Sujet: LEO → tu m'aimeras jusqu'à ce que je te dise stop. Lun 8 Avr - 20:39
FEAT. Cara Delevingne
Léonne "Léo" Desrosiers
16 ans → Né(e) à Rennes le 01/10/1996 → Etudiante & Dealeuse célibataire → non-sexuelle → membre des Rebels.
And who am i ?
★Quelles sont tes caractéristiques? → Physique : Léonne est une adolescente pouvant passer de l’enfant à la femme en quelques secondes sans la moindre difficulté ce qui rend son âge particulièrement difficile à devenir. Blonde aux yeux clairs, elle saura faire tourner plus d’un regard et elle le sait. Exempte de toutes particularités physiques, elle n’a ni tatouage ni piercing hormis des boucles d’oreilles. Doté d’un charme certain plus que de beauté même, dans le cadre de son travail d’appât, elle sait user de ses charmes pour parvenir à ses fins pourtant, en dehors du cadre professionnel, elle ne semble pas se rendre compte de son réel pouvoir de séduction.
→ Profession : Voyons, une gamine de seize ans ne travaille pas, si ? Ben si. Emancipée et percevant des dommages et intérêts suite au procès de son beau-père, la jeune fille continue à aller à l’école en revanche, dès le soir venu, elle troque sa tenue de lycéenne pour entrer dans la peau d’un appât humain. Son job est simple : elle doit attirer les clients pour leur vendre la drogue produite par son mentor et pourquoi pas, les rendre accro. Avouez que vous ferez davantage confiance à une innocente jeune femme qu’à un dealer miteux ? Erreur.
→ Habitudes : Léonne vit dans le Bronx en collocation avec son fournisseur pour qui elle travaille, ils ne sont pas en couple mais tout laisse à y croire. Léonne aime bien fumer mais n’en abuse pas et sinon, elle adore boire de l’alcool mais seulement si on le lui offre, le verre. Elle boit souvent donc. Elle a la fâcheuse manie de se mordiller les cheveux quand elle est nerveuse et n’éteint jamais sa cigarette quand elle la jette. Bizarre petit chose, elle adore prendre le métro la nuit.
→ Son vilain petit secret : Malgré sa profession et son attitude ambiguë, Léonne ne laisse jamais personne la toucher, elle mène la danse et si elle veut vous embrasser ou vous toucher elle le fera, en revanche, vous aurez beau essayer la mettre dans votre lit, cette dernière vous repoussera inlassablement. C’est très simple, elle n’a jamais fait ‘l’Amour avec qui que ce soit. Certes elle n’est pas vierge mais pour elle, le sexe n’existe pas. Alors bonne chance à vous messieurs.
★Quel est le caractère de ton personnage? Enigme à elle toute seule, Léonne fait partie de ces personnes qui vous paraîtront surréalistes, comme venues d’une autre planète, une autre galaxie même, le genre de personnes qui marqueront votre esprit par leur bref passage dans votre vie, laissant derrière eux un doute, un point d’interrogation qui ne trouvera jamais de réponse. Adolescente de seize ans, la petite française semble comme toutes les filles de son âge à première vue avec son humour et son autodérision lui étant propre, toujours prête à rire des autres mais surtout d’elle-même. Sa façon de s’exprimer vous fera sourire car elle seule est capable de vous trouver ces vieilles expressions que plus personne n’utilise ou ces blagues totalement nulles que même Carambar a recalées. Le pire, c’est qu’elles la font rire (les blagues). On dit cependant que l’humour appartient aux gens d’esprit et en effet, Léonne est une jeune femme intelligente prête à vous mettre la raclée de votre vie en calcul mental ! En effet, dotée d’un esprit matheux, les chiffres n’ont aucun secret pour elle tout comme les formules de physique-chimie e revanche, demandez-lui une rédaction et elle vous fera un hors-sujet total. Dissipée, il est difficile de la contrôler ou même de tenter de la cadrer tant elle part loin dans ses délires, à vrai dire il n’y a personne avec suffisamment de poigne, d’autorité et de justesse pour lui prendre la main et lui indiquer quelle direction prendre dans sa vie, en revanche il semblerait que seule la force puisse la canaliser. Coincez la contre un mur, bloquez lui les bras et enfin elle se calmera (Si vous êtes policier, assurez-vous au moins qu’elle ait commis un crime pour lui infliger ce traitement car elle ne supporte aucune injustice et vous rendra chaque coup, quitte à finir édentée et dans le coma. Tête brûlée, elle n’a peur de personne et ose s’attaquer à n’importe qui, allant jusqu’à provoquer les pires roublards du Bronx, par principe ou par pure provocation. Elle a justement ce côté rebelle au fond d’elle, un besoin d’adrénaline permanent, elle se met volontairement en danger en s’attaquant à plus fort qu’elle rien que pour ressentir cette boule au creux de son ventre et entendre sa petite voix lui susurrer que cette fois, elle était allée trop loin. Et pourtant à peine sortie d’affaire, elle se remet la tête sous l’eau jusqu’à se noyer. On peut d’ailleurs parler de masochisme à ce niveau car il semblerait qu’elle soit incapable de vivre des relations saines, non avec Léonne, il faut qu’il y ait un rapport de force, dominez là, sinon elle vous écrasera et croyez-le, elle en est