25 ans → Né(e) à New York le 03/08/1987 → ex-étudiant en administration - artiste célibataire → hétérosexuel → membre des Outsiders.
And who am i ?
★Quelles sont tes caractéristiques? → « Mon corps est ma première œuvre; Mes tatouages représentent pour moi des heures de souffrances physique, mais aussi des années de mal-être, d’incertitude. On m’a souvent demandé pourquoi j’avais choisi ces dessins; Pourquoi j’avais décidé de devenir un zombie. La vérité, c’est que je ne sais pas. C’est arrivé, c’est tout. J’ai fait un dessin d’un jeune homme aux airs de cadavre, un jour, et je l’ai gardé. Il est devenu pour moi un emblème, un dessin que j’ai répété des centaines de fois; Il a fini par faire partie de moi, et peu à peu, je suis devenu le personnage – ou j’ai plutôt prit ses traits, désolé; Quelque part, je crois que j’ai toujours été ce bonhomme, sans trop en être conscient. Je voulais éviter de me poser certaines questions. Je dois avouer que certains jours, j’ai un peu honte de sortir. D’autres, j’ai envie de montrer mon corps au monde entier… pour le soir, vouloir m’arracher la peau, tanné par les traces noires, mais je ne le fais jamais. Que je le veuille ou non, je ne peux changer le passer, comme je ne peux changer ces tatouages. »
Il serait certainement plus simple d’énumérer ce qui fait de Louis un être dans la norme, plutôt que le contraire, pourtant, il fut un temps où Louis était vu comme ordinaire, presque beau. Enfant, il avait la peau blanche comme de la crème, les cheveux châtains d’une douceur inconcevable et un sourire; Un sourire à la Louis; Un rayon de soleil coincé entre deux lèvres bien dessinées. Il était, à l’époque, celui que les fillettes imaginaient devenir un jour leur prince charmant, celui que les mamans rêvaient d’avoir comme rejeton. Puis, d’un coup, il changea; passa du garçonnet mignon à croquer au punk avec crête colorée; qu’il finit par raser, au profit d’un crane tatoué, d’un corps totalement modifié. Aujourd’hui, il serait impossible pour lui de passer inaperçu dans une foule; Sa présence seule suffit à rendre certains mal à l’aise; on le juge sans même le vouloir dès qu’on l’aperçoit. Ses tatouages, ses piercings, sa démarche particulière font que Louis est différent des autres, de ce qu’il était avant et de celui qu’il devrait être.
Ah, et il est allergique aux noix.
★Quel est le caractère de ton personnage? → « On me dit souvent que je suis idiot, que je suis effrayant. On change de trottoir quand je marche dans la rue. On me voit comme un être violent, un psychopathe, comme quelqu’un qui a envie de voir les autres souffrir, parce que ma peau est tatouée. Je suis un vilain, digne d’un Disney. Je dois avouer que ça me fait toujours un peu rire, à l’intérieur. Les gens jugent tellement facilement, et se trompent avec autant d’aise; La vérité étant que je ne ferais pas de mal à une mouche; Je préfère me blesser moi; Les remords étant mille fois plus douloureux que la souffrance physique, à mes yeux. On peut dire que je suis assez sensible aux sentiments des autres, à mon environnement aussi. C’est probablement pour cela que j’aime tant l’art. Ça me permet de m’exprimer. Mon corps fut ma première toile. J’avais des sentiments assez sombres à évacuer; Cela m’a permis d’en apprendre beaucoup sur les autres. Je pense qu’on pourrait aussi dire que je suis assez intellectuel, je ne dis jamais non à un vieux bouquin bien poussiéreux, j’aime apprendre de nouvelles choses, faire des constatations. On ne dirait certainement pas cela aux premiers abords; mais je m’en fous, c’est vrai. Sinon, je suis assez silencieux. Je n’aime pas vraiment parler, déranger les autres. Je suis assez renfermé. On confond souvent cela avec de la timidité, mais je ne me considère pas comme tel. Je dois cependant avouer que j’aime choisir mes mots, prendre mon temps; C’est surtout parce que j’ai peur de parler trop vite, qu’on interprète mal ce que je dis, de blesser. Je pense énormément; Souvent, ça se termine mal, puisque je suis assez pessimiste. Pour moi la vie pourrait être rose, je ne manque de rien, j’ai même plus que ce que je pourrais désirer. Pourtant, je reste incroyablement inquiet, comme si, quelque part, j’avais peur que tout s’écroule, que la magie, tout d’un coup, n’existe plus. »
Well... It's my story...
