Sujet: Shannon Griffin • Don't wanna be like you Sam 4 Mai - 13:01
FEAT. Jayy Von Monroe
Shannon London Griffin
23 ans → Né à New-York le 28/03/1990 → Leader chanteur d'un groupe de rock méconnu célibataire → homosexuel → membre des Rebels.
And who am i ?
★Quelles sont tes caractéristiques? Il n'est pas possible de ne pas remarquer Shannon dans la rue. Il est habillé certes la plupart du temps de noir, mais ce sont surtout ses nombreux tatouages, piercings et vêtements qui sautent aux yeux. La discrétion ne fait pas partie du personnage et il en joue. Il est difficile de décrire avec précision la façon dont Shannon s'habille. C'est un amas de chaînes, de cuir et de tissus déchirés, donnant une allure plus grunge que rock à tout cet attirail et met mal à l'aise la plupart du temps. Il porte de nombreux bijoux, bracelets, colliers et boucles d'oreilles. Il est tatoué jusqu'au bout des doigts de la main gauche, sur le torse, en bas du ventre et jusque dans le cou, et même sur les tempes, ce qui ne se voit que lorsqu'il rase le côté de son crâne. Ses coiffures parlons-en. Il porte une mèche plus longue sur un côté, le reste rasé, parfois un peu plus long. Il lui arrive, souvent, de teindre ses mèches de rose ou rouge. Sinon, il a les cheveux noirs à la base. Il n'est pas aisé de savoir de quelle couleur sont ses yeux par nature, car il porte pratiquement en permanence des lentilles de couleur, vertes, bleues ou rouges, selon ses envies. A la base, il a de très beaux yeux marrons. Trop banal pour lui.
Son allure générale, au-delà de ça, n'est pas spécialement impressionnante, si on enlève cette allure sinistre. En effet, même s'il est relativement grand, mesurant 1.83m, il est très maigre, pesant à peine 66 kg, les jours où il mange à sa faim. Ceci dit, il est vif, rapide, et ne rechigne pas à se battre, ce qui lui donne des muscles secs et nerveux.
Shannon est quelqu'un de souriant extérieurement. Il se départit rarement de son air joyeux et de son sourire, mais cela cache une nature bien plus sombre en réalité.
★Quel est le caractère de ton personnage? On peut s'arrêter à la facette extérieure de Shannon, celle que tout le monde peut voir, celle que tout le monde connaît. Il est souriant, joyeux, joueur, provocateur. Il n'aime rien faire comme tout le monde et le montre dans chacune de ses actions. Il paraît fort, courageux, sans la moindre peur, fonçant tête baissée dans les ennuis. Il provoque par sa façon de s'habiller, de parler, des insultes plein la bouche, sa façon de se comporter et de voir le monde. Il paraît souvent violent dans ses réactions, irrévérencieux et bourrin, quand on s'attaque à lui ou ses amis. Et il en joue car les réactions des gens face à ce comportement l'amuse. Mais en réalité, il en est tout à fait différemment, quand on ose aller plus loin et qu'on veut bien apprendre à le connaître... s'il vous en laisse l'occasion. Ce qui n'est arrivé que très rarement.
Shannon est en réalité un jeune homme meurtri par une enfance difficile, un manque d'amour parental et un rejet des autres. En effet, son homosexualité fut toujours mal perçue, que ce soit par ses propres parents, les familles d'accueil ou les gosses à l'école. Il se réfugia très rapidement dans le rock, le métal, l'électro, les tatouages et les piercings. Ainsi que la drogue. Ce qui ne fut qu'accentuer son rejet de la part de la société. Mais par-dessus tout, derrière cette façade de violence et de rébellion se cache un coeur en or et de sensibilité.
Ses poignets gardent, sous les tatouages, les marques des périodes où il baissa les bras, et où il céda à ses idées morbides.
Je suis né à New-York le 28 mars 1990 de mère inconnue. C’est ce que dit mon dossier. Je n’ai pas beaucoup de souvenirs de mon géniteur. Ni sa voix, ni son regard. Ni son nom. Juste son odeur de mauvais scotch et la puissance de ses coups. J’avais déjà sept ans quand un instit de mon école a enfin remarqué que j’étais trop en colère pour que ce soit normal pour un enfant de cet âge. Il a fallu qu’il porte plainte et qu’il y ai une enquête pour qu’on me foute en slip devant des inconnus et l’objectif d’un appareil photo. Je me souviens encore de l’air offusqué des médecins et des infirmières en constatant les bleus et les radios de mes os mal ressoudés. Je n’avais jamais dit. Je n’ai d’ailleurs jamais rien dit. A personne. Ni à ces flics. Ni à ces médecins. Ni même à l’instit. Je ne lui suis pas spécialement reconnaissant à ce type, parce qu’après ça, on a retiré la garde à mon père et j’ai été envoyé dans des familles d’accueil. Ca aurait pu être mieux. Ca aurait dû. Mais ça ne l’a pas été. Loin de là. La plupart étaient des familles avec déjà trop d’enfants. On ne s’occupait pas plus de moi. A l’école j’étais encore le souffre douleur des plus costauds et aucun adulte ne prenait ma défense. Personne ne voyait rien. J’ai dû apprendre à me battre pour ne pas succomber sous les coups répétés de ceux qui ne supportaient pas ma tronche, mes goûts, mes idées.
