FEAT. CHRIS COLFER

Ethan Raphael Jamie Blackson

24 ans → Né à Londres (Royaume-Uni) le 08/02/1989 → étudiant en droit à la NYU, 6ème année
célibataire → homosexuel → membre des Workaholics.

And who am i ?

★Quelles sont tes caractéristiques?
→ Ethan mesure 1m79 précisément. Il ne se distingue pas vraiment de la masse de gens qui l’entourent la plupart du temps. C’est un étudiant, dans tous les sens du terme. Parfois il est habillé comme s’il venait juste de sortir de son lit, parce que ce n’est pas quelqu’un qui est toujours à l’heure. Il porte des jeans, la plupart du temps, mais si il y a un bien un unique détail qu’il ne négligera pas, ce sont ses cheveux. Vous pouvez le voir courir hors de son studio d’étudiant la chemise en dehors de son jean, mais ses cheveux châtains sont parfaitement coiffés. On pourrait le définir comme quelqu’un de maniéré, mais il dirait que c’est une qualité : celle de vouloir avoir des gestes mesurés. Et il vous affirmerait haut et fort que son homosexualité n’a rien à voir avec le fait d’être maniéré – même si c’est probablement le cas. Son visage est plutôt rond, et il a des yeux bleus qui lui font souvent avoir l’air étonné. Si vous lui demandez, il vous répondra qu’il les déteste – justement parce qu’ils lui prêtent cet air enfantin et sempiternellement distrait.
Il ne porte ni tatouages, ni piercings, et le seul bijou que vous le verrez jamais porter est une montre. Je crois même qu’il dort avec la nuit…Même si ça ne l’aide pas à ne pas être en retard.

★Quel est le caractère de ton personnage?
→ Dans son enfance, Ethan était un adorable petit garçon. Aujourd’hui, avec l’adolescence qu’il a passée, c’est quelqu’un qui ne se laisse pas marcher sur les pieds, malgré la première impression qu’il peut vous faire. Plus jeune, il a été pris pour un con & il a été traité de tous les noms plus d’une première fois dans sa scolarité. C’est pourquoi rapidement, il a appris à se protéger lui-même, puisque personne d’autre n’était là pour le faire à sa place.
Si il y a bien une qualité qu’Ethan a, c’est la persévérance. Il lui a été difficile de se battre pour avoir gain de cause et aller étudier à l’étranger, par exemple. Mais grâce à sa force de persuasion, il est aujourd’hui sur le sol américain et compte bien y rester. C’est aussi ce trait de caractère qui lui fait franchir les étapes aussi facilement : tous les diplômes semblent atterrir droit dans ses mains. Il faut dire que c’est un bosseur acharné : il peut rester des heures sur ses commentaires d’arrêt et son Code Civil pour arriver aux résultats qu’il obtient. Le droit est sa voie : il en est certain et il ne laissera rien ni personne l’empêcher d’accéder à son rêve.
En revanche, c’est un grand maniaque. C’est aussi pour cette raison qu’il n’a pas de colocataire. Vous voyez Monica dans Friends ? Ethan est encore pire qu’elle. Dans son appartement, tout est rangé et affreusement propre, presque brillant. C’est une façon de se débarrasser de tous les souvenirs d’enfance qu’il a, d’avoir vécu dans des maisons plus ou moins propres.
Mis à part ces quelques traits de caractère, c’est un jeune homme tout à fait ordinaire. Il a découvert son homosexualité avant même d’être un adolescent, et c’est entre autres pour cette raison qu’il était plutôt renfermé sur lui-même : il l’est parfois toujours. Vous ne le verrez pas souvent dans les fêtes étudiantes à boire des shots de tequila pour oublier, ce n’est pas son genre.

Well... It's my story...

