Sujet: Eduardo ▬ Be nice to people because nobody likes an asshole ▬ Sam 13 Avr - 16:27
Eduardo Milo GIL FEAT. DARREN CRISS
âge →26 ans Né à→ milan le →05/02/1988 Métiers → mannequin Études → diplômé d'une école de musique Statut → célibataire Orientation → bisexuel Groupe → artists
Quelles sont tes caractéristiques ?
→ Eduardo n’est pas le genre de garçon à rester dans la norme. Il se fiche totalement des stéréotypes et des regards des autres sur lui. Du moment que ce qu’il fait lui plaît à lui, et bien il n’y a aucun problème de son côté. Pour lui, le vernis à ongles n’est absolument pas réservé aux filles, tout comme des lunettes de soleil roses – lunettes qu’il possède depuis son adolescence et qu’il refuse de lâcher. Ni même l’eye-liner d’ailleurs, qu’il s’amuse à mettre de temps en temps. Ce petit côté hors-norme est même devenu un sujet de plaisanterie parmi ses proches, qui n’hésite pas à se foutre un peu de lui ou à lancer des paris pour voir jusqu’où il est capable d’aller. Et en général, c’est toujours lui qui gagne, car il n’a absolument aucune limite. La preuve en est, lorsqu’une fois, ses amis de lycée l’avaient mis au défi de passer une journée de cours entière sans porter ses lentilles ou ses lunettes. Dans la mesure où il est vraiment myope – mais vraiment, il commence à voir flou au bout de 40 centimètres – cela lui a valu de nombreux reproches de la part de ses professeurs, des erreurs dans les gens avec qui il parlait ou des cours absolument illisibles. Il y avait également la fois où il avait dû se déguiser en hobbit – tout ça car il était relativement petit et qu’à l’époque il avait une immense masse de cheveux bouclés sur le crâne. En avait résulté une exclusion de trois jours de son lycée, ce qui avait déplu à ses parents – enfin surtout sa mère, son père avait été mort de rire durant au moins dix minutes – mais qui avait ravi Eduardo. Il avait cependant moins rit lorsqu’il avait dû couper ses cheveux à ses 19 ans. Il avait été engagé pour faire quelques petites photos pour une marque de vêtements en Italie, mais les cheveux longs et bouclés n’allaient vraiment pas. Cela avait été un véritable drame pour lui, mais il avait bien été obligé. Durant un instant il avait envisagé de garder les cheveux coupés et de les remettre ensuite grâce à des extensions, mais sa mère avait simplement levé les yeux au ciel et l’avait tiré hors du salon de coiffure, malgré ses protestations. Manque de chance pour Eduardo, c’était une des seules personnes capables de résister à ses grands yeux verts/noisettes/dorés de chiot battu. Surmonté de cils indéfiniment long et de sourcils noirs relativement épais et formant une étrange forme triangulaire, il était assez dur de lui dire non lorsqu’il vous regardait avec sa moue suppliante. Parfois, sa mère avait vraiment l’impression que son fils avait gardé 5 ans dans sa tête – surtout lorsqu’il la suppliait de lui acheter une glace alors qu’il avait 20 ans. Il y avait également le fait qu’il avait vu chaque Disney au moins dix fois, qu’il possédait encore des pyjamas à l’effigie de dessins animés ou qu’il connaissait chaque réplique de tous les épisodes de Bob l’Eponge et des Tortures Ninjas par cœur qui prouvait bien qu’il était encore un grand enfant. Amenez-le dans un McDo et il est le plus heureux des hommes. Demandez-lui de vous retrouver à 15h à l’Est de New-York, à 16h il se trouvera à l’Ouest. Tout ça car il s’est perdu ou qu’il a totalement oublié le rendez-vous. Sans oublier le fait qu’il est incapable de rester calme plus de dix minutes, que c’est un vrai moulin à paroles, qu’il se met à chanter et à danser un peu n’importe quand, qu’il peut jouer de la guitare ou du piano jusqu’à des heures illégales de la nuit, qu’il a peur des oiseaux – même s’il supporte relativement bien les pigeons – qu’il serait capable de recueillir tous les chiots et chatons du monde, qu’il est très superstitieux, qu’il porte toujours au moins trois ou quatre bijoux sur lui, qu’il adore lézarder au soleil – l’un des rares moments où il accepte de rester calme – et encore des millions d’autres choses folles et singulières qui font de lui la personne atypique qu’il est aujourd’hui.
