Sujet: HUGO A. ROSENBACH Ϟ if you close your eyes you see darkness. Sam 20 Avr - 17:50
FEAT. AARON JOHNSON
Hugo Adrian ROSENBACH
22 ans → Né(e) à New York le 21/07/1990 → étudie la psychologie célibataire endurci → hétérosexuel → membre des Rebels.
And who am i ?
★Quelles sont tes caractéristiques? →
Profil du suspect n°3, Hugo Adrian Rosenbach.
Prénom(s) : Hugo Adrian Nom : Rosenbach
Taille : 1,80m.
Poids : entre 65 et 70 kilos.
Couleur des yeux : bleu.
Couleur des cheveux : châtain.
Signes distinctifs : n’a pas de tatouages ni de piercings. Trop de cicatrices pour être comptées, environ une quinzaine, la plupart sur les bras. La plus importante se trouve sur son torse, celle-ci est due à un coup de couteau. Le suspect n’a pas donné plus de détails. Le jeune homme passe souvent la main dans ses cheveux lorsqu’il est nerveux ou stressé. Ceux-ci sont frisés et en bataille.
Habitudes vestimentaires : débraillé. Ses jeans sont troués, ils portent des t-shirts amples, avec des boutons ou sans ainsi que des chemises à carreaux. Porte des sneakers trouées et sales. “Shoes are boring, wear sneakers.” Il aborde une moustache ainsi qu’un bouc.
★Quel est le caractère de ton personnage? →
Andrew Peterson, un ami de la famille.
_ « Que pensez-vous de Hugo Rosenbach ? »
_ « Hugo ? C’est un garçon assez spécial… Il n’est pas très attentif au monde qui l’entoure. Je n’irais pas jusqu’à dire qu’il est égoïste mais il en est pas loin. Il n’est pas très… pas très saint. Il prend souvent de la drogue et fume comme un pompier. Il boit beaucoup de l’alcool aussi. Ses parents ne supportent ça. Ils disent que c’est la crise d’adolescence mais ça va faire six ans que ça dure. Ouais, il est comme ça d’puis ses seize ans. Il paraît que c’est l’âge pour commencer les conneries mais on dirait que lui, il a jamais arrêté… A vingt-deux ans, il vit tout seul et étudie la psychologie. Il aimerait être psychologue. D’après lui, il n’y a que les fous qui peuvent comprendre la folie des autres. Ce serait presque profond. Il n’est pas spécialement studieux mais ça reste un bon élève, il est… surdoué. Ouais, un vrai p’tit géni. Ses parents se vantent souvent de son Q.I qui est équivalent à celui d’Einstein d’après eux… »
_ « Le décrieriez-vous comme un garçon rusé ? Intelligent ? »
_ « Si il est rusé ? Ah ça oui. J’ai jamais vu un gamin aussi rusé que lui. Je le connais depuis qu’il est petit alors vous pensez bien que j’en ai vu des vertes et des pas mûres par sa faute… Un vrai petit farceur et puis, après la mort de son oncle… Ses blagues ont commencé à être de plus en plus drôles pour lui mais beaucoup moins pour ses amis et sa famille. Certaines étaient même dangereuses. Et beaucoup trop bien organisées pour un garçon d’à peine 11 ans. Il était gentil avant. Maintenant, il est vicieux, rusé, froid et peu accueillant… Un vrai déchet d’après son frère aîné. »
_ « Il a un frère ? Est-ce qu’il s’entend bien avec lui ? Avec ses parents ? Sa famille en générale ? »
_ « Oh… Non. Il ne s’entend pas vraiment avec ses parents et encore moins avec son frère. Il le considère comme un obstacle. Et ses parents… J’ai l’impression qu’ils les détestent sans vraiment le détester. Comme si il essayait de tous nous troubler, de nous faire croire quelque chose alors que non. Il est impossible à cerner vous savez. Je n’ai jamais réussi. Quand il était petit, c’était beaucoup plus facile. »
_ « Merci beaucoup pour votre patience et votre aide. »
_ « Je vous en prie, c’est normal de vous aider. Mais malgré tout ce que je vous ai dis, je ne sais pas s’il est coupable… Il est instable mais de là à frapper quelqu’un, je ne sais pas… Allez interroger son ex-petite-amie, Andrea, elle devrait vous renseigner je pense. »
Andrea Anderson, ex-petite-amie du suspect.
