Sujet: Léo Yusupov - Come on, join the dark side. Lun 18 Fév - 19:10
FEAT. Gerard Butler
Léon Mikhaïlovitch Yusupov
37 ans → Né à Moscou le 08/06/1976 → Membre de la Pègre russe célibataire → hétérosexuel → membre des Rebels.
And who am i ?
★Quelles sont tes caractéristiques? → Léo a tout du colosse russe que l'on s'imagine, si l'on oublie son faciès. De grande taille, avoisinant le mètre 90 et les épaules larges, ce boxeur amateur est plutôt impressionnant et plaira certainement à ces demoiselles une fois dévêtu. Habité par la vivacité de la jeunesse qui l'habite depuis ses 20 ans, il entretient un corps ferme et musclé par de nombreuses activités sportives, ponctuées par ses footings quotidiens et ses entraînements de boxe et de tournois amateurs où il ne manque pas de combattre. On peut dire que le bougre saît se défendre et a une allonge qui en surprendrait plus d'un.
C'est un homme soigné, qui donne beaucoup d'importance à son apparence et n'apparaît en publique qu'habillé de costumes sobres et élégants, se permettant de temps à autre une touche d'exotisme, demeurant cependant discrète, profitant de la simplicité du luxe. Il porte quasiment toujours une légère barbe qu'il entretient, la rasant occasionnellement et ne la laissant pas devenir sauvagement épaisse non plus. Quand il ne sort pas ou ne travaille pas, il opte pour des tenues plus décontractées, jeans, t-shirt ou chemise ainsi que vestes en cuir qui lui sied à merveille. Sans être un véritable playboy, il est doté d'une certaine prestance et d'un charisme le rendant physiquement intelligent.
Son regard bleu perçant lui donne une allure noble et amicale, avec sa façon droite de se tenir, on a cependant constamment l'impression que ses pupilles bleues nous scrute, nous sonde, tentant de percer jusqu'à nos secrets les plus intimes. Ses cheveux sont bruns tout comme sa barbe, chevelure qu'il arrange souvent des doigts, se coiffant approximativement la plupart du temps, car selon lui, "une bonne coupe de cheveux vient toute seule !", portant une aversion pour le gel il n'en met jamais .
★Quel est le caractère de ton personnage? → Menteur. C'est le premier mot qu'on met sur le visage du russe quand on le connaît. Du moins, quand on croit le connaître. Personnage médiatique adulé comme détesté par la presse, monsieur Yusupov collectionne les facettes et les personnages qu'il endosse chaque jour semblent être façonnés par les gens qu'il rencontre et avec qui il communique, échange, ris, pleure... Un véritable caméléon. Mentir n'est pas vraiment son hobby préféré, mais être dans la peau de quelqu'un que l'on est pas, on s'y fait rapidement. C'est même plutôt agréable, à dire vrai. Votre interlocuteur est alors dans l'ignorance : il ignore tout de vous, de vos pêchés, de vos plus sombres secrets comme de vos plus agréables visages. Il ne voit que ce que vous voulez qu'il voit. Le mensonge est un art que seul une poignée d'homme ont la chance de pratiquer. Parmi eux, les politiciens, les acteurs, les journalistes, et enfin, les gens de la trempe de notre tendre immigré. Les escrocs. Les mafieux. Les gens qui tirent les ficelles. Pantins comme Parrains, petite frappes et grands noms des Familles, le crime n'a jamais autant payé que sur les terres du rêve américain.
Alliant langue de bois quant à la politique de son entreprise et sarcasme quand il faut s'en prendre aux journalistes ou à ses adversaires, Léo demeure l'un des orateurs les plus étranges que l'on compte à NYC. Sans être aussi convainquant qu'un homme politique, Léo possède ce don de faire passer les choses en douceur, et, dans l'éventualité où quelque chose coincerait, une liasse de billet aide à digérer. Et si ça ne marche toujours pas... Une petite soirée entre amis n'a jamais fait de mal, non ? Avez-vous déjà eu l'occasion de visiter les docks, et leurs fonds marins ? Vous seriez surpris de découvrir tout ce que l'on trouve au fond de l'eau.