Quel est le caractère de ton personnage ? you terrorized the Big Apple→ Si les traits de caractère étaient tous des fils de couleurs différentes, le caractère d’Eduardo serait représenté par une énorme bobine de fils multicolores. C’est un garçon remplit de paradoxe, avec un caractère des plus expressif et excentrique possible. Il est très social, ce qui lui permet d’accoster n’importe qui dans la rue pour lui demander ce qui lui passe par la tête – l’heure, l’emplacement d’une rue, un nom de restaurant ou autre. Il y a constamment un sourire sur son visage et c’est vraiment rare de le voir pleurer – sauf lorsque la mère de Bambi meurt, là il éclate littéralement en sanglot à chaque fois. C’est une véritable boule d’énergie, toujours en train de faire quelque chose. Et heureusement pour les personnes avec lui, car un Eduardo qui s’ennuie c’est encore pire qu’un enfant de 3 ans qui veut une sucette. Il sait parfaitement être insupportable et se comporter comme un gosse, mais il sait également être sérieux lorsqu’il le faut. Il comprend très bien quand c’est le moment de rire et quand ça ne l’est pas. Même si en général, il fera tout pour rendre le sourire à quelqu’un en train de pleurer ou d’être triste. Il a le cœur sur la main et une gentillesse hors norme. Il a toujours une petite pièce pour un SDF dans la rue ou pour le pourboire d’un serveur. Cependant, lorsqu’on s’en prend aux gens qu’il aime, il peut devenir très cassant. Surtout quand il est jaloux en réalité, même s’il refuse de le reconnaître. C’est quelqu’un de très câlin et tactile, que ce soit avec un garçon ou une fille, un parfait inconnu ou un ami de longue date. Il est toujours le premier partant pour faire des bêtises ou pour faire la fête. Il sort au minimum deux fois par semaine, que ce soit en boîte ou dans un pub quelconque et ce même s’il travaille le lendemain. D’ailleurs, il ne semble jamais prendre totalement conscience qu’il faut qu’il s’investisse vraiment pour obtenir un job convenable et durable. Il pense toujours que ça lui tombera tout prêt dans les mains, par le plus grand des hasards. Il se dit qu’il a le temps, de toute façon. En réalité il se dit tout le temps ça, ce qui fait qu’il arrive systématiquement en retard. Mais il est très débrouillard, alors il trouve toujours une excuse – même si parfois c’est un peu fumeux – mais couplé à ses yeux de chiots ça passe toujours sans aucun problème. Il est également très direct, n’hésitant pas à aborder une fille ou un garçon dans la rue pour lui demander son numéro – pourquoi ? Simplement parce qu’il/elle est mignon/mignonne. Il est totalement sans gêne et n’a pas peur de se rendre ridicule ou de se faire remarquer. Ainsi, il n’hésitera pas à faire un scandale dans un restaurant ou faire une remarque bien sentie à quelqu’un qui regarde un de ses amis de travers. Il n’en reste pas moins quelqu’un de poli, serviable et bien élevé. Il se lèvera toujours pour laisser une personne âgée s’asseoir dans le bus ou dans le métro et n’hésitera pas non plus à faire une remarque à quelqu’un qui ne le fait pas. C’est un véritable bordélique, qui reporte toujours le jour de rangement au lendemain. Il fait malgré tout un effort pour le ménage, ce qui reste un véritable exploit. Il est tête-en-l’air également, et ce, peu importe pour quoi. En résumé, Eduardo est une de ces personnes qui apprécient les petites choses simples de la vie, qui rêve en grand et qui vous redonne le sourire lorsqu’il tombe en s’emmêlant dans ses propres pieds. Mais surtout, c’est un ami fidèle et loyal, qui n’hésitera pas à vendre son âme pour vous aider. Ce n’est pas pour rien qu’il possède un cœur d’or.
