Sujet: Maxence ★ You're my lucky strike Ven 1 Fév - 2:11
FEAT. Nathaniel Buzolic
Maxence Danael Shalimar Douglas - Jenkins
24 ans | Né à Naples le 06/11/1988 | Joueur de baseball et dealeur | Célibataire impénétrable | Séducteur sexuellement attirant | Membre des All Stars.
And who am i ?
★Quelles sont tes caractéristiques? → Aux États-Unis, la mode est aux tatouages. Les gangsters ne sont plus seuls puisque ce qu'ils portent est devenu, au fil du temps, un véritable effet de mode. C'est l'une des raisons principales expliquant pourquoi je ne possède aucun tatouage. J'ai beau être un marginal qualifié de "rebelle", je n'ai pas besoin de tatouage pour tenter de le prouver ou pour le "montrer". Concernant les piercings, je vois cela comme un masochisme qu'il est possible d'éviter. Par conséquent, je ne veux en aucun cas abîmer ma peau qui est tout une œuvre d'art. En d'autres termes, sur ma peau ne figure aucun acte barbarie. Mon corps est un temple que je bénis étant donné que j'aime l'arborer fièrement comme un beau vêtement cher tout juste acheté. Physiquement, je suis tout un homme puisque je mesure un mètre quatre-vingt-deux pour soixante-neuf kilos. Parmi ces kilos figurent les muscles que j'entretiens comme il se doit. La salle de musculation m’aide à renforcer ce que je développe lors mes cours quotidiens de baseball. Si il y a bien une chose à laquelle je suis accro, c’est bien ce sport et les bienfaits que j’en retire. Je m'entretiens parfaitement, je mange sainement malgré mon attitude qui peut laisser penser le contraire. En effet, j'ai tendance à m'habiller comme un méchant garçon. Au début, c'était une manière de me rebeller puis, après l'adolescence, j'ai compris que ce style me plaisait. Néanmoins, je suis très à l'aise à m'habiller en costard et cravate: j'en tire même un certain plaisir puisque je me sens au paroxysme de l'élégance. Niveau santé, je mange équilibré mais je bois souvent. En soirée, je finis torché et chez moi, légèrement pompette. Tout dépend des situations, comme d'habitude, et de chacun. Par contre, même si je vends des drogues diverses, je n'en consomme pas. Je fume occasionnellement du haschich mais je serai plutôt porté cigarettes. J'arrive à me modérer afin de garder des poumons en santé raisonnable. Par contre, je reste un brun aux yeux couleur marron, ce qui peut paraître banal. Niveau particularités, ceux qui me connaissent très bien pointeront ma peur indéniable et terriblement handicapante que j'ai de l'eau. Celle du robinet, de la douche ou du bain ne m'angoisse pas mais ne comptez pas sur moi pour nager dans une piscine ou à la mer. Cela est surement dû à la peur qui s'était emparée de moi enfant lorsque j'ai failli me noyer en vacances avec mes parents. Je n'ai jamais pu surmonter cela, et mes parents ont brièvement passé outre à cause des problèmes qui commençaient à déchirer leur couple. Je ne me connais pas d’autres peurs, de phobies ou d’autres frayeurs qui puissent nuire à ma santé mentale ou à ma vie de tous les jours. Côté allergies, il n’y a rien à signaler. Je ne souffre d’aucun problème lié au froid, aux poils d’animaux, à la poussière ou encore à un quelconque aliment.
★Quel est le caractère de ton personnage? → De corps, je demeure plutôt sain mais d'esprit, je suis légèrement tordu. De ce que je retiens des dires me concernant et qui s’avèrent vrais, il y aurait arrogant. Je suis très confiant, d’apparence et souvent intimement. En aucun cas je n’ai peur de faire telle action, même si je peux regretter ou être pris de remords. L’expression « se casser la tête » ne me correspond absolument pas dans l’optique où je ne peux m’en vouloir trop longtemps. Pour moi, la vie avance et il faut prendre les évènements et les erreurs comme les arrivent. La vie n’est pas toute rose mais pas toute noire. Je peux paraître froid aux premiers abords pour la simple et bonne raison que je suis facilement irritable. Les personnes bavardes, collantes ou encore niaises m’insupportent au plus haut point mais il m’arrive de faire des exceptions selon l’entente avec la personne lors des premiers échanges. Sarcastique me correspond tout à fait car si j’ai besoin de dire quelque chose, je préfère passer par le sarcasme poussé, non pas afin de déstabiliser la personne en face de moi mais tout bonnement par pur plaisir sadique. Heureusement pour certains, je ne suis pas toujours ainsi. D’un naturel sociable, je suis assez ouvert d’esprit et porté sur tout type de sujet. Loin d’être renfermé, je suis ouvert au dialogue mais certainement pas à des futilités navrantes qui me feront perdre patience, provoquant ainsi mon évasion. Seul ou entouré, je suis surement le même. Et j’aime mes moments de solitude. Je ne suis peut-être pas un geek mais j’adore la télévision. Même si je ne pourrai pas passer des heures devant, elle m’aide à me reposer, me relaxer et me détend entièrement. C’est d’ailleurs la première chose que j’allume après une femme.
