FEAT. COCO ROCHA

Snow Nour Rosenstiehl

22 ans → Né(e) à New-York le 08/02/1991 → Etudiante en 3e année de médecine, travaille comme externe a l’hôpital et dans un garage en tant que mécanicienne pour arrondir les fins de mois → Bisexuelle → membre des Outsiders.

And who am i ?

★Quelles sont tes caractéristiques?
→ Une rose sur le poignet, en l’honneur de son père et des écrits hébraïques descendant le long de sa colonne vertébrale.
Snow est plutôt une jolie fille. Elle est très élancée, très fine et correspond, corporellement parlant, a l’archétype même des clichés de beautés de la société moderne. Seulement, elle ne se met pas réellement en valeur, du moins pas comme le voudrais la mode. Elle est adepte des jeans troués, des t-shirts trop grands car elle cache cette maigreur extrême qu’elle hait, des docs martens … Pourtant, malgré l’image qu’elle renvoie d’elle-même, Snow est une jeune fille d’une grande sensualité, qui sait se rendre très désirable sans forcément avoir a porter des vêtements très féminins.
Elle possède de grands yeux bleus et une peau diaphane, hérités de sa mère americano-russe et des cheveux de jais de son père, juif alsacien. Elle déteste son nez qu’elle trouve proprement inexistant. Elle ne se maquille que très rarement, surtout parce qu’elle est flemmarde plutôt que par amour du naturel.
Elle a de belles mains, très fines et très douces, des « mains de pianistes » donc elle prend soin en tant qu’outil de travail (elle souhaite devenir neurochirurgien) ainsi qu’en tant que peintre a ces heures perdues. Snow a une voix plutôt grave étrangement pour une jeune fille de son âge.

★Quel est le caractère de ton personnage?
Jackson, 40 ans, ancien concierge du collège ─ Snow est une (excusez-moi du terme) PUTAIN de têtue. Lorsque je l’ai connue, elle avait a peine 12 ans vous voyez et son père venait de mourir alors quand t’es gamin, tu t’attends juste a voir une pauvre gamine effondrée avec toutes ces poules de mères qui ramènent des tas de gâteaux parce qu’aux Etats-Unis on a toujours l’impression que c’est avec de la bouffe qu’on va gérer les choses. Mais non. Elle est venue le matin, comme tous les matins, à manger deux ou trois part de gâteaux et s’est assise dans le fond de la salle. Rien a foutre (excusez-moi encore) que tout le monde se soit démener pour elle, la princesse.
J’me rappelle aussi qu’elle avait ce regard qu’elle a toujours gardé, cette lueur de détermination. C’était la première de la classe et ca l’est toujours rester, même après le drame. Elle ne parlait pas beaucoup, c’tait une solitaire la gamine et une bagarreuse quand on l’emmerdait trop. Ah ca elle avait du caractère la gamine !

Tommy, 24 ans, collègue mécano ─ Snow je l’aime bien. C’est vrai qu’elle n’est pas super loquasse mais elle est cool, elle se prend pas la tête. Elle vient souvent m’aider au garage après les cours, elle est très douée en mécanique, c’est une grande passion pour elle. Je dirais que je la connais plus que les autres parce que j’ai grandit dans le même quartier et que vivre là, ca rapproche étrangement. Elle est très érudite, elle lie beaucoup, des trucs que je ne comprends pas trop mais ca en jette rien que dans le nom. Beaucoup d’auteurs russes etc quand elle n’a pas le nez planté dans ces cours… Parfois, elle est un peu hautaine mais bon, c’est comme ça. Elle est solitaire, dans son monde. Je crois qu’elle peint. Elle parle déjà pas beaucoup alors vous imaginez bien qu’elle parle jamais d’elle. C’est quelqu’un d’assez secret …

Mme Lichtenstein, 47 ans, professeur de math ─ Oui j’ai effectivement été son professeur pendant très longtemps. C’est une très bonne élève, pas forcément plus intelligente que les autres mais une maniaque du travail. Je crois qu’elle a envie de reussir et d’être la meilleure. C’est une compétitrice assez froide, elle est prête a tout et se faire des amis n’a jamais été réellement une priorité pour elle.

