FEAT. Katie McGrath

Satyne Willa Ewell

24 ans → Né(e) à Venise le 11/04/1988 → Étudiante en journalisme
fiancée → hétérosexuelle → membre des Beauty Queens.

And who am i ?

★Quelles sont tes caractéristiques?
→ La première fois qu'on aperçoit Satyne, il ne peut qu'y avoir qu'une seule image qui nous vienne à l'esprit :: celle d'une poupée de porcelaine. En effet, simplement par son teint très pâle, qui d'ailleurs n'est vraiment pas habituel pour une italienne, on la juge immédiatement extrêmement fragile ce qu'elle n'est pas. Mais bon, passons là-dessus pour se rendre au principal. La demoiselle a de longs cheveux bruns qui lui tombent jusqu'au milieu du dos. Il lui arrive de temps à autre de les coiffer, mais généralement, elle les laisse simplement tomber sur ses minces épaules. Ses grands yeux bleus sont extrêmement perçants, voir même menaçants lorsqu'elle n'apprécie pas quelqu'un, et pour dire vrai, des gens qu'elle déteste, il y en a des tas. Ce regard se coordonne d'ailleurs vraiment avec le sourire hautain qu'elle aborde la plupart du temps. Elle est également assez grande et élancée, semblant avoir pour plusieurs la taille d'un mannequin mais bon, ce domaine ne l'a jamais réellement intéressé. Ce qui la passionne vraiment, ce sont les potins et toutes les choses qu'on peut apprendre sur le monde et sur les gens. Côté vestimentaire, la belle italienne se soigne toujours le plus possible, arborant pour la plupart du temps un style vestimentaire à la fois chic et tendance. Si non, elle n'a pas de marque physique bien marquée, mise à part qu'elle fait toujours une certaine moue lorsqu'elle est nerveuse. Mais bon, tout le monde a son petit quelque chose qui le rend unique.

★Quel est le caractère de ton personnage?
→ Tout le monde peut s'entendre sur le fait que Satyne Willa Ewell est loin d'être la personne la plus agréable à côtoyer. En effet, la demoiselle n'est pas vraiment la fille la plus sociable du monde. Elle déteste qu'on pénètre dans sa bulle intime, et sait très bien comment le faire savoir aux étrangers. En effet, lorsqu'elle sent qu'elle intimide quelqu'un, ou que cette personne vient d'une classe sociable bien inférieure à la sienne, elle la prendra vraiment de haut, arborant ce petit sourire hautain qui, pour la plupart du temps, ne la quitte jamais. Disons qu'elle apprécie bien d'avoir un certain pouvoir sur les autres. Bon, je vous vois déjà vous ''ohh mais il s'agit de la pire des garces cette fille !!''. Et bien c'est faux. À vrai dire, elle n'est ainsi qu'avec ceux qu'elle ne connaît pas ou qu'elle n'aime pas tout simplement. Mais lorsqu'on fait partie de sa sphère intime, on découvre une jeune femme très douce et très drôle. Pour ses amis et ceux qu'elle aime plus particulièrement, elle ferait n'importe quoi, quitte à donner sa chemise s'il le fallait. C'est également quelqu'un de très passionné et de très travaillant. Elle met toujours tout en oeuvre pour atteindre ses buts, quitte à piétiner quelques personnes mais bon, personne n'est parfait. La jeune femme adore également la drague. Lorsqu'elle veut un mec, elle met tout en oeuvre pour l'obtenir, même si ce n'est que pour un soir. En gros, elle sait ce qu'elle veut et ce qu'elle doit faire pour y arriver.

my little secret

★Ton prénom ou ton pseudo & ton age → Valle, 20 ans.
★Comment es-tu arrivé(e) ici ? → Par le magnifique forum de graphisme, Bazzart. :brigitte:
★Ce personnage est-il un double compte ? → Non.
★Présence sur le forum → 3 à 7 jours semaines, dépendant de mon horaire de travail.
★Personnage inventé ou scénario ? → Inventé.
★Crédit images → Tumblr & Bazzart.