On dit également de moi que je suis ambigu, que l’on doit me prendre avec des pincettes. Cela peut être vrai. Je suis d’un naturel lunatique et, par moments, je peux être affreusement désagréable. Il suffit d’une bêtise dite ou faite pour que je devienne vexant voire méchant mais cela n’est qu’occasionnel. J’admets être critique mais surtout perfectionniste. J’adore soigner ce que je fais ainsi que mon apparence. Quand je sors, j’ai besoin de savoir que je me sens bien même si je me suis habillé en quelques secondes. Il faut que je sois à l’aise avec moi pour me sentir bien avec les autres ou avec moi-même. Cela va de pair avec le travail ou encore le sport : il faut que j’ai le sentiment d’avoir accompli ma tâche, d’avoir réussi ou au moins d’avoir essayé. Le principal est de participer selon moi et de s’être battu pour la cause qui nous semble juste ou qui nous tient un minimum à cœur. Malgré mon attitude que l’on pourrait qualifier de peu douce, je suis un homme engagé, qui prend des positions et s’y tient sauf si un discours m’emballe et me prouve que j’ai tort. J’ai beau avoir mauvais caractère asses souvent, j’admets la défaite quand il faut et je sais me retirer du « jeu » lorsque cela est nécessaire. En amitié, je suis difficile puisque je ne me lis qu’au feeling. Et je n’ai pas besoin de tonnes d’amis pour être heureux. Le minimum syndical me convient parfaitement. Par contre, les personnes qui peuvent se vanter de faire partie de ma vie peuvent avoir une confiance aveugle en moi. Jamais je ne les décevrai, du moins, pas intentionnellement. Je peux paraître égoïste alors que je ne le suis pas, c’est uniquement parce que je suis égocentrique. J’aime que l’on parle de moi, en bien ou en mal car très souvent, cette réputation de « mauvais garçon » m’a plus aidé qu’autre chose.
En amour, je n’ai pas de définition à donner. Cela se fait également au feeling. Les femmes trop fragiles ne peuvent me supporter bien longtemps, et réciproquent. Les femmes de caractère ne me plaisent tant qu’elles n’essaient pas de me dominer car sinon, je comprendrai qu’il s’agit d’un défi tendant à prouver que je suis bien un mâle dominant. J’aime l’ambiguïté, à mon image. Du côté des hommes, je ne suis pas rebuté mais il est rare que j’en ramène. Les expériences sexuelles m’ont aidé prouvé que je me suffisais surtout à moi-même en termes de relation, et que je pouvais distinguer le sexe de l’amour. En effet, même si je ne suis pas partisan de l’infidélité et que je n’aimerai pas que l’on me trompe, d’un commun accord, cela est possible. Il faut dire que je suis rarement tombé amoureux, et que les rares fois où je l’ai été, soit j’ai refoulé, soit je me suis réellement engagé dans la relation. La construction d’une amitié ou d’une relation amoureuse est une chose excitante et belle. C’est surement la seule chose pouvant paraître niaise qui fait partie de mon esprit. Je suis plutôt je-m’en-foutiste sur les bords car, même si je n’aime pas bâcler les choses, j’ai toujours été ce sale cancre méchant qui n’en fichait pas une et qui arrivait à surpasser les autres. Le fait d’être précoce ne m’a procuré du plaisir que lorsque j’ai vu qu’il était si facile de dominer les autres mais se comparer aux faibles m’a progressivement ôté toute saveur agréable. C’est du challenge que je tire mon excitation. Et amitié, amour, travail, le challenge est omniprésent. Au final, je ne suis ni simple, ni complexe. Je suis simplement un ancien petit merdeux qui demeure arrogant mais intriguant.
my little secret
★Ton prénom ou ton pseudo & ton age → Jimmy. ★Comment es-tu arrivé ici ? → Un heureux hasard. ★Ce personnage est-il un double compte ? → Yup. ★Présence sur le forum → Quand je peux. ★Personnage inventé ou scénario ? → Inventé pour te plaire. ★Crédit images → Tumblr pour tous les gifs de ma fiche.
Mon exemple de RolePlay:
J'avais pour sale habitude de jeune femme ravissante de regarder autour de moi si les regards se posaient sur moi, surtout lorsque je me déhanchais dans les couloirs de l'université avec ce naturel qui m'enlevait toute cette vulgarité que l'on donne à ce groupe de suceuses dans les comédies américaines types. Quoiqu'il en soit, pour une fois, je n'y prêtais pas attention, laissant quelques minutes mon égo de côté. Il fallait dire que j'étais très à l'aise dans mes chaussures, et qu'à force de se faire draguer sans décider d'engager quelque chose, on finit par se sentir bien plus désirable qu'aucune autre. Bien entendu, j'avais les pieds sur terre, ou du moins, j'essayais. De toute manière, j'ouvrais rarement mes cuisses comme cela, il me fallait de la consistance, de la matière ou de la complicité. Une chose est sur également, c'est qu'aucun de mes amis mâles n'avaient connu les grâces des mouvements souples de mon corps lorsque celui-ci se met en marche dans un contexte plus littérale.
