une peur panique des papillons – il s’habille de façon sobre et chic : rarement en costard cravate, mais un jean, et une chemise repassée, c’est le minimum – il porte un bracelet en métal autour du poignet gauche, et un médaillon d’identité de l’armée, dans son cou – il déteste les couleurs trop vives : rose, jaune, orange… - il préfère les chiens aux chats – s’il trouve un pédophile sur sa route, il le tuera sans hésiter – il a été champion de boxe, non décoré – il n’aime pas l’odeur de a cigarette – il protège farouchement sa vie privée et intime – il aimerait être père – il est gaga des bébés mais nul ne le sait – son plat préféré est la lasagne – il mesure 1m85/90, pèse dans les 110 kg (que du muscle) et a une carrure d’ours qui impressionne toujours – il n’aime pas avoir les cheveux trop courts, ni trop longs – il pratique régulièrement une activité physique pour se maintenir en forme – lorsqu’il est attiré par une personne, il la repousse au lieu de chercher à la séduire. Ne sait pas s’y prendre avec hommes et femmes – il assume sa sexualité, mais refuse de la partager avec un monde encore trop archaïque à son goût – il n’aime pas la menthe mais adore l’anis – devient difficilement contrôlable, une vraie boule d’énergie, lorsqu’il a trop bu – il est athé - il est très bricoleur et manuel … etc.
★Quel est le caractère de ton personnage? → Le premier terme que l’on pourrait utiliser pour qualifier Charlie est ‘bourru’. On aurait presque l’impression de s’adresser à un mur, par moments. Il ne parle que lorsqu’il en a envie, et se montre très franc, parfois même blessant vis-à-vis de son entourage, même ses propres amis. Il n’y a qu’envers les enfants qu’il semble faire un effort de sociabilité. Il est macho, envers garçon et fille, et ce, malgré sa sexualité et n’hésite d’ailleurs pas à prouver sa dominance sur autrui. Il n’est pas très patient, quelque soit la situation, et règle le problème vite fait bien fait avant qu’il ne s’envenime. On appelle ça ‘crever l’abcès’, je crois. Il ne rougit qu’en de très rares occasions, et lorsque ça se produit, il vous fuira aussi sec pour éviter de se perdre dans sa confusion. Très solitaire, passer des jours, voire des semaines loin du monde ne le dérange absolument pas. Il est très juste, au sens où il punira lui-même quiconque commettra une injustice. Ce n’est pas un très bon cuisinier. Preuve en est qu’il a failli faire exploser sa propre cuisine, plus d’une fois. Il n’est pas romantique en soit, et pourtant, sait très bien montrer son affection ‘gestuellement’ lorsqu’il en fait l’effort. Evitez de le critiquer au sujet de la cicatrice qu’il a sur le torse, il est très susceptible. Pudique également, puisqu’il se rend rarement à la plage. Il est extrêmement prévenant et attentionné pour sa famille ou ses amis, même si ceux-ci ne sont pas forcément au courant. Il est cultivé, et emprunte régulièrement des bouquins à la bibliothèque, alors qu’au contraire, certains domaines (politiques, artistiques, cuisines) lui sont complètement étrangers.
Well... It's my story...
