Sujet: what goes around comes around ₪ andrea Lun 8 Avr - 21:42
FEAT. alexander skarsgård.
Andrea Stanislav Proskynov
27 ans → Né(e) à Vladivostok le 03/02/1986 → étudiant en histoire des arts célibataire → hétérosexuel → membre des popular.
And who am i ?
★Quelles sont tes caractéristiques? → Lorsqu'il était plus jeune, Andrea s'est fait tatouer un petit serpent dans le bas du dos. Pour lui, c'était une première façon de s'émanciper de l'autorité paternelle, mais aussi d'afficher sa ruse. Pour lui, le serpent est le symbole par excellence de l'animal discret mais vicieux, celui qui attaque de front, au moment où on s'y attend le moins. Il a une fine mais longue cicatrice au niveau de l'abdomen, qui témoigne de l'agression qu'il a subi, puis de l'opération qui en a suivi. Il n'a jamais expliqué cette marque blanchâtre à quiconque, à la fois par crainte, mais aussi par pudeur. Autre trait qui peut agacer : il est pointilleux et ne supporte pas que les choses soient mal organisées. Tout doit être fait en temps et en heure ; si tel n'est pas le cas, attendez-vous à subir ses foudres. Enfin, dernière chose à savoir : il a pour habitude de voir sa vie sentimentale étalée sur du papier glacé, ce qui l'agace prodigieusement.
★Quel est le caractère de ton personnage? → Pour tout le monde, Andrea est quelqu'un de froid, distant, et qui n'hésite devant rien pour parvenir à ses fins. Coureur de jupons parfaitement assumé, il est totalement réfractaire à toute forme d'engagement. Preuve s'il en est, il a brisé plus d'un couple, juste pour une nuit. Aux yeux des inconnus, il est déterminé, arrogant, prêt à tout pour écraser ses adversaires. D'une nonchalance franchement irritante, il agace, il le sait, et il aime ça. Tout en lui respire la superficialité et l'égocentrisme. Mais quand on le connaît plus en profondeur, quand on cherche à en découvrir davantage, on s'aperçoit qu'il est en fait quelqu'un de droit et d'honnête. Respectueux mais socialement méfiant, il n'est pas facile d'obtenir les bonnes grâces du Russe, bien au contraire. Autre point important à savoir : il accorde sa confiance une fois, et ne laisse jamais de seconde chance. Si jamais l'idée de le trahir vous effleurait l'esprit, pensez-y à deux fois avant de commettre l'irréparable : à partir du moment où Andrea décide de mener la vie dure à quelqu'un, il le fait jusqu'à bout, et n'a absolument aucune limite. Evidemment, il possède aussi quelques faiblesses, comme son passé. Il refuse d'en parler, à quiconque. Personne ne connaît l'Andrea Stanislav Proskynov d'avant, celui qui a été un mannequin célèbre et qui s'est retrouvé au trente-sixième dessous en une nuit. Il continue de cacher des éléments importants de sa vie, comme la mort de ses parents, même à des personnes qui lui sont très proches.
Well... It's my story...
“childhood” « Continue mon fils. Encore, ne t’arrête pas. » Déclare mon père, quelques instants avant de s'éloigner. J'ai sept ans, et je suis en pleine leçon de piano avec l’un des musiciens les plus talentueux de la Russie. Je suis assis là depuis deux heures ; deux heures pendant lesquelles je travaille, sans relâche, mes gammes. Mon père, qui venait juste de rentrer, est passé en coup de vent pour m'écouter, pendant cinq petites minutes. Comme d'habitude avant de s'éclipser, il m'a encouragé à continuer, à persévérer. J’aurais aimé lui dire que j’en avais marre, que c'était long, et que tout cela ne m'intéressait pas. Mais comme tous les soirs, je l’ai regardé passer, je lui ai adressé mon plus beau sourire, et je me suis de nouveau concentré sur mes notes. Mon père était fier de moi, je le savais, je le sentais : et c'était la seule chose qui comptait, à mes yeux. N'en déplaise à ma mère, qui après avoir bataillé ferme pour ne pas que je me retrouve avec le prénom de mon grand-père, n'avait pas pu m'éviter l'éducation stricte et bourgeoise caractéristique des Proskynov. Jouer d’un instrument de musique, pratiquer un sport, devenir minimum bilingue… Ce sont tous les impératifs imposés par mon père et ce, dès mon plus jeune âge. C’était lourd, c’était difficile à porter pour un gamin, mais je l’ai fait. Je n’en veux pas à mon père, je sais qu’il pense avoir fait ce qui était le mieux pour moi. Et avec le recul, je pense que tout cela ne pouvait que m'être bénéfique.