Quant aux femmes, j'avoue avoir songé à coucher avec elles, et non pas par envie, mais plutôt par désir d’expérimenter. Au fond, j'étais une enfant qui cherchait à comprendre le monde et qui poussait ses propres limites. Ceux pouvant juger de cette facette de ma personnalité me trouvait mature, mais pour ma part, l'adjectif "naïve" clignotait dans mon esprit comme une de ces lumières qui fonctionne mal dans les salles de classe. Quoiqu'il en soi, ma Dylan n'était pas un fantasme, bien qu'elle soit sublime, je la voyais comme une excellente amie, et bien que notre rencontre ne remonte qu'à ce début d'année, je devais avouer qu'elle était l'une de mes plus belles rencontres, si ce n'est la plus belle de cette nouvelle année, ce nouveau départ pour une jeune blonde en quête de maturité. Et parler théâtre, c'était véritablement orgasmique, sauf quand il s'agissait d'évoquer l'énorme baleine, aussi moche qu'un lama, qu'était madame Blockman. Il faudrait songer à proposer à la direction de virer cette grosse vache, et de placer mister beau gosse en tête... Car non seulement il est beau, mais aussi il est bon ?! Enfin, tu m'auras comprise.
La brune à côté de moi faisait pour une fois preuve d'une curiosité presque mesquine, bien qu'innocente. Contre toute-attente, j'entrai dans le jeu sans me soucier de ses interrogations secrètes. Je la regardai interloquée, mais sans pinailler, restant souriante de bout en bout. Oui, il pensait que nous allions passer une soirée seuls, mais... J'en avais décidé autrement... Tu sais, les hétéros se sentent facilement mal-à-l'aise lorsqu'ils sont entourés d'homosexuels, mais... D'un mouvement de tête, je fis virevolter ma chevelure d'or sur mon épaule en riant... C'était trop chou de le voir ainsi, on aurai dit un petit enfant perdu, tu aurai rigolé comme pas permis... J'avais oublié que je n'avais pas confier à Dylan mon indifférence quant aux rumeurs qui se basaient sur une soit-disante relation que j'entretiendrai avec lui. J'avais peu de meilleurs amis garçons pour commencer, et de deux, j'étais plus disponible pour lui que pour d'autres. La jalousie attire trop souvent la haine et le désir de d'évacuer dans des mensonges aussi pitoyables les uns que les autres. Je n'ai jamais songé à un éventuel désir pour la personne du vil brun. Mais quant on est belle, célibataire, ne s'engageant pas et populaire, on attire les rumeurs plus vite que le fromage attire une souris. Dylan en avait également fait les frais comme elle m'avait confié. Que les gens peuvent être cons, mais au moins, cela prouve notre intelligence.
D'ailleurs, elle ne m'avait pas confié ces dernières relations, ou autre ?! La gourgandine devait passer aux aveux ou ce serait moi qui lui mettrait les menottes à la place d'une prochaine conquête. Mademoiselle Dylan n'a-t'elle rien à me dire ? Car tu ne m'as pas confié quant à tes récents battements de coeur. Je suis curieuse et ? Et j'emmerde le monde. Car j'ai toujours eu le mérite de savoir fermer ma gueule de blonde naturelle quand il le fallait, et non l'ouvrir quand les embrouilles sentent le brûler. Et mes proches me faisaient confiance, tout bonnement parce qu'ils me savaient imperturbable et à l'écoute. Sans oublier que j'apportais parfois, voire souvent une aide. De mes yeux d'un bleu éclatant, j'analysais la tenue de mon amie. Elle était confortablement bien vêtue, et semblait à l'aise dans ces vêtements. L'harmonie des couleurs plutôt vives à l'accoutumé était radieuse, et elle ne ressortait pas de trop; cela ne flashait pas, mais Dylan ne restait pas dans l'ombre des projecteurs. Que ce soit sur scène ou en dehors, quoiqu'elle fasse, la brunette était divine. Je roulai avec rapidité mes yeux dans leurs orbites pendant que nous descendions les escaliers à notre rythme et, arrivées à la porte, nous la poussions comme des actrices avant de monter sur scène qui poussent les géants de bois afin de se faire admirer aux yeux de tous, et nous arrivâmes dans la cour. J'aperçu au loin Elena et Chloé qui riaient, et d'un petit geste de la main, je les saluai.
Je pris finalement place sur un petit muret mis à disposition pour rien ni personne, mais véritablement pratique pour y poser délicatement son postérieur. Dylan n'était pas assez bavarde sur le sujet, et devait sans doute vouloir garder certaines choses pour elle, je pouvais aisément comprendre. Tu sais, je ne suis sortie avec personne depuis bientôt 4 ou 5 ans, j'ai eu quelques aventures brèves, mais rien d'officiels... L'amour, je le tenterai lorsque les hommes seront assez matures pour entretenir une relation digne de ce nom. Portant un regard lourd de pensées, mais vide de sentiments, les cheveux bercés au soupires du vent, ma raison rejoignit un instant mon vécu, et la confrontation fut brutale, mais je ne réagis pas. Je songeais de nouveau à cet ancien copain de lycée qui m'avait montré que pour une fois, ma mère n'avait pas tort, concernant les hommes durant une certaine limite d'âge. Souffrir, j'avais connu mais je n'en suis pas ressortie traumatisée, mais plutôt mure et consciente du reste, du monde qui m'entourait. Les gens défilaient devant moi, aux allures éphémères, comme le temps qui passe. Nous étions face, elle et moi, à la réalité, celle d'un tableau baroque.
Le code règlement:
→ Let's go Knicks.