_ « Que s’est-il passé entre Hugo Rosenbach et vous ? »
_ « Je suppose que si j’suis ici, c’est parce qu’il a encore fait une connerie. Ce qu’il s’est passé ? C’est mon ex-petit-ami, on est resté quelques mois ensemble. Assez pour que je tombe amoureuse de ce crétin… »
_ « Il vous a quitté ou vous l’avez quitté ? »
_ « Je l’ai quitté. J’en avais marre de vivre avec un déchet. Après trois mois de relation, il s’est ramené chez moi avec ses valises parce qu’il venait de se faire virer de son appartement. Soit disant qu’il avait pas payé de son loyer depuis quelques mois mais c’est un gosse de riche alors je penche plutôt pour le fait qu’il faisait trop de bruits et qu’il était bordélique et chiant. »
_ « Vous pensez donc qu’il vous a mentit ? C’est un garçon fidèle et honnête d’après vous ? »
_ « On parle bien d’Hugo là ? Ce n’est pas un garçon fidèle et encore moins honnête. Il n’arrête pas de mentir. C’est un de ses nombreux talents vous savez. Il a passé sa vie à me mentir, je vous jure. Et puis, en ce qui concerne la fidélité… J’ai déjà retrouvé des culottes qui ne m’appartenaient pas. C’est un pas un sentimentale et il rentrait souvent bourrer et totalement défoncé. Un bad boy dont on tombe amoureuse quoi. Il plaît aux filles et il en profite. »
_ « Il est comment en couple ? Plutôt calme et posé ou il ne change rien à ses habitudes, il reste le même ? »
_ « Je le connais depuis le lycée. C’est à cette époque qu’il est partit en couille. Je ne sais pas pourquoi, j’étais pas vraiment proche de lui à cette époque. On s’est rapproché à une soirée y’a un an environ. Il m’a embrassé. Au début de notre couple, il était… adorable, gentil et attentionné mais il sortait quand même le soir, souvent même. Il revenait bourré et là, c’était plus la même chose. Puis à un moment, il a commencé à être bourré même en étant sobre. »
_ « Est-ce qu’il vous a déjà frappée ? »
_ « C’est peut-être un con idiot et égoïste mais il a jamais frappé qui que ce soit. Pas que je sache. Il ne m’a jamais frappé en tout cas. Il est rarement violent. Il est plus diplomate, il aime frapper mais seulement avec les mots… Après, je l’ai pas vu depuis quelques mois, il a probablement changé. Il aime déléguer aussi. Il a pas envie de se défigurer dans des bagarres inutiles mais bon… comme je l’ai dis plus haut, il a peut-être changé. »
_ « Apparemment, il aurait effectivement changé. La dernière fois que nous l’avons vu, il était plein de bleus et d’égratignures. En tout cas, merci beaucoup pour avoir répondu à nos questions. »
_ « C’est normal. J’espère que ça ira. »
Dernière édition par Hugo A. Rosenbach le Sam 20 Avr - 21:59, édité 12 fois
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Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: HUGO A. ROSENBACH Ϟ if you close your eyes you see darkness. Sam 20 Avr - 17:50
Well... It's my story...
