23 ans → Né à New-York le 19/03/1990 → Boutique de disque fiancé → hétérosexuel → membre des Rebels.
And who am i ?
★Quelles sont tes caractéristiques? - Éphraïm est un jeune homme en apparence bien singulière (visage assez carré, yeux bleus, corps tout même sculpté et grand ). Il ne se démarque pas pour son style vestimentaire qui se résume à ce qu’il déniche en magasin. Sa fiancée, Sage, décide en général sa garde-robe. En effet, le jeune homme évite les longues heures de magasinage où il ne sait quoi choisir ou agencer. - Il est marqué à vie sur une cuisse d’une longue cicatrice suite d’un saut au-dessus d’une clôture où il accrocha quelques broches. Il aurait dû écouter les conseils de vieilles dames… Ne pas sauter les clôtures, il arrive parfois malheur. - Le jeune homme a une grave allergie à la Pénicilline, un antibiotique souvent utilisé et efficace. Il porte rarement son bracelet santé pour avertir les médecins pour une quelconque raison d’urgence. - Une affreuse manie que bien des gens ont touche Éphraïm ; il se ronge les ongles par ennuie, par stresse ou par occupation… toutes les raisons sont bonnes pour le faire. - Sa passion est sans aucun doute la musique. Il joue dans un band où il peut se détendre tout en en dévoilant ses états d’âme à travers ses mélodies.
★Quel est le caractère de ton personnage? Comment la mort d’être cher pouvait changer une personne entière ! Éphraïm a gouté la médecine de dame faucheuse lui enlevant trop tôt ses parents. Cet évènement a bouleversé le jeune homme dès son adolescence le changeant complètement sur certaine sphère de sa vie. Autre fois de bon tempérament, Éphraïm semble avoir bien du mal avec l’autorité. Il teste régulièrement les limites imposées par les autres individus (surtout en présence d'un visage d'autorité) franchissant rapidement le seuil de l’entendement. Cette révolte parfois excessive lui apporte des conséquences malheureuses ou honteuses - le renvoie, une punition, ses quatre vérités ou un casier judiciaire (qu’il n’a pas encore ) - . Pourtant, il n’est pas plus heureux en contestant l’autorité. C’était une façon de calmer cette souffrance, cette violence et cette haine dû au décès de ses parents. Bien qu’honteux d’être une âme sensible, il arrive à cacher avec peine ses sentiments. La musique est une source de libération où il peut évacuer les moindres sentiments refoulés dans ses textes. Avec les gens qu’il aime, Éphraïm est d’une gentillesse et d’une douceur infinie. Il connaît l’importance de donner de son temps aux gens qu’il aime. La générosité, qu’il possédait avant la mort d’une partie de sa famille, a amplifié. Il a besoin de contribuer au bonheur pour ceux qui comptent réellement à ses yeux. Le jeune homme sait être une écoute active puisqu’il en a eu autrefois bien besoin, il répète ce qu’il a appris de d’autres. Le savoir de l’écoute s’est bien transmis chez lui. Fidèle aux gens qu’il aime, Éphraïm ira jusqu’au bout d’une relation avant d’y mettre un terme. Il se bat en ce qu’il croit. Rebelle pour toujours, il désire sa liberté en respectant ce qui lui restent de plus important sa famille et Sage.
Well... It's my story...