« it was hell; it was heaven. (part 2) »
L’histoire commence la nuit de Noël, en 1986, dans le Spanish Harlem. Les Jones revenaient tout juste de la messe de minuit, avec de la famille et des amis. La maison était bondée. Tous mangeaient, buvaient, dansaient, fêtaient. Kate, la fille aînée des Jones avait 16 ans à l’époque. Ses parents, très conservateurs, lui avaient donné la permission d’aller fêter au sous-sol, avec les autres adolescents, ce qu’elle fit avec joie. Elle dansait, virevoltait, laissant ses cheveux blond flotter derrière elle, suivant chacun de ses mouvements. Kate n’avait jamais vécu de pareils moments. C’était comme si son cœur battait pour la première fois. Comme si le petit Jésus était de retour sur terre. Comme si le père Noël existait vraiment. À ce moment-là, pour Kate, la magie existait. Elle oubliait les troubles de la vie ordinaire, les problèmes d’argent de ses parents, les disputes qu’elle avait avec ses amies qui se moquaient d’elle en espagnol pour qu’elle ne comprenne pas. Kate, l’espace de quelques minutes, était vraiment heureuse. Elle tourna. Les murs autour d’elle semblaient plus beaux. Elle tourna. L’air semblait plus doux, malgré tous ces gens qui fumaient alentours. Elle tourna une fois de plus; bouscula un homme, qui la rattrapa. Il portait des vêtements neufs, ça se voyait, Kate pouvait même sentir l’odeur si particulière des grandes boutiques encore imprégnés dans le tissu. Il sourit, se présenta. C’était George, un ami d’un ami des parents Jones. Elle ne l’avait jamais vu auparavant; Kate évalua qu’il devait être au début de la trentaine, et s’avoua le trouver magnifique. Ils échangèrent quelques mots, et il lui proposa d’aller marcher un peu, ce qu’elle accepta; il était si charmant, si galant, si parfait. Ils marchèrent vers nulle part un moment dans le froid New Yorkais. Kate, qui ne portait qu’une robe, des bas et de fines chaussures sous son manteau grelottait, ce que George remarqua, avant de lui proposer de prendre une pause, d’entrer se réchauffer à l’église; L’établissement, à l’époque, était toujours ouvert, pour permettre aux croyants de venir s’y réfugier en moment de besoin. Ils entrèrent dans la maison de Dieu, ou l’air était plus chaud. Tout de suite, Kate remarqua que quelque chose avait changé, sans trop savoir quoi. C’était comme si l’ambiance, plus tôt sucrée c’était tout d’un coup salée. C’était comme si, soudain, le monde ne tournait plus à la même vitesse. C’est là, dans cette Église, George posa sa main sur l’épaule de Kate, et approcha son visage du cou de la jeune fille. Elle ne mit pas plus de temps à comprendre. Elle ne voulait pas. Elle se réservait pour l’homme qu’elle aimerait jusqu’à la fin, pas pour un inconnu rencontré lors d’un réveillon. Bien sûr, il n’allait pas lui laisser de choix.
