Sujet: (◭) Ernest - Once a year she remembers that she is insignificant Dim 19 Mai - 17:19
FEAT. DASHA SIDORCHUK
Ernest-Olympe Jay Carraway
22 ans → Née à Portland le 01/01/1991 → Étudiante en troisième année, Médecine. célibataire → hétérosexuelle → membre des ordinaries.
And who am i ?
★Quelles sont tes caractéristiques? → Ernest a toujours admiré les personnes tatouées. Véritables oeuvres d'art pour elle, lorsqu'elle était plus jeune, elle trainait souvent autour des salons de tatouages pour voir les nombreux dessins des tatoueurs et admirer la résistance physique des clients. Lorsqu'elle avait 16 ans, elle s'est approchée de trop près d'un salon est a été tentée par le diable. C'est ainsi qu'elle s'est retrouvée quelques minutes plus tard à devoir payer un vieil homme pour l'affreuse plume qu'il venait de lui tatouer sous le sein gauche. Sa mère n'est toujours pas au courant de cela est elle a terriblement honte de cette plume. Si bien qu'elle a décidé d'économiser pour la faire refaire par un vrai tatoueur, et pas un vieux barbu grincheux. → Être allergique à quelque chose d'aussi commun que le chocolat n'est pas chose facile. Surtout lorsqu'on adore ça. Ernest adore le chocolat et tous ses dérivés, malheureusement elle y est fatalement allergique. Elle s'est d'ailleurs souvent retrouvée aux urgences de plusieurs hôpitaux car elle avait une nouvelle fois craquée et ce, malgré ses médicaments. → Ernest a extrêmement peur du feu. Même venant d'un briquet. Cela l'angoisse et la déstabilise, elle perd alors tous ses moyens et se concentre sur la flamme qu'elle ne peut pas quitter des yeux, ne voulant pas la lâcher d'une seconde de peur qu'elle ne se transforme en vrai brasier. Durant son adolescence, ce blocage a vite évolué en crises de panique et hyper-ventilation. Sans s'en rendre compte, elle se met à respirer plus rapidement, plus précipitamment. Ses muscles s'engourdissent puis se contractent douloureusement. Si elle reste dans cet état trop longtemps, elle peut facilement faire un malaise car elle oxygène trop son cerveau. Une fois calmée, elle reste faible et muette pendant un long moment avant de reprendre le cours de sa vie. → Été comme hiver, semaine comme week-end, hors ou pendant les vacances, Ernest se lève à la même heure. Sept heures trente précise. C'est devenue une habitude au fil des années et petit à petit, la fatigue reprend le dessus car elle doit travailler plus que jamais pour rembourser son prêt étudiant. Par ailleurs, tous les samedis matin, elle va déjeuner dans le même petit café, prenant le même menu. Ernest persiste à croire que ce genre d'habitude la rattache à une vie normale qu'elle a perdue lors de la mort violente de son père. Tous les jeudi soir, elle mange chinois. Chez elle, dans sa coloc, elle a sa propre place devant la télévision qu'elle garde scrupuleusement.
★Quel est le caractère de ton personnage? → Il y a les gens joyeux de nature, ceux qui sourient à la vie. Ceux qui l’embrassent, l’enlacent des deux bras. Ceux qui ont toujours tout eu pour eux. Ceux qui mentent. Qui hésitent. Ceux qui n’ont jamais connu la mort, la peur et la rancune. Ceux qui ont aimé, ceux qui sont aimés. Il y a les gens naïf, craintif, sûr d’eux. Il y a ceux qui n’ont jamais été blessé, ceux qui ne le seront jamais. Il y a ces personnes qui nous regardent dans les yeux, celles qui savent déjà tout. Celles qui se foutent de tout, de vous et des autres. Celles qui sont douces mais méchantes. Celles qui vous en veulent pour un rien. Il y a les fragiles, les faibles, les sans-défenses. Il y a les gens gourmands, les gens libres, les gens sportifs. Il y a les feignants, les flemmards, ceux qui restent longtemps au lit. Ceux qui acceptent leur passé, ceux qui vivent avec et non contre. Ceux qui se plaignent, ceux qui n’endurent pas la douleur. Ceux qui sont mous et sans lueur. Ceux qui ne savent pas ce qu’ils veulent. Il y a les gens bête, violent et sadique. Il y a les monstres, les victimes, ceux qui ne se battent pas. Il y a les gamins, les enfants, les pudiques et les chiants. Il y a les flambeurs. Il y a les mesquins. Ceux qui feraient tout pour l’argent. Et puis il a Ernest, qui n’est pas comme cela.