Chapitre 1 : les beaux jours ne sont pas si magnifiques
Je suis constamment en colère contre l’humanité. Pourquoi ? Parce que je connaissais le deuil de mes parents. Je ne m’étais point préparé à cela. Nous avons tous la conception jeune de ne pouvoir perdre nos parents avant des années lumières, mais la vie ne tenait qu’à un fil. Je l’avais appris à mes dépends. Ce fut un bon jour d’école où je m’étais bien éclaté avec mes amis. Je revenais à pied en compagnie de ma petite amie de l’époque, j’avais quinze ans. Comme tout adolescent qui se respecte, j’avais mes propres expériences avec les nanas, mais passons. J’étais en très bonne compagnie ce jour-là. C’était une journée comme une autre des plus singulières à mes yeux. Ma copine sous le bras, je me dirigeais droit vers la maison ayant raté le bus du retour. Bref, je rentrais à pied ce qui me prenait grandement plus de temps que le transport écolier. J’étais un brave garçon. Je n’avais peur de rien. J’étais un homme, un vrai. Je n’avais certainement jamais connu encore la vraie douleur d’une perte. Certes, j’avais perdu des animaux de compagnie, mais je ne m’étais jamais attendu à cette nouvelle en arrivant à la maison ce beau jour après l’école. Je tenais la main de ma petite-amie en voyant au loin deux voitures de police stationnées devant notre résidence. Je fronçai les sourcils ; j’étais persuadé que ma sœur avait fait une connerie. Nous étions jeunes après tout. Je suis entré à l’intérieur de chez moi en compagnie de ma copine. Comment s’appelait-elle encore ? Carly ? Carmen ? Camille ? Je ne me souviens plus trop. C’était la fin de notre relation à l’époque. Bref, je m’éloigne dans le dédale de mes nombreuses pensées. « Ma’an ! Pa’ ! C’est Oli’ qui a encore fait… ? » J’étais dans le salon à fixer ma grande sœur les yeux rougis par les larmes. Elle semblait si détruite. Son visage, sa tristesse, sa douleur… je la vois encore comme si cela me hantait encore et toujours. Ma grande sœur était détruite parce que j’ignorais. Je fronçai les sourcils la regardant incrédule. Je dirigeai mon regard sur les agents aux airs graves. Je ne comprenais décidément plus rien. « Où est ma’an et pa’, Oli ? » C’était une simple question qui me semblait d’usage, comme pour m’assurer que rien n’était grave. Mes parents étaient tout de même le centre de mon univers inavoué. Je n’étais décidément pas prête à entendre la vérité.« Assis-toi, Éph’ » dit-elle avec une voix si triste. Ma sœur renifla bruyamment en regardant les agents de police se tenant dans le salon l’air désolé. J’hochai la tête lâchant la main de ma copine-dont-je-me-souvenais-plus-du-prénom. « Maman et papa ne reviendront jamais Éphraïm. » Je n’eus aucune réaction assimilant les paroles troublantes de ma sœur. La bombe était larguée sur mon cœur, sur ma vie… le monde s’écroulait. Mon monde venait de s’effondrer à ses fondements ; mes parents que j’avais tant hurlé dessus des bêtises, mes parents qui ont toujours voulu mon bonheur et ses parents qui m’avaient donné la vie. Ils étaient partis trop tôt. Mes jambes devinrent du coton. Je tombai à genou devant la foule du salon. Je m’étais littéralement effondré. Ma sœur avait bien raison, j’aurais dû prendre place sur une chaise où je n’aurais pas souffert sur le plancher. Pourtant, j’avais oublié tous ses gens qui me regardaient pleurer comme un enfant de trois ans sur le sol. Ma mère, ma tendre mère, ne viendra plus jamais me dire des mots d’encouragement. Mon père, mon idole, ne déposera plus sa main sur mon épaule par fierté. Je venais de perdre en un instant une partie de moi. Ma famille était anéantie. Journée de merde. La deuxième pire journée de ma vie venait de se produire. Je ne peux encore expliquer cette douleur qui me tient encore jusqu’à aujourd’hui, mais je suis capable de retenir cette colère bouillante en moi, cette haine envers le chauffeur qui a pris la vie de mes parents, cette haine contre l’humanité et ses disciples de la connerie… J’avais grandi, mais je ne les oublierai jamais.
Chapitre 2 : il a toujours une fin à tout.