Mon exemple de RolePlay:

Le code règlement:

Venise, cette fameuse ville où j'avais vu le jour il y avait de ça dix ans maintenant & que j'avais quittée presque aussitôt. C'était la faute de mes parents aussi. C'était quoi cette idée de quitter un lieu aussi magnifique que l'Italie pour aller s'installer dans une ville aussi paumée que Phoenix. Certes, le climat y était beaucoup plus chaud &, comme disait mon père, le marcher d'antiquité fonctionnait beaucoup mieux. Qui voudrait acheter de véritables objets italiens en vivant déjà en Italie ?? Non, ça fonctionnait beaucoup mieux ainsi pour les affaires de mon père. Nos poches étaient bien pleines & mon frère & moi n'avions à nous plaindre de rien. Enfin, peut-être mis à part l'absence de maman. Il y avait déjà deux ans qu'elle nous avait quitté suite à ce cancer qui avait duré des mois. À cette simple idée, je ne pue m'empêcher de me serrer contre Samuel. « Ça ne va pas Satyne ?? » « Non, maman me manque. » Samuel me serre instantanément davantage dans ses bras. Il en avait toujours été ainsi entre nous. Nous veillions toujours l'un sur l'autre. Enfin, c'était davantage lui qui veillait sur moi. Il avait déjà quinze ans alors que moi, je n'étais encore qu'une enfant. Regarder le paysage environnant tout en étant blottie dans ses bras me remonta un peu le morale. Papa avait eu une bonne idée de nous amener à Venise pour les vacances. Revoir l'Italie me rappelait que maman était toujours dans nos coeurs, pour l'éternité. Vivement le retour à Phoenix tout de même. J'avais beau adorer venir en ces lieux, Matthéo me manquait.

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« Matty, on joue à cache-cache !! » « D'accord, mais c'est toi qui compte. » « Euh.. non.. hors de question. C'est toujours moi qui compte, j'en ai marre. » « Allez Tytyne, commence. » « Non, j'en ai marre, je joue plus. » « Ce que tu peux être bornée parfois !! » Moi !? Bornée ?? N'importe quoi !! Ce n'est pas parce que depuis l'âge de cinq ans je maltraite ce jeune homme que je suis bornée !! Bon, peut-être un peu mais il me supportait tout de même ainsi. C'était le principale, non ?? Et puis, puisque je réussi si bien depuis tout ce temps, je n'allais très certainement pas cesser maintenant que nous avions douze ans, non ?? Je lui tire brusquement la langue. « C'est toi qui est borné. Il faut toujours que ce soit toi qui décide de tout. » « Cesse de jouer les victime tu veux Tytyne. » Tytyne. Je ne me rappelle même plus quand il a commencé à m'appeler ainsi, ni quand moi j'avais commencé à l'appeler Matty d'ailleurs. Au jardin d'enfants sans doute. Nous nous connaîssions depuis toujours tout les deux. D'ailleurs, il était bien le seul qui avait le droit de m'appeler ainsi. Sans pouvoir m'en empêcher, j'éclate d'un léger rire. « Qu'est-ce qui te fait marrer ?? » « J'en sais trop rien en fait. » « T'es cinglée. » Il me pousse sur le lit, commençant à me chatouiller les côtes ce qui a le don de me déclencher un rire incontrôlable. « Arrêtes de grâce !! » « Tu vas faire tout ce que je veux ?? » « Oui oui, tout ce que tu veux !! » « Tu vas compté ?? » « Oui, je vais faire tout ce que tu me demandes, mais arrêtes !! » Sur ces paroles, la porte de ma chambre s'ouvre, laissant entrer mon père. « Les enfants, il est plus de 23h00, alors au lit. » Et sur ces mots, il éteint la lumière. Matthéo se couche sous les draps & je l'y rejoins, venant poser ma petite tête brune contre son petit torse, ma main se glissant instantanément dans la sienne, comme à toutes les fois où on avait dormi l'un chez l'autre depuis notre petite enfance. « Bonne nuit Matty. » « Bonne nuit Tytyne. »