Je n’aime pas parler d’moi, je n’aime pas parler d’ma vie mais je suppose que je n’ai pas le choix. Je ne sais pas si c’est une histoire banale, originale ou à dormir debout mais j’la raconte quand même. Comme ça, si un jour j’crève, vous vous souviendrez tous de moi. « Hugo ? Ah ouais, c’est l’mec qui a écrit toute sa vie sur les murs des chiottes d’un bar dans le Bronx… » Alors voilà ma vie. C’pas grand-chose, juste les trucs qui m’ont marqués. Et puis si un jour j’ai envie d’pisser et que je suis défoncé, que j’me souviens plus de ce qui je suis, j’aurais d’la lecture et j’me dirais : « Il est con ce mec ou alors il était constipé… »
Le 11 Septembre 2001. Tous les Américains se souviennent de c’jour là… Toute la planète même ! C’était un putain de beau bordel. J’devais avoir onze ans quand ça s’est produit… Ouais, c’est ça, j’avais onze ans. J’pense que j’vous apprends rien en vous disant que des tonnes et des tonnes de personnes sont mortes ce jour-là ? J’vous apprends rien. J’ai eu d’la chance, mon père ne bossait pas, ma mère non plus. Mon père, c’est un célèbre avocat. Ma mère, c’est une cardiologue réputée. Rosenbach, c’mon nom de famille, ça fait un peu péteux coincé du cul quand j’y pense. Ca va bien à mon père. J’ai un frère, Andrew, quel fils de pute c’lui là. Monsieur réussit dans la vie donc Monsieur est celui que tout l’monde aime. Célèbre écrivain mais j’peux vous dire un truc : ses livres me servent à m’torcher le cul quand j’ai plus de P.Q. Ouais, bref, revenons à nos moutons. 11 septembre 2001, des gens morts, blablablabla. Mon oncle était pompier. Il a voulu sauver des gens c’jour-là… Il y est passé aussi. Fin de l’histoire, on tourne la page et on oublie tout. Je sais pas pourquoi, j’ai jamais pu. Probablement parce que j’aurais préféré que ma mère trompe mon père avec lui et que je sois son fils. Ouais, je l’ai toujours considéré comme mon père. J’étais beaucoup plus proche de lui. Il était courageux mais aussi un peu con. Il était incapable de mesurer les risques. Il aurait donné sa vie pour une personne qu’il ne connaissait pas et c’est c’qu’il a fait… J’sais pas si c’est du courage ou de l’inconscience. J’lui en ai jamais voulu, il faisait son boulot. Putain d’boulot de merde mais il le faisait. Il avait pas de femme, pas d’enfant, il avait à peine trente ans. J’aurais aimé le connaître plus. J’ai pas pu. J’aurais tout donné pourtant. Hé, Dieu, si tu lis ça un jour : prends nous Justin Bieber et rends moi mon oncle, s’il te plaît. Non j’déconne, j’ai rien contre le mécheux. C’pas mon style de musique, c’tout… Ouais, je crois que c’est un des événements qui m’a l’plus marqué. Tout l’monde pense que c’pour ça que j’suis comme ça. J’sais pas. Ça a peut-être joué un rôle.
L’adolescence. Cette période bien pourrie d’la vie. Putain, qu’est-ce que j’ai détesté être un adolescent. Les boutons, les poils, les meufs. J’ai jamais été un grand romantique vous savez. Pour moi l’amour, c’était plus qu’abstrait. J’ai jamais été vraiment amoureux. Ah, si, peut-être une fois. Putain, je me souviendrais toujours d’elle. J’pense qu’elle a été mon premier amour. C’était une Parisienne. On sait tous à quel point les Françaises sont jolies. Elles ont ce charme que les Américaines n’ont pas. J’peux vous dire que ma Parisienne, Louise de son prénom, c’était la plus jolie de toutes les filles que j’ai jamais croisé. C’que j’foutais à Paris ? J’ai été en maison d’accueil pendant quelques temps chez elle. Un voyage pour apprendre la langue. C’était au lycée, j’avais environ seize ans. C’était un peu que j’devienne ce que je suis actuellement. Dès que je l’ai vu, j’ai su qu’il fallait qu’elle soit à moi. Elle n’a pas résisté longtemps à mes avances et nous sommes restés ensemble toute la durée de mon séjour. J’étais dingue de cette fille. Je pense que si je la revoyais… Elle m’en foutrait une. Je la mériterais. Je suis repartit à New York et… on s’est écrit des lettres. Puis le livre de mon frère a commencé à bien marcher. Il en a vendu des milliers d’exemplaires. Un best-seller. Tout le monde faisait attention à lui et moi, j’étais le raté de la famille, le sale gosse qu’on oublie quand y’en a un plus talentueux. J’ai commencé à partir en couille. Je sortais, je fumais, je me droguais, j’revendais, je m’en foutais. J’ai arrêté d’écrire à Louise. J’voulais pas qu’elle se rende compte que son petit-ami était devenu un véritable monstre, un putain d’connard. Elle a arrêté de m’envoyer des lettres. Je me souviens de ce que ça m’a fait, cette absence, l’oubli, le cœur qui s’déchire après s’être embrasé pour un amour impossible. J’ai connu d’autres filles après mais j’étais bien trop con pour les garder, pas assez fidèle pour me contenter d’une seule jolie blonde. Il me les fallait toutes. J’ai eu mon diplôme, j’me suis cassé de chez moi, mes parents m’ont limite payé pour que j’me casse. J’supportais plus d’vivre avec eux, de les entendre m’appeler pour me dire à quel point mon frère était génial. Cet enfoiré.
