Sujet: 'easy' - titredelamortquitueviendraici Dim 5 Mai - 19:19
FEAT. ANDY BIERSACK
Trystan Steevens
23 ans → Né à Londres le 26/12/1990 → études en langues européennes célibataire → hétérosexuel → membre des Playboys.
And who am i ?
★Quelles sont tes caractéristiques? → a un nombre incalculable de tatouages et ne s'est pas fixé de limites → possède tous les walt disney en anglais, français, portugais et suédois → ne jure que par apple : mac, iphone, ipad, ipod, et il en est très content → sa fille est morte deux heures après la naissance et il n'arrive toujours pas à faire son deuil malgré les cinq années déjà passées → sa meilleure amie étant allemande il est bilingue depuis longtemps → a un pouvoir de concentration aussi élevé que celui d'un poisson rouge → connait la saga harry potter sur le bout des doigts, pokémon n'en parlons même pas → a tout plaqué de sa vie en angleterre mais n'a pu se résoudre à laisser son chat qu'il a du coup emmené avec lui → porte une gourmette certes masculine mais au prénom de sa fille et n'en séparera pas → est un pro du patin sur glace mais n'a aucun équilibre "sur terre" → vomit dès qu'on lui fait boire du thé → a choisi des études de langue sans savoir ce qu'il voulait faire de sa vie, juste parce que parler ne demande pas de concentration particulière → ne porte pas énormément de couleurs et a préféré en mettre partout sur les murs de son appartement → certains ne mangent pas de viandes, lui ne mange pas de poisson → a le vert en horreur → pourrait passer ses nuits à observer la lune et les étoiles, cigarettes entre les doigts → est horriblement nul en cuisine et a déjà mis le feu à son four sans même savoir comment il a fait → joue volontiers au basket ou au handball même si il n'a pas un niveau extraordinaire → est fan de prénoms peu ordinaires et a donc fait changer le "i" de son prénom en "y" pour faire moins commun → est bordélique mais trouve toujours ce qu'il cherche à coup sûr
★Quel est le caractère de ton personnage? → Tristan est un homme contradictoire car des vibrations dualitaires le caractérisent : ainsi le 1, tendance masculine, égocentrique, active et indépendante, lui confère une apparente confiance en lui, une allure fière et altière, un besoin d'être admiré et regardé, et le 2, tendance plus passive et dépendante, à l'écoute des autres et particulièrement sensible. Cette bizarre alchimie le rend souvent insaisissable et complexe. Il oscille d'une tendance à une autre sans véritable transition. Quand nous pensons trouver Tristan fort, responsable, sûr de lui, celui qui décide sans rien demander aux autres, nous sommes quelque fois surpris de nous trouver face à un être vulnérable, hésitant et qui doute. Seulement, il ne dévoile cette deuxième facette qu'à ses proches, la fierté et l'orgueil lui interdisant de montrer ses failles, si minimes soient-elles... S'il vit les vibrations de son maître nombre, Tristan aura un idéal élevé et pourra aisément se montrer tel qu'il se voudrait. Il aura même un certain ascendant sur autrui, d'autant qu'il saura se comporter à la fois de manière bienveillante et rassurante. C'est souvent dans la création ou les sciences humaines qu'il brillera. Intuition, imagination, sensibilité coexisteront au mieux avec distinction, idéalisme et perfection. Certes, si cela lui permet d'accéder à de hauts sommets, ce ne sera ni sans mal ni sans tension nerveuse excessive. Cependant, Tristan peut aussi vivre ses vibrations une octave au-dessous, c'est-à-dire au niveau du 2, et se satisfaire d'une vie plus tranquille, plus sécurisante, orientée vers la collaboration ou l'association par exemple, qui lui demandera moins d'efforts personnels. Quoi qu'il en soit, c'est un homme sociable, communicatif, sensible, serviable et qui possède un grand sens de l'amitié. Enfant, sa dualité 1/2 est sans doute plus problématique encore. Il se montre susceptible et vexé au moindre échec, supporte difficilement de n'être pas toujours brillant, et se laisse emporter par la colère, la rancune ou la jalousie lorsqu'il n'y parvient pas. Aussi faudra-t-il lui trouver un exutoire si sa scolarité n'est pas parfaite (ce qui est toutefois rare) dans un violon d'Ingres créatif où il pourrait exceller. Il faut développer sa sociabilité et son sens du partage.
my little secret
★Ton prénom ou ton pseudo & ton age → heartbox, 22 ans ★Comment es-tu arrivé(e) ici ? → par top site ★Ce personnage est-il un double compte ? → non chef ★Présence sur le forum → minimum 4/7 ★Personnage inventé ou scénario ? → Inventé ★Crédit images → Schizophrenic et Fae
Mon exemple de RolePlay:
→ Juliet ? L'enfant, en entendant ce prénom, leva un regard mécontent et des sourcils froncés sur la jeune pédopsychiatre chez qui on l'avait forcée à venir. Des histoires de grand mais il parait que quand on vit sans ses parents c'est obligé, pour que le juge soit sûr qu'on s'occupe bien de toi. Je m'appelle pas comme ça. Je m'appelle Athena. C'est tout. La jeune femme fut d'abord surprise par une telle intransigeance, une telle non-volonté à entendre le prénom que ses parents lui avaient choisi, et s'accroupit près de sa jeune patiente. D'accord Athena. Comment c'est de vivre avec ta sœur, tu veux bien me raconter ? La petite brune soupira et posa la poupée avant de regarder la jolie rousse qui pourtant l'ennuyait bien profondément ; celle-ci s'avoua que tant d'assurance était déstabilisant, sans compter sur le regard impatient et blasé auquel elle avait droit. Elle comprit alors : autant qu'elle en finisse vite. Jeanne s'occupe bien de toi ? La brunette hocha la tête sans hésiter. Elle rigole beaucoup avec moi et Mr Tigre. Elle fait toujours ce qui me fait plaisir, et en échange moi je mange le poisson. C'est une promesse qu'on a fait. Bien pensé. Au moins elle pouvait être sûre que la petite mangeait équilibré. Et qu'est ce qui te fait plaisir ? Bah vous savez. Comme manger une glace quand je rentre de l'école, ou faire des gaufres pour le petit déjeuner le samedi. Le samedi ? Oui parce que le dimanche on prend le petit déjeuner au parc. Lorsqu'on avait dit à la rousse qu'elle devait recevoir une petite fille ne vivant qu'avec sa sœur, elle ne s'était vraiment pas attendue à tout ça : qu'elle lui dise ne manger que des surgelés et des conserves, que leur appartement soit en bazar et que son aînée soit en retard parfois pour venir à la chercher à l'école parce qu'elle étudiait encore ou travaillait tard, voilà ce à quoi elle s'était attendue. Au lieu de ça elle se retrouvait face à une petite fille qui mangeait équilibré, ne semblait pas manquer de sommeil, adorait vivre avec sa sœur et avait déjà trouvé des habitudes à établir pour qu'elles prennent leurs repères. C'était ... Presque incroyable. Mais des fois elle me gronde, avoua Athena. Parce que je me bagarre à l'école. Bah voilà. Là c'était déjà plus normal. Et pourquoi tu te bagarres ? Les autres enfants sont méchants avec toi ? Ils disent que Nicole et Philippe nous aiment pas, et que c'est pour ça qu'ils sont partis. Et que si ils nous aiment pas ça veut dire que personne nous aimera jamais jamais et qu'on restera toujours toutes seules. Et tu n'aimerais pas être toute seule avec ta sœur pour toujours ? Bah nan. Faut qu'on ait des amoureux. Sinon la vie c'est pas drôle.
Le code règlement:
→ Let's go Knicks
Dernière édition par Trystan 'Easy' Steevens le Lun 6 Mai - 13:39, édité 4 fois
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: 'easy' - titredelamortquitueviendraici Dim 5 Mai - 19:19
Well... It's my story...
Allez Eileen, vas y pousse ! Je ... J'peux pas ... Tu peux le faire chérie. Vas y, l'encouragea encore le futur papa, conscient malgré tout que donner naissance après la mort de leur fille était un choc pour son épouse, qui en pleurait déjà. Chérie regarde moi. La maman, bouleversée encore par le décès prématurée de leur fille de huit ans, leva des yeux plein de larmes vers celui qu'elle avait accepté d'épouser vingt trois ans plus tôt. On a déjà perdu Serena dans cet accident. Tu veux en plus perdre notre fils ? Pleurant encore plus elle bredouilla un vague non entre deux hurlements de douleur, l'idée de perdre ce garçon après avoir perdu leur fille la torturant encore plus. Alors vas y. Pousse. D'accord ça pouvait sembler horrible d'oser parler à sa propre femme aussi durement, de lui rebalancer au visage un traumatisme en plus récent puisque ça ne faisait que quatorze mois qu'ils avaient enterré leur fille mais il la connaissait par cœur : il savait que lui faire comprendre qu'il n'y avait que ce moyen de lui faire comprendre l'importance d'accoucher, maintenant, au lieu de retenir le bébé en elle comme elle le faisait depuis de longs instants. Car c'était ainsi qu'ils auraient à enterrer un autre de leurs enfants. Le réalisant la belle Eileen donna alors ses dernières forces pour ne plus empêcher la naissance de son fils mais au contraire l'encourager, ses cris étant bientôt rejoints par le premier cri de celui qu'ils appelleraient Tristan en hommage aux origines françaises de Christian. Tristan. Bébé aimé et attendu de ses parents mais aussi de son frère et de sa sœur, ferait pour sûr bien des heureux dans sa belle et grande famille.
Huit mois. C'est innocent un bébé, même à huit mois. Tristan avait beau avoir grandi et montrer une grande motivation à ne jamais pleurer et vouloir se débrouiller tout seul il restait un bébé. Joli petit bébé aux joues roses, au sourire enjôleur, dôté d'un regard malicieux auquel on voudrait tout pardonner il avait conquis sans mal le coeur de son entourage et même les voisins s'accordaient à dire qu'ils avaient rarement connu un enfant aussi sage. D'habitude quand un enfant venait agrandir une famille ils s'attendaient à entendre des pleurs à n'importe quelle heure du jour et de la nuit mais l'appartement ne s'emplissait que de rires ce qui était ... nettement plus agréable. Jusqu'à cette nuit. Cette nuit où Eileen poussa un cri hystérique, empli d'une douleur si grande qu'on aurait juré lui arracher le coeur. Pourtant c'était encore pire que ça : on lui avait enlevé son enfant. Si lorsqu'elle était partie se coucher auprès de son mari le bébé dormait comme un prince dans son lit, ce même lit était vide alors qu'il était trois heures du matin. J'aurais juré avoir fermé la fenêtre, balbutia Christian en regardant les rideaux finement soulevés par le vent. La fenêtre. Voilà donc par où le montre qui avait enlevé leur enfant pouvait être entré : depuis l'hiver dernier elle ne se verrouillait plus et pouvait être ouverte de l'extérieur mais il fallait reconnaitre que son poids rendait la tâche impossible à qui ne s'y attendait pas surtout que leur appartement était au septième étage ! Le responsable ne pouvait donc être que l'un de leurs proches, quelqu'un qui connaissait l'appartement et savait comment s'y faufiler sans apeurer Tristan ou réveiller qui que ce soit, ce qui réduisait le nombre de suspects. Ne restait qu'à espérer que la police finirait par le retrouver ...
Toute façon toi t'as été adopté ! s'écria une petite fille de cinq ans d'une voix colérique, juste pour punir ce grand frère qui refusait de céder à ses caprices. Il n'y avait rien qu'elle détestait plus que de voir quelqu'un lui refuser quelque chose. Jessica ! En entendant son père l'appeler ainsi la petite fille tira la langue au pauvre Tristan, resté sous le choc de cette phrase assassine et courut se réfugier dans sa chambre. Adopté il savait ce que ça voulait dire. Ils l'avaient demandé à l'institutrice : ça voulait dire que ses parents n'étaient pas ses vrais parents. Que ses vrais parents n'avaient pas voulu de lui. Que c'était pour ça que Rebecca, cette jolie petite rousse aux yeux verts de sa classe, ne ressemblait ni à sa mère - une divine blonde aux yeux noisette - ni à son père, qui portait clairement ses origines espagnoles. Et depuis le petit garçon ne cessait de se demander si lui aussi, il ne l'avait pas été, adopté. Après tout ses parents avaient les cheveux clairs et lui avait une tignasse de geai, l'un avait les yeux verts et l'autre les yeux gris ... Lui avait les yeux bleus. Ils étaient plutôt épais et lui fin comme un fil. Ils avaient tous le même nez, à croire que c'était fait exprès pour qu'on reconnaisse les Peters, et lui non ... Sans compter qu'il ne se sentait pas à sa place dans sa famille. Comme si quelque chose manquait sans qu'il puisse expliquer quoi. Tristan, appela Christian en s'accroupissant devant lui. Ne l'écoute pas. D'accord ? Ta sœur est encore petite elle ne réalise pas ce qu'elle dit. C'était son moyen de te punir pour avoir refusé de lui donner ton gâteau. Mais ... Les larmes aux yeux il détourna le visage pour refouler ces doutes qui le rongeaient depuis des mois maintenant. Il ne devait pas faire souffrir sa mère avec ça. Elle était si fragile en ce moment ... Mais rien. Tu es notre fils, et nous t'aimons. Je sais ... Christian essaya alors un sourire, passant ses doigts dans les cheveux noirs du petit garçon. Il faudrait bien qu'ils lui disent la vérité un jour ou l'autre, il avait le droit de savoir d'où il venait quand même. Mais pas tout de suite. Il était si fragile, et encore si jeune ... Allez monte te doucher. On va pas tarder à passer à table.
Treize ans. Ils n'avaient que treize ans, pensa la directrice en soupirant alors qu'elle appelait les parents de la petite Carolyn. Comment leur dire - à eux comme aux parents de Tristan - que leurs enfants, à treize ans, avaient été surpris par un surveillant en pleins ébats dans les toilettes ? Elle leva les yeux au ciel et adressa un message au répondeur, préférant les inviter à venir pour en parler au collège que d'annoncer la nouvelle sur une messagerie. Surtout que la nouvelle serait un choc : leur fille de treize ans venait de perdre sa virginité. Ou du moins c'est ce qu'elle croyait ... Mais les adolescents étaient ensemble depuis trois mois et avaient déjà bien des expériences à leur actif. Ils n'étaient plus des débutants. Et à la voir si crispée, cette directrice qui les jugeait et râlait après l'inconscience des jeunes, il se pencha vers sa petite amie. En tout cas si elle elle le faisait plus souvent on en serait pas là, lui souffla-t-il en laissant ses doigts remonter sur la cuisse de la demoiselle qui pouffa de rire. Complicité qui exaspéra encore plus la quarantenaire qui n'avait réussi à joindre personne et se demandait si il restait encore une mère qui s'occupe de son foyer et de ses enfants comme il le fallait, dans ce pays. Allez madame soyez pas sévère. On faisait que s'amuser. C'est vrai quoi, on était discrets en plus, renchérit Carolyn qui encore une fois perdait une occasion de se taire. Réplique qui fit grimacer l'adolescent. Pas de doute il n'était sûrement pas avec elle pour ce qu'elle avait dans la tête, y'avait rien d'intéressant dedans. Il lança un regard blasé et désolé à l'adulte qui leur faisait face et semblait ne pas en croire ses oreilles. Laissez-nous au moins retourner en cours et on reviendra parler de la punition avec nos parents quand ils viendront. Mais je dirais qu'il n'y a rien de dramatique, une école c'est fait pour apprendre après tout : puis le sexe fait partie de la vie. Alors autant l'apprendre aussi. Et comme y'a pas de salle adaptée ... On a fait ça ou on a pu. C'était pas très romantique c'est sûr mais ... Bon d'accord il était ado et le romantisme, il s'en fichait bien. Puis il avait déjà fait subir tant de choses à ses professeurs elle n'allait pas le punir pour une bête partie de jambes en l'air ? Mais ses faux regrets et son air résigné parfaitement calculé eurent raison de la directrice qui soupira en se disant que décidément, elle se faisait trop vieille pour ce métier. Retournez en cours. Mais que je vous y reprenne pas !
Dernière édition par Trystan E. Steevens le Mar 14 Mai - 15:51, édité 7 fois
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: 'easy' - titredelamortquitueviendraici Dim 5 Mai - 19:21
Yeaaah, bienvenue officiellement parmi nous ! Contente que tu aies finalement décidé de t'inscrire Bon courage pour ta fiche