Dernière édition par Maxence D. S. Jenkins le Sam 2 Fév - 1:54, édité 11 fois
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: Maxence ★ You're my lucky strike Ven 1 Fév - 2:11
La vie d'un déliquant
❝I was just trying to be myself❞
« I'm too young to be taken seriously but I'm too old to believe all this hypocrisy, and I wonder how long it'll take them to see my bed is made, and I wonder If I was a mistake. I might have nowhere left to go but I know that I cannot go home . These words are strapped inside my head tell me to run before I'm dead, chase the rainbows in my mind and I will try to stay alive. Maybe the world will know one day. Why won't you help me runaway ? It don't make any sense to me, runaway. This life makes no sense to me. »
❝i can't believe i'm alright while my hopes still get confused❞
Le sort peut être aussi bien clément que cruel envers nous. C'est lui qui décide de chaque vie. Les liens de famille ne peuvent être contredits et cela rend le concept de famille si imparfait. Nous ne pouvons la choisir, et nous la subissons tant bien que mal. Pour certains, elle est un cadeau du ciel, une raison de croire que la bonté existe. Ce ne fut pas mon cas. Lorsque l'on naît d'une relation extra-conjugale, c'est dans le péché que nous grandissons avant de naître, de l'union de deux personnes coupables de crime envers la moralité. C'est à Naples que je vis le jour. Un petit être tout ce qu'il y a de plus banal. Cependant, mes débuts dans l'enfance durent difficile. Rapidement, je dus comprendre que j'étais plus du domaine du fardeau que du cadeau. Ma mère était bien la mienne, mais mon père était autre. C'était un étranger, un inconnu qui avait du mal à s'engager dans les erreurs de sa femme. Les violences subies par les plaintes de mon père biologique chamboulaient ce couple étrange qu'était mes parents. Mon père adoptif avait une entreprise en pharmaceutique tandis que ma mère était une chirurgienne réputée. Cette femme autoritaire avait mal joué avec un homme de son travail, et l'issu fut ma naissance. La suite des évènements auraient pu bien se passer. Un an après ma naissance, ce fut au tour de Serena de naître. Une future brune plantureuse allait naître, douce mais caractérielle. Nous nous entendions plutôt bien les premières années de nos vies. Puis, les choses se compliquèrent lorsque mon père biologique se mêla de ma vie, cherchant à nouer un contact, désireux de connaître son seul fils. Les bons contacts d'une mauvaise personne peuvent être plus de dégâts que cette personne malhonnête. Ce père pensait plus à son bonheur que le mien, jouant de ces contacts avec les avocats, jouant avec les nerfs de mes parents à l'épuisement. Rarement ils se laissaient aller devant Serena et moi afin de ne pas nous inquiéter. Leur couple allait mal, et ils ne pouvaient se permettre de perdre l'amour de deux enfants. Serena était bien trop importante pour eux-deux alors ils durent se résigner à me laisser aller avec mon père. Cet égoïste avait gagné et, comme pour les narguer, il décida de rester à Naples avec son étrange femme. C'est pour cette raison que je côtoyais toujours Serena, me réclamant par moment comme si nous étions toujours liés. Les années passèrent, et nous restions proches, prenant conscience du caractère étrange qui nous unissait. Notre relation n'était pas secrète mais était plutôt de l'ordre du tabou pour nos deux familles. Les parents de Serena n'osaient trop rien dire mais les miens étaient affreusement possessifs, effrayés à l'idée de me perdre pour de bon. C'est donc dans un climat mêlant peur et reproche que je grandis, ne sachant jamais sur quel pied danser. Je devins un élève studieux mais flemmard, se complaisant dans l'arrogance la plus totale à en faire pleurer pour certains, et en séduire d'autres. J'ai appris que les filles craquent souvent pour le mauvais genre, et que les mecs comprennent rapidement la hiérarchie malgré leur immaturité chronique. Un vrai leader à l'égo mal placé. Mon père essayait de nouer des liens avec difficulté, me faisant me défouler au sport. Ce fut le baseball qui me plut quand bien même ce n'était pas le sport le plus répandu et que les cours étaient chers. Cependant, ce n'était pas l'argent qui nous manquaient, bien au contraire. Ma mère était une femme ravagée par ses erreurs de jeunesse, une ancienne hippie française qui s'était perdue dans les drogues dures et douces. Détruite par des espoirs brisés alors qu'elle essayait de s'en sortir, elle s'était rabattue vers l'amour d'un riche rencontré à Naples. Du côté de mon père, je ne sus jamais ce qu'il faisait mais je me doutais que cela était loin d'être un business honnête. Mes parents se disputaient, pour un tout et pour un rien. Lorsque j'eus seize ans, je dus suivre mes parents à contre-coeur. Serena avait quinze ans, et nous étions toujours aussi proches. Depuis des années, je l'avais protégée même quand elle me prouvait qu'elle était une fille de caractère, capable de se défendre seule. Nous étions comme deux amis proches, nous nous considérions comme frère et soeur. Elle fut la première personne à voir couler des larmes de tristesse sur mon visage alors que je lui annonçais que je partais pour Paris avec mes parents. Elle n'avait pas décroché un mot, et nous nous étions enlacés tendrement et sèchement à la fois, les yeux gonflés par les larmes, et les larmes coulant sur les joues. Aucun bruit, juste le silence nous berçait à ce moment. Aucun amour ne me brisa plus le coeur que ma séparation forcée avec Serena. Même sans sentiments amoureux, elle était et demeurera la femme de ma vie. Elle est mon sang, elle est ma soeur et à jamais, je voudrai son bonheur. Loin de moi mais toujours dans mon coeur.