capable. Dotée d’une autorité naturelle et d’un égocentrisme frisant la taille d’une planète, elle ne doute jamais d’elle-même et de ses raisons et ce même si elle a tort. On dit toujours que l’extrémisme n’a jamais rien de bon et hélas, Léonne fait partie de ces gens fonctionnant au quitte ou double, vous l’aimerez ou la détesterez mais quoiqu’il en soit, elle ne vous sera pas indifférente car justement, cette fille ne passe pas inaperçue…si elle daigne d’ouvrir la bouche ! Car il s’agit d’un autre de ses traits de caractère : Elle est d’une indifférence totale au monde qui l’entoure, seule les personnes attirant son attention auront l’immense (dé)plaisir d’entrer dans le monde fabuleux de Léonne Desrosiers. Toxique, sensationnelle…et brisée. Voilà les mots qui vous viendront à l’esprit en la décrivant car malgré son apparent fort caractère, les plus intelligents comprendront que la vie de cette fille n’a pas été rose, que son caractère étrange n’est qu’une forteresse derrière laquelle elle se cache et se protège. Alors pour ne pas souffrir du fait des autres, elle se fait souffrir elle-même. Dernier point non négligeable de la jeune femme : son ambiguïté permanente. Jamais vous ne saurez ce qu’elle pense réellement de vous mais soyez sûrs d’une chose : Si vous faites partie de son monde, c’est que quelque chose en vous a attiré son attention. A vous de voir si cela est une bonne ou une mauvaise chose.
my little secret
★Ton prénom ou ton pseudo & ton age → Desroses. ★Comment es-tu arrivé(e) ici ? → Hum...par amour ? ★Ce personnage est-il un double compte ? → Un triple compte, à vous de trouver ★Présence sur le forum → Variable ★Personnage inventé ou scénario ? → Inventé ★Crédit images → Répondre ici.
Mon exemple de RolePlay:
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Magnus avait beau appeler Lysander, ce dernier mit longtemps à revenir à lui et le jeune homme dut mettre les grands moyens en œuvre pour obtenir l’attention de son ami et encore, il ne fut pas certain que ce dernier l’ait réellement entendu, ou du moins compris. A vrai dire, depuis leur petite fête et depuis l’intolérable agression de Seth sur le patronus de Lysander, ce dernier n’était plus pareil, comme traumatisé. Il l’était peut-être en fait car sa réaction avait été des plus impressionnantes quand Fog avait été écrasé dans la main de Serpentard. Seth. Tous leurs malheurs découlaient de lui, cet affreux personnage qui ne faisait que le mal autour de lui. Sincèrement, parfois il se demandait pourquoi il avait été accepté à Poudlard et s’il pouvait se faire exclure, cela ne pouvait que l’arranger. Personne n’avait pourtant parlé de ce qui s’était passé aux Trois Balais aux professeurs, personne n’avait avertir l’autorité du Château. Encore cette idée stupide que des jeunes sorciers pouvaient s’en sortir sans l’aide de personne. Complètement débile. Mais ce n’était qu’un reflexe ancestral : on ne mêlait jamais les adultes aux affaires qui ne les concernaient pas. Lâchant son ami de son étreinte devant son étrange regard, un regard totalement absent comme si Lysander s’était en allé, comme s’il n’avait à faire qu’à son enveloppe corporelle vie, tout juste en pilote automatique. Au fond, il aurait du demander à ce qu’il stoppe réellement le match, il aurait du l’obliger à abandonner la partie, il aurait du. Mais il avait eu l’esprit trop joueur, il avait opté pour la mauvaise option, laissant Lysander finir le match sans casse, le laissant seul avec des indications simples à retenir. Rester en vie. Easy. Ce n’était pas lui demander la lune, non ? Et persuadé que son ami se reprendrait un minimum, il l’avait laissé pour voler vers Roshario, la prévenir de ce qui se passait. Terrible erreur. Filant vers la capitaine, il ne fit pas attention à leur querelle de poursuiveuses bien qu’il lança un regard mauvais vers la vélane. Cette garce n’avait toujours pas digéré qu’il ait osé rompre quelques mois plus tôt et malgré leur bonne entente et leurs fréquentations pour le moins…intenses, de son côté il avait encore au travers de la gorge ce qu’elle lui avait fait dans les cachots. Il savait que c’était stupide, des gamineries mais il sentait encore le goût amer de la frustration après qu’elle eut déchaîné son pouvoir sur lui, pour…rien. Salope. Il aurait pu la tuer et aujourd’hui encore, il sentait une profonde animosité envers elle. Oui, Blackslistée. Il ne faisait pas bon d’être dans les mauvaises grâces d’un Sznjerdmann et s’il pouvait lui envoyer un cognard dans la tête pour effacer son foutu sourire victorieux, il l’aurait fait avec le plus grand plaisir. Il n’aurait qu’à accuser l’inefficacité de leurs batteurs, le puissant Samaël et l’agile Charlie. Quittant la garce du regard, il s’était alors approché de Roshario, stoppant son balai à quelques mètres d’elle mais le vent sifflait fort et sa voix fut recouverte par la brise. Alors qu’il lui répétait l’information d’une voix forte faisait ressortir son accent scandinave quand soudain elle écarquilla les yeux en regardant derrière son épaule. Son alerte fut hélas criée quelques