Well... It's my story ! and as charming as sad as it is, plays ! it does not begin with once upon a time
Eduardo n’est pas quelqu’un de calme. En vérité, il était déjà agité alors qu’il n’était même pas né. Sa mère ne cessait de répéter que parmi les deux grossesses qu’elle avait déjà vécues – sans parler des deux qui viendraient par la suite – celle d’Eduardo fut la plus éprouvante – alors qu’elle avait précédemment eux des jumeaux ! Il ne cessait de s’agiter, de donner des coups de pieds ou des coups de poing. Tout pour se faire remarque, vraiment. Sans oublier le fait qu’il arriva deux semaines plus tôt que la date prévue et à une vitesse incroyable, obligeant sa mère à accoucher dans l’ambulance qui l’amenait pourtant à l’hôpital. Ses parents s’étaient donc préparés à accueillir un vrai petit trouble-fête.
Ils n’imaginaient pas à quel point ils étaient loin de la vérité.
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Son enfance ne fut pas malheureuse. Loin de là même. Pas de drame familial, pas de parents abusifs, pas de déménagements incessants, pas de vie dans la rue. Une petite vie tout ce qu’il y a de plus heureuse. Ses parents étaient aimants et ils adoraient leurs enfants plus que tout. Ils avaient une jolie maison un peu à l’écart de la ville de Milan, avec un grand jardin et une piscine. La famille Gil possédait également un grand labrador blanc, un perroquet et deux chats de gouttières qu’ils avaient recueillis. Ils étaient, au total, cinq enfants. Tout d’abord Emilio, l’aîné. C’était un gars grand et bien bâti, avec un cœur d’or. Il s’engagea dans l’armée à sa majorité et ne la quitta plus jamais. Âgé de trente, c’est désormais un officier et il trouve donc le temps de passer voir sa famille en Italie. Après lui il y eu les deux jumelles. Elles sont très fusionnelles et sont toujours en accord pour asticoter Eduardo. A 27 ans, Camilia est désormais avocate, tandis que sa sœur Mila est maîtresse. Après Eduardo arriva, deux ans plus tard, Mikelangelo. Ça a toujours était le gros bosseur de la famille, obsédé par ses résultats – tout le contraire d’Ed’ donc – et il est donc désormais étudiant en politique. Puis enfin la petite dernière, Viola, la princesse de la famille. Elle l’est toujours, même si elle a désormais 20 ans et qu’elle travaille comme serveuse dans un restaurant assez côté de Milan.
Eduardo est très attaché à sa famille et même s’il était vraiment heureux de partir à New-York, cela a été dur de les quitter. Maria sa mère, pleura beaucoup et dut fermer sa petite boutique de fleurs quelques jours pour se remettre totalement du nouveau départ d’un de ses fils. Mais Eduardo sait que son médecin de père, Leonardo, ainsi que tout le reste de la famille encore présente en Italie saura prendre soin d’elle et jamais il ne pourra assez les remercier. Toute sa vie est en Europe, mais il sait que son avenir est en Amérique. Autant mettre toutes les chances de son côté.