« Éphraïm, tu étais passé où ? Je t’ai cherché : tu n’étais pas chez toi et tu n’as pas répondu à textos et tes appels. » J’étais désintéressé par tout ce qui m’entourait. Elle me donnait mal à la tête. Tête qui était dans les nuages. Cette tête qui n’arrivait plus à penser. Peut-être devrais-je sombrer dans la folie des hommes : alcool, drogue et sexe ? Non. Je m’évadais plutôt au travers de la musique, ma musique. Je n’avais pas envie de parler de cela à ma copine – c’est quoi encore son prénom ? - . Je n’avais décidément pas envie de partager un instant de plus avec cette fille. Elle avait une voix tellement fatigante que je n’en pouvais plus. Je ne pouvais plus de rien de toute manière. J’étais épuisé, je n’avais plus envie de rien (ou peu de choses)… j’avais envie qu’on me laisse tranquille à vaquer seule à mes occupations. Les nanas ne m’intéressaient plus depuis la mort de mes parents. Comme j’ai dit, je n’avais plus envie de rien. Je me laissais aller à petit feu. Peut-être les rejoindrais-je ? Non, il ne fallait pas penser négativement. Ma sœur, je devais prendre soin d’elle-même si j’étais le plus jeune et sous sa tutelle. Olivia avait besoin de moi autant que j’avais besoin d’elle. Je ne pouvais donc baisser les bras face à mon deuil. Je devais le braver, mais sans cette fille à la voix criarde. Je laissais échapper un long soupire ne prenant aucunement la peine d’y répondre. À quoi bon ? Elle se remettrait à se plaindre. J’avais totalement oublié qui elle était, car pour moi la fin était là… « Tu m’écoutes au moins ? » dit-elle lorsque je levai les yeux vers elle pour les rediriger ailleurs dans un roulement de yeux professionnels. Elle m’énervait c’était simple. Je n’avais pas envie de lui dire ce que j’avais envie de lui dire. J’avais du respect bien qu’il soit en train de disparaître. « Tu as peut-être perdu tes parents, mais pas ta langue… ! » Je la fixais d’un regard complètement dérangé. Quelle connerie me sortait-elle encore ? Je ne pouvais rester encore plus longtemps silencieux face à cette agression verbale sans but et déplacé. « Quoi? Tu as bien dit ce que je viens d’entendre ? » dis-je en fronçant les sourcils. J’étais en colère. Comment pouvait-elle sortir une connerie aussi lâche. Ne voyait-elle donc pas qu’elle m’importe la plupart du temps ? Je n’ai pas envie de son contact. Je veux juste avoir la sainte paix. Apparemment la-fille-dont-je-ne-me-souviens-jamais-de-son-prénom me faisait chier. « Tu ne m’écoutes jamais !! » dit-elle de sa voix nasillarde. Je grince des dents. « Je m’en fou de toi ! Lâches-moi les baskets ! Vas-t-en et ne reviens jamais. Tu viens de signer la réelle fin de notre couple… comment peux-tu dire de telles choses ? C’est impardonnable. » Elle mit ses mains sur ses hanches fronçant à son tour les sourcils afin d’analyser mes paroles. Malheureusement, il n’y avait rien à trouver et à déceler. Il n’y avait pas de blague. Je la quittais pour mon unique bien. Je la détestais. « Tu… tu blagues ? Tu me laisses tomber après tout ce que j’ai fait pour toi ? » Je roule des yeux faisant signe de la tête négativement. Les nanas sont emmerdantes ! « Que tu as fait … pour moi ? Ta voix criarde et geignarde m’a surtout épuisée. Maintenant, laisses-moi tranquille… » dis-je en essayant de m’en éloigner sans faire de grabuge. J’étais habitée par une colère si grande que je pouvais éclater en laissant échapper les pires méchancetés surtout qu’elle le cherchait bien tout de même. Mon ex-petite-amie du moment me mit son long doigt manucuré sur la poitrine l’enfonçant presque menaçante. « Tu n’es qu’un sale con… » J’eus un sourire. « Je ne voulais que me faire plaisir… » Dis-je laissant présager que je ne voulais qu’une copine pour laisser aller mes hormones en ébullition. « Sal… » Je la repousse pour pouvoir passer. J’avais marre d’elle. « Adieu la fille dont j’ai encore oublié le nom… »
Chapitre 3 : Un seul regard.
