sheldon preston - lick the palm of the burning handshake
Auteur
Message
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: sheldon preston - lick the palm of the burning handshake Jeu 25 Avr - 3:57
FEAT. OLIVIA WILDE
Sheldon Irvine PRESTON
26 ans → Née à ville inconnue (c'est ce qu'il y a d'écrit sur ses papiers) le 22/08/1986 (date au hasard, année approximative par rapport aux estimations médicales) → Ancienne interne en chirurgie de 7ème année (qu'elle a validé) se destinant à devenir chirurgien plastique, reconvertie aujourd'hui en thanatopracteur depuis 2011 divorcée et célibataire → Pansexuelle → membre des Workaholics.
And who am i ?
★Quelles sont tes caractéristiques? → Sheldon a fait tatouer la date à laquelle son divorce a été prononcé dans le creux de ses reins comme pour ne jamais oublier que la vie a existé, à un moment donné. Celle ou on lui a découvert un cancer des poumons pour se rappeler qu'elle aurait pu y rester et éventuellement la dissuader de recommencer à fumer et une autre toujours aussi gaie et qui est celle du décès de la seule amie qu'elle ait jamais eu derrière l'oreille. Pas de fantaisies ni de symboles, juste des dates dans une police basique sans fioritures. → Elle boit des litres de café par jour bien qu'elle n'ait aucun problème pour tenir éveillée ni pour s'endormir. Elle le boit sous toutes ses formes, bien noir, avec du lait, du sucre et même du sel, parfois. → Elle gagne très bien sa vie et a en plus hérité d'une somme conséquente d'argent, elle vit donc aisément bien qu'elle puisse se permettre de faire des folies. Elle n'est pas particulièrement raisonnable non plus. Elle fait ses courses comme toute personne lambda dans des boutiques modestes mais si elle voit une partition à plus de trois cent dollars qui l’intéresse, elle la prend. Ce n'est néanmoins pas une chose dont elle parle ouvertement, jamais vous ne l'entendrez dire « vingt-mille dollars ? une bagatelle ! », elle connait la valeur de l'argent et outre sa fortune, elle travaille énormément, trop selon certains et fais partie de l'équipe bénévole de l'hôpital visant à offrir à tous la possibilité d'avoir un service décent pour leurs proches. Ancienne interne en chirurgie de septième année (qu'elle a validé), elle est également membre occasionnel du service ambulancier lors de complications si aucun autre interne ou médecin n'est disponible et si cela reste dans ses compétences. → Artiste dans l'âme, tout du moins elle apprécie l'art sous toutes ses formes. Sa seule et véritable activité consiste à voyager pour découvrir et apprendre. Elle est également diplômée du conservatoire de Phoenix (et bien que loin de son domicile familial à l'époque, ses parents l'ont toujours encouragée et dépensaient des sommes astronomiques en avion pour lui offrir des cours de musique trois fois par semaine à plusieurs centaines de kilomètres de chez eux) qui lui a proposé une bourse pour poursuivre un cursus de niveau supérieur qu'elle a poliment refusé puisqu'elle a fait un choix entre la musique et la médecine. Son violon est la seule chose dont elle prend réellement soin et coûte une véritable fortune, un peu plus de cinquante mille dollars (archet non compris). Il s'agit d'un Stradivarius pour les connaisseurs. Mais quand même. → Chose importante compte tenu de la société actuelle : elle n'a pas d'ordinateur. Elle consulte ses mails via son smartphone et effectue ses recherches directement à la source (la plus fiable qui plus est) à la bibliothèque de l’hôpital. Attention, elle vit avec son époque tout de même, facebook/twitter, elle connait, de là à s'en servir c'est une autre histoire. Par contre, tumblr, ça ne lui parle pas. → Elle a ce don si particulier d'être vulgaire et pourtant si chic en même temps alors qu'elle jure comme un charretier.