L’entrée dans l’adolescence avec son lot de difficultés n’arrangea rien. Je ne restais jamais plus d’un mois dans la même famille d’accueil, faisant tout pour ne pas m’attacher, pour ne pas rester. Je devenais de plus en plus violent. Je suis même allé jusqu’à flirter avec le fils d’une des familles, du même âge que moi. On n’avait que douze ans. Il n’a pas apprécié. Son père non plus. Une gifle de plus à mon actif. Une droite pour le père. Ca fait mal de frapper quelqu’un de plus fort que soi. Je m’en souviens encore. J’avais quatorze ans et deux tentatives de suicides quand j’ai été recueilli, en dernier recours, comme une dernière chance avant la prison ou l’asile, par une famille de San Francisco. Loin de mes anciennes fréquentations, de mon père, et des anciennes familles. Les Stillmann avaient une fille. Ca ne devait pas poser de problème, qu’on m’avait dit. Je ne serais pas tenter de la séduire, puisque j’étais qu’une raclure d’homo. J’essuyais les insultes, les laissant couler sur moi comme de l’eau et souriais, toujours. C’était ma force. Quelque part, ils n’avaient pas tord finalement. Beverley était plus âgée que moi de toute façon, elle m’impressionnait quelque part, un peu comme toutes les filles en ce temps-là. Mais une chose est sûre, je n’étais pas attiré par elle. Par contre, on s’entendait bien. On se chamaillait comme de vrais frère et sœur. Elle n’était pas spécialement l’intelligence incarnée, ni l’innocence même. Mais je ne sais pas pourquoi, je l’aimais bien. Peut-être parce qu’elle était la seule à pas me regarder comme un extra-terrestre ou un monstre. Une sensation que je n’ai pas ressentie souvent. Être normal. Mais je ne l’ai jamais vraiment voulu.
Ca faisait un an à peu près que j’étais chez les Stillmann et ça se passait pas trop mal. Beverley avait rencontré un type plus vieux qu’elle, Nathan. Ils se sont mariés. Lui, je ne l’aimais pas. Il était arrogant, mesquin. Et puis je ne sais pas, il y avait quelque chose qui m’a jamais plus en lui. J’ai été invité au mariage, et c’est la première fois que j’avais vraiment l’impression de faire partie d’une famille. Plus ou moins. Mais je n’étais pas vraiment l’exemple d’un fils modèle et les parents de Beverley, surtout son père, me le rappelait souvent. J’avais déjà mon premier tatouage, réalisé dans une rue sombre de San Francisco. Je continuais à m’habiller de noir, avec des chaînes, du cuir et pantalons déchirés, parce que j’aimais ça, et ça faisait enrager tout le monde. Ca faisait rire Beverley. La pauvre. Elle ne se rendait pas compte de la détresse dans laquelle j’étais depuis ma naissance. A vrai dire, je ne m’en rendais pas compte moi-même, vivant, composant avec, parce que je n’avais jamais connu que ça, après tout.
J’ai rencontré un type au lycée, en terminal, j’étais en première. Il m’a entendu chantonner dans mon coin, mon baladeur sur les oreilles. Il m’a recruté pour son groupe de métal et c’est comme ça qu’à commencé ma première histoire d’amour. Ma première expérience. Ma première aventure musicale aussi. Pas envie de m’y attarder. Je vais passer à autre chose hein. Bref. J’étais encore chez les Stillmann, alors que Beverley était partie avec son cher petit mari, faire sa vie. Je me battais souvent avec des types de mon lycée. Des types dans la rue. On me cherchait des noises. A moi ou le peu d’amis que j’avais. Ca se terminait le plus souvent en baston, avec du sang, un nez et quelques côtes cassées. Le père Stillmann désespérait, et ça se terminait souvent en remontrances dans ma chambre, une gifle bien placée ou des menaces en l’air qui n’aboutissaient jamais.
J’avais presque vingt ans, j’avais laissé tomber les cours depuis longtemps, je n’avais pas de diplôme et je ne travaillais pas. Enfin, je faisais le serveur de temps en temps, en été, quand il fallait repayer les cordes de ma guitare, un nouveau micro ou un nouvel ampli. Stillmann se plaignit au tribunal pour la énième fois, mais j’étais parti avant qu’il ne me vire de chez lui. Je les avais jamais aimé de toute façon.