Well... It's my story...
she used to live where innocence is burned in flames, she's missing home
«Ernest, monte dans ta chambre !» rageait-il à l’égard de sa fille de huit ans. «Maintenant !» lui hurlait-il, sachant que ce serait la dernière chose qu’il lui dirait. «Dépêche-toi…» lui suppliait-il, alors qu’il savait qu’ils étaient à sa porte.
Chaque parole était entrecoupée par des coups de plus en plus pressants sur la fine lame de bois que constituait la porte des Carraway. Chaque parole sonnait comme un au revoir, comme un adieu. Mais l’enfant n’écoutait pas. Elle restait à mi-chemin dans les escaliers délabrés. Et elle fixait son père, le regard plein de larmes. Pourquoi lui criait-il dessus tout à coup ? Qu’avait-elle fait de mal ? Et elle fixait son père, le regard plein de larmes. Tandis qu’il la regardait une dernière fois, le cœur plein de chagrin. «S’il te plait…» lui murmura-t-il, dans un dernier espoir de sauver la seule chose qui comptait réellement à ses yeux. Dans un dernier espoir qu’ils la laissent vivre. Alors qu’il s’apprêtait à mourir.
Ernest finit par obéir à son père. Elle monta les quelques marches restantes tandis que les coups plus pressants résonnaient à présent dans toute la maison comme un glas morbide, comme un adieu imprononçable. Elle avait peur, qui étaient ces gens ? Où était sa mère ? Qu’allait faire son père ? Devait-elle se cacher ou rester là ? Mais elle était curieuse, Ernest. Et elle resta là, le regard dépassant à peine de la cage d’escalier, braqué sur la porte d’entrée. Braqué sur son pauvre père qui ouvrait à présent la porte.
Dans un long craquement, il ouvrit lentement la vieille porte pour la dernière fois. A peine eut-il le temps de faire un pas de côté, reconnaissant les hommes pourtant masqués, qu’il fut jeté à terre. Un seul regard en arrière lui suffit pour constater la présence de sa fille à l’étage, épiant ses faits et gestes. Il ferma les yeux, laissant couler une larme qui finit son trajet sur le tapis usé de l’entrée. Il était désolé. Désolé d’avoir entraîné sa famille dans ses lamentables problèmes. Désolé d’avoir abandonné sa famille lors des moments les plus sombres de leur histoire qui étaient alors à venir. Désolé d’avoir finis si bas, à devoir de l’argent à des dealeurs de drogue. Et surtout, il était désolé de devoir infliger ce qui allait se passer à sa fille de huit ans. Parce qu’il savait qu’elle verrait tout, de ses petits yeux écarquillés, remplis de larmes et de terreur.
On ferma la porte derrière quatre hommes. Chacun d’eux avait une mission particulière. Tandis que deux partirent dans le salon et la cuisine fouiller la maison, un tenait à terre le père d’Ernest, tandis qu’un autre, visiblement le plus haut gradé, s’agenouillait près du père. « Où est mon argent, Eric ? » lui glissa-t-il à l’oreille. L’homme, affolé et pourtant si calme répondit dans un sanglot « Je ne l’ai pas Buck, je te le jure ! » Alors les deux hommes masqués se mirent à rire tandis que le chef se baissa à nouveau. « Tu sais ce qui arrive à ceux qui osent me jurer des choses, Eric. » Ils disparaissent. Leur maison aussi. Et leur famille est mise à la rue, puis détruite par le destin. Le père se mit à pleurer qu’il n’avait rien, qu’il n’avait pas les moyens, mais qu’il les aurait un jour, et qu’il lui rembourserait, et… D’un signe de la tête, Buck fit comprendre à son collègue qu’il était temps de mettre fin aux complaintes d’Eric. On lui scella les lèvres d’un tissu noir, il ne restait plus que de longs murmures aux justifications sans espoir d’Eric. Il ferma les yeux, sachant ce qui arrivait à ceux qui devaient de l’argent à Buck. Et il attendit la mort comme on attend un vieil ami.