Mon cœur avait été chaviré d’un seul regard. Je n’ai pu la quitter des yeux un temps qui me sembla si court. J’ai fermé les yeux un instant pour me concentrer sur la musique. Je devais me souvenir de mes propres paroles. J’étais en pleine représentation ; je devais donc être au meilleur de moi-même. Mon groupe comptait sur moi. J’avais fermé les yeux pour me reconcentrer sur les paroles de cette balade. En les ouvrant, j’avais perdu la piste de la demoiselle. Elle avait disparu. Un certain désespoir naquit en mon être. Je le réalisais amplement : je ne reverrais jamais cette demoiselle. Le spectacle se termina comme prévu bien que je n’avais plus le cœur à la fête. Les yeux sans vie, je réfléchissais à ce qui s’était passé. J’aurais peut-être dû l’inviter directement sur scène. J’aurais eu le temps de lui demander tant de chose dont son numéro de cellulaire. Je m’en voulais. C’était comme si j’avais perdu une nouvelle fois mes parents, ma tristesse était la même. Je ne comprenais pas. Comment pouvais-je souffrir après avoir croisé une seule fois son regard ? Comment pouvais-je souffrir sans même la connaître ? C’était stupide. Je l’étais donc. Je rangeais avec les gars les instruments. Il fallait plier bagage pour notre prochain contrat. Certains avaient une fille sous la patte pour la nuit, mais moi… non. Je n’avais pas le cœur à la fête. J’étais triste. « Hé mec ! Ça ne va pas du tout. Regarde la tête que tu fais ! » Il me donne une claque dans le dos afin de me faire encore plus sentir sa présence. C’était pour me témoigner un soutien purement masculin vis-à-vis ma personne. «Et puis, tu as mis le feu dans la baraque ! Qu’est-ce qui ne va pas, vieux ? » Je soupire frottant nerveusement l’arrière de ma tête châtain. « Eh bien… je crois que je… j’ai perdu le cap » « Que veux-tu dire ? » Je frotte mes cheveux un peu plus nerveusement. « je suis amoureux d’une fille que j’ai aperçu dans la salle… nos regards se sont croisés... je réalise que je ne la reverrai jamais plus. Je ne comprends pas pourquoi je suis si mal, je ne la connais pas. Peut-être est-elle une sorcière ? » dis-je avec un petit sourire. Je plaisantais bien sûr, mais je perdis vite le sourire. La réalité me rattrapait. Ma conscience me ramenait à l’esprit cette fille : rousse, belle, mince et un putain de regard. « Vieux, je crois que je vais entrer chez moi. Amusez-vous bien ! Je reviendrai beaucoup plus en forme au prochain show ! » Dis-je en serrant fermant les males pour sortir du petit bar où nous avons fait prestation. J’avais espoir qu’un jour nous irons plus loin, mais j’avais aussi une autre envie… revoir la jolie demoiselle qui m’avait fait dérailler. Je soupire une dernière fois soulevant une caisse l’emmenant vers le pick-up de Sam, le batteur de notre groupe.
Chapitre 4 : La chance sourit parfois au plus malheureux.
Je marche tête basse vers chez moi. J’avais décidé de marcher au lieu d’user des transports en commun. J’avais aussi refusé d’être raccompagné par mes amis en voiture. J’avais besoin de m’aérer l’esprit. Je ne comprenais décidément pas ce qui m’arrivait. Moi, Éphraïm, je ne voulais plus de relation de couple. C’était tellement d’engagement : émotif, social et monétaire. Les filles, ça coutent cher ! Elles sucent jusqu’au dernier dollar avec leur caprice. J’en avais marre de ses voix aigues. Je préférais donc les relations sans lendemain où je me sauvais des sentiments pouvant être si douloureux lorsque la magie se brisait. J’avais chèrement payé pour mes parents. Pourquoi devais-je brûler d’amour pour une pure inconnue ? J’étais complètement fou. Mon cœur gardait espoir de la revoir. Eh oui, c’était une brindille dans la gigantesque pomme. C’était idiot et farfelue. Pourquoi voulais-je tant faire autrement de ce que je vivais depuis un moment ? Les relations sans investissement. J’étais jeune et idiot. Je devais rester jeune, insouciant et fou de la musique, pas fou d’une rouquine inconnue. Je marche encore. Toujours. Je veux atteindre la destination ultime : ma maison, mon chez moi partager avec ma grande sœur. Je sais qu’elle ne s’attend pas à me voir aussi tôt. Cette fameuse rousse m’avait retourné jusqu’au trip. Le coup de foudre ? J’étais le premier à affirmer haut et fort que c’était de la foutaise. Les mains dans les poches, je lève les yeux vers le ciel en un simplet roulement de yeux. J’étais un abruti. Durant ce temps, je n’ai aperçu la demoiselle que je frappai de plein fouet. J’avais provoqué une chute, mais je la rattrape au dernier moment pour la coller contre mon torse. La chute serait bien plus douloureuse que d’être collé d’un geste rapide à moi. Aucune arrière pensée avait provoqué ce geste héroïque. « Désolé, je n’ai pas fait attention … je… euuhhh » Mon cœur s’arrêta en voyant la belle rouquine que j’avais aperçu durant le spectacle. Je me frotte nerveusement l’arrière de mon crâne cherchant le moyen de terminer ma phrase que j’avais débuté par de bonnes manières. « Je t’ai vu durant le spectacle… ne voudrais-tu pas venir prendre un café ou bien un thé… ? Tu n’es pas obligé, mais… puis… » Idiot ! C’était peu dire. Pourtant, elle accepta…
Chapitre 5 : La route du bonheur avec la rouquine.