❝ far away from home ❞~ Commencer une nouvelle vie a quinze ans ne fut pas chose facile. Il fallait se familiariser avec la langue qui était difficile, apprendre les nouvelles coutumes, se faire au style de vie français. Nous avions beaux être voisins, la France et l'Italie, mais nous étions différentes. Je ne me sentais pas à l'aise. Et cela ne se voyait pas. Il fallait avouer que ses mes airs suffisants et arrogants, je passais pour le sale petit con parfois agréable que le jeune homme intimidé et effrayé, à limite de la perdition. Puis, les mois passèrent tranquillement, puis une année. J'avais appris facilement le français puisque ma mère m'avait initié en Italie et avait continué en arrivant en France tous ensemble. Je m'étais fait difficilement à cette pollution, ce bruit et cette foule. Tout semblait plus paisible et agréable à Naples. Le plus dure était de repenser à Serena, au fait que je l'avais abandonné contre ma volonté, sans que je ne puisse rien faire. De temps à autre, nous nous donnions des nouvelles mais chacun d'entre nous évoluaient dans son coin, se battant contre une autorité parfois envahissante. Sa mère était toujours sur son dos, et mon père sur le mien. Cependant, mon père s'était assagi, devenu plus souple et conciliant. Surement l'idée de se retrouver loin de la famille qui avait failli gagner entièrement son unique enfant. Au fond, je lui en voulais toujours de m'avoir arraché à une famille aimante. Du moins, elle me semblait meilleure que celle que je portais comme un fardeau. Un an après notre installation, le calme instable dans notre famille était comme le conducteur d'une des ces machines de montagnes russes. Tout allait bien ou tout allait mal. Cette ambiance déstabilisante avait tendance à m'ennuyer, me poussant à ignorer mes parents voire à m'enfermer seul dans ma chambre afin de ne pas avoir affaire à eux. Je n'avais nullement peur d'eux, surtout pas de ma mère, mais cela me lassait de me battre contre la tête brûlée que mon père était. Au final, j'abusais juste de leur argent, me contentant de faire ce qu'il me plaisait en attendant la sentence, les envoyant bouler car rien de ce qu'il pouvait me dire ne pouvait me toucher. Cette situation dura jusqu'à mes vingt-et-un ans. Mes parents n'allaient pas bien ensemble, et c'est là que je compris que s'ils s'en prenaient à moi, c'est qu'eux-deux n'étaient pas bien. Ils décidèrent de se séparer, et débattirent de ma charge. Ni une, ni deux, je profitais de la situation pour me prendre en main. Je décidai de m'éloigner d'eux, de vivre ma vie loin d'eux. Ils ne pouvaient rien dire puisque j'avais dépassé la majorité. Et j'étais en âge de partir jusqu'à New York. Alors que je pris assez d'argent pour subvenir un certain temps, je claquai la porte de cette maison qui ne m'avait jamais fait me sentir chez moi, tournant le dos à ces parents que je ne désirais plus voir. Mon père m'avait dit « Si tu me tournes le dos, considères-toi comme déshérité. » Sans prendre le temps de répondre, j'étais parti. Sans remords, ni regrets, j'avais fui cette famille de manière honnête et franche. Ils savaient à présent que je ne leur appartenais pas et que jamais je ne leur reviendrai. Sous aucun prétexte.
❝ fight for life ❞Les débuts furent plutôt faciles. La vie à New York passa mieux que celle à Paris. Le fait de me retrouver seul me fit énormément bien puisque je n'avais plus ce sentiment d'étouffer constamment. Cependant, je me rendis rapidement compte que je ne pouvais passer ma vie dans un hôtel en attendant de ne plus avoir d'argent. C'est par la recherche et par le hasard que je tombai sur ce mec fort sympathique. Brun, yeux marrons, il était extrêmement nerveux à l'idée de vivre avec un colocataire. Il n'était pas apeuré de se retrouver loin de sa famille mais plutôt de faire une mauvaise rencontre. Sans peur, ni hésitation, je m'étais présenté et brièvement, il s'était calmé. Il donnait l'impression d'avoir trouvé la bonne personne, et nous passâmes la journée ensemble. Il me fit découvrir ce que je n'avais pu voir de New York étant donné que je ne m'étais pas aventuré trop loin de mon hôtel depuis mon arrivée. En peu de temps, nous devînmes comme deux meilleurs amis. Il s'était montré directement digne de confiance, et ne portait aucun jugement me concernant. Comme personne, il m'acceptait tel que je me présentais et cela m'avait aidé à l'accepter aussi facilement dans mon coeur. Avec moi, il est difficile que je me lie avec quelqu'un à moins d'un bon feeling. Par la suite, il peut y avoir des mauvaises surprise mais, le concernant, il n'y en eu aucune. En un mois, j'avais un ami qui était mon colocataire, un appartement. Finalement, j'avais postulé pour intégrer une équipe de baseball, et cela se fit plus facilement que je ne l'aurai imaginé. Je les avais charmé avec mon aisance et ma force. Je fus