★Quel est le caractère de ton personnage? Agoraphobe → Vaguement, quelque chose qui s'en approche, cependant. Elle est mal à l'aise parmi la foule et va jusqu'à commander ses vêtements sur internet pour éviter les gens alors qu'elle n'a rien contre le fait d'aller en boutique. Peu expansive → Il est difficile de savoir ce qu'elle ressent. Elle n'a jamais prononcé les mots je t'aime (en même temps, elle ne les a jamais ressentis) et n'a pas versé une seule larme à sa connaissance. Même pas devant Titanic qui l'a beaucoup émue. Oui, cela étonne venant d'elle mais je peux vous affirmer qu'elle l'a vu plus de 158 fois. Cultivée → Cela ne se remarque probablement pas aux premiers abords vu son humour douteux et les jurons qu'elle utilise à tout va mais elle trouve dans l'art une façon de combler le vide qui la hante depuis bon nombre d'années. Elle lit énormément et puisse son inspiration musicale dans les grands classiques de la littérature. Ce n'est pas quelque chose dont elle se vantera mais elle a voyagé dans bon nombre de pays comme peuvent témoigner les souvenirs qu'elle rapporte chez elle en guise décoration. Impulsive → Ce qui, n'a rien avoir avec les troubles psychologiques diagnostiqués qu'elle peut avoir mais qui lui pourrit la vie au quotidien, doublé rarement, d'une agressivité sans égale et très éphémère. Récemment, elle a terminé au poste de police pour avoir explosé le pare-brise d'un contractuel qui l'avait rappelée à l'ordre à l'aide d'un parpaing trouvé cinq mètres plus loin. Mémoire d'éléphant → Elle se souvient de détails parfois insignifiants, de la couleur des chaussettes de son assistant jusqu'au jour ou l'infirmière a laissé tomber son briquet en voulant allumer sa cigarette. Ce qui bien entendu a été un atout magistral pour ses études de médecine.
my little secret
★Ton prénom ou ton pseudo & ton age → Alseksei, bientôt vingt-ans et plus de dents. ★Comment es-tu arrivé(e) ici ? → Je ne sais pas trop, perdue en cours de route, sûrement. ★Ce personnage est-il un double compte ? → Oui, non, bon oui. ★Présence sur le forum → Un peu tous les jours et au moins un rp/semaine ★Personnage inventé ou scénario ? → Inventé et migré depuis GW (pour ceux qui ont vu mon message là-bas, en fait j'ai réalisé que Sheldon et GW, ça collait pas... alors je l'ai migrée ici mais je pense revenir sur GW, no panic !) ps : oui donc c'est bien moi hein, j'ai pas changé le deuxième prénom (irvine ici pour arianna là-bas) pour faire genre ★Crédit images → avatar by swan et gifs by tumblr (créateur inconnu)
Mon exemple de RolePlay:
→
ALEXEI/JULIA MAKES ALEXIA
Comme tous les mercredi depuis un an, je me rendis au Comic Book-Store avec la ferme intention d'acheter de nouveau la parution de la semaine, impatiente à l'idée de découvrir ce que mon père avait pu dessiner, surtout parce qu'il m'avait annoncé au téléphone qu'il s'était inspiré de moi pour le numéro de la semaine. Après mon rituel habituel – qui consistait à boire un long et crémeux smootie à la banane en chemin et acheter un petit pain au raisin à la boulangerie du quartier –, j'entrais dans la boutique, le sourire aux lèvres. J'y venais régulièrement dans le but de croiser Julia, une jolie blonde avec qui je passais du bon temps et qui rendait ma vie un peu plus ensoleillée chaque jour, elle avait changé ma vie. Elle avait su raviver chez moi de vieux sentiments et en créer de nouveau avec une facilité déconcertante. Je pensais très souvent à elle et rêvais plus d'une fois que nous nous rapprochâmes d'avantage, si cela était possible, évidemment. Et puis, je la vis, penchée au comptoir, dans son monde, plus belle que le jour, plus rayonnante que le soleil lui-même. Derechef, je sentis mon cœur faire un bond, c'était ma Julia, mon petit bout de femme, du moins, c'était comme ça que je la voyais et je me faisais souvent la réflexion qu'elle ne devait pas être aussi attachée que je l'étais, ce qui me faisait me sentir plus que ridicule parfois et je tentais de faire des rencontres à côtés, comme si, en prévoyance, en imaginant recevoir un coup de fil un jour qui me dise qu'elle s'était finalement mise avec quelqu'un, qu'elle mettait un terme à notre liaison, à notre relation des plus bordélique. J'esquissais néanmoins un sourire, m'avançant vers le comptoir.