C’était un jour comme un autre à Londres. Il était à peine huit heures du matin, en ce huit février mille neuf cent quatre-vingt neuf, et les Londoniens se pressaient dans les bouches de métro, indifférents à la douleur qu’éprouvait à cet instant Norah Blackson, une jolie jeune femme d’à peine vingt-deux ans. Elle était allongée au fond d’un immense lit blanc, paraissant encore plus petite au milieu de ses draps. Face à elle, le visage crispé de son petit ami, Daniel, vingt-trois ans. Et entre eux, se trouvait un couffin bleu pâle, qui cachait entre ses couvertures un petit garçon âgé d’à peine quelques heures.
Ce bébé était un accident, quiconque entrant dans cette chambre de la maternité de cet hôpital de Londres l’aurait senti, rien qu’à la tension qui régnait entre les deux personnes qui se trouvaient la pièce. Norah avait pourtant subi un accouchement rapide et sans trop de douleur. Ce qui lui faisait le plus mal cependant, et de loin, c’était l’expression de Daniel.
Elle finit par rompre le silence sèchement, les yeux presque hagards, les mains calmement posées sur le drap aussi blanc qu’elle.

« Tu sais, si tu ne veux pas rester, rien ne te retient ici. Tu avais dit que tu étais d’accord avec…tout ça. »

Il finit par tourner la tête vers elle. Jusqu’à maintenant, il avait évité ses yeux, qui pour lui contenaient trop d’émotions. Daniel Wilkins n’était pas habitué à ce genre de situations où il fallait exprimer haut et fort ses sentiments. C’était un peu un handicapé des conversations trop expressives.
Il baissa la tête.

« Je regardais Ethan. Il est beau… »

Il ne pouvait pas faire plus que ça. Norah se crispa tout d’un coup, et semblant soudain prise d’une énergie peu commune pour une femme qui vient d’accoucher, lui demanda d’approcher.
Daniel s’exécuta, et elle le regarda droit dans les yeux, au bord des larmes

« Promets-moi que tu vas aimer cet enfant. Promets-moi que tu l’aimeras comme si c’était le tien. »

Ethan avait bien mal commencé dans la vie. Il était né d’une liaison aussi brève qu’idiote entre sa mère et son « coup d’un soir », un illustre inconnu dont elle ne connaissait que le prénom, Aaron, et dont le numéro était griffonné sur un morceau de papier, abandonné dans une poche.
Ca aurait pu être mieux.




La salle à manger, pourtant déjà sombre et petite, n’aurait pas pu paraître plus noire qu’à cet instant, du point de vue d’Ethan. Le petit garçon de cinq ans voyait ses parents se disputer régulièrement. Daniel, son père, gesticulait et hurlait beaucoup trop à son goût, tandis que sa mère essayait de le calmer.
Le jour, ils s’engueulaient violemment – ou plutôt, Daniel hurlait à pleins poumons. La nuit, il entendait clairement des bruits qui signifiaient que visiblement, il ne lui en voulait plus, et le matelas à l’étage du dessus grinçait à de nombreuses reprises avant qu’il réussisse à s’endormir.
C’est peut-être à cet époque, a songé Ethan une fois adolescent, qu’il a commencé à considérer son père comme un « chieur ». Et en grandissant, rien ne s’arrangea.
Le jour de ses six ans, il quitta la médiocre petite maison dans laquelle ils habitaient tous les trois, claquant la porte, ses valises à la main et sa mère debout, les joues striées de larmes, dans le hall.
Il s’en rappelle toujours aujourd’hui. C’est un souvenir qu’il n’arrive pas à oublier. Dans ses souvenirs, il revoit encore clairement Norah, sa mère, courir dans le salon où il avait soudainement arrêté de jouer pour se mettre à pleurer sans pouvoir s’arrêter. Elle se penche vers lui et le prend dans ses bras, le berce jusqu’à ce que ses larmes arrêtent de couler.
Ils sont restés uniquement tous les deux jusqu’aux douze ans d’Ethan. L’anniversaire qui a changé sa vie.