Pas de faits marquants concernant sa naissance. Ses parents n’étaient pas des gens très riches, d'ailleurs, tout le village ne l'était pas à l'époque. Lorsqu'un accident arrivait, chacun faisait avec les moyens du bord. Les gens de la vieille Angleterre avaient conservé une part de paranoïa vis à vis des nouvelles technologies grandissantes. Vis à vis du monde en général. Ils fuyaient tous les grandes villes. Charlie Wyatt Hopper est né dans un petit village perdu au fin fond du Kansas. Il n’a pas connu ce qu’on peut appeler le ‘confort’. Lui a dû travailler et se battre pour y arriver. C’était lui qui ramenait les seaux d’eau le soir chez lui pour que sa famille puisse boire et se laver. C’était lui qui donnait à manger aux maigres volailles qui traînaient dans le poulailler. Lui encore qui devait se lever tôt pour aider son père à faucher le blé, à ramener la terre des champs ou aller au village avec leurs quelques maigres récoltes pour la vente mensuelle. Non, Charlie n’avait jamais vécu dans l’opulence. Pourtant, il s’y était fait à cette vie difficile. Même si ses parents, après avoir donné vie à trois autres enfants, tous de sexe masculin, manquaient cruellement à leur devoir, et les traitaient aussi durs que le bétail qu’ils élevaient. A 18 ans, avide de découvrir un monde qu’on avait cherché à lui dissimuler toute sa vie, Charlie quitta la ferme familiale, non sans un léger pincement au cœur en songeant à ses jeunes frères qu’il laissait derrière lui. « On se reverra. » fut sa dernière promesse, juste après qu’il leur ait donné ses derniers sous, car ils avaient travaillé suffisamment pour économiser pour son voyage, depuis deux ans, afin qu’ils puissent eux aussi, un jour, quitté cet enfer de la vie rurale. Hélas, par cet inconfort, et le fait que ses parents ne l’aient jamais envoyé à l’étude, Charlie ne savait travailler que de ses mains, et n’avait aucun diplôme en poche, lorsqu’il arriva à la ville. La vie à la ferme n’était pas des plus aisées, et heureusement, elle avait formé un jeune homme tout juste majeur solide comme un chêne, apte à encaisser sans chuter au premier coup porté. Ce fut sans doute la raison pour laquelle il choisit une voie dangereuse, mais plus à même de l’aider à gagner sa vie. Au moins au départ. Il arracha l’article de journal, et le fourra dans sa poche ce jour-là, s’apprêtant à se rendre au lieu de rendez-vous, à son premier entretien, entre hommes. Bientôt, il se fit un nom dans le métier. « Charlie » n’étant pas très prestigieux comme nom de scène, on le dénomma ‘Ice’, référence à son air blasé, à son calme olympien lorsqu’il portait des coups à son adversaire. Un vrai glaçon. Réfrigérant. Pendant ce temps, sa vie privée avançait. Péniblement. Il n’avait jamais couru derrière les filles, même s’il n’ignorait pas que sa carrure d’ours plaisait à beaucoup. Il ne sut exactement comment l’affaire s’était déroulée cette année-là, mais il eut le béguin pour une toute autre personne. Un homme. Un jeune boxer de son club, de 2 ans son aîné. Nul, pas même son entraînement n’a jamais rien sur de cette relation naissante. Ils se voyaient rarement. Souvent après les matchs. De baisers échangés, à des caresses prolongées, il eut son premier flirt, son premier amour. Ce qu’il y a de plus ironique pour lui étant que ce ‘jeune’ avait bien plus d’expérience que lui en la matière. Il lui apprit tout ce qu’il devait savoir. Ne pas avoir honte de cette passion interdite, ne pas écouter les rumeurs, lui qui avait longtemps pensé qu’il avait un problème, qu’il devait se faire soigner pour éprouver de l’attirance pour le même sexe que lui. Ils vécurent ainsi un an, se rencontrant toujours à l’abri des regards, se destinant même à devenir un jour, de grands boxers professionnels. Il avait toujours eu davantage d’ambition que son aîné. Et ce fut ce pour quoi, ils se séparèrent brutalement, lorsque Charlie quitta l’un de ses combats, après avoir appris que celui-ci avait été truqué. Il n’aimait pas les mensonges, l’hypocrisie. Le fait que les médias commençaient à s’intéresser un peu trop à sa vie privée avait aussi grandement joué dans sa décision de quitter le club. Incompréhensif devant les scrupules de Charlie, son petit-ami le quitte donc, le jour suivant, après une dispute qui avait duré toute une nuit entre les deux hommes. Charlie a eu énormément de mal pour se remettre de cette rupture. Il l’aimait. Il avait été le premier. Le seul. Il lui aurait tout donné.