Kate décrit plus tard ce moment comme le pire de sa vie, mais aussi comme le meilleur, puisque c’était le début de quelque chose de nouveau; de tellement beau. Le début de mon existence, à moi. « Je n’aime pas cet homme, je le déteste pour ce qu’il m’a fait, mais, quand je te vois, Andreas, je suis tellement heureuse qu’il l’ai fait. »; Elle me dit, la dernière fois que je la vis. Kate était certainement la personne la plus courageuse qu’il m’ait été donné de rencontrer. Elle m’avait porté des mois durant, et, du haut de ses seize ans, avait eu la force de s’avouer ne pas être capable de m’élever seule, et m’avait laissé en adoption, demandant seulement à mes futurs parents de me nommer Andreas, en mémoire du Spanish Harlem; Elle ne broncha pas, lorsqu’on se revit, une vingtaine d’années plus tard, mon corps transformé. Pour elle, c’était pareil. Elle ne jugeait rien. J’étais Andreas, son bébé, pour toujours. Peu importe mon style, mes goûts, ou mes choix. Kate mourut d’un cancer du sein l’année de nos retrouvailles. Je crois qu’elle partit heureuse, puisque malgré la maladie, elle trouvait le moyen de sourire, et de me faire sourire, ce qui n’est pas donné à tous. Je restai avec elle toute la semaine avant son décès, et lui tenu la main jusqu’à la fin, puisqu’elle le méritait.
« C’est marrant, non, Dreas? Tous les deux, on est parfaitement chauves. »
« mama feels pain »
en cours <3
my little secret
★Ton prénom ou ton pseudo & ton age → laurence - 18. ★Comment es-tu arrivé(e) ici ? → je connais le forum depuis un moment. ★Ce personnage est-il un double compte ? → nope. ★Présence sur le forum → 7/7. ★Personnage inventé ou scénario ? → inventé. ★Crédit images → babine.
Mon exemple de RolePlay:
→Assise sur une rampe dans les quartiers plus pauvres du district, je regardais le monde se renverser. Depuis la fin des hunger games, les choses avaient changé, radicalement, ici. Ça commencé avec cette sensation étrange, ces rumeurs comme quoi le district 13 était toujours actif. Papa savait déjà; Grand-papa aussi. Ils n’ont pas tenté de nous le cacher. Ils ne nous cachent jamais la vérité, à ma cousine et à moi. Ils savent trop bien que, de toute façon, nous allions la lire dans leurs expressions. Ils nous avaient entrainés pour cela. Ces rumeurs se propagèrent, et ce fut comme si le monde se teintait soudainement de gris. Comme si des nuages s’amenaient devant le soleil. Comme si de la poussière, des cendres , c’était mélangé a l’air. Puis, la révolte a éclaté dans les districts mal-aimés par le capitole. Ils voulaient que leurs enfants leur reviennent, alors ils s’associaient avec le treize, ne pensant pas aux conséquences, oubliant toute logique. Ça eut l’effet d’une tornade dans le district deux. Les riches ont verrouillé leurs portes, de peur qu’on s’en prenne à leurs biens, à leur famille, ou pire, qu’on les amène à la guerre. Les moins bien nantis, eux, se sont précipités dans les rues pour écouter les rumeurs, pour se préparer, et acheter le plus possible avant que le rationnement commence. Chez les Skenandores, ce fut bien différent. Dès les premiers rapports d’émeute, toutes les pièces furent rangées, des festins préparés, et des cigares commandés. Recrutements de masse, réunions à toute heure du jour et paperasse éparpillée. Ma maison était tout à coup devenue un centre d’opération. Plusieurs wannabe tribut arrêtèrent leur entrainement quand la révolte prit de l’ampleur. Les Skenandores mirent les bouchées doubles. Aspen avait gagné au lendemain des jours sombres. Ça avait été facile. Les autres tributs avaient été affaiblis. Une autre victoire familiale au lendemain de jours plus gris serait symbolique, et prouverait la force du nom, m’avait dit mon grand-père. Je devais donc m’appliquer d’avantage. Je devais comprendre l’importance de mes actions. Malheureusement pour lui, je m’en fichais. Je m’en plus que fichais.
