Sujet: jeremiah² .+. hâte-toi doucement. Jeu 21 Fév - 1:39
FEAT. Jamie Dornan.
Jeremiah Clayton Orwell.
28 ans → Né(e) à Londres le 15/09/1984 → acteur aux aspirations fluctuantes. célibataire → plus hétérosexuel, tu meurs → membre des populars.
And who am i ?
★Quelles sont tes caractéristiques? il a toujours été passionné par le théâtre. • il ne parle jamais vraiment de ses projets d'avenir avant de les avoir concrétisé, même s'il ne se qualifie sûrement pas de superstitieux. • il ne fume pas, et ne se drogue pas. • il ne se prend jamais vraiment au sérieux, et a tendance à avoir perpétuellement les pieds sur terre, il est parfois même un peu trop cartésien. • il ne supporte pas l'effet brouillon, il aime que les choses soient bien faites, non pas parfaites, mais bien faites et prises au sérieux vous dira-t-il. • il est très sportif. • il aime beaucoup le café noir et n'aime qu'on l'en prive. • il n'aime pas perdre son temps inutilement. • il est très protecteur envers personnes qu'il aime. • il a un sens du sacrifice et un côté dévoué dont il n'est pas vraiment conscient. • c'est un amoureux inconditionnel de la genre féminine. • il aime son métier et aspire secrètement à viser plus haut à l'avenir comme en tant que réalisateur mais n'en parle jamais, le tout étant que passer derrière la caméra l'inspire beaucoup. • son entourage le plus précieux se résume à quatre femmes, et il ne voit que par elles. • il aime son père, mais ne sera jamais foutu de le lui dire et il le sait. • il aime les douches froides. • il se veut très taquin, et très tactile puisqu'en réalité très doux. • il est très à l'aise avec le fait de pouvoir paraître froid. • il a appris à jouer de la guitare dans la deuxième partie de son adolescence, et y est revenu à la mi-vingtaine, bien qu'il n'en joue qu'à titre privé. • il a longtemps été abasourdi par ce que certains fans peuvent être prêt à faire, et n'a pas toujours très à l'aise avec tout ça, même si ça tend à s'améliorer. • il déteste l'aubergine. • il est paradoxalement confiant en sa personne mais aussi une cette forme d'humilité. il aime voyager. • il prend plaisir à cuisiner mais ça lui arrive très rarement, il aime manger de tout, des sushis aux bon steak-frites, en passant par un coucous ou une bonne paella. • il ne supporte pas la routine. • il est très soigné, et très indépendant. • il aime être surpris.
★Quel est le caractère de ton personnage? → En trois mots ? Disons en trois mots anglophones, même. Jeremiah se collerait très bien à ses adjectifs : hot, cold, insecure. A commencer par le début, et le meilleur ; on dira hot. Pas uniquement parce que son charme ou son physique se fait plaisant non, disons qu’il se veut être très chaleureux, et que c’est un aspect de sa personne qu’on ne lui enlèvera sûrement pas. Ce qu’il aura appris avec le temps sur sa propre personne c’est qu’il n’aime jamais vraiment à moitié. C’est un mec au sang chaud, au cœur secrètement énorme. Charmant, agréable de compagnie, très taquin, et joueur et surtout loyal. Il aime la loyauté, et il aime encore l’aspect réciproque de cette vertu. Tout cela lui colle parfaitement à la peau. Encore faut-il qu’il soit lui-même aisément avec n’importe qui. Cela reste à démontrer. Ce qui nous mène d’ailleurs à la seconde partie qualifié par cold. Eh oui, nous vous l’avions dit. On reste d’ailleurs persuadé que ces talents d’acteur, se colle parfaitement avec sa personnalité. Bien que très courtois, et assez sociable, il en renvoi souvent une image de lui assez froide. Une image qu’il assume pleinement d’ailleurs. Il ne vous dira qu’on ne mélange pas les serviettes et les torchons certes, mais il vous dira que chaque chose est définitivement bien à sa place. Être pareil avec tout être, serait ne plus être lui-même. Il aime que le professionnel soit professionnel, que les attaches soient sincères, et que le reste soit évalué à juste milieu. Trop de donner de sa confiance, ne lui correspond pas. Discuter de tout et de rien avec n’importe qui, pour faire passer le temps ne l’intéresse pas non plus. A ce même titre il a un côté un tantinet perfectionniste qui colle à la peau. Il est très joueur et performer, et par conséquent il aime l'efficacité sans pour autant aduler la perfection. Enfin comme dit plus haut, il a le sang assez chaud, et par conséquent il est très impulsif sur certains points. A ce même titre il se veut très calculateur, cartésien, et parfois même manipulateur. Ce second côté ne découle certainement de rien d’autre que de son côté dit insecure. Aussi surprenant que cela puisse paraître, il se sait, et se sent assez pudique sur ses sentiments, ou encore sur ses blessures. Après tout lui qui a si longtemps été en désaccord avec son père, n’a jamais su se montrer spontané et aimant face à cette figure paternel, pourtant il n’en ressent pas moins. De même, il partage une relation très soudée avec de deux jeunes femmes depuis de très nombreuses années, et encore aujourd’hui, il ne saurait exprimer les sentiments qu’il leur porte tout comme il ne saura expliquer l’importance qu’elles ont à sa vie. Dans le même registre Orwell n’a jamais vraiment trouvé plaisir à parler de lui-même, alors se prêter au jeu de l’interview sans rester naturellement et volontairement mystérieux.