Kimberley « Kimmy », ne dit jamais son âge, élève dans le même lycée ─ Non mais me parlez même pas de cette biatch. Elle couche avec les mecs, les rappelle pas, sois-disant que la demoiselle ne mangerait pas réchauffé. Elle ne se préoccupe pas de votre passé ni rien visiblement fin d’après ce que m’a dit Steven, qui l’a tenu de Britanny qui aurait le frère d’un cousin éloigné a sa meilleure pote Cyndi qui aurait couché avec elle. Même qu’elle coucherait avec des FILLES s’il te plait. DES FILLES QUOI.

Pete, 22 ans, Etudiant en droit ─ C’est une bonne amante, oui. Elle a quelque chose d’animal en elle, de magnétique. On s’est jamais rappeler mais oui, j’pense que quelque part, elle a exercé une petit fascination chez moi. Peut-être aussi parce qu’elle était différente de toutes les nanas que je fréquentais. Je ne sais pas. Le lendemain, elle s’est mis à peindre, comme ça, nue. C’était étrange mais très poétique en même temps. Elle ne m’a pas adressée un mot en partant. J’sais pas …

Well... It's my story...

« Tu es la plus belle perle du monde »
J’imagine aisément ma mère a ce moment-là, nue sur le parquet. Mon père, ce monsieur déjà marqué par les traits du temps, dessinant chaque courbe de ce petit être frêle a ses pieds derrière son chevalet en bois. Ma mère à 17 ans, c’est une enfant ayant cherché toute sa vie a se défaire du carcan dans lequel sa famille, très catholique, l’enfermait, dès qu’elle eu l’âge d’attiser le désir chez les hommes de son entourage. Alors sur ce parquet moisi, cet appartement vétuste, totalement dévêtue devant l’homme qu’elle admire, ma mère goute pour la première fois ce gout sucré qu’est celui de la liberté, elle s’enivre de cette saveur et je crois qu’a ce moment-là, elle sait, qu’elle ne pourra jamais retourner chez elle.
J’ai été le prix de son émancipation. Quand elle est tombée enceinte de moi, encore dans la fleur de l’adolescence, d’un homme de 13 ans son aîné, sa famille a tiré un grand trait sur elle. Ils l’ont oublié, arrachant de leurs mains les derniers liens de sang subsistant. Je ne sais pas pourquoi son père, fonctionnaire russe baignant dans des affaires plus que douteuses n’est jamais venu tirer trois balles dans le crâne de mon père. Je crois qu’il l’aimait ou peut-être pas assez justement, pour venir se salir sur les mains du sang d’un juif pauvre. Il devait se dire que cette vie de misère serait sa punition pour avoir désobéi. Cet homme, ce grand-père inconnu, avait tord car elle fut la plus heureuse des mères, qui préférait de petits revenus plutôt qu’une vie à s’ennuyer dans une cage dorée.

Le jour ou je suis née, il neigeait tellement que lorsque mon père essaya de faire démarrer la vieille fiat qui nous servait de véhicule, elle rendit l’âme instantanément. J’entends encore le rire rauque de mon père contant cette anecdote auprès du feu, ma mère silencieuse et souriante. Ce jour-là elle hurlait de toutes ses forces « Tu ne voulais pas sortir Snow, déjà a cette époque tu était têtue comme une mule » et elle continua d’exprimer audiblement sa douleur durant tout le trajet de bus « Des gens en son même sortit de ce foutu bus tellement qu’il n’en pouvait plus d’entendre ta mère hurler ». A l’hôpital, même après avoir perdu les os, je fus difficile a mettre au monde mais après 8h de douleurs, 15 cafés pour mon père, on pu apercevoir mon petit minois. Mes parents me nommèrent Snow en souvenir de cet événement et mon père me donna le deuxième prénom de ma grand-mère car « je n’avais jamais connu quelqu’un capable de faire pousser autant d’hurlements a un autre être humain avant elle ».

La passion du dessin, c’était lui et seulement lui. Je me revois encore, entre ses bras, respirant son odeur de tabac froid que j’apprécie tant maintenant. Nos deux mains dessinaient en cadence, appréhendant le rythme que j’ai conservé jusqu'à ce jour. Il était toute ma vie. Son sourire, ses cheveux bruns, sa façon de rire, un peu nerveuse me rendait folle de bonheur. J’aimais ma mère mais le lien qui me tenait attachée a mon père était d’acier, ténu et elle ne le jalousait pas, comprenant que cette fascination n’avait rien pour me tirer vers le bas.
Il était juif et ses yeux noirs pleuraient quand il me racontait l’alsace, la guerre qu’avaient connue ses parents, la souffrance de son peuple et sa colère envers Israel, envers les gens qui jugeaient si vite une situation qu’ils ne pouvaient comprendre « Ce que nous faisons aux palestiniens est ignoble mais tu dois comprendre Snow qu’un gouvernement doit être dissociable de son peuple. Nous ne sommes pas tous vils, nous n’aimons pas tous l’odeur du sang et de la misère ». Ma réussite l’animait et le regard fier qu’il portait sur moi me faisait oublier nos difficultés financières, cette vie sinistre dans les quartiers du Bronx. C’est pour lui que je voulais être médecin, pour lui que j’aspirais a plus, pour lui que je peignais et c’est maintenant pour sa mémoire que je me dois de rester fière et droite. C’était un activiste, militant pour sa cause, pour restaurer la fierté de ce peuple martyr mais il est mort avec ses idéaux, sans en voir poindre l’aboutissement, a seulement 42 ans. Je ne m’étendrais pas sur son départ. Je ne peux pas en parler, comme je ne pouvais pas contempler ce corps froid, sans vie, ce cadavre qui n’était plus mon père. Il a laisser un vide derrière lui, tant son aura était grande mais le courage m’a fait relever la tête. Je crois qu’il n’aurait pas accepté que j’abandonne après son départ « les épreuves font ce que nous sommes Snow mais il faut savoir en extraire le meilleur ». Je ne me suis pas laissé détruire par son souvenir, par son absence.

J’ai aimé des hommes, très peu mais quelques uns, un instant. Je crois que je ne suis pas faite pour aimer sur la longueur. J’aime la passion, la rencontre des corps, l’implosion et le silence après l’amour, cette respiration saccadée. J’ai aimé des femmes aussi. J’ai la passion des corps, quel qu’ils soient, féminins ou masculins. J’ai la passion de ces corps sur mes peintures, dans mon lit, comme sur une table d’opération. Ils sont un réceptacle admirable même si peu d’âmes m’intéressent. Je ne suis pas associable mais la plupart du temps, faire l’effort d’une discussion m’ennuie. Je suis assez sauvage mais il m’arrive de trainer mes docs Martens dans les bars, profité de la fièvre joyeuse qui anime New York la nuit, cette ville qui ne dort jamais. Passionnée de mécanique, je mets a profit mon savoir faire en travaillant a mi-temps dans un garage et ma proximité avec l’un des employés me permet de m’échapper pour me rendre a mes cours, a l’hôpital ou pour peindre. Ma vie n’a rien d’extraordinaire, elle est même plutôt banale mais je m’en contente, alternant plaisirs et obligations, même s’il m’arrive de rêver d’ailleurs, de grandes aventures, de bombes explosant dans les airs, secouant un peu le quotidien parfois insipide. Oui, peut-être …

my little secret

★TON PRÉNOM OU TON PSEUDO & TON AGE → 'Tiote, 18.
★Comment es-tu arrivé(e) ici ? → J'ai été inscrite sur ce forum, il y a déjà quelques temps.
★Ce personnage est-il un double compte ? → Non.
★Présence sur le forum → 4/7 environ.
★Personnage inventé ou scénario ? → Perso inventé.
★Crédit images → (c) Delphie.

Mon exemple de RolePlay:

Le code règlement:

COCO ROCHAAAAAA excellent choix d'ava

bienvenue sinon (a)

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Jolie prénom Et Coco

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Bienvenue! ♥

rocha
bienvenue parmi nous

Quel avatar

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Bon courage pour ta fiche

Merci de votre acceuil à tous
(Oui effectivement, on la voit de moins en moins sur les forums, ce que je trouve assez étrange sachant que perso je trouve que c'est au moins l'une des plus belles femmes que j'ai jamais vu ahaha )

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Merciii

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bienvenue sur nycl

Merci

Welcome

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J'aime beaucoup ta manière d'écrire. Je te prévalide avec plaisir.
J'ai validé le code du règlement au passage, un admin passera dans ta fiche pour t'ajouter à ton groupe.
Bon jeu parmi nous.

Merci pour le compliment & Merci pour la validation