A 23 ans rompu aux combats, le courage et le self-control nécessaires, l’amenèrent à s’engager dans l’armée. Plusieurs entraînements, des nuits blanches, des grincements de dents, mais il parvint à son objectif après 10 ans de travail acharné. Parmi les meilleurs. Il avait toujours aimé les sensations fortes, l’adrénaline. Ce pour quoi il n’avait pas choisi une formation au hasard. Il avait voulu être parmi les MARINES. Ces officiers qui n’ont peur de rien, casse-cou, qui n’hésitent pas à aller au devant du danger. Il vécut quelques guerres. Dans les pays d’Orient notamment. Pour celui qui avait voulu oublier son passé, ses déboires sentimentaux, il vit suffisamment d’horreurs au cours des dernières années pour lui passer toute envie d’être au combat. Il avait été patriote pendant près de vingt ans. Il se rendait compte aujourd’hui qu’il avait oublié de vivre. Pour lui. De fonder une famille, d’avoir un job stable qui ne risquait pas de le faire tuer à chaque fois qu’il tournait le dos … Pourtant, au sein de cette même armée, au cours de l’une de ses batailles, il avait fait la connaissance de celle qui allait partager sa vie pendant près de deux ans. Ils s’étaient mariés. Trop vite. Il n’y avait eu que deux témoins, le sien, et celui de son épouse. Peut-être était-ce cette absence de ‘forme’, qui l’avait dérangée ? Ils n’avaient jamais été sur la même longueur d’ondes. Il aurait dû la quitter dès le départ, me direz-vous. Mais la peur de finir seul l’avait rendu égoïste et acerbe. Finalement, à 35 ans, elle demanda le divorce. Oh, il n’en était pas fier, sachant pertinemment qu’il n’avait pas su la rendre heureuse, pas complètement, pendant ces deux années. Mais il n’était pas non plus aussi malheureux qu’un mari aimant aurait été à sa place. Installé à New-York, parce qu’ils avaient malgré tout songé à des projets d’avenir, à fonder un foyer le temps que dura leur mariage, chacun alla de son côté. C’est ici-même que Charlie fit l’acquisition d’un local qui allait devenir, un an plus tard, l’une des boîtes de nuit les plus en vue de la ville. Mais encore une fois, son indécision et son côté aventurier le rattrapèrent. La boîte fut fermée, à peine un an après son ouverture, pour un projet de bar qui cette fois, était destiné à rester intact. Voilà trois ans maintenant que Charlie en est le propriétaire. Il s’est fait de nombreux contacts dans le métier. Le bar a peu à peu pris de la hauteur. Passant du stage de simple service de boissons, à de jeunes artistes, souvent méconnus, qui offraient des spectacles le temps d’un soir. Au simple barman à des serveurs et serveuses qui parcouraient la salle. Une ambiance bonne enfant. Une odeur de nostalgie. Ce bar, c’était sa famille. A défaut d’une autre.