Well... It's my story...
. les origines ; L’accent britannique ! Cet accent qu’il aime tant prendre, et qu’il a très vite perdu. S’en amuser en imitant les parents étant plus jeune, se voulait être totalement différent de la prise de conscience du charme de cet accent. Il a mis quelques temps avant de se rendre compte qu’une certaine classe noble se dégage de la personne britannique de par son accent essentiellement. On comprendra donc très rapidement, qu’il n’est rien de plus qu’un britannique, même si ce dernier se dit britannique de naissance, d’origine, mais il reconnait sans problème que son attache pour New York se veut plus importante. Il a vu le jour à Londres. Cette ville phare européenne. Il y aura vécu le temps des huit premières années de sa vie et en gardera des souvenirs très flous, et très lointains, bien que forcément joliment soignés par ses parents. C’est cette même ville qui aura vu naître ce qu’il a pour habitude de qualifier secrètement de petit bijou. Une petite peste, qui eut comblé le manque existentiel à la vie du premier Orwell de sa génération ! C’était un fait. Il a toujours bichonné sa petite sœur, comme un cadeau du ciel, et ce même du temps de son enfance. Gosses de riches, comme on aimait les appeler, ils ont eu toujours une complicité inébranlable, et ce, dès le départ. Il n'aura donc manqué de rien vous dira-t-on. Après tout ce n'est pas une famille si bien portante qui manquerait de combler ses enfants ! Pourtant enfant déjà, il avait été tiraillé par la nostalgie de chaque bon moment rare passé auprès de ses parents, et c'est justement cette frustration qu'il l'aura suivi au fur et à mesure des années, et qui l'aura aussi suivi sur la distance. Arrivé à New York à huit ans, tout n'était plus que plus intensifié mais l aurait jamais eu de mal à se faire accepter des autres, allez savoir pourquoi, d'ailleurs !
. l'entourage ; A rebondir là-dessus, il rirait presque en vous disant que se faire accepter de deux petites filles à un âge si infantile et ce sur un long terme, est et resterait probablement son plus grand exploit. Et réciproquement d’ailleurs. C’est une des belles choses pour lesquelles il se dit reconnaissant envers son père même après toutes ces années sans même avoir su poser des mots là-dessus. Aylinn et Cheyenne. Il conjuguerait presque ces deux prénoms sans jamais vraiment les dissocier. Il ne pourrait d’ailleurs s’empêcher de parler de l’une comme de l’autre sans décrocher un sourire. C’était deux jeunes femmes, qui bien qu’un poil plus jeunes que lui, font partie de sa vie, et il ne serait pas cher payé de dire qu’elles font même partie de lui. C’est donc ainsi qu’il aurait vécu son enfance à New York. Entourée d’une belle blondie, d’une belle hindoue, ainsi de nombreux camarades de classe. Il aura nourrit sa popularité, tout comme sa passion du théâtre comme persuadé que c’est définitivement ce de quoi sera faite sa vie. La faculté de droit n’avait clairement rien a tiré de lui, il en avait toujours été persuadé, et il ne se gênait jamais pour l’avancer et ce même devant un paternel si imposant comme le sien. Il aura fréquenté d’autres filles de son âge, de manière moins innocente que la belle amitié triangulaire jusqu’à finir par se rendre compte que l’amitié hommes-femmes se voulait parfois difficile. Il aura couché avec la sulfureuse blondie, tout en finissant tiraillé à l’idée de perdre la charmante brunette. Et la maturité fait qu’un jour il se décide à se dire qu’il n’était fait pour aucune d’entre elles. Après tout, elles sont fait l’une pour l’autre, et être la cause de la rupture moindre, partielle ou totale d'une amitié si profonde ne lui serait certainement pas supportable. Des années après, et même à l’aube de la trentaine, il s’y serait tenu puisqu’encore aujourd’hui, il se plait à dîner avec elles à chaque fois qu’il rentre de voyage, à chaque fin de grosses périodes de travail. Ailynn, Cheyenne et sa petite sœur. C’est clairement le trio qui se résume à l’appellation des femmes de sa vie, avec une place non négligeable à la figure maternel avouons-le.