“teenage dream” « Le but, c’est d’apprendre à connaître des gens. Te faire des relations, des alliés. Plus tard, quand tu reprendras le flambeau, tu pourras compter sur eux Andrea. » Alors que mon père se détourne et s’avance pour saluer l’un de ses pseudo-amis, je scrute la foule. Il y a beaucoup de monde ; des hommes, des femmes, et des adolescents. Ce qui est étrange, c’est de voir comme les groupes qui se forment sont homogènes : les hommes parlent entre eux, les femmes se rejoignent autour de la table, et les adolescents, timides, osent à peine faire un pas vers les autres. Ici, dans ce monde, seul les apparences dominent. Il faut se faire un nom dès son plus jeune âge. Je sursaute en sentant une main se poser sur mon épaule. Mais, rapidement, le parfum rassurant de ma mère vient chatouiller mes narines. Tout va bien, je suis en terrain connu. Et surtout, je sais que je ne risque rien, qu’elle ne me veut rien de mal. « Allez Andrea, tu dois le faire. Je sais que c’est étrange la première fois, mais j’ai rencontré ton père comme ça. » Dit-elle en se mettant face à moi. « Et puis tu en auras besoin pour plus tard, tu sais ? Ils pourront toujours te rendre service. Ils sont comme nous, tu n’as rien à craindre mon chéri. » Ma mère tente de me rassurer par le biais d’un sourire, mais elle sait. Elle sait que je n’aime pas être là, que je déteste l’idée d’être forcé à aller vers les autres, que je trouve ces soirées mondaines d’un ennui infini. J’ai soupiré en la voyant s’éloigner. Je n’avais qu’une hâte : que cette soirée se finisse. Malheureusement pour moi, elle venait seulement de commencer. J’ai douze ans, et je participe pour la première fois à ce qu’on appelle, chez les aristocrates distingués, un rallye. Bienvenue dans un monde mesquin, où l'indifférence et le narcissisme règnent en maître.
“rebellion” « Il est absolument hors de question que je fasse des études en économie ou en politique. Ça ne m'intéresse pas. » Lâchais-je d'un ton sec, déjà prêt à monter sur mes grands chevaux si nécessaire. « Toi et moi, nous sommes différents. » Derrière mon père, qui me fait face, j’aperçois ma mère, qui sanglote doucement. Ce n’est qu’une dispute parmi tant d’autres ; au fur et à mesure, elles ont fini par rythmer notre quotidien. La raison de tout ça ? Mon père, évidemment, qui cherche à tout prix à me convaincre de faire des études de commerce ou de politique, afin que je puisse, selon ses propres termes "reprendre le flambeau". J'aurais pu crier, hurler, que ça n'aurait pas fait avancer la situation d'un pouce. Mon père ne changera jamais d’avis, et je sais que je vais devoir renoncer à mes études d’histoire de l’art. Mon rêve s’écroule peu à peu, et je ne peux rien faire pour éviter ça. A dix-sept ans, j’ai déjà l’amère sensation que je suis condamné à vivre une vie que je n’ai pas choisie. Alors, sur un coup de tête, j’ai décidé de reprendre en main la seule chose que j’étais capable de contrôler. « Puisqu’il en est ainsi, je veux aller faire mes études à Moscou. » Ma mère hoquète, alors que ses yeux s’écarquillent sous le coup de la surprise. Je suis son fils unique, et je sais qu’elle tient à moi. Mais là, ça ne suffit pas. Ça ne suffit plus. J'aurais aimé qu'elle s'élève contre mon père, qu'elle me soutienne ; mais elle ne le fait pas, parce qu'elle sait qu'elle n'a aucune chance. En revanche, mon père reste silencieux, et semble peser le pour et le contre. Au fond de moi, je sais déjà qu’il va accepter. Les écoles à Moscou sont bien meilleures que celles de Vladivostok, et mon père sait que dans la capitale, je vais pouvoir étendre mon cercle de pseudo-amis. « Très bien, c’est d’accord. » J’ai hoché la tête, alors qu’un petit sourire victorieux s’étirait sur mes lèvres. Je n’avais pas tout gagné, mais je n’avais pas tout perdu non plus.