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Ahhhhhh le premier jour de lycée !! J'étais tellement nerveuse !! Et si on ne m'aimait pas ?? J'avais beau faire pertie du cercle des gamins les plus riches de Phoenix, ça ne voulait pas dire qu'on allait m'apprécier pour autant. Heureusement que Matty y entrait en même temps que moi d'ailleurs. Soufflant un bon coup, je lui jetai un petit regard désespéré avant de pousser les grosses portes nous menant à l'intérieure du lycée. « Et si les autres ne m'aimaient pas ?? » « Satyne, ne sois pas ridicule je t'en pris. C'est impossible de ne pas t'aimer. » Je lui jetai un petit sourire ravi de sa réponse. « Ah bon ?? Tu crois vraiment ?? » « Enfin, si on oublie le fait que tu es une casse-pied de première... » Je lui donnai un grand coup de coude dans les côtes avant d'éclater de rire. Puis, respirant encore une seconde fois, nous entrâmes dans notre nouvelle vie.

Les années de lycée ne se passèrent pas trop mal tout compte fait. En effet, je réussi rapidement à me faire de nombreux amis. Bon, aucun d'entre eux ne prirent jamais une place aussi importante que celle de Matty dans mon cœur, mais ça me fit tout de même le plus grand bien de côtoyer de nouvelles personnes. À seize ans, je demeurais toujours chez mon père. Samuel, mon frère, avait tant qu'à lui quitté le noyau familial. Il avait décidé de consacrer sa vie à sauver le monde, ce pourquoi il avait donné son nom dans l'armée de Terre. Il va sans dire que son départ m'avait terriblement chagriné, mais je savais qu'un jour où l'autre, nous finirions par nous revoir. Il reviendrait à la fin de chacune de ses missions. Il me l'avait promis. D'ici là, je me consacrais à ma vie de lycéenne. Je m'étais développée depuis peu une passion de l'écriture. Mélangé à mon désir de toujours vouloir tout savoir sur tout le monde, je savais d'or & déjà ce que je voulais faire dans la vie. Le métier de journaliste m'ouvrirait tout grand les bras lorsque mes études seraient entièrement terminées. D’ici là, je profitais des joies d'être encore jeune & d'avoir l'avenir devant moi.

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« Tu m'aiderais absolument pas, dis ?? » « T'es grand non ?? Débrouilles-toi donc un peu tout seul pour changer. » « Ah, fais pas chier Tytyne !! J'ai pleine de boîtes à défaire, & toi tu as terminée pour les tiennes. » Mais je l'écoutais à peine. J'étais beaucoup trop excitée due à cette nouvelle vie qui s'offrait à nous. Nous venions à peine de déménager à New York afin de poursuivre nos études respectives, & avec l'argent que mon père m'avait mit de côté pendant des années & les petites économies que Matthéo, nous avions eu de quoi nous offrir un appartement de rêve. Complètement plongée dans mes pensées excessivement joyeuse due à mon excitation de bientôt débuter mes cours de journalisme, je ne portais aucune attention à Matty. Et encore moins à l'oreiller qu'il venait de me lancer & que je reçue de plein fuet, me faisant sursauter. « Ça va pas la tête !? » « Bon !! Enfin, elle est redescendue sur Terre !! Au moins là tu m'écoutes !! » Je lui lançai un légère moue, lui lançant une nouvelle fois l'oreiller avant d'éclater de rire, me mettant finalement sur pied pour lui donner son fameux coup de main.