Sous mes yeux, deux hommes s’obstinaient. L’un deux disait que la révolte avait déjà gagnée; que l’on devait s’allier avec le treize, pour garder une bonne qualité de vie. L’autre parlait de loyauté envers nos ancêtres, qui s’étaient battus pour le capitole; il ne fallait pas oublier leur sacrifice . D’autres les écoutaient, certains que je voyais souvent s’engueuler au même endroit, des extrémistes, qui ne mirent pas de temps à s’incruster dans le débat. Un homme assez jeune – il avait été tribut de carrière, mais c’était fait volé sa place aux jeux à sa dernière moisson – parlait du fait que le deux serait perdant sous un gouvernement mené par le treize; Il disait que le capitole était en place depuis longtemps, qu’il était stable, et qu’on devait avoir confiance. Personne d’autre que le président Snow ne pourrait diriger un pays comme Panem, et réussir. Une femme dans la quarantaine lui répondit, parlant des jeux, de son enfant qui y était resté. Je roulai les yeux. Elle continuait, parlant du treize, de la liberté, de la possibilité de vivre la vie qu’on entend sans être effrayé par la famine. Ça me fit presque sourire. Je penchai la tête sur le côté et regardai mon cousin qui, lui, était assis par terre. Il semblait rire un peu.
« On pense à la même chose, hein? »
Il leva les yeux vers moi au son de ma voix. Il sourit un sourire triste.
« Socrate. »
J’eu un petit rire nerveux. Oui, Socrate. Nous l’étudions à la maison ; Les dimanches, tous se rassemblaient dans le grand salon et nous écoutions grand-père lire ce que Platon en disait. C’était une tradition qu’Aspen avait commencé. Après avoir gagné les jeux, il son passe-temps premier était devenu la philosophie. Il voulait comprendre pourquoi. Il voulait savoir combien de générations auraient à tomber avant que le système ne crashe encore. Bien sûr, il n’en parlait pas publiquement. Quand son fils unique naquit, il lui lut ses recueils tous les dimanches. Il continua quand son fils grandit, quand il se maria, quand il eut lui-même des enfants, et quand eux en eurent. Il le fit jusqu’à son dernier dimanche, où il demanda à son fils de poursuivre la tradition, ce qu’il fit. Nous tentions donc de l’écouter relire des textes que l’on avait entendus cent fois. Le seul qui était intéressé, vraiment, c’était Zeb. Il adorait les dimanches, les discussions qui suivaient la lecture, et venir ici, dans les bas quartiers, écouter les débats et détruire les arguments de chacun. Devant nous, l’engueulade se poursuivait. Un homme criait que l’on devait abattre les traites au plus vite. Certains se ralliaient à lui. Il y avait même des enfants qui pleuraient. Falken les regardait intéressé. Moi, je m’énervais devant tant de connerie.
« Je crois, en fait, que je comprends pas le truc, Falky. »
Je l’entendais déjà me dire que je ne comprenais jamais rien, de toute façon. Je nous revoyais, le quatuor fantastique, rire dans la chambre de Reeven au manoir. Ça ne faisait pas un an, mais ça me semblait incroyablement loi.
« Les gens ne voient que deux options. Le capitole, ou le treize. C’est comme s’ils pensaient qu’ils devaient donner leur voix à un ou à l’autre, et qu’ils ne pouvaient pas l’utiliser pour leur propre bien. »
Je me levai pour aller m’asseoir plus près de lui.
« Ils ne s’imaginent même pas qu’ils pourraient, eux, devenir le gouvernement. Qu’ils n’ont pas à se laisser dire quoi faire par un groupe qui n’a aucune idée de la vraie vie dans les districts. »
J’étais surprise par mon raisonnement. Falken passa son bras autour de mes épaules. C’était moins confortable qu’avant; il avait perdu du poids depuis son départ.
« démocratie? »
Je hochai la tête. Oui, la démocratie, mais non, pas maintenant.
« hun-hun. Un peuple qui ne se rend même pas compte qu’il pourrait être autonome n’est pas prêt pour se gouverner lui-même. »
Il sourit.
« Zebiche aurait dit : il faut donner le pouvoir à celui qui n’en veut pas »
Je souris à mon tour; je fus un peu surprise d’en être capable, vu qu’on venait de dire le nom de mon frère.
« à celui qui n’en veut pas, certes, mais tout ce même pas à un idiot. »
Je le fixai, pour qu’il réalise que je le visais un peu par cette phrase, avant de retomber dans mes pensées. Non, Panem n’était pas prêt pour la démocratie. Ils souhaitaient échanger un gouvernement sourd pour un aveugle. Les habitants méritaient mieux. Ils méritaient un nouveau départ. Ils méritaient un incendie.