secondes avant qu’un bruit sourd ne résonne dans son dos, aussitôt il se tourna sur son balai pour voir avec effroi Lysander tomber en piquet droit vers le sol, assommé par un cognard furieux. Son cœur rata un battement dans sa poitrine et aussitôt il oublia l’ensemble de la politesse qu’on avait tenté de lui inculquer donnant un coup dans on propre balai, de rage. « Merde !! » Toujours aussi classe et distingué dans son élocution mais Roshario ne sembla pas s’en soucier et aussitôt il chercha du regard qui était à l’origine de cette action sur son meilleur ami et ce fut sans étonnement qu’il vit Samaël esquisser un petit sourire, satisfait d’avoir touché l’un des leurs. En toute logique, Magnus aurait réagit exactement pareil s’il avait été à sa place mais cela n’était pas le cas et c’est Lysander qui était tombé, lui qui n’avait une nouvelle fois rien demandé à personne. Par chance, les matchs étaient toujours scrutés par certains professeurs prêts à intervenir pour éviter les chutes mortelles et même s’il chuta, Lysander ne se rompit pas l’ensemble des os. L’estomac tordu par la peur de le voir blessé ou pire, le Gryffondor s’élança au sol et sauta de son balai tandis que l’équipe médicale prit en charge Lysander, inconscient et salement amoché par le cognard. Ce dernier devait probablement avoir plusieurs fractures, le nez et lez pommettes. Par chance il existait un bon remède pour réparer les os mais tout de même, le pauvre devait souffrir le martyr. Se moquant bien du match, le Gryffondor se pencha au dessus de la civière, posant sa main sur sa poitrine pour vérifier s’il respirait toujours. « Lys !! » Quelqu’un l’empoigna pourtant pour le dégager de lui et libérer la voie. Furieux il allait s’en prendre à l’intrus quand il comprit qu’il s’agissait d’un des responsables médicaux. « On l’emmène à l’infirmerie, laisse passer, Sznjerdmann » lui fit le professeur qui prit en charge Lysander laissant un Magnus mort d’inquiétude sur place. Puis soudain, n’ayant plus rien à faire, il se tourna vers les autres joueurs à terre, n’ayant rien suivi de leurs affaires mais il senti une vive colère monter en lui et aussitôt il s’approcha de Samaël, la rage au ventre. Manque de chance, Roshario était déjà en train de passer les nerfs sur le batteur qui finalement, n’avait fait que son travail de batteur, mais voilà, il avait blessé Lysander et cela était intolérable aux yeux de Magnus : On ne touche pas à ses amis ou sa famille, et cela comptait également pour Roshario. Cette dernière redoubla de violence en bousculant Samaël ce qui n’eut que peu d’effet mais voir Roshario dans cet état était impressionnant et sans s’attarder, Magnus s’en mêla, bousculant Samaël d’un coup d’épaule, aveuglé par sa rage et son inquiétude. Il lui fallait un coupable et Samaël était tout désigné pour cela, après tout, n’était-il pas celui qui avait lancé le cognard ? Le foudroyant du regard il libéra toute sa haine, s’emportant bien plus que de raison et lui hurla dessus : « T’as pas vu qu’il n’allait pas bien ? T’as pas vu qu’il avait un foutu problème ! Merde ! Depuis quand on s’en prend aux blessés ? » Il aurait pu le cogner si Samaël ne s’était pas montré aussi calme, mais il n’avait aucune excuse, il avait été présent à la soirée, il avait vu Lysander s’écrouler à terre quand son patronus s’était fait écraser, il l’avait vu et pourtant, il l’avait malgré tout attaqué aujourd’hui. C’était sans compter l’intervention de la poursuiveuse de Serdaigle qui remit de l’huile sur le feu en s’y mêlant et prenant le balai de Roshario pour le lui balancer dans les bras, l’air furieuse, pour un peu elle semblait prête à sauter à la gorge de la capitaine et d’un geste protecteur (pour qui ? Lennon ou Roshario ? Difficile à dire tant elles étaient féroces) il barra le chemin de Roshario de son bras comme pour mettre une limite entre elles, furieux il se tourna pourtant vers la brune qui osa rouspéter pour le temps mort. « T’es conne ou quoi ? L’un d’entre nous a failli se faire tuer ! Tu crois quoi ? Qu’on va continuer comme si de rien n’était ? » lui cracha-t-il d’une voix qui n’avait plus rien de douce tant sa rage était palpable. Comment osaient-ils faire comme si de rien n’était alors que Lysander était en train de souffrir le martyr ? Magnus était tout simplement en train de disjoncter et l’ambiance électrique entre les joueurs ne faisait qu’exacerber cette colère qui l’habitait et quand les paroles qui se voulaient apaisantes d’Artémis lui vinrent aux oreilles, il se tourna vivement vers elle, envoyant paître la cohésion d’équipe. « Toi, ne t’en mêles pas ! » C’était complètement stupide car la pauvre n’avait fait que tenter de calmer le jeu et avait même prit la défense de Roshario mais le Gryffondor était bien trop remonté pour entendre raison. Un ricanement attira alors son attention et son regard incandescent se porta sur Perséphone non loin d’eux. Cette dernière lui sembla bien laide finalement et ses allusions aux capacités de Roshario ne lui plurent guère car si lui-même s’était permis de douter d’elle au départ, aujourd’hui