« Veux-tu m’épouser, Sage ? » Je pose le genou au sol. Qui aurait cru que cette soi-disant jeune femme à la chevelure flamboyante me ferait autant chavirer d’un seul regard ? C’était ma mienne. Heureusement, elle avait accepté à l’époque de venir prendre une boisson avec moi. Comment avais-je pu être aussi idiot en étant incapable de bien prononcer une question si simple en apparence vis-à-vis les autres filles ? Ah, les autres filles, celles qui me reluquaient, celles qui avaient espoirs, celles que je ne voulais pas en somme. J’avais trouvé la mienne. Je ne partagerais certainement jamais. Je vivais le parfait idylle. Croyez-moi je me tenais sagement avec elle. Je ne la brusquais jamais. Elle avait tellement vécu de choses. Je voulais qu’elle devienne mienne. Je voulais tant vivre avec elle. Elle avait grandi, j’avais grandi. J’étais heureux.
my little secret
★Ton prénom ou ton pseudo & ton age → Marie-Lou Alias Mawie, 18 ans. ★Comment es-tu arrivé(e) ici ? → Eh bien, une certaine personne m'a fait des yeux doux ( comme ça ) pour que je fasse son scénario. ★Ce personnage est-il un double compte ? → non. ★Présence sur le forum → 2/7 ★Personnage inventé ou scénario ? → scénario ★Crédit images → crazy diva
Mon exemple de RolePlay:
→
Ils avaient l’air stupide. Ils étaient dans une position des plus précaires dans une boutique bondée. Elle était montée sur les épaules du jeune homme, car elle avait désiré un livre un peu trop haut pour eux, même pour lui qui faisait quelques têtes de plus que la demoiselle. Adonis était heureux pour une fois malgré tout. Il souriait stupidement même s’il était dans un lieu bondé de monde. Il détestait se retrouver dans une foule où il se sentait si vulnérable. Son niveau de dangerosité augmentait dû à son manque de confiance envers les autres. Qu’est-ce que les autres pourraient bien lui faire s’ils baissaient sa garde ? Tant de choses ! Il ne voulait pas y penser. Il était possible de le détruire s’il osait baisser sa garde ce qu’il faisait pour la jeune rouquine qu’il aimait déjà un peu trop. Adonis savait qu’il ne pouvait être avec elle. L’aimer c’était un acte suicidaire. Il pourrait bien mourir en aimant. Il pouvait le concevoir. Il était capable de mourir en aimant, il serait sûrement en retour aimé par cette demoiselle. Il en était certain. Il était tout de même la perfection incarnée. Puis, elle était loin de le chasser en ce moment même. Cela prouvait une certaine théorie : Ravenna ne le détestait pas. Adonis avait pu conclure cela depuis qu’elle était montée sur ses épaules. Elle avait un minimum de confiance en lui ce qui l’assurait en même temps. Il pouvait conquérir le cœur de la belle rousse qui avait un très fort caractère. C’était aussi ce qui l’attirait. Elle était loin de se laisser aller aux belles paroles de tous les garçons qui devaient s’approcher d’elle. Ravenna était aussi capable de s’affirmer. Il avait besoin d’une femme dans ce genre. Une femme étant capable de s’affirmer face à sa folie par moment. Il avait besoin de se faire ramener sur terre. Bien que rien était encore joué, Adonis espérait d’être à la hauteur de la jeune Malfoy. Il espérait qu’elle ne voit pas que la pureté du sang. Cette pureté qu’il n’avait point. Il était un sang-mêlé. Il était ni pur ni un né-moldu. Il avait toujours vécu dans un monde aussi magique que celui de Ravenna. Pourtant, il avait peur qu’elle juge ses amours.