pris sans difficulté, et je pus me vanter auprès des personnes qui se présentaient comme nos futurs fans. Mon colocataire avait hésité à rejoindre l'équipe; il était un habitué et il fut souvent sollicité pour devenir un joueur de baseball professionnel. Il ne rêvait plus de ce genre de grandeur et pouvait toujours déplacer ce rêve sur moi. J'étais ce jeune espoir vif, insaisissable qui n'a pas sa langue dans sa poche. J'étais même un peu crue pour la société américaine type, mais je me fondais dans la masse tout en me démarquant par le charme, et non la provocation. Cette première année, je dus faire mes preuves et dans tous les domaines. Je fis quelques rencontres marquantes, d'autres que j'oubliais sans même broncher. J'ai appris à me conformer à certaine exigence quand bien même je voulais tout renverser dans le simple but de crier que je suis libre. Heureusement pour moi, mon côté rebelle n'était pas un fardeau puisque j'arrivais à le contrôler, une preuve de sagesse. Dominer le sauvage aurait pu être le titre d'un livre que mes parents auraient acheté afin de m'éduquer convenablement. Mais ce caractère à la fois docile et vile plaisait à tous, faisait redouter autant qu'il embrasait la haine. Je commençais la musculation sous les conseils de ce nouveau meilleur ami, prenant plaisir à former un corps que j'admirais bien trop souvent. Mon narcissisme, embrassé par les fleurs lancées par quelques admiratrices de ma superbe, faisait doucement son nid tandis que je construisais ma nouvelle identité, celle de séducteur manipulateur dont la plus lourde tâche était d'être plus subtil que je ne l'étais. Un défi des plus excitants.
❝ need to breathe ❞« T'es beau Maxence... » Une main douce se posa sur mon épaule tandis que je cherchais à trouver la bonne position afin de regagner le sommeil. Nus comme des vers, sous une fine couverture, le lit de ma camarade de galipettes semblait être un piège afin de me faire rester plus longtemps. La demoiselle semblait convaincue que j'allais créer un quelconque lien affectif avec elle. Encore une belle jeune femme pleine de naïveté. « Je sais... » lui répondis-je en me retournant pour lui faire face. Un sourire simple vint se coller sur mon visage, ce qui la fit glousser comme une jeune enfant. « T'es con ! » me dit-elle sur le ton de la plaisanterie tout en se mordillant la lèvre. Je levai les sourcils d'un air hautain, ce qui la fit rougir légèrement. Elle appréciait mon attitude de garçon suffisant qui donnait du fil à retordre à moult personnes. Son corps se rapprocha du mien, et elle plongea ses yeux dans les miens, déposant un baiser sur mes lèvres en se crispant avec force. Sans hésiter, je saisissais ses lèvres, glissant un bras contre le sien, le faisant remonter jusqu'à sa tête afin de le rétracter pour poser ma main sur sa joue. Dans un élan de désir, elle plaqua une main contre mon torse, la descendant doucement jusqu'à ma tendre intimité. Je me crispais comme elle, chatouillé par ses caresses qui accentuaient notre plaisir mutuel. D'un geste brutal, je la fis basculer sur le dos, m'appuyant au dessus d'elle afin de renouveler ce que nous avions faits la nuit passée (...) Enchaîner les brèves conquêtes n'a jamais été mon passe-temps préféré. Néanmoins, gagner le lit et le coeur d'une femme, juste pour le plaisir, m'a toujours plu. Séduire fut comme une seconde nature, s'imposant à moi comme une évidence lorsque je me rendis compte que j'attirais bien des regards. Objet de désir, homme de mystère, telle est la légende que je défends ardemment. Cette femme que j'évoque, comme bien d'autres, ne fut qu'éphémère et toujours, je m'en suis remis. Seule une a réussi à me blesser assez pour que je décide de niaiser trop longtemps avec n'importe quel partenaire. On dit qu'un coeur brisé vaut mille sagesses. Est-ce vrai ? Et pourquoi se soucie-t-on d'adages qui ne s'appliquent pas à tous, ni même à toutes les situations ? Chacun croit et espère mais au final, c'est la surprise qui nous guette. Contrairement à certaines personnes au coeur brisé, je n'ai jamais déprimé au point de ne pas m'en remettre. C'était comme un coup dur, une claque bien mise en pleine poire qui m'a fait prendre conscience qu'à force de jouer au con, on se fait prendre pour un con. Et je n'ai pas changé pour autant, je suis d'autant plus arrogant. La morale ne semble pas m'avoir atteinte mais cela ne semble pas gêner mon mode de vie. Dans l'ombre j'apprends, je grandis, et sous la lumière des projecteurs, j'avance, je lutte. Il n'y a pas besoin de philosopher sur la vie, l'amour ou encore toutes les merdes que nous avons connu ou que nous connaîtrons peut-être, il faut se concentrer sur ce que la vie nous amène et gérer avec ce que nous avons. Je n'ai pas besoin d'être le plus fort pour le croire car je me contenterai à jamais de l'image que reflète mon miroir.