. les passions ; Célibataire, Jeremiah sait qu’il se voit incapable de tomber amoureux. Le temps lui manque parfois, et autant l’avouer il se sent souvent retenu par une force qui lui est extérieure. Il aura longtemps eu à se justifier de la présence de ses meilleures amies ce qui lui a coûté de passer à côté de quelques occasions, qu’il ne regrette pas vraiment. Chose d’ailleurs non assumée. Mais réalistes qu’il était-il savait qu’il aurait dû mal à conjuguer vie amoureuse, et vie professionnelle, alors à y ajouter une double amitié, sans compter une certaine forme d’exigence de sa part, la perle rare ne lui semble pas si prête à tomber du ciel. Alors séducteur qu’il est, il n’a jamais vraiment de relations sur la durée ou du moins de relations vraiment sérieuses. Tomber amoureux, s’engager lui est difficile sans même pouvoir l’expliquer. Cœur à prendre ou cœur déjà beaucoup trop complet, c'est là que réside tout le comble du jeune homme. Côté professionnel, il ne lasse pas, et reconnait ouvertement que le côté polyvalent, et caméléon qu'il idéalise tant, nourrit l'amour qu'il porte au métier qu'il exerce, et autant l'avouer il s'estime chanceux d'avoir ce qu'il a, et peut être qu’égoïstement c'est une revanche sur les certitudes d'un père beaucoup trop borné par le passé. Il parierait sans grande difficulté que Maître Georges Orwell, qu'était son père, lui rabâchera sans cesse qu'il est passé à côté de son destin, et ce, qu'importe le bonheur qu'il ressentait au quotidien dans son boulot, au même titre que la réussite qu'il en ressortait. C'est peut être d'ailleurs ce qui a été le plus gros point noir de sa vie faire face à cette figure paternel, pensant toujours parfois, intimement, qu'il est sûrement la déception du paternel. Cela dit, ce n'est pas une déception qui finira héritier, ne pensez-vous pas ? Ne nous vous avions donc pas précisé que sa relation que sa relation avec son père se voulait être très pudique ? Pudique, à l'image de sa personne ! Étrange quand on sait que derrière la caméra incarner les sentiments pour faire vivre un personnage ne lui pose pas tant de problèmes.
my little secret
★Ton prénom ou ton pseudo & ton age → incognito - twenty. ★Comment es-tu arrivé(e) ici ? → top site obsession. ★Ce personnage est-il un double compte ? → non point du tout. ★Présence sur le forum → 4/7, si ce n'est plus. ★Personnage inventé ou scénario ? → scénario de deux bombasses. ★Crédit images → lady frime (bazzart.)
Mon exemple de RolePlay:
→ Qu’elle était grincheuse ! Il ne manquait pas de le noter puisqu’au fond il savait pertinemment qu’il avait raison ce qui n’empêchait pas la demoiselle de tirer la tronche et de le contredire. Seulement là, où habituellement il l’aurait charrié, à ce moment précis il s’en sentait retenu. Pourquoi ? Sûrement parce qu’il ne se sentait pas légitime là-dessus à cet instant T. Comme quoi la culpabilité ne le quittait pas vraiment. Il rit légèrement, sans pouvoir s’en empêcher et ce uniquement pour ne pas rire à gorge déployée, mais c’était bon de la retrouver mine de rien. Il avait l’impression de partager un moment avec elle, et ce, même éphémère puisque ces derniers temps ce n’était pas arrivé. Il ajouta alors. « Jalouse ? » Ce n’était peut-être pas si bienvenue que ça vu les circonstances. Mais il ne pouvait qu’en être amusé, et surtout en rire montrait bien qu’il la contredisait royalement sans trop prendre au sérieux sa remarque. Au fond il était persuadé au fond de lui, qu’elle ne pensait pas ce qu’elle disait, et forcément elle lui tenait à cœur, et ce bien plus que toute la misère de San Diego réunie. Après tout c’était normal, mais quand la rancune parlait, ça donnait ça, et il était bien placé pour le savoir alors c’était vite oublié. Il observait le silence suite à sa remarque usant du mot crétin si parfaitement et juste titre et n’ajouta rien là-dessus jugeant que le seul mot qu’il avait prononcé de manière taquine quelques secondes plutôt résumait plutôt bien le quota de remarques dans le genre qu’il pouvait placer. Encore