Le 8 février 2001, Ethan fêta son anniversaire, pour la cinquième année consécutive seul avec sa mère. Les déménagements successifs de la mère et du fils n’avaient cependant pas amélioré leur confort de vie, et pour les douze ans du jeune garçon, Norah s’excusa de n’avoir pu acheter qu’un gâteau et pas de cadeau. Il haussa les épaules, l’air de ne pas s’en soucier ; mais ses yeux disaient le contraire.
La scolarité du garçon se déroulait parfaitement, sur une note plus positive. C’était dans l’ensemble un enfant joyeux, adorable, dont les grands yeux bleus suscitaient l’admiration des filles. Il avait d’excellentes notes à l’école – sa mère elle-même n’en croyait pas ses yeux. Dans toutes les matières il travaillait avec acharnement, réussissant haut la main tous les devoirs. Ce que Norah semblait ignorer, c’était le manque flagrant d’amis qui persistait dans l’entourage de son fils.
Il semblait s’entendre plutôt bien avec les filles, mais n’avait que peu d’amis garçons.

Ce huit février, donc, Norah avait acheté un gâteau tout prêt pour l’anniversaire d’Ethan, qui souffla ses bougies, mangea sa part et embrassa sa mère, avant de filer terminer ses devoirs. Restée seule dans la minuscule salle à manger, elle soupira et débarrassa la table. Il était temps d’avoir une petite conversation avec son unique fils.




Seul dans sa chambre, qui était la plus grande pièce de la maison, Ethan ouvrit un épais cahier relié, que sa mère lui avait offert à Noël dernier. Il avait déjà commencé à écrire dedans, plus par ennui que par amusement. Mais rapidement, l’exercice qui lui paraissait davantage scolaire que créatif ; était devenu un véritable exutoire à toutes ses questions de pré-adolescent. Calé dans son lit, il sortit un stylo et se plongea dans l’écriture. Tout y passait, aussi bien les notes, les cours, les profs…que ses intérêts vaguement romantiques que commençaient à susciter chez lui…les garçons.
Et pas les filles.
Ce « problème » était apparu alors qu’il approchait les onze ans. Beaucoup de gens à qui il en avait parlé lui avaient simplement ri au nez, rétorquant que de toute façon il était bien trop jeune pour penser à ces « choses-là ». Mais au fond de lui, Ethan savait qu’il réagirait davantage à la vision de deux garçons s’embrassant qu’à la pensée d’embrasser une fille.
Il fronça les sourcils, ferma son cahier, qu’il fourra sous le matelas et s’attabla à ses devoirs. Les garçons pouvaient attendre : il avait un devoir de mathématiques le lendemain.




« Ethaaaaaaaaaaaan ! Descends manger, s’il te plaît !
- J’arrive, maman. »

A bientôt seize ans, le garçon avait grandi. En quelques années, il était passé de son mètre cinquante et un au mètre soixante-cinq, ce qui restait tout de même relativement peu impressionnant pour un garçon de son âge.
Norah cependant, avait noté tous les changements physiques qui étaient apparus sur le corps de son fils. Et son histoire d’amour naissante avec un charmant Phillip ne l’avait pas empêchée de se rapprocher encore et encore d’Ethan.
De son côté, les années avaient affermi ses réflexions sur son orientation sexuelle. Il n’était pas encore passé à l’acte sexuel avec un garçon, mais son idylle actuelle avec un certain Maxime, un Français d’un an plus âgé que lui, paraissait progresser dans la bonne direction.
Cependant, il voulait vraiment commencer à préparer sa mère à l’idée qu’il ne sortirait jamais avec une fille. Elle aurait probablement besoin de temps pour l’accepter, pensait-il.
Aussi, lorsqu’il s’assit à table avec sa mère, sa décision était prise. Au dessert, il lui dirait tout. Le repas se déroula sereinement. Au cours de l’adolescence d’Ethan, le garçon n’avait cessé de subir des moqueries à l’école – principalement à cause de son apparence et ses manières. Plusieurs déménagements avaient aidé à son développement et à sa santé mentale, puisqu’il se sentait maintenant heureux et épanoui. De plus, depuis que Norah avait retrouvé un travail stable ; elle pouvait maintenant économiser et se permettre un loyer plus onéreux. Sans rouler sur l’or, les Blackson vivaient désormais dans un appartement spacieux et clair, qui ne pouvait en aucun cas être apparenté à un taudis – même si ils étaient loin d’être richissimes.
Le dessert arriva, et Ethan, confronté à sa nervosité, finit par révéler qu’il était gay entre deux bouchées de yaourt, sans même introduire le sujet au préalable.
Norah regarda son fils droit dans les yeux, et posa sa main sur celle de son fils, qui tremblait sur la table en chêne.