❝ new life, biatches ❞Ma petite vie paisible loin de ma famille me plaisait. Lorsque j'avais des soucis, je pouvais compter sur mon colocataire. Je ne manquais pas d'argent mais lorsque mes revenus étaient moindre, ma seconde activité me permettait de subvenir entièrement à mes besoins. Mon petit trafic illégal n'avait pas plus de valeur que celui d'un autre, mais ma discrétion est d'or. Je vends n'importe quelle sorte de drogue grâce en partie à des amis qui cultivent par plaisir et business, avec qui nous partageons les bénéfices de ce travail courageux. Autour de moi, cela ne se sait pas trop car il est normal que je veuille éviter la prison. Une bouille d'ange comme moi finirait dans le top trois des décharges d'orgasmes. Et je tiens trop à mon corps et mon âme pour les damner de la sorte. Je me joue de la loi, de ma propre foi pour le simple plaisir d'être contre certaines règles. Mon côté rebelle a toujours du mal à s'atténuer mais j'arrive toujours à le contrôler. Le monde autour de moi semble être un rêve; j'ai l'impression de vivre dans une fiction, d'être détaché de cet univers. Et pourtant, je m'accroche à des idées quelconques, de quelques rares relations qui en valent la peine. Alors que cela fait quelques années que je suis installé à New York, je découvre que ma tendre demi-soeur y vit également. Le choc ne me fait pas tomber mais me secoue assez pour me faire me questionner. Le lien qui nous unissait était si fort qu'il m'est impossible d'ignorer le fait qu'il y a moyen que nous soyons réunis à nouveau. C'est avec courage que j'ai décidé de reprendre contact avec elle mais les évènements qu'elle connaît actuellement bouleversent entièrement son quotidien. Le temps nous a séparé, il peut tout aussi bien nous réunir. Mon colocataire est curieux, et comprend que quelque chose ne tourne pas rond. Suis-je si transparent ? Ou est-il lui aussi si proche de moi qu'il a fini par me déchiffrer ? Il est évident que la seconde hypothèse est la bonne mais elle ne m'avait absolument pas préparé à ce qui se tramait derrière ce lien qui nous unissait tous les deux. Joueur de baseball, je suis le jour, dealeur, je suis la nuit tout comme gentleman la journée et rebelle séduisant le soir. Plus je pose mes marques, plus ma vie évolue, plus mes relations changent. Mon coeur doucement s'apaise, et comprend finalement que la vie est d'or et les amis de diamants.
Dernière édition par Maxence D. S. Jenkins le Dim 3 Fév - 23:10, édité 30 fois
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: Maxence ★ You're my lucky strike Ven 1 Fév - 2:15
BABY BROOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOO pas un petit de Conti dans le pseudo en hommage à la mère ? je lirai une fois le message posté, je voulais surtout être première rebienvenue blablablablabla
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: Maxence ★ You're my lucky strike Ven 1 Fév - 2:19
Me gusta, Jimmy.
*insert trolface here*
Et re-bienvenue, avec ton nouveau perso. ♥
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: Maxence ★ You're my lucky strike Ven 1 Fév - 3:01
Gosh. En regardant ma fiche, je me suis dis que j'ai misé sur les gifs.
Serena L. Douglas a écrit:
BABY BROOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOO pas un petit de Conti dans le pseudo en hommage à la mère ? je lirai une fois le message posté, je voulais surtout être première rebienvenue blablablablabla
LOVELY SISTA. Je l'ai mis pour toi, allez. Je suis gentil. Tu es first, you did it. Et merci. Par contre, il faudra revoir les accueils chaleureux.
Claes J. Blømkvist a écrit:
Me gusta, Jimmy.
*insert trolface here*
Et re-bienvenue, avec ton nouveau perso. ♥
Me gusta que te gusta. Merci beaucoup. (CLOPE).
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: Maxence ★ You're my lucky strike Ven 1 Fév - 4:31
Re-bienvenue parmi nous Que dire! Excellent choix d'avatar!
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: Maxence ★ You're my lucky strike Ven 1 Fév - 8:07
Rebienvenue!! Amuse toi bien avec nouveau perso.
Cheyenne L. Pearson
Empire State of Mind
if you're going through hell, KEEP GOING.
▌INSCRIT LE : 14/01/2012
▌MESSAGES : 5706
▌AGE DU PERSO : 25
▌ADRESSE : 2515 Lexigton Avenue #402; Manhattan.
▌CÉLÉBRITÉ : Freida Pinto.
▌SMALL IDENTITY PHOTO :
Sujet: Re: Maxence ★ You're my lucky strike Ven 1 Fév - 9:25
Nathaniel + baseball =
re-bienvenue coco
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: Maxence ★ You're my lucky strike Ven 1 Fév - 9:29
Re-bienvenue parmi nous J'adore le prénom que tu as choisi Et bon courage pour ta fichette !
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: Maxence ★ You're my lucky strike Ven 1 Fév - 9:36
KOL DE VD !!!!!! :brigitte: Reuh-bienvenue & bonne chance pour ta fichette !
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: Maxence ★ You're my lucky strike Ven 1 Fév - 9:49
JOTEM (tu vas nous envoyer du lourd avec ce dc, déjà on a nataniel + le pseudo parfait )
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: Maxence ★ You're my lucky strike Ven 1 Fév - 11:03
Sujet: Re: Maxence ★ You're my lucky strike Ven 1 Fév - 11:29
Prénom de fifou Re
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: Maxence ★ You're my lucky strike Ven 1 Fév - 13:27
Maxence D. S. Jenkins a écrit:
Gosh. En regardant ma fiche, je me suis dis que j'ai misé sur les gifs.