Sa capacité extraordinaire à endosser de lourdes responsabilités et la ferveur de ses interventions dans la presse comme dans les nombreux procès où il a été impliqué lui ont jusqu'ici permis de s'en sortir plus ou moins indemne et de demeurer un des favoris de son père. Sur le devant de la scène, Léon, qui a opté pour le surnom de Léo, est un homme impitoyable, séduisant et ayant un goût prononcé pour la séduction, l'alcool et les jeux. Derrière cet apparat d'homme de faire se cache un homme on ne peut plus mince, dépassé par les événements et le rôle qui lui incombe. Une bouteille de gnôle pour rassurer ses craintes et sa détermination sans faille comme seules armes, si l'on oublie le beretta à son flanc, Léon est un homme naturellement calme et réfléchis. Tout l'inverse du double qu'il devient quand il sort de chez lui. L'ironie et les sarcasmes avec lesquels il se couvre devant la presse lui serve de carapace, dissimulant un homme meurtris et dur avec les autres comme avec lui-même. Le milieu dans lequel il est ne permet aucun répis et ne pardonne que rarement les imperfections, ainsi, dans une paranoïa quasi maladive, Léon n'est entouré que d'une poignée d'amis proches qui lui sont réellement intimes. Le reste ne sont que des amis faisant partis de sa couverture, des collègues, et des relations liées aux affaires. Veillant à ne pas mêler sa vie privée au travail, il fait la part des choses et rechigne à tout attachement dans son milieu. Il faut savoir se tenir prêt : à tout moment, le milieu peut décider que vous lui êtes obsolète. C'est pourquoi malgré son faible pour les femmes, Léo n'a jamais eu de relations sérieuses et préfèrent draguer les mannequins et les playmates que d'avoir une réelle histoire amoureuse : cela marquerait la fin de son apogée. Il ne serait plus hors d'atteinte, et ses adversaires comme ses alliés pourraient se jouer de lui. Les sentiments sont un piège à repousser chaque jour, cela demande de la volonté, du temps, de la souffrance. Mais c'est comme ça qu'il assure sa survie, et la pérennité de sa carrière dans la pègre.
Car le jeune homme est ambitieux et ne le cache pas, désirant succéder à son actuel employeur à la tête d'un véritable réseau mafieux prenant racines en l'Europe de l'Est jusqu'à la côte Est américaine, et la cité de la grande pomme, nouveau champ de bataille des cartels qui se livrent une guerre sans merci dans laquelle les familles russes comptent bien sortir du lot.
Seul cette poignée d'amis intimes qu'il fréquente connaît la face cachée de Léo, rongée par des années de sévices et une face bien moins corrompue qu'il ne le voudrait. Friand d'humour, l'européen adore les blagues et les plaisanteries. Détail amusant, il est cependant légèrement ronchon et succeptible, sans être réellement colérique bien qu'il lui arrive de s'emporter, comme tout le monde. Il déteste qu'on marche sur ses plates bandes et a la manie d'éliminer ses rivaux jusqu'à la racine : leurs familles. Surement son côté un peu trop agressif au travail. Les remords viennent ensuite le cueillir, au petit matin, alors qu'il s'éveille aux côtés d'une charmante créature, séduite la veille ou payée 100$ de l'heure.
Sa détermination quant à elle n'est plus à prouver et les obstacles qu'il peut rencontrer sont loin d'être génants. Que ce soit par la force ou une ruse, il les passe toujours. Utiliser des méthodes peu orthodoxes ne le dérange pas, mais il aime aussi passer par des voies on ne peut plus légales quand il le peut.
Well... It's my story...
L'illégalité est une histoire de famille chez les Yusupov et c'est tout naturellement que le jeune Léo fut tourné dès son enfance vers une carrière dans le milieu de la pègre. Son père, Mikhaïl, avait amassé une véritable fortune dès l'accession de Staline au pouvoir. Prolétaire rusé et avant-gardiste, Yusupov vit dans la tyrannique communiste la possibilité d'offrir à sa famille tout ce dont elle avait toujours rêvée. Mais c'est bien lui et lui seul qui marqua le tournant décisif de sa lignée. Ils n'avaient jamais été de l'aristocratie russe et avaient servis admirablement le Tsar jusqu'aux révolutions d'octobre et tous les événements qui s'en suivirent. Plus par opportunisme que par convictions, le grand-père de Léon devint alors un fervent communiste et membre du parti, sans jamais réellement s'impliquer dans la vie politique du pays, profitant du souffle communiste régnant sur le pays pour sortir de la misère, tout en se prônant fier prolétaire et travailleur courageux.