C’était à cette époque qu’il fit la connaissance d’un jeune garçon. Il venait de fêter ses vingt-trois printemps. La nuit était fraîche, il pleuvait ce jour-là, ou pas. J’ai du mal à me rappeler. Quoiqu’il en soit, dès qu’ils m’ont vu, ils ont déguerpi. Deux idiots qui devaient avoir le même âge que … Lucas. C’était son nom. Lorsque je l’ai vu par terre, blessé, mon sang ne fit qu’un tour. Je devais retrouver ces types. Ce n’était pas de la vengeance, c’était … instinctif. Lucas me regardait, pendant que j’appelais des secours. Je lui serrais la main, et l’avait même transporté dans mes bras jusqu’à la petite terrasse d’un restaurant, fermé à une heure aussi tardive. J’étais resté avec lui, tout le temps que l’ambulance arrivait. Je lui murmurais de tenir bon. J’avais même prié un dieu dont j’ignorais le nom, de le garder auprès de moi. Que s’était-il passé ? J’étais en train de m’enticher d’un gamin de treize ans mon aîné. Voilà ce qui se passait. Ma raison me criait de lutter, de m’interdire cette relation, comme par le passé, qui me ferait sans doute autant souffrir, mais la lueur d’espoir, l’envie surtout, de le connaître, de partager sa vie, même un aigre instant, avaient été plus fortes. C’est ainsi que l’on fit connaissance, juste assez, le temps qu’il se rétablisse, et que je ne disparaisse dans la nature, pour ne le revoir que deux ans plus tard. J’avais espéré qu’il eut fondé une famille, qu’il m’eut oublié, mais lorsque je croisai à nouveau son regard, celui-là même qui m’avait troublé, je sus que tout allait recommencer. Il était venu postuler dans mon bar, pour la place de serveur. Je fis mon possible pour le rejeter, être indifférent, brutal même. J’avais tout fait pour le dégoûter du métier, de l’homme qui allait pourtant devenir son futur patron. Hélas, il était aussi borné que moi, ce gamin. Aujourd’hui, notre relation est encore plus froide que par le passé. Parce qu’une fois, rien qu’une fois, nous avions failli … échanger un baiser. L’un de mes hommes est entré. Tout s’est effondré. Depuis j’ai du mal à lutter. J’espère, au fond de moi, mais je crains d’être rejeté, ou de souffrir. Je sais que si cela devait se reproduire, je ne serais définitivement plus le même homme.
my little secret
★Ton prénom ou ton pseudo & ton age → Bob l'Eponge, vous m'avez pas reconnu ? ★Comment es-tu arrivé(e) ici ? → Euh... par avion ? Bazzart m'a aidé. ★Ce personnage est-il un double compte ? → Nop. ★Présence sur le forum → Cela dépend des cours mais je dirais au moins deux fois par semaine. ★Personnage inventé ou scénario ? → Scénario de Lucas E. Nikita ★Crédit images → Bazzart.
Mon exemple de RolePlay:
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Tout le gratin de la société, et non pas seulement américaine, avait été convié à cette soirée. Des hommes et femmes d’affaires, des politiciens, des avocats, des idéalistes, des connaissances, des amis … tout un pan du monde qui ne côtoyait que la luxure à longueur de journée, s’était dit ‘oui’ pour ce gala de charité. Son but : obtenir des fonds à l’association créée par James O’Malley, milliardaire et business man de son état. Une association qui venait en aide aux violences faites aux enfants de par le monde, notamment aux Etats-Unis, là où elle était implantée. Bien loin d’être l’un de ces avares matérialistes et aigris, James voulait … changer le monde. Rien que cela. Il donnait de son argent, de son temps, de son intellect, pour qu’un jour, sa propre enfant puisse vivre dans ce monde-là. Sauf que le problème résidait et résiderait sans doute toujours dans les fonds. Voilà pourquoi il avait fait dire qu’il donnait une soirée de bienfaisance chez lui, dans son propre château. Il y avait aussi des journalistes. Des vautours armés de caméras qu’il avait choisi sur le volet en leur faisant promettre de pouvoir rester et photographier qui bon leur semblerait, à condition de se tenir à carreaux et de ne pas déranger les invités. D’ordinaire, James les méprisait. Mais il savait aussi, en homme d’affaires, que c’était par le biais de la publicité que son association se ferait connaître. Sans compter qu’il pourrait lui-même mettre un frein à ce qu’ils filmeraient au cours de la soirée si cela ne lui allait pas. De la publicité choisie, comme on dit.