« Bonjour toi. » Laissais-je entendre dans mon tendre demi-sourire qui en faisait craquer plus d'une, le regard émerveillé en direction de la jolie blonde. « Tu es jolie comme ça. » Relevais-je, le plus innocent du monde, la tête penchée et le regard distrait, un sourire toutefois toujours présent au coin de mes lèvres. Ma longue chevelure blonde retombait en cascade sur mes épaules, retenue sur le front par une barrette rose qui me donnait l'air d'une poupée ou pire, d'une barbie. Et ce n'était pas la jolie robe blanche qui allait contredire cette idée. Seules les bottes en cuir marron donnaient à la tenue un peu plus de maturité, ainsi que la veste en cuir bleue qui reposait délicatement sur mes épaules. J'attrapais une mèche de ses cheveux que je caressais avant de la lui laisser et de reporter celle-ci à mon sac énorme au tissu orangé. Fouillant dans cet énorme bordel, je finis par trouver ce que je cherchais, à savoir mon porte-monnaie dans lequel je tirais un billet, plus ou moins déterminée à ne repartir qu'avec une bande dessinée. « Tu finis à quelle heure ? » Finis-je par demander, la question m'ayant brûlée les lèvres à mesure qu'elle se formait dans ma tête. Retiens-toi. M'ordonnais-je, me faisant une nouvelle fois de plus l'impression d'être vraiment la seule impliquée dans cette histoire, essayant de paraître un peu plus détachée, reportant mon regard sur divers points, le rayonnage, l'arrière boutique... pour revenir encore plus précisément à mon point de départ, raté. Je laissais tomber et attendis une réponse de mon interlocutrice que j’espérais disponible pour discuter un peu.
Comptant appeler mon père dans la soirée pour lui dire mes impressions sur son numéro de la semaine, je l'imaginais déjà me demander des nouvelles de la jeune femme dont je le bassinais à chacune de nos conversations depuis quelques mois déjà. Il rêvait d'une présentation officielle, de mettre un visage sur celle qui faisait battre mon cœur, me reprochant – selon lui – de la lui cacher pour des raisons totalement folles (conclusions bien dignes d'un Stephenson, je devais bien l'avouer), troisième œil, pieds palmés...
Le code règlement:
→ Let's go Knicks
Dernière édition par Sheldon I. Preston le Sam 27 Avr - 21:29, édité 2 fois
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: sheldon preston - lick the palm of the burning handshake Jeu 25 Avr - 3:57
☇ at last she resigned to her fate.
J'avais cinq ans lorsque j'ai adoptée par les Preston. Mon histoire est un peu floue, compte-tenu du fait que je n'ai aucun souvenir de ma vie avant l'adoption, c'est le hic. Mon psychiatre soupçonne un traumatisme intervenu dans mon enfance et qui a affecté ma personnalité de manière irréversible, ce qui expliquerait pourquoi mes relations interpersonnelles sont aussi chaotiques. Possible. Mais peut-être que je suis née ainsi, tout simplement. Peut-être qu'il n'y a aucune raison qui justifie mon comportement ni la manière dont je ressens - techniquement pas -, les choses. Mais c'est ainsi. L'être humain a besoin de mettre des mots sur ce qu'il ne connait pas, besoin de se rassurer avec un concept qui lui est propre; contrôler encore et toujours, concept que je suis en mesure de comprendre. On me demande souvent quel plaisir et quelle satisfaction je peux trouver à travailler dans une chambre funéraire. Et bien, la réponse est simple. Pour le silence de cathédrale, l'atmosphère enivrante du vide. Pour l'esthétisme, l'espoir. Nous passons notre vie à nous détruire, qu'il s'agisse de nos sentiments que nous avons fui, de ceux qui ont étés bafoués par les autres, de nos rêves, de nos destins brisés par la société, par les drogues, l'alcool et les abus qui dominent aujourd'hui cette même société et qui, démocratisés pleinement à l'aube du vingt et unième siècle rend banal l'usage des drogues dures telles que le crack, l'ecstasy ou encore la marijuana et si par malheur tu n'es pas de ce monde, tu es un rebut de la société, un has-been fini. Parfois même on te pointe du doigt parce que tu as refusé un verre ou une putain de petite pilule alors que le trio d'à côté qui se la donne bruyamment, complètement beurrés et sûrement pas prévoyants en terme de contraception est jugé comme normal, dans le coup. Alors tu finis par accepter parce que la solitude et le rejet, c'est trop pour toi. Si tu ne veux pas d'ennuis, fous toi dans le moule, feint ta vie et tes émotions, point barre. Si je parle d'espoir, il s'agit en réalité d'un concept plutôt basique. Après une vie de débauche qui nous as conduis à nous haïr au plus profond de nous-même vient la mort, douce délivrance, une récompense après autant de simulacres et de mensonges ô combien plus pathétiques les uns que les autres. Et là, je sais ce que vous vous dîtes. Je n'ai rien à faire ici, peut-être. Mais je tiens à préciser que je ne suis pas dépressive, je ne vis pas non plus recluse dans mon coin en pleurant à chaudes larmes un avenir que je n'aurais jamais, non. Qui sait, peut-être rencontrerais-je quelqu'un, peut-être qu'on aura des gosses, un chien, tout le toutim, la panoplie complète de l'américain moyen. Ce n'est pas parce que je ne ressens rien que je ne peux pas jouir d'une vision aussi mièvre et idyllique. Je trouverais certainement un plaisir à tout cela. Et peut-être que les gosses, aussi insupportables soient-ils me permettront de m'oublier moi-même. Je suis certaine que je serais une bonne mère. Je vais bien, je vous assure.