Avec l'accession de Lénine au pouvoir, il devint fonctionnaire et sortit sa famille nombreuse de la misère paysanne dans laquelle baignait la majorité des russes à l'époque. La famille n'avait alors rien de criminelle et chacun travaillait plus ou moins dur pour s'assurer que tout le monde mange à sa faim.
Ce n'est qu'après la mort du grand-père que les choses mirent réellement à changer. L'aîné, Mikhaïl, le père de Léon, se retrouva à la tête de la famille, lui, simple ouvrier, avec la lourde tâche de la nourrir. Tous vivaient alors sous le même toit. Le pays sortait alors d'une guerre féroce contre les nazis, tous avaient perdus des frères, l'industrie n'avait jamais été aussi pitoyables et l'état maintenait une économie bancale à travers les républiques socialistes. Si une part de la population, adulant Staline et ne voulant pas voir le désastre du modèle soviétique continuait à croire à un avenir prospère et à la lutte contre le capitalisme, Mikhaïl prévoyait déjà un violent retour de baton pour le gouvernement. Mais il pouvait tirer profit de cette situation.
C'est ainsi que naquit réellement la famille Yusupov telle qu'on la connaît : corrompue jusqu'à ses plus profondes racines. Mikhaïl et ses frères, ainsi que ses cousins et quelques amis montèrent un marché noir pour palier au manque de vivres en URSS. Rapidement, le minable réseau connu un succès grandissant et les ravitaillements illégaux, qui arrivaient par trains, vinrent par voitures, de la frontière, jours après jours.
On envoyait des oncles et des cousins en Allemagne, pour gagner de nouveaux fournisseurs : la tâche devenait compliquée et l'on ne devait pas éveiller les soupçons. Pendant ce temps, Mikhaïl suivait les pas de son père dans le parti pour s'assurer une bonne couverture et commençant à corrompre de hauts fonctionnaires pour assurer la pérennité de son réseau. L'entreprise n'était plus familiale et on commençait à engager des amis, des orphelins et des prolétaires comme des petites-frappes. Mais le réseau ne pouvait encore exploser, contenu par l'opacité du régime soviétique qui limitait les échanges avec l'extérieur et les rendait compliqués.
La guerre froide fut la période la plus prolifique pour les Yusupov, dont le réseau s'étendait jusqu'en RFA désormais. C'était plus que des éléments de premières nécessités qu'on trafiquait désormais : avec la démocratisation de la drogue à l'Ouest, elle atteignit les salons d'intellectuels russes par le biais des Yusupov qui s'élevaient dans la société russe. Décrit comme un brillant penseur socialiste par ses amis fonctionnaires, Mikhaïl qui n'avait rien d'un philosophe pu ainsi toucher les hautes sphères du parti communiste et la famille s'installa durablement comme l'une des premières mafia russe. Déjà, le regard des mafieux se tournaient vers les Etats-Unis où migraient bon nombre d'opposants politiques. Dans le plus grand secret, plusieurs membres du réseau suivirent Trotski dans sa fuite et gagnèrent le Nouveau Monde où ils s'implantèrent, sans réussir à réellement monter un réseau organisé jusque les années 30 avec la prolifération des réseaux mafieux.
La chute du bloc soviétique fut une vraie aubaine pour Mikhaïl qui eut tôt fait de retourner sa veste en pro-Gorbatchev et néo-libéraliste dès la chute du mur de Berlin. Il quitta à la même époque le Parti pour des "problèmes de santé" et partit s'établir, avec sa femme et ses fils en RFA, tandis que ses frères continuaient de tenir les rennes du business à Moscou, engrangeant de plus en plus d'argent. Mais cela ne suffisait pas aux Yusupov qui se mirent bientôt à extorquer les commerçants et à les faire chanter, à l'image de la mafia sicilienne. Rapidement, avec l'ouverture de l'Est, les pays occidentaux apportèrent leur lot de nouveautés aux habitants des ex-républiques socialistes. Que d'aubaines pour les Yusupov qui montèrent un très productif réseau de prostituées et de maisons closes à travers tout l'ex-URSS.