“fuck me i'm famous” Moscou, où le tendre souvenir des jours heureux. Comme prévu, je suis arrivé pour faire mes études de politique. Si au début, j’ai appliqué les règles à la lettre, je me suis vite trouvé un autre centre d’occupation : le mannequinat. Que pouvait-il y avoir de mieux pour faire sortir mon père de ses gonds ? Il allait détester l’idée, me détester, et vouloir me faire rentrer de toute urgence à Vladivostok. Sauf que ce qui fut le début de l’Enfer pour lui se révéla être le début de la célébrité pour moi. En parallèle de mes études en politique, j’enchaînais les photoshoots, sortais avec les mannequins les plus prisés, faisais la fête à outrance. Et puis est venu le moment où il a fallu faire un choix. Je n’avais pas réfléchi une seule seconde, persuadé de prendre la bonne décision : les études, c’était terminé. Je préférais me concentrer sur cette carrière prometteuse, que j’avais engagé si brillement. Les crises de mon père n’ont rien changé, et j’ai pris mon indépendance. J’étais le nouveau visage de la Russie, le gendre apparemment parfait, et cette notoriété faisait de moi une personne sur laquelle il fallait désormais compter. Mais j’allais rapidement déchanté. « Monsieur Proskynov ? Oui, bonsoir Monsieur le diplomate, ici le Docteur Chalamov, médecin urgentiste de l’hôpital de Moscou. Je me permets de vous appeler parce que votre fils vient de sortir du bloc opératoire, et il est dans un état critique. Pour être tout à fait honnête, nous nous ne savons pas s’il va passer la nuit. » 04h27, Place Rouge. Nous sommes le 6 Décembre 2007, et le temps s’est arrêté. Andrea ne se souvient quasiment pas de ce qu'il s'est passé. Qui sont ses agresseurs, pourquoi lui ont-ils fait ça, il n'en a aucun souvenir. La jalousie ? L'argent ? La volonté de nuire à ses parents ? Il n'en a aucune idée. La seule chose dont il se rappelle, c'est d'avoir eu la sensation d'être pincé, puis d'être tombé à genoux sur la neige. Il a d'abord eu froid, puis chaud, puis plus aucune sensation. Il s'est réveillé une semaine plus tard, à l'hôpital, ses deux parents à son chevet, et est entré dans une période de silence qui va durer plus de six mois. Six mois pendant lesquels il est envoyé en « clinique spécialisée » (mot que ses parents ont ensuite utilisé pour parler de son séjour en hôpital psychiatrique), et au cours desquels il va fréquenter les psychologues et les psychiatres les plus renommés. A sa sortie, sa première annonce publique annonce la fin de sa carrière. Il a 21 ans, et a bien conscience d'avoir échappé au pire.