Passant dans les rangs, saluant et serrant ici et là des mains familières ou non, le milliardaire veillait constamment à ce que la soirée se passe conformément à ses directives. Une fois son tour de piste effectué, notre homme se dirigea vers le buffet, dressé dans le grand salon. Il ne l’avait pas entendue venir, mais à sa voix, il s’était légèrement détourné du Mojito qu’il s’apprêtait à prendre en main, pour la détailler de haut en bas, en toute discrétion. « Vraiment ? Et bien je vais suivre votre conseil, en ce cas. » répondit le milliardaire en empoignant sa coupe, le sourire aux lèvres, et en lui proposant un autre verre par pure convention. Qui était cette jeune femme ? L’une de celles qu’il avait croisée sans voir, sûrement. Une connaissance, peut-être ? Non, il ne l’aurait pas oublié. Et je ne vous parle pas ici de sa nature conservatrice à l’égard des femmes, mais de son excellente mémoire visuelle. « Enchanté, mademoiselle. » Non, il n’avait pas oublié de se présenter. Il allait même le faire, lorsque son commentaire lui fit réfléchir, et de répondre, amusé, sur le même ton désespéré. « Hélas, je crains moi-même de ne pas connaître le quart des personnes qui est ici ce soir… » Son patron ? Elle ne travaillait donc pas à son propre compte. D’ailleurs, en la dévisageant plus attentivement, elle ne paraissait pas faire partie de la catégorie très sélecte des femmes d’affaires. Trop …classique, dans sa manière de se vêtir, sans que cela soit une forme de reproche, loin de là. « Et qui est votre patron, si je puis me permettre ? » Sans vouloir être indiscret, mais c’était la seule façon viable de savoir à qui il avait affaire. Quant à elle, elle allait bientôt le découvrir, si elle ne le savait déjà. Non, apparemment pas, auquel cas, elle ne se serait pas présentée avec autant de désinvolture. « Pour ce qui est des commodités, il me semble qu’elles se trouvent au second étage. » poursuivit James en buvant une gorgée de Mojito. Si elle avait remarqué la distinction de ses vêtements, lui s’arrêtait plutôt sur ses traits. Une femme franche, il était prêt à le parier. Naturelle dans tous ses faits et gestes. Bien loin de ces paons apprêtés qu’il avait invités ce soir. En clair, sans la connaître, il l’appréciait déjà.« Et connaissez-vous notre hôte ? Etes-vous l'une de ses amies ? » Non, ce n’était pas très correct de parler de lui à la troisième personne et de vouloir découvrir ce que les autres pensaient de sa personne. Mais il était toujours bon de savoir l’opinion que l’on se fait de vous, n’est-ce pas ? Surtout au vu de son statut social qui ne lui permettait aucune erreur de jugement. Ses ennemis étant bien trop nombreux pour en faire une liste exhaustive.
Le code règlement:
→ hell yeah by j.
Dernière édition par Charlie W. Hopper le Ven 11 Jan - 8:22, édité 11 fois
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Sujet: Re: On envahit Berlin, ensuite on encercle la Pologne et on crie « surprise » ! Mer 9 Jan - 18:33
Le scénario de Lucas. Bienvenue & bonne chance pour ta fiche.
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Sujet: Re: On envahit Berlin, ensuite on encercle la Pologne et on crie « surprise » ! Mer 9 Jan - 18:37
OUAAH, ton vava ... :brigitte: Merci beaucoup.
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Sujet: Re: On envahit Berlin, ensuite on encercle la Pologne et on crie « surprise » ! Mer 9 Jan - 18:40
Bienvenuuue
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Sujet: Re: On envahit Berlin, ensuite on encercle la Pologne et on crie « surprise » ! Mer 9 Jan - 18:42
Vous avez tous de magnifiques avatars, en fait. Merci !
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Sujet: Re: On envahit Berlin, ensuite on encercle la Pologne et on crie « surprise » ! Mer 9 Jan - 18:42
Charlie W. Hopper a écrit:
OUAAH, ton vava ... :brigitte:
Tiera fait son effet. Me gusta.
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Sujet: Re: On envahit Berlin, ensuite on encercle la Pologne et on crie « surprise » ! Mer 9 Jan - 18:46
Dommage que mon coeur soit déjà pris ...
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Sujet: Re: On envahit Berlin, ensuite on encercle la Pologne et on crie « surprise » ! Mer 9 Jan - 18:48
Tout se négocie... Message pour Lucas: joke, don't worry.
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Sujet: Re: On envahit Berlin, ensuite on encercle la Pologne et on crie « surprise » ! Mer 9 Jan - 18:52
Ah, parce qu'il est jaloux mon p'tit Lucas, en plus ? C'est bon à savoir.