Ces activités ne furent jamais cachées à Léon et ses frères et soeurs, au contraire. Ils furent encouragés à en tirer de la graine : Mikhaïl, très dur, exigeait d'eux qu'ils apprennent de la réussite de leur père. Si l'on désirait réussir, avoir quelque chose, il fallait se battre et tout mettre en oeuvre pour l'avoir. Il avait sortis sa famille de la merde, et comptait bien sur leur reconnaissance. Ils perpétuaient le cartel naissant, qu'ils le veuillent ou non. Les Yusupov naissaient désormais pour ça.
Léo, en tant qu'aîné fut d'ailleurs élevé assez en marge de ses frères et soeurs : Mikhaïl voulait faire de lui son digne successeur et prit la décision de lui forger une personnalité qui scierait au rôle qu'il lui promettait. Cette éducation dure et violente, qui ne laissait pas de place à l'innocence et la naïveté des enfants fragilisa plus qu'autre chose Léon qui en garde encore les séquelles mentales. Mais globalement, Mikhaïl obtint ce qu'il désirait, et surtout, l'admiration et le dévouement de son fils. Très tôt, la figure maternelle fut éloignée pour que le jeune bambin ne garde qu'une figure paternelle puissante, autoritaire et seule source de réconfort, ce qui explique en partie la difficulté de Léo à établir des relations sérieuses avec des femmes, et sa méconnaissance de celles-ci malgré ses faux-airs de séducteur.
La chute du mur marqua également l'accession à la mondialisation pour les nouveaux états de l'Est. Avec celle-ci, l'expansion de la pègre devint fulgurante, et les Yusupov se battirent un véritable empire sur les ruines de l'URSS, comme nombre d'autres familles mafieuses, qui devinrent de riches propriétaires se partageant le pays dans un bain de sang sur fond de guerre mafieuse. Les nouvelles des camarades envoyés dans la nation de Reagan étaient prometteuses, et bientôt la pègre s'exporta au-delà de l'Atlantique, Mikhaïl et ses fils avec.
C'était en 93. Léon avait alors 15 ans, parlait couramment l'anglais, savait manier une arme et pratiquait la boxe. La pègre lui ouvrait les bras. Ils emménagèrent à New York City, la grande pomme, qui fourmillait de vie et qui promettait un avenir radieux à qui savait exploiter le rêve américain. Il y avait ceux qui y croyait, voyant le pays de l'oncle Sam comme un véritable Eldorado, et se brûlaient les aîles. Puis il y avait les Yusupov et autres familles italiennes, chinoises, ukrainiennes, croates, locales et que sais-je encore. Un nid à mafieux.
Les Yusupov se mirent bientôt à la tête de la plupart des familles russes et ukrainiennes, et prenant possession de plusieurs entreprises pour couvrir du blanchissement d'argent. La plus importante de celle-ci, ayant une importance stratégique : Big Apple Health Society. Une firme d'une multinationale, spécialisée dans la rénovation de grands bâtiments et la construction, qui obtint par la suite la tâche de rénover les monuments new-yorkais ainsi que l'entretien de certains immeubles de Manhattan, notamment sur Wall Street. Un gage d'influence pour les Yusupov qui s'incrustaient dans le paysage politique local, demeurant invisible pour la plupart des gens, mais bien présents.
Léon lui était scolarisé dans une école privée, où il apprenait les moeurs américains et à mieux maîtriser l'anglais, tout en continuant à être influencé par sa famille et le milieu de la pègre. Il n'était pas majeur quand il fut impliqué dans ses premiers casses, chantages et transferts d'argent blanchis. On se faisait vite la main.
Il grandit tranquillement, entrant petit à petit dans la machine mafieuse, se laissant intégrer entièrement dans ce monde dont on ne ressortait pas, ou alors, les pieds devants. Il avait des diplômes, un esprit vif, rusé, un corps d'athlète - car il avait commencé la boxe dès 13 ans et continuait de la pratiquer intensivement - et une détermination à rude épreuve. Son père serait fier de lui.