il lui était inconcevable de laisser qui que ce soit en faire de-même. Il n’eut pas le temps de réagir que Roshario écrasa son poing sur le visage de Perséphone. Une droite digne de ce nom qui coupa le souffle a tout le monde semblait-il. Un petit rire mauvais le parcourut. Sa haine pour la blonde n’était qu’exacerbée par le Malaise régnant sur le terrain mais sur le coup, l’insulter lui fit du bien, elle qui avait osé se jouer de lui. Roshario allait à nouveau se jeter sur elle pour continuer ce qu’elle avait commencé mais avant qu’elle ne l’atteigne, il lui empoigna la taille avec force l’arrachant du sol avec une facilité déconcertante et se plaça devant elle sans lui lâcher la taille de ses bras puissants. « Ne fais pas attention à elle c’est qu’une p*te » lui glissa-t-il à voix basse mais suffisamment haute pour que la concernée l’entende. Il ne desserra nullement son étreinte tant qu’il n’eut pas échangé un profond regard avec elle, un regard de ceux qui se comprenaient et il n’en doutait pas, elle aussi en voulait à la terre entière, pour Lys, et pour l’équipe. Quel fiasco…
Le code règlement:
→ Ok par Hunter
Dernière édition par Léonne Desrosiers le Jeu 11 Avr - 0:46, édité 8 fois
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: LEO → tu m'aimeras jusqu'à ce que je te dise stop. Lun 8 Avr - 20:39
Well... It's my story...
L’enfance est probablement la plus belle période de vie qui soit, entre innocence et insouciance, comment pouvait-il en être autrement ? Un enfant n’a aucune conscience du danger qui l’entoure et encore moins de la triste réalité et pourtant, pour certains le conte de fée s’arrêtait bien plus vite que prévu. Léonne était de ces petites filles abreuvée de Disney rêvant de devenir une princesse une fois grande. Une petite fille rêveuse qui scrutait le visage de chacun de ses camarades de classe en recherche du prince charmant (et se fit inscrire aux cours de poney car il est bien connu que tous les Princes Charmants ont un cheval, il lui parut donc logique de trouver son Prince au club hippique du canton) et réclamait de belles robes à volants pour la faire virevolter jusqu’à en avoir le tournis. Elle demanda également à faire de la danse. Léonne mena donc une enfant heureuse entourée de ses deux parents cédant au moindre de ses caprices, après tout, Arthur Desrosiers, ingénieur Canadien avait suffisamment de revenus pour subvenir aux besoins (et exigences) de sa femme et sa petite princesse. Entre eux, une forte complicité s’était forgée et au fond, elle savait bien que c’était son papa son vrai Prince Charmant, dommage qu’il refusa d’acheter un cheval. Cette enfance heureuse dura près de six ans sans qu’il n’y ait le moindre accroc, la moindre difficulté ou turbulence. Non sa vie de princesse se déroula sans embuches et à cet âge-là, on lui disait encore que le père-noël était passé pendant sa sieste. Puis un jour, son monde bascula. Son prince charmant, le vrai, n’était plus. On l’avait cherchée à l’école au beau milieu de l’après-midi alors qu’ils étaient en plein exercice de calcul, on avait toqué à la porte et demandé à la maîtresse de venir un instant. Léonne avait levé la tête avec un grand sourire mutin pour copier sur son voisin mais remarqua bien vite qu’il avait tout faux puis, ils revinrent. La maîtresse et même le directeur. Avec une drôle de tête d’ailleurs. « Léonne ma chérie, tu peux venir avec M. Hemlot s’il te plait ? » Écarquillant les yeux, la petite princesse avait perdu ses couleurs et regardé à gauche et à droite d’un air paniqué. Quoi ? Promis juré craché elle n’avait rien fait ! Elle s’était alors levée avec l’envie de pleurer sans même savoir pourquoi, persuadée d’être punie. Mais une fois dans le bureau, personne ne la gronda, personne ne lui cria dessus, au contraire, M. Hemlot qui la terrifiait tant avec ses grosses lunettes se montra aimable et lui offrit une image. Un autocollant de poney. Puis soudain, sa mère Agnès avait surgit dans le bureau, le visage bouffi et les yeux rougis par le chagrin et d’un geste précipité, elle se jeta sur la fillette et la serra dans ses bras. « Oh ma puce, il est arrivé quelque chose à papa » C’est ce que Maman avait dit à Léonne mais aux yeux de la petite fille, Agnès Desrosiers aurait mieux faire de dire « Il est arrivé quelque chose à Léonne » voilà la vérité à laquelle l’enfant ne démordait. Voilà quelques temps que son père n’était plus et pourtant, jamais la fillette ne s’en remit réellement. Assise sur les marches de l’escalier de bois vernis, l’enfant observait de ses grands yeux noisette ces hommes qui leur dérobaient leurs meubles, lui adressant quelques sourires vains et autres coucous inutiles. Assise en tenant son vieux lapin en peluche dans ses bras, la gamine observait ces hommes en bleu travailler sans même sembler les voir, perdu dans un monde auquel les adultes ne pouvaient pénétrer. Elle ne comprenait pas ce qui se passait, elle ne comprenait pas pourquoi ces inconnus leurs prenaient ces meubles que Papa avait choisi avec tant d’amour du temps de son vivant. Non, elle ne comprenait pas