“back to the start” 17 Novembre 2008. Si je n’ai presque aucun souvenir du premier drame de ma vie, celui là, en revanche, reste très clair dans mon esprit. J’avais repris mes études en politique, cette fois-ci à Saint-Pétersbourg. Mes parents étaient venus me rejoindre, conscient que j’allais avoir besoin de soutien. J’étais redevenu quelqu’un de normal, ou presque. Mais la réalité m’a rattrapé lorsque j’ai reçu un coup de fil du centre hospitalier de Saint-Pétersbourg. Si j’avais échappé au pire, mes parents, eux, n’avaient pas eu cette chance. Fils unique, sans autre famille, j’ai dû affronter cette nouvelle épreuve seul. Et, comme un déclic, j’ai compris que je ne pouvais pas rester ici. Comment aurais-je pu continuer à faire comme si de rien était ? On m’abordait dans la rue, mon père avait des relations très étroite avec un gouvernement un peu trop strict, je n’avais plus aucune famille, et ma vie était un champ de ruines. J’ai gardé mes deux appartements, conservé les dossiers confidentiels dans un lieu sur, et j’ai pris le premier billet d’avion pour New-York, là où j’espérais trouver une vie meilleure. Je me suis désormais définitivement installé aux Etats-Unis. Terre d'accueil, là où j'avais rencontré de nouvelles personnes, à qui j'avais fait confiance... En tout cas jusqu'à un certain point. Au fond, les gens ne savaient rien de moi, de mon passé, des blessures qui ont fait celui que je suis devenu. Je ne parle jamais de mon passé ; c’est comme si je n’avais pas existé avant de fouler le sol américain. Confortablement installé dans l’Upper East Side, j’ai repris et terminé mes études en Histoire de l'Art. En parallèle, j'avais progressivement renoué avec une carrière dans le mannequinat. Je m'étais servi de ma notoriété passée pour me remettre sur les rails. Contrairement à la première fois, je n'avais pas fait ça pour agacer quelqu'un d'autre. Et ça m'avait soulagé, et plutôt réussi. La preuve ? Un contrat publicitaire m'a fait faire le tour du monde. Je n'avais pas réfléchi à deux fois, avant de quitter New-York. Ma seule exigeance avait été de ne pas passer par la Russie : je n'étais pas prêt. Il y a trop de souffrance, trop de zones d'ombre, trop de souvenirs. Et vivre à des milliers de kilomètres de l'Enfer ne signifie pas qu'on l'oublie.
my little secret
★Ton prénom ou ton pseudo & ton age → a. en âge d'avoir la majorité américaine. la classe ★Comment es-tu arrivé(e) ici ? → noémieeeeee ★Ce personnage est-il un double compte ? → non, juste un vieux compte. ★Présence sur le forum → régulière. ★Personnage inventé ou scénario ? → inventé. ★Crédit images → citylove ; tumblr.
Mon exemple de RolePlay:
→ Le fait que Burberry ne réagisse pas à mes dernières paroles me fit sourire. Elle continuait de ranger ses affaires, comme si de rien était. Pourtant, j’avais mis les deux pieds dans le plat, en lui sortant la panoplie du mec parfaitement misogyne ; mais ça n’avait réveillé en elle aucun trait de caractère de féministe en puissance. Néanmoins, je savais que cette petite remarque n’était pas tombée dans l’oreille d’une sourde ; tôt ou tard, pile au moment où je m’y attendrais le moins, j’allais me prendre une petite réflexion bien aimable, dont Burberry avait le secret. L’amour vache ? Oui, c’était exactement ça. Alors, dans le but de bien enfoncer le clou, j’en ai rajouté une couche. Au fond, je savais qu’elle prenait ses remarques avec dérision ; de toute façon, je reconnaissais volontiers que j’étais sans doute, dans son entourage, la personne la plus mal placée pour lui faire ce genre de commentaires.
« Evidemment que je l’ai vu. Franchement Burberry, s’il y a bien quelqu’un qui allait s’apercevoir de ton changement de taille, c’est moi. » Dis-je en levant les yeux au ciel, amusé. « Ma pauvre chérie, et c’est toi qui te plains ? Alors imagine la situation désespérée et désespérante dans laquelle je me trouve ! » M’exclamais-je, faussement dramatique. « J’en suis le premier frustré, crois-moi. C’est donc pour ça que je t’ordonne de te jeter sur la nourriture. » Ajoutais-je pour achever de la persuader.
J’ai fait semblant d’être offusqué alors qu’elle me disait clairement qu’elle m’étoufferait la prochaine fois que j’insinuerai qu’elle n’était pas parfaite. Pendant de courtes secondes, j’ai hésité à mettre en œuvre tout mon savoir afin de lui faire quelques courbettes dont j’avais le secret, mais je me suis retenu. Il manquerait plus qu’elle choppe le melon, tiens ! Il y avait assez de moi dans notre couple qui avait un égo surdimensionné, et je n’avais aucunement besoin d’avoir de la concurrence. Oui, moi aussi, j’étais loin d’être parfait.