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Autant étonnant que cela puisse paraître, Eduardo sait depuis tout petit ce qu’il désire faire de sa vie. Etant né à Milan, il eut à de nombreuses reprises l’occasion d’entendre longuement parler de la Fashion Week de sa ville natale. Et depuis tout petit, il est fasciné par les photos dans les magazines et les images à la télé. Alors, du haut de ses 7 ans il se plante devant ses parents et leur annonce qu’il souhaite devenir mannequin. Ses parents rigolent simplement, lui disent que c’est d’accord en lui ébouriffant les cheveux. Ils ne le prennent pas au sérieux et Eduardo le comprend à peu près. Après tout, il a déjà voulu être astronaute, vétérinaire, ballerine ( son grand frère s’était foutu de lui pendant des mois après ça ) professeur, archéologue, plongeur et une multitude d’autre choses.
Mais l’idée de mannequinat ne le quitta plus vraiment. Elle était toujours là, dans un coin de sa tête. Quand il en reparla à ses parents, durant son adolescence, il était réellement sûr de son choix. Il voulait être un mannequin. Et il y arriverait. Alors il se mit à courir les castings, à accumuler les petits contrats, à se construire petit à petit un book qui lui servirait forcément plus tard. En parallèle, il entama des études de musique. Chanter était également sa passion et ce, depuis tout petit. Dès qu’il entendait de la musique, il montait sur une table ou sur le canapé et commençait à danser et à chanter, faisant semblant de tenir un micro ou de jouer de la guitare. Sa voix s’améliora avec le temps, grâce aux cours que lui firent prendre ses parents. Il apprit également à jouer de la guitare et du piano, cassant les oreilles de sa famille à longueur de journée.
Il n’eut donc aucun mal à obtenir son diplôme, même si les cours n’étaient absolument pas son fort. Durant toute sa scolarité il se contenta de la moyenne. Il pouvait facilement atteindre des notes bien plus hautes et devenir un des premiers de classe mais cela ne l’intéressait aucunement. Lui ce qu’il aimait, c’était de faire rire la galerie. D’être le centre d’attention pour impressionner les filles – et puis plus tard les garçons également. Avec toutes les heures de colle qu’il collectionna il aurait pu retapisser les murs de toute la maison et son père ne cessait de le charrier en lui disant qu’il devrait prendre un abonnement. Bon, il n’avait pas prévu qu’Eduardo aille voir le directeur de son lycée en lui demandant s’il était possible d’avoir réellement un abonnement. Heureusement pour lui il ne le prit pas mal, le contentant de le prévenir de se tenir à carreau au lieu de continuer à faire l’imbécile. Mais pour Eduardo, c’était tout bonnement impossible. Et puis, pourquoi aurait-il arrêter ? Ainsi il était populaire, il était ami avec tous les surveillants, connus de tous les professeurs. Pour lui, c’était vraiment quelque chose de cool. Il était invité à chaque fête et toutes les filles voulaient se promener à son bras – et faire un tour dans son lit également. Il ne pouvait rien demander de mieux. Cette popularité lui permit même de ne pas se faire humilier lorsqu’il se mit à sortir avec des garçons. Ce qui fut un véritable soulagement pour lui et pour sa famille, qui ne désirait pas le voir se faire maltraiter.
Alors quitter l’Italie fut dur. Quitter ses amis fut dur. Quitter sa famille fut dur. Quitter l’endroit de ses souvenirs fut dur. Mais la simple perspective de vivre à New-York lui redonnait le sourire. C’était sa ville, il en était persuadé.
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Eduardo se sentit immédiatement dans son élément en pénétrant dans le petit bar karaoké qu’il avait choisi. C’était son cinquième soir à New-York et l’envie de chanter face à un public rampait sous sa peau depuis son arrivée. Il avait déjà fait trois bars différents cette semaine et récupéré un bon paquet de numéros de téléphone, que ce soit dans un but amical ou autre. Et ouais, Eduardo adorait littéralement cette ville. Il n’était pas prêt de la quitter.