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Sujet: Re: On envahit Berlin, ensuite on encercle la Pologne et on crie « surprise » ! Mer 9 Jan - 18:54
Il doit l'être je pense. Bon, j'arrête de flooder. Bonne chance pour ta fiche.
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Sujet: Re: On envahit Berlin, ensuite on encercle la Pologne et on crie « surprise » ! Mer 9 Jan - 19:12
bienvenue coooool l'homme de mon cousin il va être content !
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Sujet: Re: On envahit Berlin, ensuite on encercle la Pologne et on crie « surprise » ! Mer 9 Jan - 19:29
Bienvenue parmi nous et bon courage pour ta fiche.
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Sujet: Re: On envahit Berlin, ensuite on encercle la Pologne et on crie « surprise » ! Mer 9 Jan - 19:32
bienvenuue parmi nous & bon courage pour ta fiche.
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Sujet: Re: On envahit Berlin, ensuite on encercle la Pologne et on crie « surprise » ! Mer 9 Jan - 19:38
Bienvenue
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Sujet: Re: On envahit Berlin, ensuite on encercle la Pologne et on crie « surprise » ! Mer 9 Jan - 19:49
Merci beaucoup à tous
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Sujet: Re: On envahit Berlin, ensuite on encercle la Pologne et on crie « surprise » ! Mer 9 Jan - 19:57
ahah le titre j'ai juré les gens sont fous bienvenue à toi & bon courage pour ta fiche si tu as des questions n'hésite surtout pas, & si tu as le temps n'hésite surtout pas à passer sur la chatbox pour te familiariser avec les membres
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Sujet: Re: On envahit Berlin, ensuite on encercle la Pologne et on crie « surprise » ! Mer 9 Jan - 19:57
Bienvenue parmi nous Bon courage pour ta fiche
Hugh
Cheyenne L. Pearson
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if you're going through hell, KEEP GOING.
▌INSCRIT LE : 14/01/2012
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▌ADRESSE : 2515 Lexigton Avenue #402; Manhattan.
▌CÉLÉBRITÉ : Freida Pinto.
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Sujet: Re: On envahit Berlin, ensuite on encercle la Pologne et on crie « surprise » ! Mer 9 Jan - 20:40
tu vas faire un heureux Bienvenue chez nous !
bob quoi
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Sujet: Re: On envahit Berlin, ensuite on encercle la Pologne et on crie « surprise » ! Mer 9 Jan - 20:45
Bienvenue à la maison
C'est sur, j'en connais un qui va être heureux
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Sujet: Re: On envahit Berlin, ensuite on encercle la Pologne et on crie « surprise » ! Mer 9 Jan - 20:49
Welcome
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Sujet: Re: On envahit Berlin, ensuite on encercle la Pologne et on crie « surprise » ! Mer 9 Jan - 22:51
Hugh Jackman =D
Bienvenue !
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Sujet: Re: On envahit Berlin, ensuite on encercle la Pologne et on crie « surprise » ! Mer 9 Jan - 23:09
Bienvenue!
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Sujet: Re: On envahit Berlin, ensuite on encercle la Pologne et on crie « surprise » ! Jeu 10 Jan - 0:30
Bienvenue !
donc Lucas n'est pas spécialement jaloux LOL mais n'apprécie pas que son homme va voir ailleurs (en fait il est super jaloux mais le fera pas savoir comme ça)
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Sujet: Re: On envahit Berlin, ensuite on encercle la Pologne et on crie « surprise » ! Jeu 10 Jan - 0:53
Parfait choix d'avatar, je veux un lien de toute urgence :brigitte:
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Sujet: Re: On envahit Berlin, ensuite on encercle la Pologne et on crie « surprise » ! Jeu 10 Jan - 1:52
Bienvenue et bonne chance pour ta fiche
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Sujet: Re: On envahit Berlin, ensuite on encercle la Pologne et on crie « surprise » !
On envahit Berlin, ensuite on encercle la Pologne et on crie « surprise » !