Quelques économies en poche, trois fois rien, j’ai pris ma guitare, mon sac, et j’ai pris le train. Retour dans la Grosse Pomme. New-York. Ma ville. J’ignore pourquoi je suis revenu ici, alors que j’y avais pas plus d’attache qu’à San Francisco ou ailleurs. Mais c’est ce que j’ai choisi. L’une des rares choses sur lesquelles j’avais le contrôle. Ma destination. Mon style de vie.
J’ai fait des rencontres, pas toujours les meilleures. J’avais envie de tenter de nouvelles expériences. Et puis par-dessus tout, j’avais envie d’oublier. Alors la drogue a été mon refuge. C’était tellement facile, de se sentir fort, ou ailleurs. Ou de s’endormir. Personne pour me juger, m’empêcher de faire ce que je voulais. La poudre. Puis les seringues.
C’est là que je l’ai rencontré. Daisie. Complètement timbré, d’allure fragile. J’avais envie de le protéger. On s’est avoué à mi-mots nos histoires respectives, sans jamais entrer dans les détails. Je savais qu’il n’était pas à l’aise dans les relations, alors je ne l’ai pas joué lourdingue. Je suis resté soft et tranquille avec lui. J’ai tenté de le faire rire quand je le pouvais. J’avais l’impression d’avoir enfin trouvé quelqu’un sur qui compter, qui comptait pour moi, et pour qui je comptais, même un peu. En fait, j’étais complètement raide dingue de ce mec. Je n’étais bien que quand je sentais son parfum dans les parages dans le refuge ou le squatte qu’on partageait avec d’autres. Quand je croisais son regard ultra maquillé. Quand je sentais la douceur de sa peau sous ma main, contre ma joue. Mais j’étais que son frère de galère alors que j’aurai voulu être plus. Alors j’ai joué mon rôle de frère. J’étais là quand il avait besoin de moi.
Mais un jour de décembre, il a disparu et je ne l’ai plus jamais revu. J’ai fait comme si ça ne me touchait pas. La drogue m’a aidé à oublier que j’avais mal, au milieu de ma poitrine. Me battre contre les caïds qui nous refourguait de la merde, ou qui nous virait de notre squatte, ça m’a permis de me rappeler que j’étais en vie et que je l’aimais.
Mais depuis quelques temps, c’est pire que tout et je n’ai même pas envie que ça s’arrange. Depuis mon retour j’ai fondé un groupe de rock électronique avec d’autres potes de galère, des sdf ou des paumés comme moi. On chante, on joue et on se défonce ensemble. On se démerde mais on est trop paumés ou pas assez doués pour percer. Alors on fait que des concerts bidons dans des squattes bidons pour un public bidon. Et je me dis que ma petite fleur a dû caner dans un coin, dans une ruelle sombre, tout seul. Ou alors il a trouvé son bonheur et il a oublié ses potes de galères. Tant mieux après tout. Vis ta vie. Sois heureux. On se reverra là haut. Ou en bas. Va savoir.
Tu as éclairé mes ténèbres comme une boule à facettes un samedi soir en discothèque.
my little secret
★Ton prénom ou ton pseudo & ton age → Rebel'z, 27 ans ★Comment es-tu arrivé(e) ici ? → par le biais de mon premier compte ★Ce personnage est-il un double compte ? → et oui ★Présence sur le forum → au moins une à deux fois par semaine ★Personnage inventé ou scénario ? → pure invention ★Crédit images google et moi
Mon exemple de RolePlay:
Le printemps était enfin là. Un rayon de soleil timide vint caresser la joue de Mildred qui s’étira comme un chat pour finir de se réveiller. Elle avait déjà ouvert les yeux depuis quelques minutes et s’attardait à observer, comme tous les matins, l’un des tableaux qu’elle avait acheté il y avait déjà quelques années, bien avant son accident. Elle ne se souvenait pas des circonstances de cet achat, mais elle savait qu’elle avait craqué pour lui dès le premier coup d’œil et ressentait exactement la même chose encore aujourd’hui. Il s’intitulait « A Long Island Lake » d’un peintre impressionniste américain, William Merritt Chase et représentait des signes sur un lac, dont on voyait les berges en arrière plan, et un bosquet au premier plan. Mildred ignorait ce qui l’avait séduite dans ce tableau, mais elle en appréciait le calme qui s’y dégageait. Un léger sourire accroché à ses lèvres, elle se leva, alla ouvrir ses épais rideaux pour laisser la pièce baigner dans le soleil matinale et alla prendre sa douche. Après avoir englouti quelques toasts et un bon café, elle s’habilla d’un jean et d’un débardeur noir sous un cache-cœur blanc cassé. Elle enfila ses bottines, et après avoir mit son carnet à croquis et ses crayons dans son sac à bandoulière, elle sortit de son appartement. Elle marcha le long de plusieurs rues, se réjouissant d’avoir pris sa veste car l’air était encore frais à cette époque de l’année. Enfin, elle arriva à un café où elle s’installa pour le temps d’un autre café et d’une discussion avec ses nouveaux amis. Puis elle prit un taxi qui l’emmena jusqu’à central park. Là, elle parcouru à pied les quelques mètres du parcourt de santé qui la séparait du banc sur lequel elle s’asseyait presque tous les jours depuis une semaine et s’y installa. Une femme à peu près du même âge que Mildred avait déjà prit place à l’autre bout du banc, observant avec attention son enfant qui jouait sur l’air de jeu devant elles. Mildred lui sourit en la saluant avant de s’asseoir, et apprécia les rires et cris des enfants, les aboiements des chiens et le chant des oiseaux, s’attelant simplement à apprécier le moment présent et l’agitation des formes autour d’elle.