Il s’installa au bar, commandant un Cosmopolitan et attendit plus ou moins patiemment son tour de chanter. Il discuta avec plusieurs personnes, butant parfois sur certains mots – il allait vraiment falloir qu’il perfectionne son anglais – mais réussissant malgré tout à bien tenir la conversation. Quand la scène se libéra enfin, il sauta sur ses pieds et la rejoignit rapidement, un grand sourire aux lèvres. Faire le show, il connaissait.
Quand il termina son interprétation de « Tu Voi Fa l’Americano » – autant chanter en italien – il quitta la scène sous les applaudissements des clients, l’adrénaline coulant dans ses veines suite à sa performance pas encore complètement disparue, le rendant plus excité qu’à l’ordinaire. Seulement à peine eut-il le temps de mettre un pied en dehors de la scène qu’une jeune femme vint à sa rencontre. « Hey ! Je m’appelle Leah ! Enchanté ! Je t’ai entendu chanter et franchement, c’était super ! » Eduardo rit en entendant cela et il passa une main dans ses cheveux. « Grazié ! Moi c’est Eduardo ! » La conversation se fit le plus naturellement du monde et le jeune homme ne vit même pas le temps passé, tellement la compagnie de la demoiselle était agréable. Il rit plus que de raisons, apprenant des petits morceaux de sa vie et en dévoilant de la sienne. Lorsque l’heure de se séparer arriva, ils prirent bien soin d’échanger leurs numéros de téléphone. Le garçon nota dans un coin de sa tête de ne surtout pas oublier de rappeler Leah. Hors de question qu’il laisse passer une fille pareille.
Alors le lendemain – enfin plus tard dans la journée – il attrapa son portable et composa le numéro de sa nouvelle amie. Et encore une fois, les heures défilèrent et heureusement qu’Eduardo possédait un bon forfait car sinon, il se serait très probablement ruiné. Lorsqu’il finit par raccrocher, il avait un énorme sourire sur le visage et se sentait prêt à affronter n’importe quelle épreuve. Oui il en était certain, il venait de trouver une amie en or et il ne comptait pas la lâcher de sitôt.
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Il était en retard. Encore. Eduardo pesta contre lui-même en se faufilant du mieux qu’il put parmi la foule compact de gens. Dieu, il allait vraiment falloir qu’il s’habitue à slalomer parmi les piétons. Répétant des excuses à tour de bras, bousculant des gens, il regarda une nouvelle fois l’heure sur son téléphone. Il tourna rapidement à l’angle d’une rue légèrement moins fréquentée et percuta violement quelqu’un. Il jura de façon impulsive, se baffant mentalement pour sa maladresse. Son regard balaya le corps du jeune qu’il venait de percuter, constatant avec affolement que le pauvre venait juste de renverser tout son gobelet de café sur lui. La panique et les remords prirent possession du corps d’Eduardo et il se mit à bredouiller des excuses, s’emmêlant les pinceaux entre l’italien et l’anglais et ouais, il devait franchement être incompréhensible. « Scusi sono… hum je suis vraiment désolé, pardon ! J’ai pas fait atenzione, et sono vraiment désolé et io… » Ses yeux croisèrent ceux de l’autre garçon et son flot de paroles se coinça dans sa gorge. Oh wow. C’était quoi ces yeux sérieux ? C’était possible d’avoir des pupilles aussi magnifiques ? C’était quoi ce mec, un extraterrestre ? « Non preoccuparti… Ça arrive à tout le monde tu sais ! » Eduardo cligna des paupières un instant en entendant la voix légèrement aigüe atteindre ses oreilles. Inspirer. Expirer. Voilà, on se calme et on évite de se rendre encore plus ridicule devant ce p*tain de dieu vivant. Dieu vivant qui parle italien. Quel était la probabilité pour qu’il tombe pile sur quelqu’un qui comprend sa langue ? Pratiquement aucune. Il allait falloir qu’il pense à passer à l’église rapidement. Histoire de. « Non vraiment je suis désolé, je suis un abruti ! Ta chemise est ruinée ! Ecoute j’ai pas beaucoup d’argent sur moi mais je peux te rembourser et-» « T’en fais pas, c’était une vieille chemise de toute façon ! » Eduardo fit la moue, pas vraiment convaincue. Son téléphone vira dans sa main et il écarquilla les yeux, le mot idée se mettant à clignoter dans sa tête. Il allait faire du 2 en 1. « Ecoute je suis vraiment pressé et je dois y aller mais je veux pas te laisser comme ça ! Alors donne-moi ton numéro de téléphone et je t’appelle pour te repayer un café ok ? On pourra faire connaissance comme ça ok ? Je suis arrivé y’a pas longtemps alors je connais pas grand monde, mais bon si ça te gène c’est pas grave je serais juste super déçu de pas discuter avec toi mais je comprends que-» « Pas de soucis, je prendrai un café avec plaisir ! » Un grand sourire prit place sur le visage d’Eduardo. « C’est vrai ? Génial ! Je m’appelle Eduardo au passage. » « Ethan. »
Comme quoi des fois, ça a du bon d’être en retard.