une fois il ne se sentait plus légitime dans ce terrain. C’était complexe à expliquer mais il était assez réfléchi comme mec et par conséquent, et surtout avec elle il ne pouvait pas tout se permettre compte tenu de la situation. A lui demander, il vous dirait sûrement qu’il a assez foiré comme ça avec elle. Un léger sourire se pointa à ses lèvres, et suite à sa question, il finit par se relever hésitant presque à balancer ce café dans la corbeille, mais il finit par en boire une gorgée avant d’ouvrir la porte pour la laisser passer devant. La galanterie, il devait bien ça ! « Ecoute, le crétin n’a pas d’excuses, comme tout bon crétin d’ailleurs. » Il disait sur le ton de la dérision mais au fond il le pensait, même si maintenant une fois face à elle c’était difficile après tout ce temps de camper sur ses positions. Après tout il s’était échappé haut la main de la galère dans laquelle il s’était foutu ! Pourtant il ne s’en sentait pas encore totalement sorti. Il avait encore l’impression d’être dans ce petit gouffre qu’il ne pouvait pas assumer face à Neslihan. Il le pouvait face à beaucoup de monde, d’ailleurs il l’avait fait ouvertement face à son avocate même mais Nes’ c’était autre chose. Elle avait interféré dans sa vie avant tout ça, et puis il la voyait comme un petit bout de femme qui avait le don de le surprendre, de le faire rire, et pour qui il adorait être une valeur sure. Ou du moins il avait adoré ce rôle-là. Être celui sur qui elle pourrait compter. Ça a toujours été le cas, et ça l’était sûrement toujours mais c’était beaucoup plus difficilement assumable aux vues de sa situation. « Et en bon crétin que je suis, j’ai fait quelques conneries ces derniers temps, ce qui m’a valu une plainte déposée à mon nom, et tu te doutes bien que j'ai dû m’occuper de tout ça. » Autant l’avouer il n’avait pas imaginé que ce genre d’aveux sortirait mais damn ! Qu’elle était douée. Trop attendrissante. Trop Nes’ quoi ! Et ce n’était pas évident que d’avoir à lui mentir. Et qui sait, peut-être qu’il n’était pas à l’aise avec l’idée qu’elle puisse le détester et lui en vouloir, puisque comme pour un bon lâche ce genre de choses n’étaient simples qu’en fuyant. Loin d’elle, et sans creuser, il s’était un peu foutu de ce qu’elle pourrait lui reprocher ou des questions qu’elle pourrait se poser. Il s’était dit qu’elle finirait par se lasser et passer à autre chose. Seulement face à elle tout changeait. Quoique les premières minutes ça avait été tellement simple de feindre le fait que ça lui était égal, et qu’elle était parano mais à force le naturel reprenait le dessus. Ou du moins le naturel qui lui était propre avec elle. Nes’ est donc une faiblesse, et autant dire que c’est le genre de faiblesses qu’il dissimulerait face à ses démons et à ses ennemis. Il marchait à ses côtés sans trop savoir où ils allaient oubliant sa voiture à quelques pas du café, probablement dans la direction opposé, mais qu'importe. « Ça ne devrait pas expliquer mon comportement envers toi j'en suis bien conscient, mais tu me connais, et tu sais comme je fonctionne. » Quitte ou double c'était totalement ça. Il avait toujours dit qu'il n'était un point stable pour personne. L'engagement sous toutes ces formes ce n'était pas pour lui, et avec des circonstances pareilles c'était bien pire.
Le code règlement:
→ Let's go Knicks
Dernière édition par Jeremiah C. Orwell le Dim 24 Fév - 17:36, édité 23 fois
Katerina M. Lehtonen
Empire State of Mind
what doesn't kill you makes you stronger
▌INSCRIT LE : 15/04/2012
▌MESSAGES : 6549
▌AGE DU PERSO : 19
▌ADRESSE : 5614 Dodgewood Road #404, Bronx. avec un enfoiré & un tatoué.
Merci merci merci merci merci MERCI de tenter le scénario Bienvenue chez nous en tout cas si jamais tu as des questions ma boite à MP est graaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaande ouverte
bienvenue ici & bon courage pour ta fiche si tu as des questions n'hésite surtout pas, & si tu as le temps n'hésite surtout pas à passer sur la chatbox pour te familiariser avec les membres