Premier délit. J’ai volé de nombreux cœurs, c’est un fait. Mais j’ai pas volé que ça. J’ai volé des montres, des portes-monnaies. Que des petits trucs sans importance. Et puis un jour, j’ai décrété qu’il m’en fallait plus. C’comme ça que j’me suis retrouvé dans une affaire bizarre. Un putain d’réseau de malfrats en tout genre. Dealeurs, voleurs, assassins. Y’avait d’tout. J’avais qu’à choisir la branche dans laquelle j’voulais exercer. Au début, j’ai essayé d’être un dealeur, histoire de me faire de l’argent dans l’dos de papa et maman mais il s’est avéré que les clients, j’avais plus envie de leur foutre mon poing dans la gueule et de garder la marchandise pour moi. J’ai raccroché au bout d’un mois. Ensuite, j’ai essayé d’être un voleur mais là non plus, j’suis pas très doué. Je suis pas ce qu’on appelle une personne discrète, j’suis fort, pas discret. J’ai essayé de voler quelque chose quelque part et j’me suis rapidement retrouvé au poste de police. Ce fut la fin de ma carrière. Et là, j’suis tombé sur le bon truc. Ah non, je suis pas devenu assassin. J’ai monté mon propre réseau de vol. J’me suis rendu compte que je préférais être le cerveau de l’opération, le mec qui dit quoi faire, le leadeur. Je suis rapidement devenu connu à NYC, j’ai pas encore de surnom et j’songe à me faire appeler « X » parce que les nombreux psychologues m’appelaient « le cas x ». Un cas qu’ils n’arrivaient pas à résoudre tant il était complexe. J’ai jamais tué personne. J’ai déjà blessé gravement, en étant sobre ou non mais je l’ai toujours fait proprement. J’ai jamais laissé de traces.
Vous savez, j’suis un mauvais garçon, c’vrai. Mais je suis pas aussi con que j’en ai l’air. J’ai un Q.I aussi élevé que celui d’Einstein et je sais m’en servir. J’aimerais devenir psychologue et vous savez pourquoi ? Parce que j’me suis rendu compte que seul les fous peuvent comprendre la folie des autres.
my little secret
★Ton prénom ou ton pseudo & ton age → Je m'appelle Amandine, pour les intimes c'est Jean-Pervers (J-P pour mes clients) et j'ai 16 ans. ★Comment es-tu arrivé(e) ici ? → En ouvrant Google Chrome. C'est ma chérie qui m'a ramené ici. ★Ce personnage est-il un double compte ? → Absolument pas. ★Présence sur le forum → Je vais essayer de venir tous les jours. ★Personnage inventé ou scénario ? → Il est totalement inventé. ★Crédit images → swan & tumblr.