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Je ne pouvais pas croire la lettre que j'avais au creux des mains. C'était impossible. Une telle nouvelle ne pouvait être réelle. Et pourtant, cette fameuse lettre contenait bien l'écriture de papa. Elle portait bien sa signature, son doitée que je lui connaissais tant, & sans doute ses larmes. Ses larmes auxquelles je mêlai les miennes également. Non, ce n'était pas vrai. Samuel ne pouvait pas être mort. Il ne pouvait pas avoir été tué par cet Aubut là-bas, en Afghanistan. Et pourtant, son corps avait bel & bien été retrouvé, inerte, sans aucun signe de vie. Le simple fait de pensée qu'une telle chose aie pue se produire me rendait malade. Mieux valait que je laisse échapper cette colère, cette douleur. Je devais pleurer. Je devais déverser toutes les larmes de mon corps face à un tel chagrin. Assise à table, je pris ma tête entre mes mains & je pleurai. Je savais que désormais je ne serais jamais plus la même. Je ne le pouvais. Comment demeurer la jeune femme joyeuse & douce que j'avais été si une aussi grande partie de moi-même n'était plus ?? Comment continuer à vivre sans l'affection si importante du frère que j'avais tant aimée ?? Au milieu de mes sanglots, j'entendis la porte d'entrée s'ouvrir. À une telle heure, ça ne pouvait être qu'une seule personne. Après avoir déposé ses clés, mon Matty entra dans la cuisine, s'agenouillant près de moi. « Qu'est-ce qui ne va pas Tytyne ?? » « Il est mort. » « Qu.. que.. quoi ?? De quoi tu parles ?? Qui est mort ?? » « Mon frère, Sam. Mon père m'a écrit une lettre ce matin. On l'a retrouvé il y a une semaine. Il est mort, Matthéo. » Mes larmes redoublèrent au fur & à mesure que je parlais. Doucement, je senti mon tendre ami me prendre dans ses bras & me serrer très fort, ses douces mains si rassurantes glissants lentement dans mes cheveux bruns. « Je suis désolé. Je suis tellement désolé Tytyne. » Il me serra encore ainsi un bon moment en silence avant de reprendre la parole. « Viens. Viens avec moi. » Sans me laisser le choix, il me souleva dans ses bras, me portant doucement jusqu'à mon grand lit sur lequel il me déposa. Seulement, rendu à destination, je ne le relâchai pas. Je ne voulais pas qu'il parte. Je voulais qu'il reste près de moi. Il était ce qui m'était de pluw cher dans cette ville & pour aucune condition je ne voulais me séparer de lui. « Restes. S'il te plaît. » J'étais encore secouée de sanglots. Acquiesçant simplement d'un léger geste de tête, il s'allongea près de moi, me serrant contre lui comme lorsque nous étions gamins, & comme à cette époque, je vins poser ma tête contre son torse, ma main se glissant dans la sienne. Seulement cette fois, il changea les choses, sans doute à tout jamais. Très tendrement, il me bascula pour se retrouver au dessus de moi. « Je suis là. Je ne te quitte pas. » Il avait dit ces mots avec une telle douceur que j'en fus immédiatement rassurée. Ses lèvres se posèrent très tendrement sur mon front. Puis, à ma grande surprise, il les posa contre mes lèvres, nous permettant d'échanger notre tout premier baiser. J'en frémis immédiatement d'excitation sans pouvoir m'empêcher de prolonger légèrement. Rapidement, nos baisers devinrent plus passionnés, nos étreintes plus fortes, & tout bascula.

Perdre sa virginité est une chose. La perdre avec son meilleur ami d'enfance en est une autre. Je ne pouvais chasser cette nuit de ma tête. Je ne pouvais oublier ses baisers, ses mains sur mon corps, les mots qu'il m'avait murmuré, ... Tout ceci me paraissait beaucoup trop irréel pour être vrai, tout autant que les sentiments que j'avais l'impression de ressentir à cet instant. Moi, être amoureuse de Matty, mon Matty ?? C'était absolument ridicule. Pourtant, je ne pouvais chasser cette idée de ma tête. Il n'y avait qu'une seule chose à faire. Je devais prendre un peu mes distances. Il n'y avait pas d'autres solutions.