Le code règlement:
→ Let's go Knicks.
Dernière édition par Louis Kingsley le Jeu 14 Fév - 11:12, édité 10 fois
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: i am my own nemesis. Jeu 14 Fév - 1:08
Rick, mais quel bon choix. *raide amoureuse* ♥
Bienvenue sur le forum, bonne fiche à toi; hâte de voir qui est ce Louis! <3
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: i am my own nemesis. Jeu 14 Fév - 1:11
Haaaaa tu as fini par t'inscrire, super ! Bienvenue officiellement parmi nous Et bon courage pour ta fiche Fais-en une en béton armé
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: i am my own nemesis. Jeu 14 Fév - 1:26
Oh le pseudo. Le second Rick, bonne chance à toi. Bienvenue sur le forum et bonne rédaction de fiche.
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: i am my own nemesis. Jeu 14 Fév - 2:55
Bienvenue parmi nous Excellent choix d'avatar!!!! :brigitte:
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: i am my own nemesis. Jeu 14 Fév - 3:59
Merci a vous toutes - vos avatars sont super en passant -
Le mec qui m'impressionne le plus Bienvenue et bonne chance
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: i am my own nemesis. Jeu 14 Fév - 10:22
Merci beaucoup C'est vrai que Rick est impressionnant, mais des images, c'est rien. Je l'ai aperçut une fois, plus jeune, c'est quelque chose (de super sex)
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: i am my own nemesis. Jeu 14 Fév - 10:24
Hey, bienvenue parmi nous, et bon courage pour la suite de ta fiche ♥
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: i am my own nemesis. Jeu 14 Fév - 10:27
merci
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: i am my own nemesis. Jeu 14 Fév - 10:36
Contente que tu te sois finalement inscrite! Bonne chance pour ta fiche, et surtout bienvenue sur le forum
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: i am my own nemesis. Jeu 14 Fév - 10:36
merci beaucoup :brigitte:
Mackenzie J. Howard
Empire State of Mind
i love the ring of your name you're the yin to my yang
▌INSCRIT LE : 01/07/2010
▌MESSAGES : 20301
▌AGE DU PERSO : 23
▌ADRESSE : 6812 Beverley Road #104, Brooklyn. avec l'amour de sa vie.
Sujet: Re: i am my own nemesis. Jeu 14 Fév - 12:53
Bienvenue chez nous
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: i am my own nemesis. Jeu 14 Fév - 18:08
Comme j'le disais dans l'autre fiche, ce mec déboite !
Welcome
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: i am my own nemesis. Jeu 14 Fév - 19:12
bienvenue parmi nous
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: i am my own nemesis. Jeu 14 Fév - 21:50
merci
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: i am my own nemesis. Ven 15 Fév - 1:31
Bienvenue !
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: i am my own nemesis. Ven 15 Fév - 3:13
merci bien
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: i am my own nemesis. Ven 15 Fév - 12:13
bienvenue & bon courage pour ta fiche
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: i am my own nemesis. Ven 15 Fév - 15:19
bienvenue parmi nous
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: i am my own nemesis. Sam 16 Fév - 11:21
Bienvenue parmi nous et bon courage pour ta fiche Contente que tu te sois décidée à nous rejoindre
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: i am my own nemesis. Lun 18 Fév - 0:04
OOOOH ZOMBIE BOY A NY Bienvenue, et good luck
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: i am my own nemesis. Lun 18 Fév - 15:08
bienvenue ici & bon courage pour ta fiche si tu as des questions n'hésite surtout pas, & si tu as le temps n'hésite surtout pas à passer sur la chatbox pour te familiariser avec les membres
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: i am my own nemesis. Dim 24 Fév - 13:17
En vue de la date à laquelle tu as posté ta fiche, tu as donc une semaine pour la terminer avant que ton compte ne soit supprimé. Tu es un membre en danger.
Contenu sponsorisé
Empire State of Mind
Sujet: Re: i am my own nemesis.
i am my own nemesis.
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