Mon exemple de RolePlay:
« Calme-toi, Charlie. Sèche tes larmes. »
Tu n’y arrivais pas. Tu pleurais, comme tous les soirs depuis ta tendre enfance. Tu n’étais pas une personne que l’on pouvait qualifier d’émotive, tu étais juste différente des autres. Tu essayais de cacher ce qui faisait de toi une bonne personne, tu essayais de disparaître pour ne plus jamais avoir à souffrir. Malheureusement, la vie ne se passe pas ainsi. Tu n’avais pas de cape d’invisibilité disposition. Tu aurais voulu être Charlie Evenwell mais tu n’étais que cette fille, débarquant de nulle part, intriguant tous les élèves et qui passaient ses nuits à pleurer, en silence, dans la salle commune pour ne pas gêner tes camarades de chambre. Tu ne te sentais pas à place. Jamais tu ne t’étais sentie à ta place. Tu n’étais pas comme eux. Tu n’étais pas dans ce que certains pouvaient appeler la « norme ». Tu te contentais d’ignorer les remarques des autres élèves de l’école mais tout cela te pesait. Ici, tu n’avais pas d’amis. Tu avais toujours été seule. La solitude était ta meilleure-amie, l’ignorance était une personne dont tu ne pouvais plus te passer. Elle te permettait d’avancer quand la solitude t’en empêchait, elle te permettait d’affronter les autres. Pourtant, ce soir, tu étais seule. Tu n’avais que Freki. Depuis son apparition, tu te sentais soulagée. Il était ton plus proche ami. Malgré sa petite taille lorsqu’il était en Kiwi, tu te sentais protégé. C’était un être exceptionnel, comment se passer de lui ? Il t’était impossible d’envisager la chose. C’était beaucoup trop douloureux. Tu ne voulais plus être cette fille là, celle qui, quoi qu’elle fasse, n’arrivait à rien dans la vie. Tu avais de grands pouvoirs, tu en avais conscience mais tu ne savais pas comment les exploiter. C’est pour cette raison que tu te contentais simplement de faire apparaître des oiseaux, assise devant la cheminée de la salle commune, blottie contre Freki, ton patronus qui pour l’occasion, s’était transformé en chien loup, sa deuxième forme. Baguette à la main, les larmes aux coins des yeux, tremblant, tu observais les volatiles, écoutant les conseils avisés de ton patronus. Tu ne devais pas pleurer, il te l’avait interdit. Il te comprenait mieux que quiconque. Il était comme le jumeau que tu n’avais jamais eu. Tu n’étais plus capable d’avancer sans lui désormais. Te blottissant un peu plus contre lui, tu posas ta main libre sur son ventre, le caressant doucement, calant ta respiration sur la sienne. Etrangement, il était l’une des seules personnes à t’apaiser. Il était la seule. Il était ta moitié. Sans lui, tu n’étais plus rien… Tu n’étais plus que Charlie, la petite fille craintive qui n’osait pas sortir de ses draps, de peur de ce que le monde extérieur pouvait te réserver. Grâce à Freki, tu avais appris à vivre. Ce n’était pas encore la perfection, tu pleurais toujours, tu avais toujours ses envies que personne ne pouvait comprendre, tu entendais toujours ces voix qui te répétaient inlassablement des choses que tu ne voulais pas entendre, tu faisais encore ces crises qui te faisaient penser que tu n’étais pas une personne dite normale.
Les oiseaux volaient en silence. Parfois, un battement d’aile venait rompre celui-ci mais cela ne durait pas bien longtemps. Une fraction de seconde pendant laquelle le temps semblait recommencer. Le temps. Tu en avais toujours eu peur. Oui, tu avais toujours eu peur de grandir, peur de l’avenir. Et tu avais eu bien raison jusque maintenant. Il était une heure du matin, seulement. Comme toutes les nuits à cette heure là, tu te levais et tu allais pleurer doucement, en silence. Freki s’inquiétait pour toi et tu ne l’écoutais pas, tu ne semblais pas vouloir en parler malgré l’insistance dont il faisait preuve. Tu te renfermais, fuyant tes problèmes au lieu de les affronter. Ils étaient trop nombreux pour que tu puisses les combattre, trop compliqués pour que tu puisses les comprendre. Tu étais impuissante face à toi-même. Tu te sentais inutile, tu n’avais pas l’impression que ta place était dans ce monde. Tu n’étais pas vraiment une personne heureuse. Non, tu ne l’étais absolument pas. Ta vie se résumait au mot malheur. C’était triste mais tu n’y pouvais rien. Perdue dans tes pensées, tu n’entendis pas ce garçon descendre les escaliers. C’est lorsqu’il s’approcha, faisant craquer une lame du plancher que tu remarquas sa présence. Surprise et inquiète, ta baguette fut plus rapide que toi.