pourquoi plus rien n’allait depuis qu’il était arrivé quelque chose à papa. C’était un accident de la route qui l’avait tué, même pas un crash aérien, une bombe nucléaire ni même une attaque de dinosaures, non, c’était juste deux voitures qui n’auraient jamais du se rentrer dedans qui l’avaient tué. Lui, son prince, son super-héro. Un verre de trop entre collègues après une conférence d’on-ne-sait-quoi et puis c’était la fin. Papa n’était pas immortel ni parfait. Il avait juste fait une erreur et en avait payé de sa vie. Alors on leur prenait leurs meubles. Léonne ne comprenait pas, ne comprenait plus rien, elle était trop petite. Soudain une main tendue vers elle avec un carambar. Elle leva ses grand yeux sur l’homme en bleu qui lui souriait d’un air gentil. « C’est difficile de voir la maison se vider, j’ai une fille de ton âge, elle aussi déteste les déménagements. » dit-il d’une voix douce. Une voix de papa. Mais ce n’était pas le sien et sans répondre, sans prendre la friandise, la fillette se leva et alla se réfugier dans sa chambre. Sa chambre tellement vide à laquelle même les murs avaient été dépouillés de leur âme laissant apparaître des carrés colorés là ou s’étaient trouvés ses anciens dessins. Maintenant on ne voyait plus que la tapisserie délavée par le soleil et carrés de couleur. Assise par terre, la fillette comptait les carrés, elle comptait tout le temps et tout. Combien de rectangles ? Combien de carrés ? Combien de trous de punaise ? Ses yeux voyaient loin. Maman se tenait à l’embrasure de la porte, elle l’avait entendue arriver et entendait sa respiration, elle ne mit pas longtemps à venir s’asseoir à côté d’elle. Silence. Une minute. Trois. A cinq Maman finit par briser le silence, elle n’aimait pas ça elle. « Ma puce, ça va aller, ne t’inquiète pas. Tu vas voir, tu seras heureuse à Paris. » Une voix rassurante qui glissa sur la fillette sans qu’elle n’y réagisse. Une minute. « Est-ce que Papa sera là ? » finit-elle par demander d’une voix neutre en posant son regard sur la fenêtre sans rideaux. Un petit soupire se fit entendre à côté d’elle, elle sentit l’haleine de maman. Elle avait fumé de la cigarette, Papa n’aurait pas aimé qu’elle fasse ça. « Non Léonne, tu sais bien que Papa est au ciel. » répondit-elle d’une voix peinée plongeant l’intéressée dans ses songes, comme perplexe. Léonne savait qu’il était mort et pourtant, elle demandait encore et toujours, le stade des « pourquoi » commun à tous les enfants semblait pourtant dépassé depuis longue date. « Est-ce qu’Alain sera à Paris ? » finit-elle par demander à nouveau, sur un même ton absent, mécanique. Ses doigts grattaient le front de sa peluche, nerveusement. « Oui ma chérie, Alain sera avec nous. » concéda Agnès avec un léger sourire au bord des lèvres, cela s’entendait au son de sa voix. La fillette tourna alors la tête vers sa mère et d’un ton monocorde exempt de toute émotion : « Alors je ne serais pas heureuse »
Ce n’était pas un bel appartement, il n’y avait pas les beaux meubles, il n’y avait pas les grandes baies vitrées ni même le jardin, ne songez même pas à l’air iodé du bord de mer. Non, Paris ce n’était que bruit, grisaille, pollution et soupe à la grimace. Léonne avait su qu’elle détesterait Paris, qu’elle ne serait pas heureuse. Maman l’était par contre, elle était heureuse et chantait. Maman allait se remarier et Alain deviendrait son nouveau papa, c’est Agnès qui l’avait dit. Léonne n’avait pas répondu et s’était simplement assise sur les WC pour regarder par la lucarne de la salle de bain, le monde de ses rêves était devenu son refuge depuis bien des années déjà. Le bonheur de sa mère la rendait malade et plus encore les allusions sur leur future petite famille parfaite et heureuse. Léonne le détestait, ce Alain. De toute son âme, de tout son cœur et parfois quand il lui passait la main dans les cheveux, elle avait envie de vomir. Alain c’était le nouveau Jules d’Agnès, un collègue à elle ou quelque chose dans ce genre, un homme qui faisait de grands sourire et qui offrait des tas de cadeaux à Maman mais Léonne ne l’aimait pas. C’était à cause de lui qu’ils avaient vendu la maison de Bretagne pour aller vivre dans ce petit appartement moche, c’est à cause de lui que Maman n’était jamais à la maison parce que lui, il ne travaillait plus et c’était à cause de lui qu’elle avait mal. Elle détestait son odeur, ces bruits dégoutants qu’il faisait avec sa bouche et plus encore quand elle sentait peau rugueuse sur elle et puis, ça faisait tellement mal qu’elle avait envie de crier, mais quelque chose se bloquait dans sa gorge, aucun son ne venait alors elle attendait, elle attendait qu’il reparte regarder la télé, attendait le retour de Maman qui lui demanderait comment a été sa journée, si ça avait été à l’école tout ça. Son lapin en peluche avait pelé depuis bien longtemps sur son front. Alors devant l’air ravi de Maman, Léonne se taisait encore, comme elle le faisait depuis toujours, de toute façon elle n’avait pas les mots pour raconter sa journée. Pas de mots pour raconter comment Alain était gentil.