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Espèce d'université pourrie !! On est jamais fouttue de trouver son chemin correctement dans ces couloirs !! Et pourtant, ce n'est pas comme si je débarquais d'hier, ça fait tout de même deux ans que j'étudie le journalisme à New York. Je devrais pourtant être en pleine possession de mes moyens. Mais bon, disons que la journée a mal commencée. Je me suis levée en retard, il ne restait plus de ces fameux beignets que je mange à tous les matins d'aller en cours &, comble du malheur, je me suis encore disputer avec Matthéo. Ça nous arrive sans arrêt depuis l'an dernier. Depuis cette fameuse nuit en fait. À croire que je le répugne terriblement depuis. Mais bon, passons, je ne peux pas croire qu'on va devoir faire à tout jamais un X sur notre longue amitié pour une.. une erreur ?? Je ne sais pas vraiment comment qualifier ça en fait. Je suis profondément perdue dans cette pensée au moment où on me percute de plein fouet, me faisant lâcher mes livres & mon café au sol. « Tu pourrais pas regarder où tu vas, oui ?? » « Pardon mademoiselle. Je ne voulais pas vous offenser. Est-ce que vous allez bien ?? » « Ouais. Enfin, ça irait mieux si mon devoir de littérature n'était pas complètement fichu à cause du café que vous m'avez fait renverser. Bravo !! » Je porte finalement mon regard sur ce type qui vient de me bousculer. Je ne saurais dire où, mais il me sembla l'avoir déjà vu quelque part. En tout cas, son petit sourire en coin m'est assez familier. Et comme j'y songe, il ouvre la bouche pour reprendre la parole. « On ne se serait pas déjà vu ?? Tu est en journalisme, non ?? » « Sii... » « On a cours ensemble. Je me présente, je m'appelle Ezra. Et toi ?? » Je regarde sa main tendue pendant quelques secondes avant de finalement la prendre. « Satyne. » « Et bien Satyne, je crois qu'avec la merdier dans lequel je viens de te mettre, je te dois un déjeuné. Tu es libre pour le repas de ce midi ?? » Allez savoir comment, mais sa personnalité toute simple m'a touché immédiatement. Aussi, j'ai aussitôt acceptée son invitation, tout en me demandant comment j'avais fais pour tomber aussi rapidement amoureuse de cet homme.