LOVELY SISTA. Je l'ai mis pour toi, allez. Je suis gentil. Tu es first, you did it. Et merci. Par contre, il faudra revoir les accueils chaleureux.
C'est De Conti gars mais je te pardonne (chieuse un jour, chieuse toujours ) L'accueil chaleureux je laisse les filles déjà bien attirées par le personnage te le faire, je ne veux pas leur faire de l'ombre you see
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: Maxence ★ You're my lucky strike Ven 1 Fév - 14:13
Vous êtes tous mignons.
Ailynn L.N. Burberry a écrit:
Re-bienvenue parmi nous Que dire! Excellent choix d'avatar!
Merci beaucoup. Je te retourne le compliment.
Ysobel C. Colower-Argent a écrit:
Rebienvenue!! Amuse toi bien avec nouveau perso.
TVD en force. Merci beaucoup.
Cheyenne L. Pearson a écrit:
Nathaniel + baseball =
re-bienvenue coco
Te gusta ?! Merci ma darling.
Lorella A. Garibaldi a écrit:
Re-bienvenue parmi nous J'adore le prénom que tu as choisi Et bon courage pour ta fichette !
Merci bien. Il faut dire que je me suis creusé la tête pour le pseudo, Jilly m'a aidé y voir clair tellement j'avais de propositions.
Saphyr M. Gallagher a écrit:
KOL DE VD !!!!!! :brigitte: Reuh-bienvenue & bonne chance pour ta fichette !
J'aime. Merci beaucoup (et joli pseudo ).
Heaven L. Tennessee a écrit:
JOTEM (tu vas nous envoyer du lourd avec ce dc, déjà on a nataniel + le pseudo parfait )
JOTEM AUSSI. (tu l'as pris le "jotem" ). Merci ma toute belle, mon sosie de J.L.
Dylan L. James-Cooper a écrit:
Re-Bienvenue Le pseudo & l'avatar
Merci ma muse, ma douce. Si tu aimes, c'est gagné.
Tulisa A. Errington a écrit:
Prénom de fifou Re
Cela me fait plaisir qu'il plaise. Merci my dear.
Serena L. Douglas a écrit:
C'est De Conti gars mais je te pardonne (chieuse un jour, chieuse toujours ) L'accueil chaleureux je laisse les filles déjà bien attirées par le personnage te le faire, je ne veux pas leur faire de l'ombre you see
J'étais persuadé de l'avoir mis. Comme quoi, la fatigue. J'ai bien fait de m'être couché après avoir posté ma fiche. C'est vrai que je suis plus ou moins gâté. Allez, je te pardonne.
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: Maxence ★ You're my lucky strike Ven 1 Fév - 18:01
rebienvenuuuuuuuuuue
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: Maxence ★ You're my lucky strike Ven 1 Fév - 19:55
Anw, quel beau mec (re)bienvenue et bonne chance pour ta fiche
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: Maxence ★ You're my lucky strike Ven 1 Fév - 23:04
Kristopher E. McCormac a écrit:
rebienvenuuuuuuuuuue
Merci darling.
Erikhat S. Miller a écrit:
Anw, quel beau mec (re)bienvenue et bonne chance pour ta fiche
Claire is sexy too. Merci beaucoup. On l'aura ce lien cette fois.
Dernière édition par Maxence D. S. Jenkins le Sam 2 Fév - 16:19, édité 1 fois
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: Maxence ★ You're my lucky strike Sam 2 Fév - 14:21
J'AI L'OBLIGATION DE VENIR
RE-BIENVENUE BABY
Quel magnifique choix
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: Maxence ★ You're my lucky strike Sam 2 Fév - 15:19
(re)Bienvenue ! Très bon choix d'avatar !
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: Maxence ★ You're my lucky strike Sam 2 Fév - 16:21
Enzo N. Sheppard a écrit:
J'AI L'OBLIGATION DE VENIR
RE-BIENVENUE BABY
Quel magnifique choix
Heureusement que tu me souhaites la (re)bienvenue. Merci darling. Je savais qu'il te plairait.
Scarlett J. Ogway a écrit:
(re)Bienvenue ! Très bon choix d'avatar !
Merci beaucoup. J'aime plaire beauté.
Prologue posté + début d'histoire. Et code du règlement mis.
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: Maxence ★ You're my lucky strike Sam 2 Fév - 18:04
Re bienvenue semble-t'-il puis très joli choix de céléb'
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: Maxence ★ You're my lucky strike Sam 2 Fév - 19:29
Merci bien. Joli avatar.
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: Maxence ★ You're my lucky strike Dim 3 Fév - 1:49
Maxence D. S. Jenkins a écrit:
Serena L. Douglas a écrit:
BABY BROOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOO pas un petit de Conti dans le pseudo en hommage à la mère ? je lirai une fois le message posté, je voulais surtout être première rebienvenue blablablablabla
Par contre, il faudra revoir les accueils chaleureux.
Ah ! Je ne suis pas le seul à le penser Rebienvenue !!
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: Maxence ★ You're my lucky strike Dim 3 Fév - 23:13
Un allié de taille. Merci beaucoup.
Fiche terminée. Edit:
Citation :
(maxena > the entire world).
Inutile de demander qui a mis cela dans mon profil...