Il commença en bas de l'échelle, car il ne voulait pas être pistonné et de toute façon ce n'était pas le genre de la maison. Petite frappe, il cotoya la rue, arpenta les ruelles de New York, prit part au racket, à la protection des commerces qu'ils faisaient chanter à divers activités toutes plus lucratives les unes que les autres. Il apprit à tenir une arme, à s'en servir, à ne pas flancher à la vue de sang, à ne pas avoir de remords, de sentiment. Il apprit à être un Yusupov. Et comme tous, il gravit les échelons, et son père fut fier de lui.
Vint le moment où ses efforts furent enfin récompensés, sa consécration. Le cartel avait besoin d'un numéro 2. Il allait le devenir. Il deviendrait un pion capital au maintien de l'influence des familles, qui devait restait actives face à la concurrence des autres cartels, italiens et locaux. Les russes n'étaient pas bien vus, mais efficaces. Cela devait continuer. On le mit à la tête de la firme Big Apple Health Society, une firme de la SA qui couvrait les activités de la mafia russe. Il devait continuer à promouvoir cette société qui avait une image très humaniste tout en permettant à son père de blanchir de l'argent. Pour cela, il devait être médiatisé. Son père s'arrangea pour lui créer un personnage; Léo Yusupov, un riche entrepreneur qui venait de racheter la firme, et, avec l'argent de son père, Léon devint propriétaire de nombreux immeubles de la ville pour s'incruster dans le marché immobilier local.
Il prit place discrètement dans les hautes sphères de la ville, intellectuelles comme celles du star system, grâce à des connaissances bien placée. Sa présence dans les galas et soirées mondaines ne fut que très peu remarquée au début : il débarquait dans le monde des strass et des paillettes. Jusqu'à ce que plusieurs scandales éclatent : il profita de la célébrité d'actrices et de mannequins pour construire la sienne, en ayant des relations avec elle ou en faisant courir des rumeurs. La seconde étape fut d'organiser de nombreux galas, la plupart "caritatifs", pour promouvoir sa société et son caractère "généreux", "humaniste". Quand la mairie de la ville octroya à la société un contrat juteux pour rénover la majorité des monuments de la ville, se fut la consécration et il pu enfin gagner la place qu'il désirait, en se faisant des amis au sein même de l'administration publique.
Cela fait maintenant 2 ans que le riche mafieux officie sous la couverture de cette entreprise qui tend à multiplier ses branches, venant d'annoncer son souhait d'investir dans le domaine de la technologie high-tech accessible à tous. Percer les lobbys industriels est un des principaux objectifs de Léon qui maintient l'activité mafieuse en place dans la ville, perpétuant les traditionnels rackets, trafiques de prostituées, de drogues et autres joyeuseries qui font aussi le charme du côté obscur de New York. Bienvenue dans la Pomme des dépravés. Bienvenue chez les Yusupov.
my little secret
★Ton prénom ou ton pseudo & ton age → Vous avez pu me croiser ailleurs sous différents pseudos, car je suis sur de nombreux forums. Mais appelez-moi Léo, ici ★Comment es-tu arrivé(e) ici ? → Par un top site, je ne sais plus lequel. ★Ce personnage est-il un double compte ? → Non, je suis tout neuf ! ★Présence sur le forum → Régulière. ★Personnage inventé ou scénario ? → Inventé. ★Crédit images → Répondre ici.
Mon exemple de RolePlay:
→ Encore une fois, la sombre Gotham l'attendait. Il quittait de nouveau Metropolis, pour affaires encore une fois. Craig n'avait jamais vraiment apprécié l'ambiance de la ville du Chevalier Noir. Même sous sa tutelle protectrice, elle avait un aspect assez morose... Une tristesse à la fois inquiétante et intrigante. Gotham avait toujours été la ville de toutes les intrigues, de tous les dangers, et de tous les supplices. Il n'en était pas originaire, et s'il devait s'y rendre très régulièrement, il se hâtait généralement de regagner Metropolis. C'était une des raisons pour laquelle il louait simplement une chambre d'hôtel pour ses déplacements au siège de Wayne Enterprise. Il ne désirait pas s'établir dans la cité du crime.