Adonis tentait en vain de la faire descendre de ses épaules. Elle paniquait ce qui avait l’effet d’une bombe dans la confiance du Serdaigle. Le jeune homme ne voulait pas la blesser. Il la protégeait autant que possible puisqu’il en était fou amoureux. Ce n’était pas la meilleure des méthodes pour draguer si elle finissait par s’écraser aux sols. Il serait le seul fautif dans cette histoire bien qu’elle ait accepté l’idée de le faire. Il était tout de même celui qui devait prendre soin d’elle. Elle était à la merci de ses décisions en étant sur ses épaules. Il commença à descendre dans l’ultime tentative de la descendre de son perchoir, ses épaules. Il lui avait demandé gentiment de se tenir aux tablettes afin de se maintenir en équilibre. Il descendait de plus en plus tout en tentant de ne pas perdre l’équilibre afin qu’elle ne finisse pas sur le sol. Il descendit jusqu’à rester coincer en position accroupi. Il ne lui restait qu’à faire un petit sauf sans danger pour atteindre le sol. Il ne pouvait descendre plus bas avec les épaules droites. Il la renverserait sur le sol s’il tentait encore un mouvement de descente. « Ne Bouge pas, je descends. » Il était fort probable qu’il ne fasse aucun mouvement malgré les avertissements de la jeune femme. Ravenna descendit de ses épaules un pied à la fois. Cela lui provoqua une petite douleur, mais il ne fit pas de commentaire. Il ne grogna pas. Il serra les dents tout simplement un instant regardant toujours le sol. « Enfin la terre ferme ! » Il était toujours accroupi retrouvant des forces pour se lever. Elle n’était pas lourde, mais il n’était pas l’homme le plus fort au monde pour un effort aussi soutenu. Il entendit l’écho de ses rires. Il releva doucement la tête en faisant un petit sourire. Elle se moquait de lui. Qu’est-ce qu’il s’en foutait en ce moment même ? c’était une mélodie son rire. Il était heureux d’être l’idiot qui réussissait à la faire rire autant. C’était un don béni des dieux. « Par Merlin, si j’avais une pensine je mettrais ce souvenir dedans, ta… ‘pose’ est… particulière… » Il prit la main qu’elle lui tendit sans vraiment y réfléchir. Il n’avait pas eu ce mouvement habituel de recul envers les femmes. Il appréciait son contact ! Il voulait d’elle dans sa vie pourquoi agirait-il comme à son trop grand habitude ? « Moques-toi autant que tu le désires, mais tu es saine et sauve ! Ne l’oublie pas ! J’aurais pu être particulièrement cruel… je ne l’ai pas été. Ta sœur et ton père auraient eu une raison de me tuer ! Surtout que tu risquais de rester paraplégique. » dit-il en faisant une moue. Il la regarda droit dans les yeux en fronçant les sourcils un peu troublé par ce qu’il venait de dire. « Bon, tu vas payer tes trouvailles pour qu’on sorte d’ici ? On nous regarde énormément ! Je suis certain qu’il pense que j’ai tenté de te faire du mal… » il se renfrogna. « Une chance qu’il n’a pas l’autre pouffiasse de blonde qui vient me faire chier… » il soupira en prenant par les épaules Ravenna d’un bras. Il la lâcha du coup s’étant un peu trop laisser emporter. Il l’avait tout de même presque serré contre lui, comme s’il avait été son petit copain. « Je … j’ai eu un spasme. » Adonis prit une petite teinte rouge. C’était réellement une première pour le garçon qui généralement ne montrait aucun signe de gêne. Il regardait ailleurs pour éviter son regard. « Allez sortons d’ici, je vais devenir cingler, Ravenna. » Il était déjà fou d'elle...
Le code règlement:
→ Let's go Knicks.
Dernière édition par Éphraïm M. Kingsley le Lun 4 Mar - 6:13, édité 32 fois
Accueil
) pour que je fasse son scénario. 
Merci encore de prendre mon scénario!!!!! 
!!!!