De ses petits yeux écarquillés et remplis de larmes, Ernest regardait la scène d’en haut, comprenant que c’était une affaire de grand, qu’il ne fallait pas s’en mêler. Comprenant que l’homme qu’on appelait Buck était un des méchants de ses contes de fées. Comprenant qu’il fallait rester caché, qu’il ne fallait pas faire de bruit. Mais elle ne pouvait s’empêcher de pleurer tout en regardant la scène, parce qu’elle savait que son père pleurait et que ça ne lui était jamais arrivé.
L’homme qu’on appelait Buck fit relever Eric qui ne tenta même plus de se débattre. Il attendait la mort, les deux bras grands ouverts, tandis que Buck enlevait ses gants et retirait ses bagues en argent. C’est alors que d’un revers il arracha un cri au père jusqu’ici silencieux. Ernest sursauta. Puis un autre. Et un autre. De plus en plus rapides, de plus en plus brefs. De plus en plus fatals. Il frappait, encore, toujours. Dans les côtes, sur le foie, dans la mâchoire. Et bientôt le tissu ne suffisait plus à retenir le sang qui coulait à travers les dents brisées du père d’Ernest qui regardait la scène, du haut de ses huit ans. Elle ne pouvait fermer les yeux. Elle ne comprenait pas, mais elle savait que c’était grave. Et elle pleurait à chaude larme, le plus silencieusement possible tandis que deux hommes saccageaient sa maison, tandis que deux hommes prenaient la vie de son père.
Les cris se transformèrent bientôt en silencieux gémissements, en murmures à peine audible. Les mains de Buck étaient rouges, les yeux d’Ernest aussi. Mais lui c’était du sang, qui venait de son père ou ce qui en restait. Et il frappait encore, à croire qu’il aimait ça. Un autre, puis autre. Jusqu’à ce que les murmures ne soient plus que souvenirs. Jusqu’à ce que son père ne soit plus qu’hématomes.
Ernest ne savait pas quoi faire. Elle avait peur, se sentait en danger mais ne pouvait courir ailleurs. Il fallait qu’elle reste cachée, qu’elle attende sa mère qui pourrait tout arranger comme lorsqu’elle était tombée la veille dans le parc et qu’elle aussi avait saigné. Ernest savait que cette fois-ci, ça prendrait plus de temps. Son père avait saigné, mais beaucoup plus qu’elle n'avait. Le tapis jadis saumon était à présent écarlate. Plongée dans ses pensées, elle ne reconnut pas l’odeur d’essence qu’on déversait maintenant à travers sa maison. Le bruit d’une allumette qu’on craque et le claquement d’une porte la firent sursauter.
Son père avait disparu sous le feu, qui de ses flammes létales léchait les murs de l’entrée. Ernest devait partir, mais elle ne savait pas comment. « Papa ! » hurla-t-elle à s’en arracher les poumons. Encore pleine d’espoir, elle hurla une nouvelle fois « Papa ! ». Mais il ne répondait pas. Seul le crépitement des flammes lui faisait écho parmi les poutres qui tombaient dans son salon. Elle descendit les escaliers, s’éloignant le plus possible des flammes qui bientôt l’entraînèrent dans une danse fatale. Ernest n’en pouvait plus, son père avait disparu, sa maison brûlait, sa mère n’était pas là. Elle était seule, et le dernier souvenir de son père lui brisait encore le cœur. « Papa ! » tenta-t-elle encore une fois, d'une voie brisée par le chagrin et la fumée qui lui prenait la gorge. Pas de réponse. Elle se mit à pleurer, à supplier dieu qu’on vienne la chercher. Elle supplia, encore et encore. Elle implora le ciel du haut de ses huit ans que son père la reprenne dans les bras.
Mais ce ne fut pas son père qui la souleva au-dessus des flammes et qui l’emmena à l’extérieur à l’abri du danger. Non, c’était un inconnu. Mais ce ne fut pas son père qui l’aida à survivre dans des quartiers malfamés et qui lui apprit comment se servir d’une arme. Non, c’était un inconnu. Mais ce ne fut pas son père qui lui offrit ses études et qui lui apprit à vivre. Non, c’était un inconnu.
Et lorsqu'on lui demanda, une fois le drame passé, ce qui était advenu de son père et ce qui était arrivé à la maison, elle répliqua, hésitante « J'étais dans ma chambre...».
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my little secret
★Ton prénom ou ton pseudo & ton age → Gatsby, 18 ans 1/2. ★Comment es-tu arrivé(e) ici ? → PRD ★Ce personnage est-il un double compte ? → Non. ★Présence sur le forum → 5/7 ★Personnage inventé ou scénario ? → Inventé ★Crédit images → Tumblr
Mon exemple de RolePlay:
→ Les yeux ouverts, elle s'éveille d'un sommeil qui n'a pas eu lieu. Elle se lève, toute habillée et se dirige vers la cuisine tel un corps sans âme. Elle marche sans trop savoir pourquoi, pleine d'émotions mais vide de sentiments. Deux jours qu'elle ne dort plus. Elle trébuche sur la laisse sans rien au bout, ignore les appels, évite les photos. Mais malgré tout, elle continu à vivre, à survivre. Ce soir on a besoin d'elle au Carling, elle a besoin d'argent alors pourquoi pas. Marilyn traîna des pieds jusqu'à la salle de bain, se prépara et enfila une tenue à peu près chaude. Un coup rapide devant le miroir, elle essaye de cacher les cernes qui ont pris place sur son visage, mais en vain, même un aveugle sentirait que quelque chose ne va pas. Elle traverse le couloir, l'odeur du chien est toujours présente, elle attrape les clefs dans le saladier près de l'entrée, ferme la porte et appelle un taxi. Une fois dehors, Marilyn regretta de ne pas avoir pris de veste plus chaude que son gilet, il neige encore à Oxford ce soir. Elle monta dans le taxi, dit au chauffeur d'aller au Carling et se tut un moment, absorbée par les rues éclairées de la ville. Les décorations de Noël sont déjà là, certaines personnes se promènent, un bonnet de Noël sur la tête. Oubliant ses soucis, Marilyn observait les Anglais et les Anglaises dehors, qui déambulaient dans les rues, accompagnées ou seul, tous avaient un sourire aux lèvres. Elle soupira, tourna la tête vers le siège à côté d'elle, imaginant un instant Marley allongé sur la banquette mais s'interdit d'aller plus loin. Le chauffeur interrompit ses pensées «Mademoiselle ? Vous allez bien ?» Surprise par ces paroles qui se voulaient surement attentionnées, elle mentit en disant que tout allait bien. Marilyn le paya et sortit du vieux taxi noir. Elle marcha un peu, passa devant un Mcdonalds où elle prit un muffin histoire d'avoir avalé quelque chose dans la journée et une fois devant le Carling, elle entra par la porte de derrière et atterrit derrière le bar. Lyn' salua ses collègues qui prirent poliment des nouvelles, elle ne s'attarda pas et partit aux vestiaires où elle s'habilla de son uniforme. La maison voulait que les serveuses aient les cheveux tirés en arrière, ce qu'elle fit à l'aide d'une longue queue de cheval. Prête, elle s'accouda au bar. Peu de personnes vinrent lui réclamer à boire, elle servit tout le monde avec un sourire faux dont elle avait le secret, ce soir la clic de Tristan Faure n'était pas là, il n'y aurait donc pas d'embrouille. Un soir tranquille, un service tranquille. Voilà ce qu'il lui fallait, du calme. C'est là que son patron lui demanda de préparer la loge n°3 pour Andrea Leroy-Duchesne. Ha. Haha. Où est la caméra ? «Euh...Pardon ?» Articula-t-elle à l'attention de son patron. «Loge n°3 pour Leroy-Duchesne, et que ça saute, il arrive dans une vingtaine de minutes. » Elle souffla bruyamment, le patron était au courant de ce qu'il se passait entre elle et les deux garçons. Car pas d'Andrea sans Tristan dans un coin. Elle jeta un coup d'oeil indiscret à la salle, tournant sur elle-même « Marilyn ?! Pas de bêtise.» Quinze minutes plus tard, la loge n°3 était prête pour son altesse, juste à temps pour ne pas le croiser. Elle trottina vers le bar, et continua à servir calmement, jetant des coups d'oeil furtifs à la porte d'entrée
Il était là. Ils étaient là, dans la même pièce qu'elle. Tristan partit dans un coin tandis qu'Andrea se dirigea dans sa loge, pour faire sa star et faire un bide sur scène, haha, quel humour Marilyn. Un de ses collègues baissa les lumières, le régisseur alluma les spots, c'était parti. Plus personne ne vint au bar, trop occupé à écouter son Altesse Andrea. En plus, on dirait un nom de fille. Marilyn sourit à cette pensée, ce que c'est bon de se moquer des gens qu'on aime pas. Son numéro finit, les gens applaudirent, pour de vrai, Marilyn mit cet engouement sur le coup de l'alcool, jamais elle n'avouerait qu'il avait du talent. Il descendit de la scène, elle pria pour qu'il tombe, mais il fut sain et sauf en descendant les quelques marches. Il rejoignit sa princesse dans un coin sombre, le "couple" s'embrassa. À chaque fois qu'ils étaient ensemble, ils devaient s'embrasser plus ou moins devant elle, et chaque fois elle sentait un frisson lui parcourir le corps. Et dire qu'ils étaient cousins. Ah malheur, ils se lèvent. «Partez, partez, partez...» marmonnait-elle pour elle-même tandis qu'elle essuyait un verre. Évidemment, rien ne se passa comme elle l'aurait voulu. Andrea partit de son côté, escorté par un homme qui avait la trentaine tandis que Faure, lui, avançait vers elle. Marilyn leva les yeux au ciel et fit mine de ne pas l'avoir vu, chose qu'elle regretta lorsqu'il l'appela. « Quoi ?» lâcha-t-elle assez sèchement pour qu'il sache que sa place était, pour elle, dans une benne à ordures, mais pas trop, histoire de rester polie..
Dernière édition par Ernest-Olympe J. Carraway le Lun 20 Mai - 15:26, édité 13 fois
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: (◭) Ernest - Once a year she remembers that she is insignificant Dim 19 Mai - 17:21
OMG! Elle est vraiment troooop belle J'adore le pseudo aussi
Cependant, il va falloir en changer la forme pour que ça soit : Prénom P. Nom s'il te plait
EDIT: si mon message gêne, je l'efface
Dernière édition par Solal J. Dubois-Gallagher le Dim 19 Mai - 17:22, édité 1 fois
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Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: (◭) Ernest - Once a year she remembers that she is insignificant Dim 19 Mai - 17:21
Je ne connais pas du tout ta célébrité, mais je la trouve trop chou
Bienvenue parmi nous bon courage pour ta fiche
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: (◭) Ernest - Once a year she remembers that she is insignificant Dim 19 Mai - 17:27
Solal → Josh Je l'aime tellement ♥ et ton pseudo ♥ Merci beaucoup ! Je vais changer ça tout de suite alors
Dylan → Je ne la connaissais pas y'a moins d'un mois, c'est pour dire Merci beaucoup ♥
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: (◭) Ernest - Once a year she remembers that she is insignificant Dim 19 Mai - 17:28
Sujet: Re: (◭) Ernest - Once a year she remembers that she is insignificant Dim 19 Mai - 17:29
ooooh comme elle est jolie bienvenue
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Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: (◭) Ernest - Once a year she remembers that she is insignificant Dim 19 Mai - 17:30
La célébrité que tu as prise est juste magnifique, avec ses tâches de rousseurs! Bienvenue sur le forum! ♥
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Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: (◭) Ernest - Once a year she remembers that she is insignificant Dim 19 Mai - 17:34
ROUSSE POWA. Bienvenue parmi nous et bon courage pour ta fiche de présentation
Invité
Empire State of Mind
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Sujet: Re: (◭) Ernest - Once a year she remembers that she is insignificant Dim 19 Mai - 17:34
MAGNIFIQUE ( ) Bienvenue & bon courage pour ta fiche
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Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: (◭) Ernest - Once a year she remembers that she is insignificant Dim 19 Mai - 17:36
Ernest-Olympe J. Carraway a écrit:
Solal → Josh Je l'aime tellement ♥ et ton pseudo ♥ Merci beaucoup ! Je vais changer ça tout de suite alors
Mpotte moi si tu veux un lien. Mon perso est tout nouveau tout frais aussi Sur ce, je stop le flood
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: (◭) Ernest - Once a year she remembers that she is insignificant Dim 19 Mai - 17:38
Merci beaucoup les filles ♥ J'adore vos pseudo, ils sont fou Hahaha oui je suis obsédée par les tâches de rousseurs en ce moment Nat & Carlos : Merciiii VIVE LES ROUSSES ♥ Solal, je te Mpotte alors
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Sujet: Re: (◭) Ernest - Once a year she remembers that she is insignificant Dim 19 Mai - 17:56
Le choix d'avatar + olympe. Bienvenue sur le forum et bonne chance pour ta fiche.
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Sujet: Re: (◭) Ernest - Once a year she remembers that she is insignificant Dim 19 Mai - 18:05
Bienvenue ici ! Je kiffe aussi la célébrité, super choix!!
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Sujet: Re: (◭) Ernest - Once a year she remembers that she is insignificant Dim 19 Mai - 18:23
aaaaaaaawwwww qu'est-ce qu'elle est belle punaise. une rousse en plus. excellent choix d'avatar sérieusement et ton pseudo est superbe! bienvenue parmi nous, si tu as la moindre question n'hésite pas.
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Sujet: Re: (◭) Ernest - Once a year she remembers that she is insignificant Dim 19 Mai - 18:25
Hahahaha Julia, merci ! Merci beaucoup tout le monde ! ♥ Dis donc, quel accueil !
Sebastian E. Black
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a lion still has claws.
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Sujet: Re: (◭) Ernest - Once a year she remembers that she is insignificant Dim 19 Mai - 19:50
OMG, PORTLAND ! MADE IN OREGON ! Toi, je t'aime ! Bienvenue chez nous !
(du coup je réclame direct un lien haha)
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Sujet: Re: (◭) Ernest - Once a year she remembers that she is insignificant Dim 19 Mai - 20:14
J'aime le pseudo :brigitte: Bienvenue sur le forum
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Sujet: Re: (◭) Ernest - Once a year she remembers that she is insignificant Dim 19 Mai - 20:44
Hahahahaha brigitte Mackenzie → Oh oui un lien ! si tu as déjà des idées, ma boite MP est ouverte
Cheyenne L. Pearson
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if you're going through hell, KEEP GOING.
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Sujet: Re: (◭) Ernest - Once a year she remembers that she is insignificant Dim 19 Mai - 22:44
Je vais attendre d'en savoir un peu plus sur ton personnage et promis je te mpotterai (edit, je précise que je suis Mackenzie )
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Sujet: Re: (◭) Ernest - Once a year she remembers that she is insignificant Lun 20 Mai - 1:52
D'accord Merci beaucoup ♥ Par contre, j'ai une question : Pour mon histoire, je pensais faire trois évènements marquants de la vie d'Ernest, un pour l'enfance, l'autre pour adolescence et le dernier pour aujourd'hui. Donc ce ne sera pas une histoire de type normale où l'on voit toute la vie du personnage, parce que les trois évènements suffisent à comprendre Ernest je pense. S'il le faut, je rajouterais un "calendrier" avec les étapes importantes de la vie d'Ernest si le type de mon histoire ne vous convient pas
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Sujet: Re: (◭) Ernest - Once a year she remembers that she is insignificant Lun 20 Mai - 1:59
Bienvenue parmi nous Je plussoie, ta célébrité est juste magnifique
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Sujet: Re: (◭) Ernest - Once a year she remembers that she is insignificant
(◭) Ernest - Once a year she remembers that she is insignificant