Sujet: June Elizabeth Carter - Pocketful of sunshine Mar 16 Avr - 18:15
FEAT. Mila Junis
June Elizabeth CARTER
25 ans → Né(e) à Boston le 24/10/86 → Directrice artistique dans une agence publicitaire célibataire → hétérosexuelle → membre des workaholics.
And who am i ?
★Quelles sont tes caractéristiques? → Des tics et de tocs, des tacs et des tucs, y’a de tout chez moi. Je suis le genre de personne à avoir besoin de ses habitudes, à devenir hystérique pour un grain de sable. Je ne suis pas bizarre, juste un peu différente. Il faut que je vérifie toujours deux fois si ma porte est fermée et si les lumières sont bien éteintes. Je lave, j’essuie, et je relave les fruits que je mange, on n’est jamais trop prudent. Je range mes livres par ordre alphabétique, tout est rangé de façon symétrique sur mon bureau. Je ne mange pas les bonbons bleus, de n’importe quelle marque, ils ont toujours des goûts bizarres. Je m’arrête dans un fastfood à chaque début de mois depuis que je suis petite. Tradition de mes parents, que je continue à perpétrer. Si seulement il n’y avait que ça, je pourrais encore passer pour quelqu’un de plus ou moins normal. Mes produits de beauté et de douche sont rangés par taille, du plus grand au plus petit. Je ne change jamais de marque de lessive, c’est bien trop important. Je n’ai pas de piercing, sauf des boucles d’oreille, c’est féminin à ce qu’il paraît. Je m’habille toujours avec goût. Chaussures toujours assorties à ma tenue. Quand je rencontre des clients, je me dois de paraître professionnelle, surtout avec mon jeune âge, histoire de me donner de la crédibilité. Mais lorsque je vais au bureau, je ne me prends pas la tête, il m'arrive même de porter des jean !
★Quel est le caractère de ton personnage? → « Parfois, t’as vraiment un caractère de merde tu sais ? »
Et alors ? Je ne suis pas différente pour autant. J’ai peut être des exigences plus élevées que les autres, je manque de patience, et ma franchise n’est pas un atout pour faire de nouvelles rencontres. Des défauts tout le monde en a et mois plus que certains. Je les assume. C’est une partie de moi, c’est ce qui fait ce que je suis aujourd’hui. Je ne regrette pas d’être une petite emmerdeuse capricieuse. Je suis intelligente, obstinée, voire un peu bornée quelques fois. J’ai un grand sens de l’humour et homme qui rit, à moitié dans son lit. Quand j’entreprends quelque chose, je me donne à fond, je m’accroche, pire qu’un pitbull. C’est plus fort que moi, c’est dans mes gênes, je suis une battante, mon travail c’est presque toute ma vie. Je me dois de prouver que je suis à la hauteur. Je suis assez sensible c’est clair, mais j’évite de le montrer. Disons que je suis plutôt naturelle et que parfois je peux paraître un peu bizarre avec toutes mes petites manies. Je suis stressée. Patiente, mais je panique trop vite. Je peux devenir folle en quelques secondes. Je donne tout ce que j’ai à mon boulot. Ce n’est peut être pas la meilleure façon d’être heureuse, mais ça me convient pour le moment. Je suis toujours à cent à l’heure, j’ai besoin de bouger, je ne peux pas rester en place, même le week end, je suis incapable de rester posé dans mon canapé devant un bon film. Je range pour me détendre. Je nettoie, je lave. Je pourrais passer des heures dans une bibliothèque le nez dans des bouquins. J’aime la culture, j’aime apprendre. Au niveau des relations humaines on pourrait me qualifier d’handicapée mais je me soigne. Disons que je ne sais pas toujours trouver les bons mots, ou que je suis un peu maladroite dans ma façon de dire les choses. Voila, ça c'est moi.
Well... It's my story...