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Quatre ans se sont écoulés depuis ma fameuse rencontre avec Ezra. Quatre ans pendant lesquelles j’aurais été supposée d’être pleinement heureuse. Du moins, c’est ce que tout le monde crois que j’étais. Épanouie, heureuse, fière au point d’être méchante avec tout le monde, parce que ça, je l’ai fait. Vu mon immense fortune & celle que possédait également la famille de mon petit-ami, j’ai fait semblant qu’aucune personne ne méritait mon regard, que rien ne m’importait au monde mis à part ma fortune & moi-même. Et pourtant, s’il y a bien une personne à qui j’ai pensée pendant ces quatre années, c’est bien la seule personne a toujours avoir vu claire dans mon jeu :: Matthéo. Mon Matty. Celui qui comptera toujours le plus au bout du compte, & ce même si je ne lui ai jamais rien dit sur mes sentiments. Assise sur le canapé de notre salon, je l’attends impatiemment afin de lui annoncer la nouvelle qui changera ma vie à tout jamais. Je me doute de la réaction qu’il aura. Je sais Qu’il ne bondira pas de joie, mais je dois être franche avec lui, lui dire la vérité, comme il en a toujours été entre nous. Lorsqu’il entre, les cheveux blonds en batail, l’air fatigué, c’est encore plus dure. J’ai encore plus envie de lui sauter au cou & de recommencer notre manège d’il y a quatre ans, mais je me retiens. À la place, je lève ma main gauche dans sa direction, lui montrant bien la bague qui brille à mon annulaire. « Matty, je vais me marier. » Aussitôt, ses yeux s’arrondissent. Il s’approche rapidement de moi, m’empoignant subitement par les épaules avec tout de même une certaine forme de douceur. « Tu ne vas pas réellement épouser ce crétin ?? Dis-moi que ce n’est pas vrai ??» « Cette décision ne te regarde en rien. Je voulais simplement te mettre au courant, c’est tout. » Cette fois, mon ton était beaucoup moins tendre. Je me libère subitement de son étreinte, me relevant du canapé afin de marcher un peu, portant une main à mon front qui commence à m’être douloureux. « tu sais très bien ce qu’on dit à son sujet. Il te trompe. Tu l’as toi-même déjà entendu assez souvent. » « Il ne me trompe pas, il a simplement une âme libertine. D’ailleurs, il ne m’interdit pas de faire de même. On ne deviendra réellement sérieux qu’après le mariage. » « Et qu’est-ce qui t’assure qu’il n’en sera pas encore ainsi une fois que tu auras la bague au doigt ?? » Je soupire, cette fois d’un air lasse. Matthéo se rapproche une nouvelle fis de moi, me prenant une nouvelle fois par les épaules. « Satyne, je t’en pris, réfléchis bien avant de commettre une erreur que tu peux regretter toute ta vie. Je ne veux que ton bonheur, mais est-ce vraiment lui qui peut vraiment te rendre heureuse ?? » Ses mains glissent tendrement dans mes cheveux, me faisant doucement frissonner. « Qu’est-ce qui te dis que moi, je ne peux pas te rendre heureuse ?? » Ces dernières paroles sont sorties de ses lèvres dans un souffle, souffle qu’il termina sur mes lèvres, les effleurant des siennes. Ce baiser était beaucoup plus tendre, beaucoup plus amoureux que celui d’il y a quatre ans. D’ailleurs, je faillis bien y perdre pied en le prolongeant doucement. Cependant, je ne pue m’empêcher d’y mettre un terme presque aussitôt. Je ne pouvais pas. Je ne devais pas. Si je me laissais aller sur ce chemin glissant, je risquais de tout perdre. Je n’avais pas le droit de trahir Ezra ainsi. Donner son corps à un autre était une chose, mais lui donner son cœur en était une autre. Aussi, je reportai mon regard dans celui de Matty. De MON Matty. D’ailleurs, je due retenir une larme en laissant sortir ce terrible mensonge. « Désolé Matty, je.. je ne t’aime pas. Enfin, pas de cette manière. » Je tournai les talons afin d’aller faire une promenade à l’extérieure. J’avais grand besoin de me changer les idées. Mais hélas, Matthéo en avait décidé tout autrement. Juste avant que je m’engouffre dans l’air froid de l’automne, je l’entendis reprendre la parole. « Je sais que tu mens, Tytyne. Et toi aussi tu le sais parfaitement. Je suis l’homme de ta vie, & un jour ou l’autre, j’arriverai à te le prouver. »

Bienvenue à toi
Je te souhaite bon courage pour ta fiche.

En revanche, Katie est âgée de 29 ans et nous tolérons une marge de 5 ans entre l'âge du personnage et de la célébrité, il faudrait donc augmenter ton age s'il te plait :brigitte:

Bienvenue!

Bienvenue parmi nous
Bon courage pour ta fiche

Welcome,

Bienvenue ici et bon courage pour ta fiche

Bienvenue parmi nous

KATIIIIE
Bienvenue !

bienvenue par ici ♥

Bienvenue

bienvenuue parmi nouus
& bon courage pour ta fiche

Bienvenue & bonne chance pour ta fiche

Merci tout le monde !! :brigitte:

Bienvenue parmi nous

Bienvenue chez nous!

Welcom, welcome.

J'espère que tu te plairas ici.
Bonne continuation pour ta fiche.

Plein de bisous en espérant te voir bientôt parmi nous !

Katie McGrath

Bienvenue

En vue de la date à laquelle tu as posté ta fiche, tu as donc une semaine pour la terminer avant que ton compte ne soit supprimé. Tu es un membre en danger.

Merciii à tout le monde pour votre bel accueil !!
Et désolé pour le temps que j'ai mis à poster.
Je crois que tout est en ordre. En espérant que mon histoire vous plaise. :brigitte: