→ J’étais aussi un peu comme ça je foirais toujours tout dans ma vie et puis surtout au moment ou ça allait le mieux et ou j’étais heureuse, probablement un besoin… Mais j’avais compris depuis le temps que je connaissais ce fameux Enzo maintenant qu’il était un peu comme moi, un besoin de tout foirer de tout quitter et de s’éloigner des personnes auxquelles on tient ! Comme le jour où monsieur Sheppard était partit comme un voleur le matin, sans même une lettre un petit mot gentil ou même un bouquet de fleur. Depuis ce jour je n’avais pas eu de nouvelles de lui, pourtant je pensais jour et nuit à ce beau brun et je me disais que peut-être un jour il reviendra dans ma vie… J’étais bien naïve et surtout trop conne pour croire à ce genre de chose, car il ne revena jamais vers moi. Il devait certainement profiter des autres jeunes filles plus belles que moi s’amuser comme il aimait si bien faire au bon vieux temps ! Oui j’étais tout de même un peu jalouse au fond il ne m’appartenait pas, et on ne c’était jamais dit qu’il se passait un truc entre nous mais Enzo Enzo à chaque fois que je prononce ce prénom ça me fait quelque chose de fort dans mon cœur. Comme si le monde entier s’arrêtait de tourner et que je n’avais d’yeux que pour lui, d’un côté c’était vrai et je ne pouvais pas lui en vouloir il était comme ça… Mais il fallait quand même que je le punisse oui que je lui montre que je ne suis pas quelconque femme et qu’on ne me jette pas ainsi comme il venait de le faire ! Parce que tout de même je suis une femme avec un cœur, et j’y avais mal mais après tout il ne devait plus vouloir de moi c’était ainsi ! C’était impossible que je l’oublie et que je le sorte de ma tête, car il y était entré et maintenant c’était trop tard… Autant il pouvait être un homme formidable quand il le voulait autant c’était une vraie vermine qui te laisse tomber durant des années entières ! Peut-être qu’il lui était arrivé quelque chose durant ce fameux soir ou j’avais été prise en otage ? Peut-être aussi qu’il ignoré qu’il m’était arrivé quelque chose et qu’il avait quitté New-York pour s’installer autre part et faire une nouvelle vie ou personne ne saurait qui été Monsieur Sheppard ? Beaucoup de questions me trottaient dans la tête, mais je me demandais comment il avait fait pour m’oublier assez vite ? La seule option était qu’il avait trouvé une femme plus mieux et sublime que moi, avec un meilleur caractère et complètement différente de moi pour m’oublier et ne plus penser à Mademoiselle Mendoza ! Après tout comme il avait fait bien avant avec Savannah, il reproduisait la même chose mais cette fois-ci avec moi. J’étais déjà assez tracassé avec cette histoire de prise d’otage, elle avait foutue mes fêtes de noël et du nouvel an à plat et m’avait angoissé durant beaucoup de temps… Je ne pouvais pas me sortir de la tête ce jour marquant, mais heureusement qu’il y avait Casey et Hazel qui était là à mes côtés et pour moi ! Ils m’ont aidé durant cette affreux instant mais malheureusement ils n’ont pas pu faire grand-chose quand le fou moustachu m’a grièvement blessé… Je me rappelle de chaque traits de son visage, du son de sa voix qui vous fait hérisser les poils mais surtout de son arme qui vous fou la chair de poule à chaque fois qu’il la braque dans votre direction ! J’avais joué à la fille courageuse qui a peur de rien et forte, résultat j’étais blessé et dans le même hôpital bravo. En même temps j’étais dans un état assez grave pour qu’ils m’amenent autre part qu’ici, dés à présent je déteste cet hôpital comme je déteste celui ou ma mère à perdu la vie. Les hôpitaux vont être ma hantise et vont faire de ma vie un cauchemar, pourtant il faut bien y aller pour se soigner quand vous allez très mal vous n’avez pas vraiment le choix… Et vous ne pouvez pas savoir combien j’aurais désiré qu’Enzo soit là à cet instant précis, pour me consoler pour être prêt de moi et pour me confier à lui ! Mais ce fut autrement et heureusement que j’ai encore mes meilleurs amis sur qui je peux compter… J’avais surement du bouleverser la petite vie d’Enzo, et j’avais réussi à rentrer dans sa vie, à le faire rire sourire et être heureux comme il le désirait. Alors qu’est-ce qu’il n’allait pas ? Et même par moment Enzo était un lâche un salop mais je savais être calme et ne l’enguela jamais, mais aujourd’hui ça allait changer… J’en avais marre qu’il me prenne pour une conne et je n’allais plus être si gentille que ça !


Alors quand quelqu’un frappa à ma porte de chambre je dis à cette mystérieuse personne d’entrer, car je n’attendais aucune visite et je reconnue Enzo Sheppard qui c’était décidé à venir me voir. D’un seul coup je me rappela des bonnes choses qu’on avaient vécus ensemble, mais surtout d’un soir. De celui du bal masqué, on c’était retrouvé par hasard encore une fois. J’avais passé une agréable soirée en sa compagnie, mais chose inattendu un ami à lui Casey s’invita à notre petite soirée et resta avec nous durant toute la soirée. J’aurais pu mal le prendre et faire la tête toute la soirée, au lieu de ça je l’accepta et parla même un long moment avec lui le temps qu’Enzo parte voir une jeune femme qui était l’ex de son ami ! Deuxième chose qui n’était pas prévu et que j’aurais pu mal prendre, mais au lieu de ça je pris une autre fois sur moi pour ne pas gâcher la soirée… Par la suite il revena vers nous et on passa la soirée tous les trois à rigoler boire discuter et danser un peu. A la fin de la soirée Enzo ramena Casey chez lui pour qu’on soit un peu tranquille quand même, et on roula jusqu’à mon appartement où je l’invita pour passer un bon moment rien que tous les deux. On s’embrassa se câlina et on coucha même ensemble, mais pas coucher pour coucher… C’était assez romantique tendre et pleins de surprises, c’est à ce moment là que je connu le Enzo tout adorable attentionné et doux ! Je ne pourrais jamais oublier ce moment si magique entre nous deux, le soir ou il était venu dans mon appartement et qu’on à vécu quelque chose de simple et romantique pour ma part. Je fus très surprise de le voir débarquer à l’hôpital, moi qui croyais qu’il m’avait oublié et qu’il ne savait pas que j’étais ici je m’étais trompée sur toute la ligne. Mais il allait pas s’en sortir si facilement cette fois, peut-être que ça allait voler en éclat et qu’on allait se disputer mais je voulais qu’il comprenne bien qu’on ne me fait pas ce genre de chose. Je voulais parler qu’on ne me laisse pas sans nouvelle durant plusieurs années, alors qu’il comptait beaucoup pour moi ! En le voyant j’aurais voulu l’embrasser tendrement et le prendre dans mes bras, mais il ne fallait pas que je cède car sinon c’était bien trop simple à mon goût. Monsieur Sheppard n’était pas quelqu’un de très courageux et préféré prendre la fuite comme un voleur, il ne faisait pas face à ses problèmes et il voulait les contourner. Alors il n’avait aucunes excuses à me donner, et je ne voulais en entendre aucunes ! A le voir devant moi il ne lui était rien arrivé et il était sain et sauf, peut-être quelques égratignure mais ce n’était rien comparé à moi qui était dans un lit d’hôpital. Je n’étais plus trop d’humeur à faire des blagues et à être rigolote du moins pour le moment. Que venait-il faire ici ? Il venait peut-être s’excuser de m’avoir fait attendre tout se temps ? Ou alors de voir dans l’état pitoyable que j’étais, c’était en plus pas le moment j’étais moche très mal habillé et je ne pouvais pas bouger ! Je détesté l’odeur de l’hôpital la nourriture de l’hôpital et les chambres de l’hôpital, en clair tout. Je ne pouvais pas faire la tête durant toute ma vie à Enzo pour ce qu’il venait de faire, c’était enfantin et minable de ma part. Mais juste lui faire comprendre qu’une fois qu’on rentre dans ma vie ce n’est plus possible de partir comme il l’a fait et de ne plus donner de nouvelles pendant longtemps. Surtout que je tenais beaucoup à lui, et que si il lui était arrivé quelque chose je m’en serais voulue. Une fois qu’il rentra dans la pièce je jeta un léger coup d’œil vers lui et regarda ensuite en face de moi. Je ne voulais pas le regarder dans les yeux, je ne voulais pas souffrir une fois de plus en le regardant ! D’un côté mieux vaut tard que jamais, et il avait finit par revenir vers moi comme je le souhaitais mais bon. J’étais toute amochée, pas vraiment prête à recevoir de la visite habillé dans la blouse blanche de l’hôpital et même pas coiffé les cheveux en pétard… Je souffla quelques peu attendant qu’il prenne la parole et qu’il me dise quelque chose. De plus il ne commençait pas très bien car il me demanda comment j’allais, franchement quand vous venez dans un hôpital c’est que la personne n’est pas au top de sa forme. Ce n’était pas très grave ça encore mais bon, c’était la question habituelle que posait les gens je ne pouvais pas lui en vouloir d’essayer de me parler et de dire quelque chose !


J’essayais de me tenir un peu avant d’exploser ou du moins d’être moins sympathique avec lui, parce que pour le moment je le piquais un peu tout en étant quelques fois assez gentille. Je restais assez calme car il fallait pas trop que je m’énerve à cause de mon état, puis je décida de tourner mon visage pour le regarder droit dans les yeux… Il n’avait pas changé toujours aussi beau, aussi coquet et charmant mais je n’affichais aucun sourire sur mon visage. Et le beau Enzo n’était pas au bout de ses peines si il faisait ou disait quelque chose de travers, je le laissa parler et l’écouta attentivement. « Au moins tu dit vrai dans une chose tu a agit comme un idiot un minable, maintenant je ne sais pas trop quoi croire. J’espère juste que toutes les belles paroles que tu m’a dit avant que tout cela ne se passe étaient vraies. Parce que sache une chose Enzo, je t’ai attendu comme une conne croyant que tu allait revenir vers moi chaque jour en me faisant de faux espoirs et en ne voyant personne arriver. Car je tiens à toi tellement tu ne peut pas savoir, et que comme toutes femmes j’ai un cœur même si je ne le montre pas ! » Je venais de tout lui balancer, tout ce que j’avais sur le cœur et tout ce que je voulais qu’il sache à présent. Je ne baissa pas le regard et continua à le regarder, il alla fermer la porte pour qu’on soit entre nous et que tout le Richmond n’entende pas notre conversation ! Puis je n’avais pas vu qu’il tenait des fleurs dans l’une de ses mains, il les déposa sur la table tout en s’approchant de la chaise prêt de mon lit. « Si tu le désire je t’en prie, mais avant tu devrait mettre un peu d’eau dans les fleurs si tu ne veut pas qu’elle meurt un peu comme nous quoi… » Je ne voulais pas être trop méchante mais je devais aussi lui montrer la Andréa qui n’était pas tous les jours faciles et aimable. Je ne pouvais pas lui dire de repartir chez lui, il avait déjà fait l’effort de venir me voir et je ne voulais pas le repouser comme un moins que rien même si il le méritait…

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