« Je sais, mon chéri. Je suis ta mère. Je le sais depuis trois ans. »

Il ne s’attendait pas à cette réaction. Un sourire s’installa tranquillement sur ses traits, et ses yeux se remplirent de larmes tandis qu’elle lui disait combien elle l’aimait, comme il était.




New York, 19 août 2010.


Norah Blackson avait les yeux anormalement humides en étreignant son fils unique, même la peine qu’elle avait toujours pour se hisser au niveau de ses épaules les faisait toujours rire. Ethan mesurait maintenant un mètre soixante-dix neuf, et sa mère était restée au mètre cinquante-cinq. La différence de taille amusait tout le monde, jusqu’à son beau-père. Phillip, à cet instant précis, en parlant de lui, venait de poser le dernier carton des affaires d’Ethan à côté du canapé déjà installé au centre du petit salon.
Désormais étudiant sur le sol américain, désireux de quitter Londres pour plusieurs années, Ethan avait fait le choix de sa ville d’études, et peut-être de son travail. Il avait toujours rêvé d’habiter à New York, et tandis que sa mère et son beau-père l’étreignaient encore une fois avant qu’ils s’en aillent pour l’aéroport ; le jeune homme scanna rapidement son appartement du regard. Il avait travaillé à toutes les vacances scolaires entre dix-huit et vingt-et-un ans pour se l’offrir, et l’endroit le ravissait.
Norah et Phillip adressèrent leurs recommandations pour la dernière fois au garçon, et il leur promit qu’il les appellerait.
La porte se referma derrière eux, laissant le jeune étudiant en droit de 21 ans profiter de sa toute nouvelle liberté américaine.

my little secret

★Ton prénom ou ton pseudo & ton age → Violeen (Juliette pour le prénom), toujours 23 ans.
★Comment es-tu arrivé(e) ici ? → Par hasard, et je suis très contente d'y être arrivée
★Ce personnage est-il un double compte ? → Ouiiiii
★Présence sur le forum → 6/7
★Personnage inventé ou scénario ? → Personnage inventé
★Crédit images → Violeen.

Mon exemple de RolePlay:

Le code règlement:

Re-bienvenue et bonne écriture

Un anglais.
Rebienvenue parmi nouuuus, fais-nous un personnage de fou.

Re-bienvenue
Bon courage pour ta fiche
& je veux un lien avec Callie

KUR... heu Ethan! ♥

Rebienvenue sur le forum et bonne rédaction de fiche puce! Il nous faudra un lien! ♥

Je mets au défi n'importe qui de faire un Colfer hétéro !
re-bienvenue & bon courage !

mylife.com avant de disparaitre ; j'ai déjà réussi à faire de Matt Dallas (kyle XY; le gars qui a la tête la plus gentille du monde xD) un keunard sans coeur donc tout est possible xD Non j'avoue que Colfer en hétéro c'est du high level, la preuve j'en n'ai jamais vu..

you're welcome

Tu sais quoi, quand j'ai vu Chris Colfer, j'ai su que c'était toi
Rebienvenue Ju.

bienvenue

Re-bienvenue parmi nous

Rebienvenue parmi nous

bienvenue parmis nous sur ce magnifique forum
bonne chance pour ta fiche et amuse-toi bien parmis nous

onww, revienvenuue parmi nous
et un chris anglais, ça va être trop fou.