Il avait passé ces dernières semaines auprès de Bruce Wayne pour le sortir de sa dépression. Il pouvait se féliciter d'avoir aider son employeur et ami à sortir du gouffre. Ce n'était que le début d'une renaissance certaine, il en était toujours ainsi des hommes de sa trempe. Il leur fallait un petit coup de pouce d'un être anodin. Craig avait endossé le rôle de l'éternel numéro 3 de l'entreprise : tant pis. Il lui sciait à merveille. Lucius était un ami, Wayne aussi, et ils pouvaient mettre la main sur tous les marchés que leurs objectifs visaient s'ils travaillaient de concert. Craig voulait augmenter considérablement le volume des ventes - qui avait considérablement baissé durant la dépression de Wayne, la société ayant perdu un peu de sa marque de grandeur - tandis que Fox voulait privilégier les actionnaires (et donc principalement Bruce) en faisant le plus de marge possible, ce qui augmenterait les dividendes. Ces deux politiques n'étaient pas incompatibles. Ils feraient de grandes choses.
C'est donc confiant qu'il gagnait Gotham pour assister à des réunions du Conseil d'administration et régler d'autres affaires moins urgentes. Il avait acheté un billet d'avion au dernier moment et avait eu de la chance d'avoir une place en classe affaire. Son nom et son statut l'avait quelque peu aidé, c'est vrai... En plus de cela, il s'était du mauvais pied et avait faillis arriver en retard à l'hôpital. Ses bagages étaient légers, et connaissant les aéroports à force de les emprunter, il se dirigeait dans ces immenses structures comme si il en avait fait les plans lui-même. Il connaissait par coeur l'aéroport de Metropolis. Il en connaissait la moindre cafétéria, les moindres recoins, tous les coins idéaux pour se reposer entre deux vols, où acheter son journal sans se faire trop escroquer, quelles toilettes étaient les plus propres... Quelles employées étaient les plus aimables.
Il se présenta au guichet légèrement en retard, dernier de la file. L'homme derrière son guichet leva les yeux en machouillant son stylo et regarda sa montre avant de sourire.
- A deux minutes près, je fermais le guichet...
Sans plus attendre, Craig fouilla sa veste et déposa sur le guichet son passeport et son billet d'avion, souriant juste légèrement par politesse. Il ne voulait pas rater son vol. L'homme examine rapidement ses papiers et lève la tête.
- Oh, monsieur Gordon ! Désolé. Tenez, tout est en règle.
Craig le remercia en souriant, saisissant ses papiers et les rangeant dans sa veste avant de gagner l'avion, guidé par une hôtesse. Elle le guida à sa place et il fronça les sourcils voyant que la place d'à côté était prise. Son expression se défroissa rapidement quand son regard tomba sur la femme avec laquelle il allait partagé ce voyage. Elle avait un charme si familier qu'il aurait presque cru la connaître, mais il n'avait à sa connaissance jamais cotoyé de femme aussi belles et avec autant de prestance. Et il avait pourtant connu beaucoup de femmes dans sa vie, parfois à son grand damne. Il s'assit silencieusement après avoir rangé ses affaires dans les portes-bagages au-dessus des passagers. Il commença à s'installer, installant son ordinateur portable sur la tablette en face de lui avant de tourner lentement la tête vers sa voisine. Elle le fixait, béat. Craig ne pu s'empêcher de sourire devant l'expression de l'inconnue qui ne tarda pas à se resaisir. L'homme d'affaire remarqua alors la bouteille de cognac près d'elle et son verre qu'elle avait à la main. Il arqua les sourcils, surpris de voir une femme boire seule. Il lui sourit, décidant de faire le premier pas pour briser la glace, et lui tendit sa main :
- Craig Gordon. Apparemment nous allons faire un bout de voyage ensemble !
Tandis qu'elle lui répondait, il détailla l'étiquette de la bouteille de Cognac.
- Eh bien... Vous avez déjà soif ? dit-il, amusé.
Le code règlement:
→ OK by Iron
Dernière édition par Léo Yusupov le Ven 22 Fév - 0:29, édité 10 fois
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Sujet: Re: Léo Yusupov - Come on, join the dark side. Lun 18 Fév - 19:19
Bienvenue officiellement Bon courage pour ta fiche
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Sujet: Re: Léo Yusupov - Come on, join the dark side. Lun 18 Fév - 19:26
bienvenue parmi nous
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Sujet: Re: Léo Yusupov - Come on, join the dark side. Lun 18 Fév - 19:32
Bienvenue sur NYCL
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Sujet: Re: Léo Yusupov - Come on, join the dark side. Lun 18 Fév - 19:56
Excellent choix de vava !