« Ah ben merci, j’apprécie ! » M’exclamais-je, faussement indigné, par son projet d’assassinat. « Finalement, je ne sais pas si c’était une bonne idée de tout te laisser planifier dans mon dos… Je crains le pire. » Annonçais-je en soupirant. « En tout cas, juste au cas où, je te conseille d’attendre un peu avant de me passer par-dessus bord, mon testament n’est pas fait. » Ajoutais-je en lui faisant un clin d’œil complice. « Après tant de complots machiavéliques, il serait dommage que tu ne touches pas la cerise sur le gâteau, tu ne crois pas ? Enfin moi je vois ça comme ça, mais c’est comme tu le sens. » Déclarais-je en haussant les épaules.
Oui, j’étais bel et bien en train de parler de légers détails administratifs qui se devaient d’être réglés, de préférence en l’honneur de la principale intéressée, avant qu’elle ne mette ses menaces à exécution. Amusé par cette situation peu commune, je n’ai pu m’empêcher de sourire. Je devais bien reconnaître que ces moments de complicité, aussi glauques soient-ils, m’avaient manqué au cours des dernières semaines. Entre les mois passés à ne plus se parler, puis à se livrer à une mini-guerre, et pour finir, l’attentat dans le métro et l’opération de Liam, notre quotidien avait été plus que chargé. Nous n’avions pas réellement eu le temps de nous retrouver. Ces vacances étaient donc l’occasion idéale de rattraper le temps perdu, et de penser à des choses plus légères, moins dramatiques. Par exemple… La tournure que notre soirée allait prendre. Si au début, Burberry avait vaguement envisagé un restaurant, force est de constater que ses plans avaient dévié vers une activité plus… Sportive, mais au moins aussi alléchante que celle initialement prévue.
« Je ne bouge pas d’un centimètre, je suis trop bien ici. » Dis-je en souriant, alors que mes mains se faufilaient rapidement sous son tee-shirt.
Ça, c’est ce qui s’appelle commencer parfaitement des vacances.
- - - - - - - Les vacances n’auraient pas pu mieux commencer. C’est avec cet agréable sentiment que j’ai commencé à émerger, aux alentours de huit heures du matin. Plus de cinq heures de sommeil d’affilé, c’était un véritable record, pour un insomniaque dans mon genre. La nuit avait été courte, mais étrangement, j’étais plus en forme que jamais. D’attaque à commencer les visites, à apprendre de nouvelles choses, à découvrir de nouveaux lieux, et à… Attendre que Burberry se réveille, songeais-je en m’apercevant qu’elle dormait toujours profondément. Peu importe, j’attendrai. J’étais loin de mon quotidien rythmé, loin d’être pressé : j’étais en vacances, et j’avais décidé de prendre tout mon temps.
Elle sortit des bras de Morphée deux heures plus tard, alors que je pianotais sur mon Blackberry pour me tenir au courant des dernières nouvelles. Je pouvais constater que certaines habitudes avaient la vie dure, même pendant les vacances. En voyant Burberry se réveiller, j’ai reposé mon portable sur la table de chevet, l’observant du coin de l’œil en train d’émerger.
« Hey. » Répondis-je en souriant. « Bien dormi ? » Demandais-je.
Je n’ai pu m’empêcher de ricaner lorsque le ventre de Burberry se manifesta à l’instant où j’allais l’embrasser. Capricieux et visiblement désireux de se faire entendre, il chassa ce qui aurait pu passer pour un moment de pure tendresse, pour nous plonger dans une réalité très terre-à-terre, voire même triviale. J’ai hoché la tête, amusé par la situation.
« Ça marche. » Dis-je en me redressant.
Le code règlement:
→ check par j.