«Dis lui le goût de ma peine et le mal que j'ai eu. Dis lui ces moments de haine mais qu'il n'a jamais su.» J'avais six ans quand mon père s'est tiré sans rien dire, sans excuse. Il est parti, juste comme ça. Je revois encore sa silhouette élancée passer la porte. J'ai grandi à Boston dans une petite maison, dans un quartier plutôt calme. Rien de bien original. J'avais une mère institutrice et un père architecte. Je pensais qu'on était heureux, j'en étais persuadée. Après tout j'étais dans mon petit monde de poneys et de Barbie. Qu'est ce que je pouvais bien comprendre à leur problème ? J'aimais mon père, j'étais fière de lui, de le présenter à mes copines. Il m'a brisé le cœur. Il l'a mit en miette, un cœur de petite fille. Comment a-t-il pu m'abandonner aussi lâchement, sans même me demander pardon. J'ai longtemps cru que c'était de ma faute, que je n'avais pas été assez sage, ou bien qu'il ne m'aimait plus. J'ai bêtement écrit des lettres, sans adresses, simplement au nom de "Papa". Je pensais que le facteur savait où il était. Le facteur sait tout. Mais je n'ai jamais eu de réponse. J'ai très mal vécu son départ. Je me suis renfermée sur moi-même, et je restais seule à l'école. Ce n'est certainement pas la meilleure partie de ma vie.
« Le passé ça meurt, mais les souvenirs ça reste. Des fois ça fait du bien des fois ça blesse. »
Je n’ai pas vraiment eu d’amis jusqu’à mon entrée au collège. Je restais dans ma petite bulle. Les enfants sont cruels entre eux, ils ne prennent pas de gants. C’est cash, ça fait mal. Une fois dans mon nouvel établissement, j’ai comprit que je n’étais pas la seule, que d’autres n’avaient plus leur père ou bien leur mère. On était tous plus ou moins pareils, avec nos lots de joie et de tristesse. C’est plus facile de s’ouvrir aux autres quand ils ne vous jugent pas. On n’oublie jamais, on n’y pense juste un peu moins. Et ça me suffisait. J’ai fait la connaissance de quelques filles de ma classe avec qui le courant passait bien. J’étais heureuse de pouvoir enfin partager des choses avec d’autres personnes, autre que ma mère. Je me sentais libérée d’un poids. J’en voulais encore à mon père, mais moins. Je n’étais pas encore prête à le pardonner. Franchement, c’est le pied d’avoir des gens sur qui compter. Mes notes ont commencé à remonter, j’étais une véritable acharnée. Je voulais réussir en restant discrète. Je révisais avec mes camarades, je participais en classe. En fait, je ne me reconnaissais pas. C’était comme si j’étais devenu quelqu’un d’autre. J’ai grandi tout simplement.
« Je parlais de l'amour comme on parle du temps. Sans l'avoir vu au jour sans le connaître vraiment »
C’est durant ma première année de lycée que j’ai croisé son regard. C’était comme une bombe. J’ai senti mon cœur explosé dans ma poitrine. Je parlais des garçons durant nos soirées pyjamas, mais on restait à Brad Pitt et Johnny Depp. Avant ce jour la, je n’avais jamais été réellement intrigué et attiré par quelqu’un. Je n’osais pas en parler de peur qu’on se moque de moi. Après tout, je ne le connaissais pas, on s’était simplement croisé dans un couloir. Il était grand, beau, il faisait partie des sportifs, alors que moi, je me retrouvais dans le groupe des invisibles ou des intellos. Rien de bien glamour. La popularité, tout ça, ce n’était pas mon truc. Je préférais rester dans l’ombre des belles blondes, je n’ai jamais été très à l’aise devant un public. Je suis restée dans mon coin, en l’observant jour après jour, le plus discrètement possible. Franchement, je n’étais pas moche, loin de la, mais je n’étais pas du genre à passer des heures dans la salle de bain. C’est quand il m’a adressé la parole alors que je rangeais des bouquins dans mon casier que j’ai commencé à faire attention à mes cheveux et ma tenue. C’était presque le plus beau jour de ma vie. Le garçon de mes rêves qui me parle, à moi !! Moi ! L’espèce de cinglé accroc à ses cours. J’ai failli mourir, d’ailleurs, je n’ai pu prononcer que quelques mots compréhensibles. Il m’a simplement invité à boire un café après les cours. C’était bizarre, je me suis même demandé si ce n’était pas un coup monté pour se foutre de moi avec ses copains quelques heures plus tard. Mais non. Tout s’est bien passé, j’ai éviter de balancer des vulgarités, mais en restant moi même. Je n’ai jamais été d’une grande classe. Quelques heures avec lui et j’étais déjà accroc. C’est ça ma première histoire d’amour. Une première histoire de sept ans.