« OPUNGO ! – crias-tu. Les oiseaux se dirigèrent vers le jeune homme, le clouant au mur à l’aide de leurs becs. La situation était comique et pourtant, les larmes coulaient le long de tes joues tandis que Freki grognait contre l’inconnu, le pelage hérissé. – Ne… ne m’approchez pas ! » Dis-tu, la voix troublée par tes sanglots. Stupide fille, voilà ce que tu te répétais sans cesse.
Le code règlement:
→ check par j.
Dernière édition par Hugo A. Rosenbach le Dim 21 Avr - 16:33, édité 9 fois
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: HUGO A. ROSENBACH Ϟ if you close your eyes you see darkness. Sam 20 Avr - 17:54
MON CHATOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOON :brigitte:
Sur ce, bienvenue -etpastouchet'esàmoi-
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: HUGO A. ROSENBACH Ϟ if you close your eyes you see darkness. Sam 20 Avr - 17:54
Sujet: Re: HUGO A. ROSENBACH Ϟ if you close your eyes you see darkness. Sam 20 Avr - 21:48
Bienvenue chez nous
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: HUGO A. ROSENBACH Ϟ if you close your eyes you see darkness. Sam 20 Avr - 22:00
Hilary Duff. J'adore cette femme ! Merci beaucoup.
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: HUGO A. ROSENBACH Ϟ if you close your eyes you see darkness. Sam 20 Avr - 22:32
Très beau prénom Amandine et très beau prénom de ton avatar bref je te kiffe toi
Bienvenue !!
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: HUGO A. ROSENBACH Ϟ if you close your eyes you see darkness. Sam 20 Avr - 23:44
Bienvenue parmi nous
Invité
Empire State of Mind
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Sujet: Re: HUGO A. ROSENBACH Ϟ if you close your eyes you see darkness. Sam 20 Avr - 23:46
Je DÉTESTE mon prénom (d'ailleurs je crois que c'est la première fois que je le lâche sur un forum) mais, merci ! AMBER, OH MON DIEU. Merci vous deux.
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: HUGO A. ROSENBACH Ϟ if you close your eyes you see darkness. Dim 21 Avr - 0:11
Aaaron Bienvenue parmi nous.
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: HUGO A. ROSENBACH Ϟ if you close your eyes you see darkness. Dim 21 Avr - 0:14
Meeeerci !
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: HUGO A. ROSENBACH Ϟ if you close your eyes you see darkness. Dim 21 Avr - 11:38
Aaron + un avatar de ma Swan ... bienvenue parmi nous
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: HUGO A. ROSENBACH Ϟ if you close your eyes you see darkness. Dim 21 Avr - 11:56
Bienvenue parmi nous
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: HUGO A. ROSENBACH Ϟ if you close your eyes you see darkness. Dim 21 Avr - 12:10
C'est pas le mec de Savages ? OMG Bienvenue sur le forum!
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: HUGO A. ROSENBACH Ϟ if you close your eyes you see darkness. Dim 21 Avr - 13:08
Bienvenue sur le forum et bonne chance pour ta fiche.
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: HUGO A. ROSENBACH Ϟ if you close your eyes you see darkness. Dim 21 Avr - 13:19
Tant d'amour ! Merci tout le monde ! :brigitte:
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: HUGO A. ROSENBACH Ϟ if you close your eyes you see darkness. Dim 21 Avr - 14:55
Bienvenue,
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: HUGO A. ROSENBACH Ϟ if you close your eyes you see darkness. Dim 21 Avr - 16:36
Merci ! :brigitte:
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: HUGO A. ROSENBACH Ϟ if you close your eyes you see darkness. Dim 21 Avr - 22:24
Je suis tout simplement amoureuse de ta manière d'écrire, de ton personnage, de touut. anyway je te prévalide donc avec plaisir, un admin passera sous peu pour t'ajouter à ton groupe. Bon jeu parmi nous.
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Sujet: Re: HUGO A. ROSENBACH Ϟ if you close your eyes you see darkness.
HUGO A. ROSENBACH Ϟ if you close your eyes you see darkness.