Dernière édition par Andrea S. Proskynov le Jeu 11 Avr - 0:10, édité 9 fois
Cheyenne L. Pearson
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Sujet: Re: what goes around comes around ₪ andrea Lun 8 Avr - 21:43
Cours de phonétique "Anne - Noémie, Noémie - Anne" ... quelques heures plus tard "C'est pas toi qui est sur NYCL ?" DUO DE WINNEUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUSES !
bref. Je suis contente de voir que mes heures de disuasion ont marché "reviens sur NYCL, reviens, reviens, reviiiiiiiiiiens!" and here you are darling Anyway, on va faire court hein parce que mercredi ... y'a civi
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Sujet: Re: what goes around comes around ₪ andrea Lun 8 Avr - 21:50
Bienvenue à toi, gigolo.
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Sujet: Re: what goes around comes around ₪ andrea Lun 8 Avr - 21:50
LE RETOUUUUUUUUUUUUR DU GIGOLO DE SERVICE & puis ce mec je m'en lasse pas (pas besoin de dire que c'est un excellent choix )
Sujet: Re: what goes around comes around ₪ andrea Lun 8 Avr - 21:54
Andreaaaaaaa
Rebienvenue à la maison
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Sujet: Re: what goes around comes around ₪ andrea Lun 8 Avr - 22:13
bienvenue ici & bon courage pour ta fiche si tu as des questions n'hésite surtout pas & si tu as le temps tu peux passer sur la chatbox pour te familiariser avec les membres. le retour du prosky
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Sujet: Re: what goes around comes around ₪ andrea Lun 8 Avr - 22:19
PROSKY. rebienvenue parmi nouus.
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Sujet: Re: what goes around comes around ₪ andrea Lun 8 Avr - 23:28
Re-bienvenue gigolo rigolo. Geeeeenre tu ne m'as même pas remis. HOPE KYLINSON avec la blondinette Paxton.
hope avec sara:
On avait même un lien, j'avais zappé.
Citation :
LIEN ϟ Andrea est le genre d'homme avec qui adore traîner Hope. Le genre de personnalité pseudo calme qui renferme un caractère de feu, avec un humour à couper au couteau. Sans compter qu'il est taquin et plaisantin, et une fois les deux réunis, c'est partit: mise en scène, coup de théâtre, blagues amusantes. Tout pourrait y passer, surtout les confessions de monsieur. La personne qui les a fait se rencontrer n'est autre que Serena, qui est également la personne avec qui Andrea rêve d'être. Si bien que Hope lui a avoué qu'elle tenterait de lui dérober quelques informations quant à ses sentiments envers lui. Un nouveau jeu vient de commencer pour les deux plaisantins, et même si la blonde a peur de décevoir son ami, elle sait qu'elle ne perdra ni Serena, ni Andrea. Mais qu'en est-il de Jeff ?
C'était il y a bien longtemps. Et bonne chance pour ta fiche.
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Sujet: Re: what goes around comes around ₪ andrea Lun 8 Avr - 23:39
Re-bienvenue ici
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Sujet: Re: what goes around comes around ₪ andrea Mar 9 Avr - 0:10
Cheyenne L. Pearson a écrit:
Cours de phonétique "Anne - Noémie, Noémie - Anne" ... quelques heures plus tard "C'est pas toi qui est sur NYCL ?" DUO DE WINNEUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUSES !
bref. Je suis contente de voir que mes heures de disuasion ont marché "reviens sur NYCL, reviens, reviens, reviiiiiiiiiiens!" and here you are darling Anyway, on va faire court hein parce que mercredi ... y'a civi
m'en parle pas grand moment de solitude dans ma vie, je dois dire
tu m'as convaincue vivement que ce soit passé bordeeeeeel
Claes J. Blømkvist a écrit:
Bienvenue à toi, gigolo.
Je vois que t'as déjà adopté mon surnom officiel merci
Dylan L. James-Cooper a écrit:
LE RETOUUUUUUUUUUUUR DU GIGOLO DE SERVICE & puis ce mec je m'en lasse pas (pas besoin de dire que c'est un excellent choix )
Re-Bienvenue parmi nous
T'en rêvais, Prosky l'a fait ça va devenir mon nouvel adage, je le sens et merci d'avoir précieusement garder mon surnooooooom
Tulisa A. Errington a écrit:
Andreaaaaaaa
Rebienvenue à la maison
Merciiii ça fait plaisir de retrouver des têtes familières
Serena L. Douglas a écrit:
bienvenue ici & bon courage pour ta fiche si tu as des questions n'hésite surtout pas & si tu as le temps tu peux passer sur la chatbox pour te familiariser avec les membres. le retour du prosky
au début, j'ai vraiment cru que t'avais pas calé que c'était moi... et j'allais t'engueuler merci
Julia K. S. Williams a écrit:
PROSKY. rebienvenue parmi nouus.
Même pas tu serais venue me voir avec la Heaven, tssss merci
Hope A. Roseberry a écrit:
Re-bienvenue gigolo rigolo. Geeeeenre tu ne m'as même pas remis. HOPE KYLINSON avec la blondinette Paxton. Et bonne chance pour ta fiche.
M'en parle pas, ça me semble tellement loiiiiiin tout ça mais bon, contente de retrouver des têtes familières merciii
Aaron Dickens a écrit:
Re-bienvenue ici
Mercii
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Sujet: Re: what goes around comes around ₪ andrea Mar 9 Avr - 0:12
genre comme si j'allais t'oublier quoi
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Sujet: Re: what goes around comes around ₪ andrea Mar 9 Avr - 0:18
sait-on jamais, un moment d'égarement
Cheyenne L. Pearson
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Sujet: Re: what goes around comes around ₪ andrea Mar 9 Avr - 1:00
Andrea S. Proskynov a écrit:
Cheyenne L. Pearson a écrit:
Cours de phonétique "Anne - Noémie, Noémie - Anne" ... quelques heures plus tard "C'est pas toi qui est sur NYCL ?" DUO DE WINNEUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUSES !
bref. Je suis contente de voir que mes heures de disuasion ont marché "reviens sur NYCL, reviens, reviens, reviiiiiiiiiiens!" and here you are darling Anyway, on va faire court hein parce que mercredi ... y'a civi
m'en parle pas grand moment de solitude dans ma vie, je dois dire
tu m'as convaincue vivement que ce soit passé bordeeeeeel
samedi 13h ... FREEDOM ! Arrête je me sens trop fière depuis t'sais
Je dirai même : c'était épique
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Sujet: Re: what goes around comes around ₪ andrea Mar 9 Avr - 1:11
Re-bienvenue chez toi Bon courage pour ta présentation !
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Sujet: Re: what goes around comes around ₪ andrea Mar 9 Avr - 1:14
WELCOME !!!
j'adore Alex S. Totalement In Love dans True Blood :brigitte: passes sur ma fiche de liens quand tu veux !
(Au fait t'es pas le grand frère de Claes normalement?)
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Sujet: Re: what goes around comes around ₪ andrea Mar 9 Avr - 1:30
Bon ben apparemment, re-bienvenue parmi nous
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Sujet: Re: what goes around comes around ₪ andrea Mar 9 Avr - 6:13
Proskynov, le retour Re-bienvenue parmi nous
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Sujet: Re: what goes around comes around ₪ andrea Mar 9 Avr - 10:23
Re-bienvenue si j'ai bien compris! :10:
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Sujet: Re: what goes around comes around ₪ andrea Mar 9 Avr - 10:36
Re-Bienvenue par ici
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Sujet: Re: what goes around comes around ₪ andrea Mar 9 Avr - 11:17
Rebienvenue
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Sujet: Re: what goes around comes around ₪ andrea Mar 9 Avr - 14:52
Andrea S. Proskynov a écrit:
T'en rêvais, Prosky l'a fait ça va devenir mon nouvel adage, je le sens et merci d'avoir précieusement garder mon surnooooooom
c'est sympa de rien
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Sujet: Re: what goes around comes around ₪ andrea Mar 9 Avr - 17:50
bienvenue parmi nous
très bon choix d'ava !
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Sujet: Re: what goes around comes around ₪ andrea Mar 9 Avr - 18:58
Re-bienvenue alors, d'après ce que j'ai cru comprendre Bon courage pour le reste de ta fiche
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Sujet: Re: what goes around comes around ₪ andrea Mar 9 Avr - 19:30
Rebienvenue.
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Sujet: Re: what goes around comes around ₪ andrea Mar 9 Avr - 23:04