☇ god gives and god takes.
Je ne suis jamais tombée amoureuse, je ne suis même pas certaine d'en être capable. Je l'ai pourtant vu sous toutes ses formes mais je ne suis jamais parvenue à l'expérimenter. Pourtant un jour, une certaine Alison a réussi tant bien que mal à mettre le grappin sur moi, à me passer la bague au doigt. Je dois admettre avoir été bien plus émerveillée par le cailloux que par la fille elle-même. Je me demande encore aujourd'hui, bien que nous soyons divorcées depuis bientôt deux ans ce qui en moi a pu déclencher une lutte aussi acharnée pour me conquérir. Elle méritait mieux, beaucoup mieux, je l'avais pourtant mise en garde mais vous connaissez la nature humaine. On aime à croire qu'il s'agit d'un masque; lorsque nous repoussons les autres, lorsque nous installons une véritable table distance avec le monde qui nous entoure. Mais, en grande idéaliste, elle a tenu à aller jusqu'au bout de ses convictions, ce que j'ai accepté parce qu'au fond, ayant repoussé toute personne s'approchant d'un peu trop près dans ma vie, Alison a été la seule à insister, me donnant l'impression que j'en valais la peine et c'était bien la première fois de ma vie que ce sentiment avait intégré mes pensées. Je suis la première à reconnaître qu'il est impossible de me supporter. Premièrement, parce que je ne me supporte pas moi-même, deuxièmement parce que je suis d'un point de vue médical, malade. Je ne saurais vous dire exactement ce que j'ai puisque je n'ai pas une maladie précise mais plusieurs fragments de différents troubles et troisièmement, parce que si je le pouvais, je vivrais seule et pour moi-même. En somme, Alison a supporté bien plus que vous ne pouvez l'imaginer, je crois bien qu'elle a manqué plusieurs fois de se retrouver à l'hôpital à cause de mes crises et si elle avait été plus fragile, elle aurait probablement tenté de se suicider. N'empêche. J'avais fini par, éprouver quelque chose. Je ne sais pas trop quoi. Un truc confus et un peu bancal, c'est vrai. Une sorte d'attachement, ce que je n'avais jamais ressenti pour personne, même pas pour mes parents adoptifs. Elle avait vécu le pire mais luttait, encore et toujours, ne faisant que m'aimer chaque jour durant, supportant ce bordel qu'était ma vie, la sienne, la nôtre. Je commençais à penser que toutes ses conneries existaient, l'amour, la chance... et puis un jour, elle s'est tirée. Elle a fait ses bagages et n'est plus jamais revenue à la maison. Deux semaines plus tard j'ai reçu les papiers du divorce et nous avons signés par avocats interposés sans jamais nous revoir. C'est un curieux sentiment que de faire le deuil d'une personne vivante. D'ailleurs, lorsqu'on me demande si je m'entends toujours avec mon ex, c'est ce que je réponds; qu'elle est morte, parce que c'est tout comme à mes yeux. Je ne l'ai plus jamais revu. Alison avait tout emporté avec elle. Notre avenir qui se dessinait pour la première fois sous mes yeux, nos souvenirs, chers et précieux et par dessus-tout, le semblant d'humanité qu'elle avait éveillé en moi et qui n'a plus jamais refait surface.
☇ times go by.