Elle ne savait plus comment c’était arrivé, ni pourquoi on lui avait posé toutes ces questions, comme un trou noir dans sa mémoire. C’était à l’école et les professeurs se plaignaient de plus en plus de son manque d’attention, son changement de comportement passant des périodes d’absences mentales à celles de crises épouvantables quand quelqu’un avait le malheur de la toucher puis un jour, l’infirmière scolaire lui avait demandé si quelqu’un lui faisait du mal. Sans trop savoir pourquoi, Léonne avec hoché la tête d’un air perplexe, comme si elle se surprenait elle-même de répondre. Un sourire pincé était apparu sur le visage de l’infirmière quand elle demanda ce qui s’était passé. Question ouverte, Léonne resta muette et se mit à compter les stores derrière l’épaule de la bonne femme, cette dernière reprit alors d’une voix douce et reformula, est-ce que quelqu’un te fait du mal là. Des gestes, des mots et un nouvel hochement de tête de la fillette de neuf ans. Si elle avait su ce qui arriverait alors, elle aurait continué à compter. Elle ne se rappelait plus très bien mais on l’emmena à l’hôpital pour vérifier son « là » meurtri et la vérité éclata au grand jour. On lui prit la main et on l’emmena quelque part alors que Maman arrivait complètement paniquée, lui criant de dire la vérité, de dire qu’elle mentait. A partir de ce jour-là, Maman était morte à son tour à ses yeux d’enfant déboussolée, mais Maman n’alla pas au ciel comme Papa, non Maman resta bien sur Terre, l’enfer de Léo. Placée dans un foyer puis dans une famille aimante, Léonne changea pourtant peu à peu, se terrant dans son monde parallèle en méprisant son entourage, ces gens qui faisaient semblant d’être heureux, ces gens qui feignaient de l’aimer alors qu’elle ne les connaissait même pas. L’enfant Lune ne se transforma pas en monstre du jour au lendemain mais son attitude devint pour le moins étrange, comme une alien parmi les gens sains, ou alors une humaine parmi les fous, elle ne savait plus trop. On ne la violait plus et pourtant, sans la douleur sa vie lui parut monotone, ne dit-on pas qu’on n’apprécie que davantage les bonnes choses une fois les mauvaises passées ? Ainsi Léonne entreprit d’achever ce que son beau-père lui avait fait en se blessant elle-même. Tous les moyens étaient bons, coupures à la lame de rasoir, brûlures aux flammes de bougies ou à l’eau bouillante, plus d’une fois elle fut surprise en train de s’appliquer le fer à repasser sur la peau, lui tirant d’énorme larmes sans qu’elle ne puisse stopper cette folie. On la renvoya de plusieurs familles qui ne pouvaient plus supporter cette odeur de chair brûlée ou ces traces de sang sur ses tissus. Les psychologues eux-mêmes étaient impuissants face à cette surprenante dépendance à l’endorphine. A douze ans, Léonne en était déjà à sa sixième famille, oh elle n’était pas de ceux qui enchainaient les bêtises, non l’enfant était extrêmement polie si ce n’est sa fâcheuse tendance à ne communiquer qu’épisodiquement avec le monde qui l’entourait. Autisme ? Absolument pas, aucuns troubles mentaux ne furent détectés. C’est alors qu’elle fut placée dans une petite famille de bourgeois dans Paris. Expérimentés, l’attitude de Léonne ne les effrayait pas et puis, ils avaient un autre gamin en charge, un gamin qui volerait bientôt de ses propres ailes : Maxime Lione. Au départ, Léonne resta fidèle à elle-même, c’est-à-dire totalement indifférente et hermétiquement fermée aux contacts, après tout avec ses dix-huit ans, il ne venait pas de la même planète ! Ils étaient bien différents l’un de l’autre, elle enfermée dans sa bulle et lui prêt à exploser de colère à la moindre contrariété, leurs dimanche après-midi étaient bien joyeux quand le jeune homme se mettait dans une colère noire en hurlant contre ces « parents » qui n’en étaient pas alors qu’elle, assise par terre, continuait son dessin comme sourde aux cris et insensible aux objets qui volaient. Un jour pourtant, Maxime fit son entrée dans le monde de Léo, bien malgré lui d’ailleurs. Léonne s’occupait sagement seule dans sa chambre, posant la lame du canif sur son bras pour finalement le laisser fendre sa peau qui se recouvrit aussitôt de sang d’un rouge profond. Un gémissement lui échappa des lèvres quand il apparut sur le seuil de la porte avant de se précipiter vers elle. Il tenta