« Tu es trop belle pour être gentille. C’est pourquoi tu détruis tout ce que tu touches. »
Ma vie c’était un conte de fée. Y’avait rien à redire. J’avais un homme bien, quelqu’un avec qui partager ma vie. J’avais réussi à trouver un bon boulot dans une agence de pub, j’étais la reine des slogans. Et puis il y a eu la demande en mariage, les fiançailles. Le rêve de la plupart des filles. On avait un petit appartement pas loin du centre ville. Je gagnais bien ma vie pour une fille de vingt quatre ans. Et puis, j’ai flippé. J’ai eu la trouille de tout ça. J’avais besoin de bouger, de réfléchir. J’ai rendu la bague, j’ai fait mes valises et je suis partie. Tout comme mon père l’avait fait. C’est à ce moment la que j’ai enfin pu lui pardonner. J’étais comme lui. J’ai tout lâché comme ça. Comme une pauvre conne égoïste. Je suis venue à New York dans l’espoir de trouver des réponses, ou bien tenter de repartir à zéro. J’ai un peu galérer mais j’ai fini par trouver un boulot de directrice artistique dans une agence publicitaire assez réputée. C’est le début d’autre chose.
my little secret
★Ton prénom ou ton pseudo & ton age → Arya 21 ans ★Comment es-tu arrivé(e) ici ? → En fouillant sur mon ami Google ★Ce personnage est-il un double compte ? → Non ★Présence sur le forum → 4/7 ★Personnage inventé ou scénario ? → Inventé. ★Crédit images → Merenwen
Mon exemple de RolePlay:
→ Ca vous déchire le cœur, ça vous brise. Quitter la personne qu’on aime parce qu’elle nous fait plus de mal que de bien, c’est difficile. C’était mon choix, je n’avais pas assez de courage pour supporter ses maladresses et ses conneries. Les souvenirs ça reste, parfois ça fait du bien, parfois ça blesse. Je n’ai jamais souris en pensant à toi, je ne me suis jamais senti soulagé lorsque je me rappelais tout ce que nous avons vécu. Tu es la, avec moi, pour combien de temps ? Quelques heures avant de m’ignorer complètement ? Comme avant. Tu n’as pas changé. Je me suis endurci, j’ai appris à vivre sans toi, j’étais persuadé de pouvoir oublier. Mais non. A peine un regard et toutes mes convictions ont volé en éclats. J’étais si sûr de moi. Tu me fais trembler, tu me fais vibrer, tu me files la nausée. T’es dégueulasse. T’aurais du m’ignorer, faire comme si je n’existais pas. Je n’aurai pas du venir, pourtant au plus profond de moi je n’arrive pas à regretter. Je te déteste autant que je t’aime. Je voudrais t’étrangler et t’embrasser. Tellement de moments passés ensemble, des bons comme des mauvais. Pour le meilleur et pour le pire, surtout le pire. J’attends le meilleur. J’ai toujours été honnête, sincère, dès le premier jour, mais tu n’as jamais su l’être en vers moi. J’ai pardonné. S’il te plaît, montre moi que tu n’es plus le même con qu’avant. Prouve moi que cette fois, j’en vaut la peine. Plus que les autres. Je te regarde comme un animal blessé, je fais pitié. Je te veux. Plus que n’importe qui d’autre. Je te veux tout entier, ton corps, ton corps, ton âme. Please don’t leave.