Aujourd'hui, il fait gris mais c'est un beau jour tout de même. J'ai quitté la Californie il y a peu car j'ai trouvé un poste fixe à la morgue. A bientôt vingt-six ans, je suis déjà reconnue par la profession. Je suppose que ça aide dans le domaine si ma formation initiale me destinait à devenir chirurgien esthétique. Une grande chaîne m'a même contactée pour devenir le visage de la société avec en prime un salaire plus qu'insolent, mais j'ai refusé, évidemment. Si je ne suis pas à l'aise dans la foule, ce n'est pas pour apercevoir mon visage sur une affiche en achetant mon café. Et puis je préfère de loin travailler à l'hôpital, de plus, le personnel évite mon service. Mon service. Si ce n'est pas la consécration à même pas trente ans. Je pense être honnête si je dis que la seule chose que j'aime est mon travail, de manière incompréhensible et inconditionnelle. L'hôpital y est devenu ma vie et la morgue mon foyer. Il m'arrive même de dormir sur place. Il n'y a rien de plus reposant pour moi que de me promener dans les locaux silencieux et d'entendre le cliquetis de mes outils lorsque je les repose après les avoir stérilisés, encore et encore même s'ils n'ont pas servi. Je vis ma vie, je fais des efforts, promis. Je gère mon agressivité dans un groupe qui se réunit une fois par semaine à l'église - quelle ironie -, je prends plus régulièrement mes médicaments, je ne rate aucun rendez-vous chez mon psychiatre. J'ai même pris la résolution d'appeler mes parents une fois par mois pour avoir de leurs nouvelles et m'engage à ne plus trouver d'excuse (ou du moins un peu plus crédibles) pour éviter les fêtes de famille. Qu'on ne vienne pas me dire que j'y mets de la mauvaise volonté. Et puis au fond, je ne cherche à déranger personne. Je ne suis pas méchante. Juste un peu bordélique. Donnez-moi ma chance.
Dernière édition par Sheldon I. Preston le Ven 26 Avr - 19:20, édité 1 fois
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: sheldon preston - lick the palm of the burning handshake Jeu 25 Avr - 4:59
Re-bienvenue parmi nous
Tu avais fait une demande de DC?
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: sheldon preston - lick the palm of the burning handshake Jeu 25 Avr - 9:52
Sujet: Re: sheldon preston - lick the palm of the burning handshake Jeu 25 Avr - 22:13
Re-bienvenue
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: sheldon preston - lick the palm of the burning handshake Jeu 25 Avr - 23:17
Bienvenue parmi nous
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: sheldon preston - lick the palm of the burning handshake Jeu 25 Avr - 23:39
ce prénom me fera toujours penser à TBBT.. bon courage pour la fiche !
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: sheldon preston - lick the palm of the burning handshake Ven 26 Avr - 11:00
MON DIEUUUUUUUUUUUUU. Je suis amoureuse de ta façon d'écrire, voilà, tu veux m'épouser ? Dis ouiiiiiii Non mais sérieusement, j'ai adoré lire ton histoire, elle est tellement bien écrite Ton personnage travaille à l'hôpital (certainement au même que Nate) et mon personnage est infirmier, de toute évidence, il nous fait un lien
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: sheldon preston - lick the palm of the burning handshake Ven 26 Avr - 16:40
Bienvenue sur le forum
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: sheldon preston - lick the palm of the burning handshake Ven 26 Avr - 18:52
Merci à vous tous, je n'en attendais pas moins de votre accueil, c'est tellement chaleureux ici
Nathanaël H. Rousseau a écrit:
MON DIEUUUUUUUUUUUUU. Je suis amoureuse de ta façon d'écrire, voilà, tu veux m'épouser ? Dis ouiiiiiii Non mais sérieusement, j'ai adoré lire ton histoire, elle est tellement bien écrite Ton personnage travaille à l'hôpital (certainement au même que Nate) et mon personnage est infirmier, de toute évidence, il nous fait un lien
Oui, je veux bien t'épouser. Es tu libre pour aller à la préfecture d'ici une semaine ? Que de flatteries, essaies tu de me soudoyer ? Bien entendu que je te réserve un lien si jamais ma demande de DC est acceptée et que mon personnage est validé. Pourtant je t'avouerais que je me suis pas foulée sur la qualité (il était trois heures du matin, d'ou ma relecture un peu trop rapide du règlement ) mais moi aussi j'suis amoureuse de Sheldon, alors on va devoir partager hein J'vais lire ta présentation
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: sheldon preston - lick the palm of the burning handshake Ven 26 Avr - 19:52
re:l:
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: sheldon preston - lick the palm of the burning handshake Ven 26 Avr - 20:15
on parle toujours de ta demande en zm, faudrait patienter encore pour notre décision
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: sheldon preston - lick the palm of the burning handshake Sam 27 Avr - 16:17
Bienvenue Bon courage pour ta fiche
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: sheldon preston - lick the palm of the burning handshake Sam 27 Avr - 22:10
bienvenue parmi nous
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: sheldon preston - lick the palm of the burning handshake Dim 28 Avr - 15:25
Merci quand même, ce fut un plaisir à rédiger, vous pouvez archiver
Contenu sponsorisé
Empire State of Mind
Sujet: Re: sheldon preston - lick the palm of the burning handshake
sheldon preston - lick the palm of the burning handshake
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum