FEAT. Ryan Kwanten

Jaden Cross-Valentyne

30 ans → Né(e) à Baton Rouge le 10/04/1983 → Magicien (plus maintenant), Mannequin, nouvellement étudiant en marketing.
célibataire → bisexuel → membre des Playboys.

And who am i ?

★Quelles sont tes caractéristiques?
→ Avec les femmes, Jaden a toujours un tour dans le sac... littéralement. C'est bien là le seul vestige de son passé de magicien et il ne s'en sert que pour en mettre une dans son lit, pour impressionner, amuser.. Ça le rend attachant, quelqu'un lui avait déjà dit cela au cirque il y a plusieurs années. Côté vestimentaire, il porte depuis peu la marque pour laquelle il a été mannequin en Italie. Ce n'est pas bien compliqué, on lui offre la ligne gratuitement pour continuer à faire de la promotion. Il a donc une allure bon chic, bon genre, et ce qu'il porte vaut toujours une fortune. Il a également un tatou dans le cou, un V stylé, qu'il s'est fait faire à vingt ans en l'honneur de sa mère, Valentyne, qu'il n'a jamais connue. Depuis quelques mois, il porte des lunettes même si sa vue n'est pas très basse. Il est myope, mais juste un peu. N'empêche, le style lui plait bien et il déteste porter des verres de contact.

★Quel est le caractère de ton personnage?
→ Jaden semble, à première vue, un type charismatique et jovial. Il l'est, la plupart du temps, et il sait parfaitement bien s'intégrer et se faire apprécier. Séducteur, beau-parleur, moqueur.. Il se distingue souvent des autres dans les soirées, il sait se faire remarquer davantage. Depuis qu'il a fait du mannequinat, il est beaucoup plus à l'aise avec son apparence et il sait en profiter auprès des gens. Il a conscience d’impressionner, voire d'intimider quelquefois, plus ou moins volontairement. S'il a été un gosse bon vivant, curieux et imaginatif, il s'est tout de même plutôt aigri en vieillissant. L'énorme dispute qu'il a eue avec son père, et le fait que celui-ci soit décédé avant qu'ils n'aient pu s'en reparler et éventuellement se réconciliés, l'a profondément bouleversés bien qu'il n'en dira pas mots à qui que ce soit. Ne lui parlez d'ailleurs jamais de son passé, le cirque ou ses parents, car il risquerait de devenir très désagréable, voire agressif. Jaden est porté vers les excès : le sexe pour le sexe, les cœurs brisés, l'alcool, la drogue... Encore heureux qu'il tienne à son apparence, cela lui confère encore une certaine modération dans sa consommation. Plutôt sportif, il arrive à camoufler ses excès en s'entrainant énormément, ce qui le fait paraitre en assez bonne forme. Il s'est habitué au luxe et à l'argent, lui qui avait été plutôt pauvre pendant vingt-cinq premières années de sa vie, et il a tendance à dépenser sans vraiment compter. Son fond demeure bon, c'est un homme foncièrement amical et loyal, mais il a développé un certain égoïsme avec le temps, qui le pousse parfois à se montrer quelque peu manipulateur, voire menteur, spécialement avec ses conquêtes. À vrai dire, Jaden ne cherche pas (plus) à entretenir des relations honnêtes et stables, qu'elles soient amicales ou amoureuses. Ce qui l'intéresse, c'est de consommer ce qu'il veut quand il veut, de sortir et de se faire des potes momentanément sans leur devoir quoi que ce soit et pareil pour les coups de coeur. Il ne supporte pas son passé, trop lourd, et il ferait n'importe quoi pour éviter d'avoir à parler trop sérieusement de quelque chose s'en rapprochant avec quelqu'un. Avec le temps, c'est un mécanisme d'auto-défense qu'il a développé, parce qu'il souffre énormément et qu'il ne sait pas comment gérer cette douleur.

Well... It's my story...

Vous en connaissez des masses qui ont une mère contorsionniste ? En tout cas, il y a moi. J'ai longtemps cru que ce simple faisait de moi un être digne d'intérêt, plus intéressant que d'autres desquels il n'y a aucune raison particulière de parler. J'ai toujours eu un goût pour l'original. Être comme les autres ne m'a jamais intéressé ; il me faut du piquant, du nouveau, du spontané ! J'ai toujours été fier d'être son fils. Ce que m'en a dit mon père me l'a fait imaginée encore plus sublime, peut-être plus que ce qu'elle a vraiment été non seulement de par son physique attirant, ce que j'ai pu confirmer grâce à quelques rares photographies, mais surtout par sa douceur, sa candeur et son rire touchant... Mon père m'a si souvent décrit le rire particulier de ma mère qu'il me semble l'avoir déjà entendu. Et tout cela demeure, quoi que je ne l'ai jamais connue. Elle est morte en me donnant naissance, ce pourquoi j'ai hérité de son prénom, lié à jamais au nom de famille de mon père. Valentyne. C'est au cirque Cedrano, en Louisiane, qu'elle et mon père s'étaient rencontrés. C'est aussi là que je suis né et où j'ai passé les quatorze premières années de ma vie aux côtés de mon père. Étrangement, il a toujours su bien vivre avec le fait que je sois né en enlevant une autre vie. Évidemment, la disparition de ma mère l'a affecté, car aucune autre femme n'est passée dans son coeur par la suite et jusqu'à aujourd'hui, mais Kale et moi avons eu une relation père-fils d'une grande qualité. Tout jeune, j'admirais mon père qui lançait les couteaux, bien que je me suis plutôt intéressé à la magie, fasciné par les tours de Stepholius, le magicien de notre cirque, qui m'a même pris comme assistant. C'est de lui que j'ai tout appris, jusqu'à maitriser la prestidigitation à la perfection ! La magie était plus qu'une passion, c'était un mode de vie. J'avais souvent du mal à croire qu'on pouvait vivre en s'amusant autant, en faisant rire les foules, en les faisant s'émerveiller, et combien ces talents me permettaient de séduire les filles ! Puis, nous avons dû aller ailleurs quand les déboires de notre cher directeur ont mis le cirque en faillite. J'ai eu un mal fou à accepter de quitter cette famille qui m'avait vu grandir, de laquelle je tirais mes moindres racines, mais je me suis rapidement résolu à suivre mon père qui, grâce à sa renommée, a rapidement déniché un poste dans un autre cirque, le cirque Barnaüm. Et comme le temps passe vite, j'ai vu les neufs années suivantes de mon existence s'écouler à une folle vitesse dans ce nouvel environnement. Une chance pour moi sans doute, bien que je ne souhaite généralement la mort de personne, mais le magicien principal du cirque décédait deux ans après mon arrivée, moi qui était toujours assistant, et on me choisit comme remplaçant. La vie au cirque Barnaüm est rapidement devenue encore plus passionnante à mes yeux que celle au Cedrano, que j'ai rapidement oublié somme toute, sauf ma mère. Il y avait des gens formidables, spécialement un gosse du nom ridicule de Roméo (à l'époque, je trouvais cela ridicule, n'ayant jamais eu une grande éducation au niveau de la littérature anglaise!), pour qui je me pris d'affection en un rien de temps. Le petit était adorable, mais aussi vif et plein d'initiative. Impossible pour moi, même aujourd'hui, d'oublier notre première rencontre alors qu'il n'était encore qu'un gamin haut comme trois pommes âgé tout juste de quatre ans. « T'es grand ! » qu'il avait lancé, quelque chose comme ça. Malgré notre écart d'âge assez important, Roméo est très vite devenu mon complice. Je me prenais un peu pour son grand-frère, sans doute parce que je n'ai jamais vraiment été un solitaire même si la vie m'avait forcé à l'être en n'ayant personne au monde d'autre que mon père. J'ai vu Roméo grandir et s'épanouir, apprendre les tours au cirque, se faire un début de carrière et même avoir sa première petite amie. C'est probablement ce jour que je me suis rendu compte que les filles n'étaient pas les seules à me faire de l'effet et que le petit ange blond avait, au fil des années, piquer mon coeur d'une façon que je n'aurais jamais cru possible. J'ai donc éprouvé une certaine joie quand Roméo a lâché cette pauvre fille, que je détestais sans avoir de véritable raison autre que sa relation avec mon copain de vie, et j'ai trouvé la motivation nécessaire pour passer à l'action. Nous étions à Los Angeles, c'était dans un arbre. Cela fait partie des plus beaux souvenirs de mon existence, moi qui n'avait connu que des amourettes risibles avec quelques filles du cirque. À vingt-cinq ans, j'embrassais quelqu'un pour la première fois avec des sentiments, au sommet d'un arbre et à la belle étoile. Le moment était plus magique que n'importe lequel de mes tours.

J'ignorais alors que j'en étais à la veille de voir ma vie prendre une tournure des plus immenses. Quelques jours plus tard à peine, je voulais annoncer à mon père ce qui rendait mon coeur tant en fête, lui qui connaissait et avait toujours apprécié Roméo. Mon père avait été, depuis ma naissance, mon seul et meilleur ami, il m'était donc tout à fait indispensable de lui raconter ce qui m'arrivait. La rencontre avec Kale s'est toutefois avérée bien loin de celle que je me serais imaginée, car je l'ai trouvé ce soir là avec une bouteille de whisky à la main. Mon père m'annonçait que nous étions tous les deux virés du cirque, pour une deuxième fois jeté hors de ce qui avait des années durant été notre maison, notre famille. Mon père commençait à se faire vieux, et ses contacts ne lui suffisaient plus pour se trouver un autre endroit comme ça avait été le cas lors du premier renvoi. Nous sommes donc partis le soir même, sachant que plus rien ne restait pour nous. Je n'ai pas eu le courage d'avertir Roméo ni même de lui dire au revoir, sachant que mon père voulait me voir le suivre dans un bar où il s'était trouvé un emploi comme barman. Je n'aurais pas pu l'abandonner et choisir une autre voie, même si mon coeur souhaitait à tout prix demeurer auprès de Roméo. Je suis ainsi parti, entrant du jour au lendemain dans une vie plus banale. J'étais loin des tours de magie, des cheveux et des contorsions, vivant dans un appartement minable avec mon père et ayant tous les mois du mal à joindre les deux bouts. Cette époque a été sans doute la pire de ma vie, celle où je me suis senti le plus démuni. À vrai dire, c'est aussi l'unique fois. Quelques mois après que mon père et moi ayons commencé notre nouvel emploi dans ce bar, je suis venu à lui dire tout de même ce qui s'était passé avec Roméo. Il n'aura fallu que d'un désaccord entre moi et mon père pour nous séparer, alors que nous avions été inséparables durant plus de vingt-cinq ans, il n'aura fallu que de celui-là. Jamais mon père ne se serait douté de mon attirance pour les hommes. Jamais, non plus, il n'allait l'accepter. Moi qui avait connu Kale avec un esprit ouvert, je me suis rendu compte que même les gens les plus près de nous peuvent être ceux qui nous comprennent le moins. Ses paroles me blessèrent, mais pire que tout, elles m'insultèrent profondément. Sur un coup de tête, j'ai quitté l'appartement que nous partagions lui et moi, en rogne et à jamais frustré contre Kale. Je l'ai abandonné seul, après une dispute plus ou moins violente, mon père ayant sombré peu à peu dans l'alcool après avoir quitté le crique, qui comme pour moi avait été toute sa vie et plus encore, si longtemps. Je n'ai même jamais voulu chercher à savoir comment il s'organiserait pour payer le loyer avec un seul salaire. Mon père avait fondamentalement choisi de ne pas accepter qui j'étais et moi, j'étais convaincu de bien être celui-là. J'étais profondément malheureux, sans pouvoir vraiment l'exprimer à qui que ce soit, car si j'envisageais de plus en plus de poursuivre dans une vie "normale", ne voulant plus entendre parler de la magie parce qu'elle me rappelait inévitablement une mère jamais connue, un premier amour et une promesse de bonheur abandonnés lâchement sans prévenir, ainsi qu'un père aimé n'ayant pas su me retenir, et cela me semblait passer par les études. Je n'avais malheureusement pas un sous, sûrement pas de quoi payer des frais d'inscription bien dispendieux. Un coup de chance tomba sur moi, pour une rare fois en cette sombre période, et un recruteur m'a remarqué, me proposant un contrat de deux ans pour être mannequin d'une grande ligne de vêtements pour homme. Jamais ce type de carrière ne m'avait intéressé, mais jamais une chance comme celle-là ne se serait présentée deux fois.

J'ai mené une vie plutôt belle en Italie, me mettant à aimer les flashs des photographes, finissant même par bouger avec un certain naturel sur les podiums. J'ai complètement oublié la magie, même si quelque part au fond de moi, me retrouver sous les projecteurs me rappellent le bonheur d'être sur les planches. Je n'ai eu des nouvelles de mon père qu'une seule fois au cours de ces dernières années, et ça a été pour apprendre son décès. Suicide. Je ne veux plus jamais qu'on évoque ce sujet en ma compagnie. Je me suis trouvé un certain goût prononcé pour l'alcool d'ailleurs, tel père tel fils. Je n'ai jamais su aimer la vie comme je l'ai aimé quand j'étais gosse. Je n'ai jamais plus éprouvé ces papillons dans le ventre en embrassant quelqu'un, homme ou femme. Pourtant, combien d'imbéciles j'ai fichu entre mes draps rien que pour le besoin de ne pas me réveiller seul le matin. Les matins sont toujours difficiles. J'ai quitté l'Italie il y a plusieurs mois, décidant de ne pas renouveler mon contrat même si on me le proposait, afin d'entrer à la fac enfin. J'ai besoin d'avoir un but, pour ne pas trop sombrer dans la déchéance et les déboires. J'ai choisi marketing, pour adopter un autre masque sans doute. Il demeure un peu de magie en moi, je suppose, car j'arrive à changer de personnage très rapidement. Me voilà donc maintenant en étudiant - un peu plus âgé, mais qui ça dérange ? - intello (depuis que j'ai acheté des lunettes, j'ai cet air) doté d'une certaine célébrité, suites de l'Italie. Je n'aime pas cette vie, mais c'est la seule que j'aie.

my little secret

★Ton prénom ou ton pseudo & ton age → RED, 20y.o.
★Comment es-tu arrivé(e) ici ? → En voguant un peu partout à la recherche d'un nouveau forum où venir RP et rencontrer des Rpgistes sympathiques !
★Ce personnage est-il un double compte ? → Nope !
★Présence sur le forum → Habituellement 7j/7, mais je suis souvent en tournage, donc absente. Ceci dit, je préviens toujours quand c'est pour quelques jours.
★Personnage inventé ou scénario ? → Scénario
★Crédit images → Framboise + google images

Mon exemple de RolePlay:

Le code règlement:

le kwanten
Bienvenue

Bienvenue parmi nous Si tu as des questions, n'hésites pas à les poser. Je t'invite à aller faire un tour sur la CB pour te familiariser avec les membres

Ryan

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Bon curage pour ta fiche

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Bienvenue,

Bienvenue chez nous !

Ethan R.J. Blackson a écrit:

Bienvenue parmi nous !
Je vais juste faire ma chieuse Est-ce que tu pourrais changer ton prénom, s'il te plaît ? (Ou tout du moins t'arranger avec Roméo pour que ce soit possible ?)
Parce que ça ne m'arrange pas trop qu'on soit deux à porter le même prénom :/
Merci beaucoup d'avance Et bon courage pour ta fiche !

Aucun souci avec moi, je vais réfléchir à un autre prénom.

Merci tout le monde

Bienvenue

Bienvenue parmi nous

Bienvenue & bon courage pour la fiche

BIENVENUE

et vraiment merci de prendre le personnage, j'ai hâte de jouer avec toi, le premier amour masculin de Roméo

Vous êtes sympas ! :brigitte:
J'ai déjà envie d'avoir plein de liens ici !
Merci, Roméo. Au plaisir aussi !

Je devrais finir ma fiche au cours de la semaine !

Bienvenue sur le forum Jaden! ♥

Très joli choix d'avatar Ajoutes moi à la liste des liens que tu veux avoir
bienvenue

Quel super choix de scénario Je ne l'ai pas lu en détail alors je suis pressé de voir ton histoire et voir ce que tu as fais ce magnifique avatar
Bienvenue parmi nous

Ce choix de vava
Bienvenue

Jaden Cross-Valentyne a écrit:

Vous êtes sympas ! :brigitte:
J'ai déjà envie d'avoir plein de liens ici !
Merci, Roméo. Au plaisir aussi !

Je devrais finir ma fiche au cours de la semaine !

J'ai même hâte d'avoir un sujet avec toi FIRST LOVE

Bienvenue sur le forum

Bienvenue ici !

Ahhhh... le premier amour de Roméo. J'en connais un qui va pas t'aimer...

Ca fera un bon lien héhé !

Bienvenue parmi nous.