**
Il allait vraiment falloir qu’Eduardo range son appartement. Même lui n’arrivait plus à se déplacer à l’intérieur. Non mais quel idée il avait eu de prendre un studio en sachant qu’il était bordélique à ce point-là déjà ? Ah oui, le budget. D’accord ses parents avait de l’argent de côté, mais il voulait vraiment que New-York ce soit sa réussit. Quelque chose qu’il ait accomplit de A à Z. Histoire de montrer qu’il était capable d’accomplir des choses sans les foirer. Enfin, sans trop les foirer.
Passant par-dessus une pile de magazine tenant à la verticale par un quelconque miracle, il réussit à atteindre une des fenêtres de son petit studio. Il laissa son regard errer le long des buildings, des silhouettes des gens se massant dans la rue, des voitures klaxonnant les unes contre les autres. Déjà deux mois qu’il était à New-York et pourtant, il sentait toujours son cœur battre un peu plus vite en songeant qu’il faisait désormais partit de cette fourmilière humain. Qu’il était dans la ville qui lui permettrait de réaliser son rêve de gosse. Il se laissa de nouveau à rêver de faire la une des plus grands magazines, portant les vêtements des plus grandes marques et faisant baver d’envie les jeunes. Il voulait cette vie. Et il l’aurait.
Mais en attendant, il avait une pizza à déguster.
Ton prénom ou ton pseudo & ton age → tia, 16 ans. Comment es-tu arrivé(e) ici ? → par la porte. Ce personnage est-il un double compte ? → le premier d'une longue lignée. Présence sur le forum → je pars pas. Personnage inventé ou scénario ? → scénario. Crédit images → TYLERS & sugar slaughter & tumblr.
Mon exemple de RolePlay:
7:00 AM RIIIIIING ! « Imbécile de réveille ! » Tâtonnant, encore à moitié endormi, je trouvais un peu par hasard l’objet de malheur. J’appuyai sur le bouton et miracle ! Il se désactiva. Le silence s’imposa de nouveau, seulement entrecoupé par une lente respiration. Respiration qui n’était pas la mienne. Ouvrant difficilement un œil, je constatais que je n’étais pas seul dans mon lit. Andrew s’était encore trompé de chambre. Dans mon esprit encore brumeux, j’arrivais à me souvenir qu’il avait été en boîte hier soir. Ouais, il a pas dû rentrer très frais. Préférant le laisse récupérer, je titubais jusqu’à la salle de bain. J’avais l’habitude de me douche dans le noir le matin, car la lumière me brûlait les yeux. Une bonne douche chaude plus tard, j’étais un peu plus réveillé. Mais je ne le serrai complétement qu’une fois mon café latte coulant dans ma gorge. Revigoré à cette idée, je m’empressai de me faire ma dose de caféine. Après avoir renversé deux tasses, mettre trompé de dosage et avoir cogné mon orteil dans le coin de la table – ce qui fait TRES mal – je pus enfin boire la seule chose qui parvenait à me réveiller. Dès la première gorgée, mon esprit s’éclaira. Rapidement, je sortis mon IPhone – un cadeau d’Andrew, je n’avais pas les moyens – et consultais ma journée. Ce qui était bien, avec le vendredi, c’est que je commençais le boulot à 9 heures. Reposant ma tasse sur le plan de travail, je constatais que je dînais avec Mattie ce soir. Ah oui tiens, je lui avais demandé ça hier matin, lors de notre rencontre café du jeudi. Je ne sais même pas ce qui m’ai passé par la tête à ce moment-là en fait. Depuis quand j’invitais des jeunes de 19 ans à manger moi ? Enfin bref, de toute façon, ce n’est pas mon genre d’annuler les rendez-vous. Amical. Un rendez-vous amical, vous imaginez pas des trucs hein. Soupirant, je prenais deux cachets contre le mal de tête dans la salle de bain, et les déposaient en compagnie d’un verre sur la table de chevet à côté d’Andrew. Je descendis ensuite à pied les cinq étages de mon immeuble comme d’habitude, saluait le gardien et sortait à l’air libre. Direction l’hôpital.
8:00 PM Cela faisait cinq minutes que j’attendais. Comme d’habitude, j’étais arrivé en avance. On avait convenu de se retrouver devant le restaurant. Au cours de ma journée, tous les détails m’étaient revenus. Je lui avais proposé de venir juste avant de partir. Je ne sais pas si c’était le sourire qu’il avait eu quand j’avais dit une bêtise, ou son regard qui avait accroché le mien avant que je me retourne qui m’avait poussé à lui demandé ça , mais dans tous les cas, les mots étaient sortis tout seul. Sur le coup, j’avais était très content qu’il accepte. Ensuite, j’ai trouvé cela un peu déplacé de ma part, il pourrait s’imaginer des trucs. Déjà que généralement, nous conversations sont chargées de sous-entendu… rah je me prends trop la tête. C’est juste un dîner entre amis il n’y pas de quoi s’imaginer des trucs. C’est comme quand je sors avec Andrew quoi. Oui, sauf qu’il m’arrive de coucher avec lui… oh seigneur c’est pas gagné. Tournant la tête vers la droite, je réussis à le repérer dans la masse de gens. Rapidement, je vérifiais que ma tenue était bien. Jeans noir, fine ceinture noir, t-shirt noir avec des motifs roses et les lunettes de soleil rose pendant à la ceinture. Avec des converses noirs, lacets roses. Oui, je suis maniaque sur mes fringues. Mais j’y peux rien, j’aime la mode et être bien habillé, même si je n’ai pas beaucou d’argent. Dans tous les cas, même si c’est une dépense superflue, je compte bien payer le repas entièrement ce soir. Après tout, c’est moi qui ai invité non ? Je trouve ça normal. « Salut ! » Un sourire prit place sur mon visage, comme à chaque fois que je voyais un de mes amis. « Allez viens, je nous ai réservé une table ! » L’entrainant à l’intérieur, je donnais notre nom à un serveur qui nous emmena à notre table. Je le remerciai, tirant la chaise de Mattie. « Si Monsieur veut bien se donner la peine… » Rigolant, je m’asseyais sur ma propre chaise. Je remerciai le jeune homme qui nous apporta les cartes, avant de lancer la conversation feuilletant le menu. Oui, je suis un vrai moulin à paroles et je l’assume totalement ! « T’as journée de cours s’est bien passée ? »
Dernière édition par Eduardo Gil le Mer 17 Avr - 0:16, édité 15 fois
Cheyenne L. Pearson
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Sujet: Re: Eduardo ▬ Be nice to people because nobody likes an asshole ▬ Sam 13 Avr - 16:36
Darren Bienvenue chez nous !
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