Au bout d’un moment cependant, elle ouvrit son sac et en sortit son carnet à croquis, son meilleur crayon et une gomme bien usée, ôta sa veste, puis continua le croquis qu’elle avait commencé en début de semaine. Les formes de bases étaient déjà posées, mais elle n’était pas satisfaite de son travail et du rendu, si bien qu’elle voulait tout recommencer. Cependant, elle n’aimait pas laisser un travail inachevé et pensait d’abord terminer celui-là et voir ce qui n’allait vraiment pas avant de commencer autre chose. Mildred n’avait jamais suivi de cours de dessin, mais elle observait beaucoup et avait un très bon coup de crayon, si bien que son travail était apprécié même des professionnels.
Elle était concentrée sur son croquis, quand une ombre vint troubler son travail. Elle se retourna et scruta l'importun, sourcils froncés. Elle n’aimait pas être dérangée.
-Excusez-moi. Vous me cachez la lumière. Je ne vois plus rien.
Le code règlement:
check par j.
Dernière édition par Shannon L. Griffin le Sam 4 Mai - 21:57, édité 12 fois
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Sujet: Re: Shannon Griffin • Don't wanna be like you Sam 4 Mai - 13:01
Bienvenue sur NYCL
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Sujet: Re: Shannon Griffin • Don't wanna be like you Sam 4 Mai - 13:02
HAAAAAAAAAAA !!!! DAISIE N°2 !!!!
Bon courage pour ta fiche, et n'oublie pas !
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Sujet: Re: Shannon Griffin • Don't wanna be like you Sam 4 Mai - 13:03
Mon doudouuuuuuuuu! <3
Jayy Von Monroe de Blood on the Dancefloor après Jeffree Star, je suis gâtée de colorfull bogoss tout tatoués! -->
On va finir tellement par former un vrai paquet de Skittles! Bienvenue en tout cas, il nous faudra un lien! =)
Dernière édition par Claes J. Blømkvist le Sam 4 Mai - 13:04, édité 1 fois
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Sujet: Re: Shannon Griffin • Don't wanna be like you Sam 4 Mai - 13:04
Homo + chanteur d'un groupe de rock = I LOVE HIM ALREADY. Hâte d'en savoir plus sur ton perso, je viendrais très certainement te quémander un lien hihi
Re-bienvenue ici (:
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Sujet: Re: Shannon Griffin • Don't wanna be like you Sam 4 Mai - 13:04
Thanks Camelia
Xander : je ne peux pas oublier... vu ce que j'ai prévu XD
Claes : ouiiiiii merci et oui il nous faudra un lien, c'ets prévu ^^
Aaron : Yeah Aaron
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Sujet: Re: Shannon Griffin • Don't wanna be like you Sam 4 Mai - 13:06
Re-Bienvenue
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Sujet: Re: Shannon Griffin • Don't wanna be like you Sam 4 Mai - 13:08
OH YEAH You rock Re-bienvenue parmi nous Et bon courage pour cette nouvelle fiche !
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Sujet: Re: Shannon Griffin • Don't wanna be like you Sam 4 Mai - 13:09
Merci les filles
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Sujet: Re: Shannon Griffin • Don't wanna be like you Sam 4 Mai - 13:10
On va s'marrer, jte le dis 8D
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Sujet: Re: Shannon Griffin • Don't wanna be like you Sam 4 Mai - 13:13
rebienvenue parmi nous.
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Sujet: Re: Shannon Griffin • Don't wanna be like you Sam 4 Mai - 13:15
Noah :
Merci Julia
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Sujet: Re: Shannon Griffin • Don't wanna be like you Sam 4 Mai - 13:29