Welcome
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Sujet: Re: Léo Yusupov - Come on, join the dark side. Lun 18 Fév - 20:04
Bienvenue sur le forum! ♥
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Léo Yusupov - Come on, join the dark side. Lun 18 Fév - 20:40
La russie, c'est la vie. Bienvenue et bonne chance pour ta fiche.
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Léo Yusupov - Come on, join the dark side. Lun 18 Fév - 20:50
Everybody's got a dark side, do you love me, can you love miiiine... ( Kelly Clarkson ) Bienvenue parmi nouuus Et bon courage pour ta fiche !
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Sujet: Re: Léo Yusupov - Come on, join the dark side. Lun 18 Fév - 21:44
Sujet: Re: Léo Yusupov - Come on, join the dark side. Lun 18 Fév - 21:45
...we've got cookies Hello Léo
Butler :lecheur: Lui, Jeffrey D. Morgan et Daniel Craig, je bave dessus à chacun de leur film
Bienvenue et bon courage pour ta fiche
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Léo Yusupov - Come on, join the dark side. Lun 18 Fév - 22:04
Membre de la pègre russe. Je vais être obligé de te demander un lien avec mon Zechariah
Bienvenue parmi nous
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Léo Yusupov - Come on, join the dark side. Lun 18 Fév - 22:17
Merci à tous pour votre chaleureux accueil, il me va droit au coeur Pour d'éventuels futurs liens, ma boite à mp est bien évidemment ouverte Ma fiche est bientôt terminée (il ne me reste que l'histoire et le code règlement à insérer)
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Léo Yusupov - Come on, join the dark side. Lun 18 Fév - 22:25
Je te mpotte avec mon petit chou, mais avant;
Citation :
Par soucis de réalisme, l’âge de votre personnage devra coller à votre avatar, nous vous demandons donc une différence de 5 ans maximum avec l’âge réel de votre célébrité.
Gerard a 43 ans, alors 32 ans, c'est beaucoup trop jeune
Cheyenne L. Pearson
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if you're going through hell, KEEP GOING.
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Sujet: Re: Léo Yusupov - Come on, join the dark side. Lun 18 Fév - 22:26
Bienvenue
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Sujet: Re: Léo Yusupov - Come on, join the dark side. Lun 18 Fév - 22:29
Je ne comptais pas utiliser des images trop récentes de Gerard en fait, mais si cela pose problème je peux vieillir Léo, pas de soucis
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Léo Yusupov - Come on, join the dark side. Lun 18 Fév - 22:37
Bienvenue & bonne chance pour ta fiche
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: Léo Yusupov - Come on, join the dark side. Lun 18 Fév - 23:15
Bienvenue parmi nous et good luck
Invité
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Invité
Sujet: Re: Léo Yusupov - Come on, join the dark side. Lun 18 Fév - 23:24
Bienvenue!
Cheyenne L. Pearson
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Sujet: Re: Léo Yusupov - Come on, join the dark side. Lun 18 Fév - 23:41
Léo Yusupov a écrit:
Je ne comptais pas utiliser des images trop récentes de Gerard en fait, mais si cela pose problème je peux vieillir Léo, pas de soucis
Oui il faudrait le vieillir pour respecter la règle s'il te plait
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Invité
Sujet: Re: Léo Yusupov - Come on, join the dark side. Mar 19 Fév - 0:18
Vieillissement : ok Je suis passé à 37 ans, conformément à votre demande !
Cheyenne L. Pearson
Empire State of Mind
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Sujet: Re: Léo Yusupov - Come on, join the dark side. Mar 19 Fév - 1:15
Merci
Invité
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Sujet: Re: Léo Yusupov - Come on, join the dark side. Mar 19 Fév - 1:28
g.butler bienvenuue parmi nous
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: Léo Yusupov - Come on, join the dark side. Mar 19 Fév - 1:36
Bienvenue parmi nous.
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: Léo Yusupov - Come on, join the dark side. Mar 19 Fév - 2:33
Merci à tous. Fiche terminée !
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: Léo Yusupov - Come on, join the dark side. Mar 19 Fév - 7:05
Merci de ne pas poster en dehors de ta fiche tant et aussi longtemps que tu n'es pas validé.
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Sujet: Re: Léo Yusupov - Come on, join the dark side.