Ce soir la, je t’ai sauvé. Je l’ai ressenti dans tout mon corps. Tu avais besoin de quelqu’un, et j’étais là. Je ne sais pas si c’est ce qui t’a poussé à revenir vers moi à chaque fois, mais je te jure qu’il y a ce lien indestructible entre nous. Tu ne veux pas le voir. Ouvre simplement les yeux. On pouvait pas se supporter, mais on s’aimait à en crever. C’est ça notre histoire. Toutes ces nuits passées dans tes bras, à calmer tes cauchemars sans même que tu t’en aperçoive. Prendre soin de toi lorsque tu débarquais à l’improviste chez moi dans un état pitoyable. Je le savais. Tu aimais que je prenne soin de toi. T’aurais préféré mourir que de me l’avouer, alors je faisais semblant de ne pas remarquer. Tu faisais toujours le fier alors que t’étais qu’un gamin perdu et blessé. Je t’ai aimé comme j’ai pu. Tu crois qu’un autre y arriverait mieux ?
Ton corps contre le mien me fait sursauter et je n’ose plus bouger. Est ce que je dois passer mes bras autour de ta taille et te serrer jusqu’à ce que tu ne puisses plus respirer ? J’ai perdu l’habitude de prendre soin de quelqu’un et sur le coup ça me tétanise. Je glisse doucement mes bras le long de tes côtes et pose mes mains sur ton dos. J’ai froid. Je suis fatigué. J’ai mal. Mais je me sens en vie. Tu me rends vivant. Je souris lorsque le bus arrive. Un retour en arrière, quand on ne se détestait pas encore. Je m’accroche à toi pour monter dans le bus et je te laisse m’emmener à cette place, où tout à commencer. Je m’assois à tes côtés et pose ma tête contre ton épaule. Je peux enfin respirer, me reposer. Je ferme les yeux, mes vêtements mouilles me font frissonner. Je voudrais que ce moment dure toujours. Malheureusement, il y a une fin à tout et je me doute qu’après cet instant magique tu vas disparaître. Je ne te laisserai pas me briser le cœur une seconde fois. « Toujours aussi bavard ». Je me suis redressé pour te regarder, pour te dévisager. Tu ne dis rien. Tu n’as jamais rien dit. Tu as toujours préféré tout garder pour toi et me laisser à l’écart. J’attends que tu poses ton regard sur moi et sans prévenir, je dépose mes lèvres contre les tiennes. Un simple baiser. Je te souris. Je suis désolé.
J’appuie sur le bouton à côté de moi pour demander au chauffeur de s’arrêter au prochain arrêt. Je me lève avec difficulté en me détachant de toi. « Je descend ici, c’est juste à côté de chez moi. Je suis content de t’avoir vu. » J’essaye de prendre sur moi, de faire comme si c’était normal. J’entends la pluie s’abattre contre les vitres. Je m’appuie sur les sièges pour avancer jusqu’aux escalier. Je ne sais pas si tu comptes rester sans bouger ou bien si pour une fois tu vas me courir après, me rattraper. C’est ta dernière chance. Ensuite, je te rayerai définitivement de ma vie. C’est terminé. Je me retourne rapidement avant de te balancer « Tu sais, je t’aime toujours comme un dingue. Mais… Je ne reviendrai pas te chercher encore une fois. C’est trop dur. Salut.» Je descends les marches en douceur pour éviter d’aller embrasser le sol. Une fois à l’extérieur, les gouttes glissent sur mon visage en même temps que mes larmes. Je n’ai jamais été aussi courageux. Je t’ai dit ce que tu ne m’as jamais dit. Je t’aime. C’est pas si compliqué pourtant. Être près de toi, c’est épuisant, physiquement, moralement. Je vais sûrement tomber malade, je n’ai plus de béquille, tu as failli me tuer en moto… Il est temps de rentrer, de prendre une douche et de me préparer pour retourner au travail. La vie continue comme on dit, mais la mienne s’est arrêtée le jour ou je t’ai quitté. Pourtant je reste là, planté comme un idiot. Je n’arrive pas à faire un pas. L’amour ça vous détruit. Je ne peux presque plus bouger ma jambe, alors je m’assois sur le trottoir, comme un vieux clochard, juste le temps de me remettre. Handicapé de merde. Pour une fois, sauve moi.
Le code règlement:
→ Let's go Knicks.