de lui retirer le couteau des mains et empoigna la lame à pleine main, coupant profondément sa paume alors que Léonne, toujours assise à terre l’observait d’un drôle d’air. Comme si, après des années à porter un voile devant ses yeux, l’avait brutalement retiré. Elle voyait Maxime pour la première fois et prit alors le temps de le détailler. Il y avait en lui quelque chose de grave et enfantin à la fois, un air typique de ceux à qui on avait volé l’enfance mais il y vit plus encore sans qu’elle ne puisse se l’expliquer et à partir de ce jour, il devint quelqu’un pour elle. A partir de là, son comportement vis-à-vis changea du tout au tout. Fascinée par ce garçon qu’elle considérait comme supérieur, elle le prit comme véritable modèle et ne le lâcha plus d’une semelle. Le pauvre, il ne pouvait plus faire un pas dans la maison sans la trouver assise dans un coin à l’observer sans rien dire, elle ne cherchait pas à entrer en contact avec lui pourtant, elle avait simplement besoin de lui dans son monde repoussant toujours plus loin les limites qu’il tentait de lui imposer. Un jour pourtant tout bascula quand, innocente qu’elle était, elle vint se glisser sous ses draps, réveillée par un nième cauchemar, de ces cauchemars qui l’empêchaient de fermer les yeux, ces cauchemars qui la plongeaient plus profondément que jamais dans son monde qui ne parvenait plus à la rassurer. Alors quelle autre solution que de trouver celui avec qui elle se sentait en sécurité ? C’est donc à pas de loup qu’elle avait rejoint sa chambre, se faisant une place sous ses couvertures pour finalement se blottir contre son corps chaud et rassurant. Maxime ne tarda pas à se réveiller et constater avec horreur la tête brune enfouie contre son torse alors même qu’il ne portait rien sur lui. Il s’était vivement reculé et pourtant, elle ne se laissa pas décourager pour autant, inconsciente du problème épineux du jeune homme se retrouvant nu, au lit avec une gamine de douze ans elle-même tout juste vêtue. Il prononça pourtant un mot de trop, un mot qui lui rappela soudain son cauchemar et inexplicablement, elle le repoussa subitement avec une telle violence qu’il en tomba du lit. De quoi alerter leurs parents qui en tirèrent bien hâtivement leurs conclusions. Quelques semaines plus tard, Maxime s’en alla, laissant derrière lui une Léonne déboussolée, elle qui n’avait cherché qu’une présence rassurante.
Leurs chemins se séparèrent ainsi…pour mieux se recroiser quelques années plus tard ! Toujours plus marginale, Léonne qui n’était plus une enfant avait enchainé les familles sans jamais parvenir à s’attacher ou s’adapter à leur mode de vie, trop aimants, trop cadrés. Comment aurait-elle pu se sentir bien dans ce monde posé et cosy alors qu’elle même n’était plus qu’une âme détruite ? C’était pourtant par un réel hasard qu’elle retomba nez à nez avec celui qui l’avait tant fascinée alors qu’elle n’était qu’une enfant. Elle était sortie de chez elle pour traînasser dans les rues parisiennes sans savoir ou aller, s’asseyant sur un banc comme commandée mais jamais récupérée quand elle le vit. Toujours aussi beau et nonchalant, marchant droit vers elle. Elle n’était pas sure qu’il l’eut reconnu trop perdu dans ses pensées et elle ne bougea pas non plus le fixant néanmoins de son regard franc. Il releva le visage sur elle et eut le plus formidable arrêt sur image qui soit. Que s’était-il passé dans son esprit à ce moment là ? Elle n’en savait rien et ne lui avait jamais posé la question mais s’était sentie comblée de joie quand il s’était assis à ses côtés, laissant un long silence s’installer. Une minute. Cinq. Il brisa le silence en premier et de fil en aiguille, les mots jaillirent de leurs lèvres sans qu’ils ne puissent plus se taire. Au fond, jamais ils ne s’étaient oubliés et leurs retrouvailles les euphorisèrent. Assez pour qu’il passe le bras autour de ses épaules et lui annonce qu’elle viendrait avec lui désormais, qu’il s’occuperait d’elle comme elle le méritait. Que s’étaient-ils dit avant ? Eux seuls le savent. Et depuis ce jour là, il n’y eut plus de Maxime sans Léonne ni de Léonne sans Maxime. Un lien étrange les unissait, un lien suffisamment puissant pour que Léonne ne se pose jamais de questions sur la précipitation du jeune homme le jour ou il annonça qu’ils quittaient Paris pour New-York.
Dernière édition par Léonne Desrosiers le Ven 12 Avr - 0:15, édité 12 fois
Sujet: Re: LEO → tu m'aimeras jusqu'à ce que je te dise stop. Lun 8 Avr - 20:43
Bienvenue
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Sujet: Re: LEO → tu m'aimeras jusqu'à ce que je te dise stop. Lun 8 Avr - 20:59
Welcome !
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Sujet: Re: LEO → tu m'aimeras jusqu'à ce que je te dise stop. Lun 8 Avr - 21:05
Re-bienvenue poulette.
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Sujet: Re: LEO → tu m'aimeras jusqu'à ce que je te dise stop. Lun 8 Avr - 21:23
J'ai un doute En tout cas re-bienvenue
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Sujet: Re: LEO → tu m'aimeras jusqu'à ce que je te dise stop. Lun 8 Avr - 21:28
Merci :brigitte:
Je vous laisse deviner (J'aime toujours ce petit suspense )
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Sujet: Re: LEO → tu m'aimeras jusqu'à ce que je te dise stop. Lun 8 Avr - 21:32
Bienvenue sur le forum. =)
Cheyenne L. Pearson
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Sujet: Re: LEO → tu m'aimeras jusqu'à ce que je te dise stop. Lun 8 Avr - 21:42
CARA re-bienvenue darling !
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Sujet: Re: LEO → tu m'aimeras jusqu'à ce que je te dise stop. Lun 8 Avr - 22:12
bienvenue ici & bon courage pour ta fiche si tu as des questions n'hésite surtout pas & si tu as le temps tu peux passer sur la chatbox pour te familiariser avec les membres.
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Sujet: Re: LEO → tu m'aimeras jusqu'à ce que je te dise stop. Lun 8 Avr - 22:14
Que je suis douée
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Sujet: Re: LEO → tu m'aimeras jusqu'à ce que je te dise stop. Lun 8 Avr - 22:20
(c'est tout ce que j'ai à dire pour ma défense)
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Sujet: Re: LEO → tu m'aimeras jusqu'à ce que je te dise stop. Lun 8 Avr - 23:48
Bienvenue ici ! Ou re-bienvenue xD je ne sais pas.
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Sujet: Re: LEO → tu m'aimeras jusqu'à ce que je te dise stop. Mar 9 Avr - 1:11
Bienvenue et bon courage !
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Sujet: Re: LEO → tu m'aimeras jusqu'à ce que je te dise stop. Mar 9 Avr - 6:10
Re-bienvenue parmi nous Une fille, ça va faire changement
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Sujet: Re: LEO → tu m'aimeras jusqu'à ce que je te dise stop. Mar 9 Avr - 10:24
Une deuxième Cara Re-bienvenue sur le forum!
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Sujet: Re: LEO → tu m'aimeras jusqu'à ce que je te dise stop. Mar 9 Avr - 11:16
rebienvenue
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Sujet: Re: LEO → tu m'aimeras jusqu'à ce que je te dise stop. Mar 9 Avr - 12:10
Merci à vous tous :brigitte:
J'ai presque terminé
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Sujet: Re: LEO → tu m'aimeras jusqu'à ce que je te dise stop. Mar 9 Avr - 17:51
re bon choix d'ava ♥
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Sujet: Re: LEO → tu m'aimeras jusqu'à ce que je te dise stop. Mar 9 Avr - 18:54
Cara Bienvenue parmi nous la miss, amuse-toi bien parmi nous ! Bon courage pour le reste de ta fiche
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Sujet: Re: LEO → tu m'aimeras jusqu'à ce que je te dise stop. Mar 9 Avr - 19:20
Le pseudo est canon Bienvenue
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Sujet: Re: LEO → tu m'aimeras jusqu'à ce que je te dise stop. Mar 9 Avr - 19:32
Rebienvenue.
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Sujet: Re: LEO → tu m'aimeras jusqu'à ce que je te dise stop. Mar 9 Avr - 23:04
Bienvenuuuue
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Sujet: Re: LEO → tu m'aimeras jusqu'à ce que je te dise stop. Mar 9 Avr - 23:16
Bienvenue,
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Sujet: Re: LEO → tu m'aimeras jusqu'à ce que je te dise stop. Mer 10 Avr - 2:31
Bienvenue sur NYCL! Bonne chance pour ta présentation et amuse-toi bien ici!
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Sujet: Re: LEO → tu m'aimeras jusqu'à ce que je te dise stop.
LEO → tu m'aimeras jusqu'à ce que je te dise stop.