Dernière édition par June E. Carter le Mer 17 Avr - 18:37, édité 6 fois
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: June Elizabeth Carter - Pocketful of sunshine Mar 16 Avr - 18:20
Bienvenue parmi nous, bon choix d'avatar Bon courage pour ta fiche
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: June Elizabeth Carter - Pocketful of sunshine Mar 16 Avr - 18:20
Mila Quel excellent choix d'avatar Bienvenue sur NYCL, bon courage pour la rédaction de ta fiche ! Amuse-toi bien parmi nous
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: June Elizabeth Carter - Pocketful of sunshine Mar 16 Avr - 18:21
Bienvenue sur le forum et bonne fiche à toi! ♥
Katerina M. Lehtonen
Empire State of Mind
what doesn't kill you makes you stronger
▌INSCRIT LE : 15/04/2012
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▌CÉLÉBRITÉ : Demetria Devonne Lovato.
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Sujet: Re: June Elizabeth Carter - Pocketful of sunshine Mar 16 Avr - 18:27
KUNIS Bienvenue chez nous !
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: June Elizabeth Carter - Pocketful of sunshine Mar 16 Avr - 18:34
Bienvenue sur le forum et bonne chance pour ta fiche.
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: June Elizabeth Carter - Pocketful of sunshine Mar 16 Avr - 18:46
MILA Bienvenue sur le forum et bonne chance pour ta fiche.
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: June Elizabeth Carter - Pocketful of sunshine Mar 16 Avr - 19:05
Mila Très bon choix! Bienvenue sur le forum
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Sujet: Re: June Elizabeth Carter - Pocketful of sunshine Mar 16 Avr - 19:14
Mila, Bienvenue
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: June Elizabeth Carter - Pocketful of sunshine Mar 16 Avr - 19:38
Sujet: Re: June Elizabeth Carter - Pocketful of sunshine Mar 16 Avr - 19:45
coucou toi Et bienvenue
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: June Elizabeth Carter - Pocketful of sunshine Mar 16 Avr - 20:22
Olalala merci Tous ces bienvenues ça me met dans un état Encore merci à vous ♥
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Sujet: Re: June Elizabeth Carter - Pocketful of sunshine Mar 16 Avr - 22:33
bienvenue sur le fo
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: June Elizabeth Carter - Pocketful of sunshine Mar 16 Avr - 22:39
Kunis Bienvenue !!
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: June Elizabeth Carter - Pocketful of sunshine Mar 16 Avr - 23:18
Bienvenue iciii
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Sujet: Re: June Elizabeth Carter - Pocketful of sunshine Mar 16 Avr - 23:41
Bienvenue parmi nous.
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: June Elizabeth Carter - Pocketful of sunshine Mer 17 Avr - 11:36
Bienvenue
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: June Elizabeth Carter - Pocketful of sunshine Mer 17 Avr - 18:01
bienvenue
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Sujet: Re: June Elizabeth Carter - Pocketful of sunshine Mer 17 Avr - 18:38
Encore merci à vous tous *_*
Je pense que ma fiche est terminée si je n'ai pas fait de bêtises ! J'espère que je n'ai rien oublié
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: June Elizabeth Carter - Pocketful of sunshine Jeu 18 Avr - 1:44
Bienvenue sur NYCL! Bonne chance pour ta présentation et amuse-toi bien ici!
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Sujet: Re: June Elizabeth Carter - Pocketful of sunshine Jeu 18 Avr - 19:21
Welcome
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: June Elizabeth Carter - Pocketful of sunshine Ven 19 Avr - 13:29
Bienvenue parmi nous
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: June Elizabeth Carter - Pocketful of sunshine Dim 21 Avr - 22:33
Il aurait fallu que tu préviennes dans ce sujet-là que ta fiche était terminée, quelqu'un serait passé beaucoup plus tôt. Une autre Mila Kunis a terminé sa fiche, l'avatar reviendra donc à la meilleure fiche. On vous tient au courant.
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: June Elizabeth Carter - Pocketful of sunshine Dim 21 Avr - 22:57
J'ai prévenu dans ma fiche il y a quelques jours qu'elle était terminée =] mais je n'ai pas pensé a le dire dans le sujet spécial x.x
C'est pas grave =)
Merci
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: June Elizabeth Carter - Pocketful of sunshine Mar 23 Avr - 21:07
Bienvenue Bon courage pour ta fiche
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Sujet: Re: June Elizabeth Carter - Pocketful of sunshine