Sujet: Sally ► When i was little, I dreamt of the stars. Lun 27 Mai - 0:27
FEAT. SAOIRSE RONAN
Sally Tallulah Turner
16 ans → Née à Middletown le 06/02/1997 → Lycéenne (10th Grade) Célibataire → Hétérosexuelle → membre des Artists.
And who am i ?
★Quelles sont tes caractéristiques? → En se regardant dans un miroir, Sally Turner aurait le réflexe de passer ses doigts dans ses cheveux avant de se rappeler l'inutilité de ce qu'elle aurait fait. Ses cheveux auburns sont assez longs, mais elle tient tout particulièrement à ne jamais se les attacher, trouvant que ça lui fait une drôle de tête à ne pas montrer en public, c'est pourquoi elle hait son professeur de sports qui lui tend toujours un élastique, prêt à les lui attacher lui-même - telle est son obsession pour la perfection et l’irréprochable attitude de ses élèves. Ce qu'elle regarderait, après avoir perdu son temps, serait ses yeux d'un bleu hérité de ses parents. Certaines de ses amies lui disent qu'ils seraient beaucoup plus majestueux si elle daignait prendre quelques minutes pour se maquiller, mais jamais elle n'avait compris pourquoi s'étaler de la peinture sur le visage était si important pour les filles de son âge, et même les plus âgées. Voir des enfants se maquiller comme une adulte, en sortant du lycée, lui renforce l'idée qu'elle est bizarre, sûrement anormale, mais elle ne s'en plaint absolument pas. Son père l'a toujours considérée comme la femme de sa vie, après sa mère bien évidemment. Il dit que ce visage d'ange lui vient obligatoirement d'elle, et il ne cesse de lui rappeler qu'il est fière que sa fille n'ait hérité de son visage dur et froid qu'il tente de dissimuler derrière un caractère enfantin qui lui est singulier.
Lorsque Sally vous offre son sourire, vous remarquerez tout de suite sa manière de plisser les yeux à cet instant et d'illuminer son regard pour vous mettre à l'aise. Elle aura aussi l'habitude de se blottir contre vous, que vous soyez un ami d'enfance ou une personne rencontrée il y a quelques jours seulement. Cette adolescente ne pourrait vivre sans contact physique, elle aime sentir quelqu'un la prendre contre lui, l'entourer de ses bras... Il y a surtout une personne dont elle ne pourrait se passer de contact, mais ça c'est une autre histoire.
★Quel est le caractère de ton personnage? → Si vous la retrouvez au centre d'une conversation, recroquevillée sur elle-même, c'est sans doute parce-que ses parents l'ont encore placée au centre du monde. Elle déteste être remarquée, pour elle, l'invisibilité auprès des amis de la famille, des autres ados au lycée est primordiale. Elle a toujours aimé la solitude. Se retrouver, dansant au milieu d'une douzaine de personnes à la fête du garçon le plus populaire du lycée, très peu pour elle. Non. Mademoiselle Turner n'ira pas exhiber la plus belle robe de sa penderie ce soir-là, mais elle s'enfermera dans l’appartement familial pour s'emmitoufler dans une couverture polaire devant sa série TV préférée. Autre plan, ses doigts la démangeraient et elle filerait dans ce cas devant son ordinateur portable, à plat ventre sur son lit, pour finir les plans de son futur roman. DERNIER plan ! Elle irait chez Timeo, le restaurant italien juste en bas de l'immeuble, pour retrouver Garett et parler encore sans pouvoir s'arrêter. Elle regarderait dans ces yeux presque verts qui lui redonnent à chaque fois le sourire et l'espoir de servir un jour à quelque chose. Ils riraient sans pouvoir s'arrêter après que Sally lui aurait raconté à quel point un certain Thomas était ridicule dans sa classe en voulant se donner l'air imposant et digne de respect. Puis, lui lui parlerait de son travail, il la conseillerait sur le début de son livre, comment commencer, puis comment le finir. Il lui inculquerait les bases, ou plutôt les lui rappellerait sans prendre la grosse tête. Enfin, voilà ce que Sally ferait, un soir comme les autres.
En cours, miss Turner n'hésite pas à prendre la parole, surtout en classe de Français, sa langue et matière préférée. Étudier cette langue belle mais très compliquée avec le professeur qui lui a été assigné cette année n'est plus qu'un grand plaisir à vivre chaque mardi et vendredi matin. Néanmoins, même si prendre la parole à destination d'un professeur ne la dérange pas, parler à ceux qui ne sont pas ses plus proches amis, très peu pour elle. Vous ne verrez jamais Sally faire le premier pas, d'où son grand manque de confiance en elle. Elle est très paranoïaque, stressée, angoissée de faire du mal à quelqu'un, de le déranger en s'approchant de lui et entamant une discussion. Geoffrey et Abby resteront ses meilleurs amis. Ils habitent toujours à Middletown mais ils sont restés en contact via internet, au plus grand bonheur des trois amis. Néanmoins, lorsqu'elle apprit qu'ils sortaient depuis peu ensemble, cette complicité s'est quelque peu dissipée, mais elle tente de se convaincre que ça ne change rien, rien du tout. C'est normal, si la vie continue à Middle... Sally vit à New York désormais, nouvelle vie, nouvelles personnes et nouvelles relations. Il faut prendre la vie du bon côté.
Well... It's my story...
Middletown. Sa définition dans le dictionnaire pourrait très bien être "Grande ville aux multiples espaces verts, privilégiant les relations entre ses habitants plutôt que la satisfaction personnelle de ceux-ci". Sally est née là-bas. Elle ouvrit les yeux sur le monde un jour d'hiver, sans neige, mais lorsque le soleil illuminait la ville à travers la brume matinale. Le petit hôpital situé en périphérie accueillit également un jeune garçon qu'on appela Geoffrey, seulement trois jours auparavant, puis une enfant qu'on appela Abigail, un mois passé. Les trois enfants vivaient dans le même quartier, à trois rues du centre-ville et de l'école primaire. Jamais dans leur enfance ils ne s'étaient considérés autrement que frères et soeurs, jamais, malgré leurs disputes fréquentes à cet âge-là, ils ne prirent la décision de faire disparaître cette amitié plus que fusionnelle. Abigail prit très vite le surnom d'Abby ; cette jeune fille, très proche de la famille Turner, s'épanouit en compagnie de Sally. Le garçon quant à lui, passait plus de temps au jardin d'enfant qu'avec ses parents.
La famille de la future new-yorkaise se résume à son père, William, directeur adjoint d'une entreprise de chaussures de sport, particulièrement passionné par tout ce qui s'y rapporte, il fait également partie du club national de baseball ; sa mère, Kathy, travaille dans une entreprise relative au matériel informatique mais n'en est pas mordue pour autant, considérant que le tricot ne sera jamais une affaire de grand mère mais également de mère, ce qui fait toujours rire sa fille. Hormis Sally, William et Kathy n'eurent jamais d'autres enfants.
La petite Turner eut une enfance paisible. Elle passait tout son temps libre entourée de ses deux meilleurs amis à arpenter les rues de son quartier. Ses années à l'école primaire furent fructueuses et lorsqu'elle rentra au collège, jamais elle ne fut si heureuse. L'établissement se trouvait un peu plus loin que le précédent, ce qui n'empêchait pas les inséparables de s'y rendre en marchant en funambule sur les trottoirs ou sautant à cloche-pied dans les amas de neige laissés par le passage de l'hiver. Ils furent presque toujours dans la même classe, mais lorsque ce ne fut pas le cas, la récréation permettait tout de même de les rapprocher, et ceux qui n'étaient pas avec l'un le rejoignait à sa sortie de cours, et l'autre qui n'était pas avec eux faisait l'inverse, et cetera.
Mais ce qui devait arriver arriva. Le père de Sally obtenu une promotion alors que la jeune fille allait passer en 9th Grade - l'équivalent de la troisième en France - obligeant la famille à déménager dans l'une des plus grandes villes du monde. La séparation fut très dure. Il y eut des larmes, des étreintes, mais tous trois savaient très bien qu'ils allaient se revoir. New York n'était pas sur un autre continent, il y avait la WI-FI, alors aucun problème. L'adolescente fut alors contrainte de quitter son village natale pour emménager à Big Apple, dans un vaste appartement situé à deux pattés de maison de Central Park. Elle eut beaucoup de mal à s'habituer à ce building qui lui servait de maison. Comment allait-elle faire pour connaître ses voisins ? Pour se refaire des amis à l'école ?
D'ailleurs, sa nouvelle école - primant sur la modernité - fut un véritable cauchemar, mis à part les professeurs beaucoup plus agréables et confiants que ceux de Middle. Les élèves s'étaient déjà créé bandes et autres groupes plus ou moins soudés, considérés comme communautés. Jamais Sally ne put en intégrer une. Mais être la seule dans ce cas-là aurait été bien triste. Une jeune fille nommée Mary-Jane était arrivée seulement une semaine avant elle, une chance pour les deux new-yorkaises qui devinrent immédiatement proches. Leurs après-midi ensemble se résumaient à passer leur vie devant la TV, chez l'une ou chez l'autre, considérant que se perdre dans les rues de New York était une très mauvaise idée. S'intégrer fut mission impossible. Un an passa alors qu'elles rentrèrent en 10th Grade, placées ensemble - après avoir attiré l'attention de leurs professeurs respectifs - au centre de la cohue.
Mais la nouvelle vie de Sally ne se résumait pas à métro-boulot-dodo dans la ville la plus impressionnante de la côte Est. L'immeuble où s'était installé les Turner - au onzième étage - se situait à deux numéros du restaurant italien "Chez Timeo", une entreprise en réalité franco-italienne qui plaisait toujours à la petite famille par son originalité. La place fétiche de la demoiselle se résumait à la table dans le fond de la salle, près du tableau représentant ces deux amants, enlacés sur le pont des arts, à Paris. Si seulement elle aussi pouvait vivre une histoire comme la leur. Jamais elle n'était sortie avec un garçon, jamais elle n'avait eu envie. Jusqu'à maintenant, depuis quelques mois...
Lorsque Garett entrera dans le restaurant pour s'installer près de la fenêtre, pour la première fois, Sally aura du mal à ralentir les battements de son coeur. Cette homme approchant de la trentaine la fascina immédiatement, et c'est lorsqu'elle ressortit des toilettes, quelques minutes plus tard, que leur premier contact se fit. Elle se heurta au jeune homme au détour du couloir, et se perdit en excuses inutiles, si bien que Garett les lui rendit. Le caractère si similaire de ces deux individus les convainquit qu'ils étaient fait pour s'entendre. Lorsque Sally revint à sa table pour terminer son assiette de pâtes et qu'elle vit l'écrivain retourner à sa place, jamais elle n'aurait supposé que leurs regards ne cesseraient de se croiser toute la soirée.
En sortant du restaurant, Sally aurait encore moins prédit qu'il lui courrait après pour lui rendre sa veste qu'elle avait maladroitement laissée sur son siège. Et si elle avait su qu'il la raccompagnerait en bas de chez elle, elle se serait fête la plus chanceuse au monde. Désormais, Sally et Garett se retrouvent toujours "Chez Timeo" à parler de tout et n'importe quoi. Lui vit de l'autre côté de Central Park, dans une petite maison rouge typiquement new-yorkaise, y passant ses journées enfermé à finir son nouveau roman policier. Il approche des vingt-six ans, ce qui fait presque dix ans d'écart entre les deux amis.
Naturellement, Sally en est tombée amoureuse, mais elle sait très bien que toutes ces années les séparent et qu'il n'y a rien qui pourra changer les choses. Elle a compris qu'elle ne pourra jamais être la fille du tableau, et lui l'homme qui la prend dans ses bras... Elle essaye néanmoins de se rappeler que l'amour n'a pas d'âge, mais elle a déjà perdu espoir.
my little secret
★Ton prénom ou ton pseudo & ton age → youngpadawan / Léa ★Comment es-tu arrivé(e) ici ? → Top-site ★Ce personnage est-il un double compte ? → Non, c'est mon premier compte ♥ ★Présence sur le forum → Je serai la le plus souvent possible, même si j'ai pas mal de boulot en ce moment au lycée, ça devrait le faire en passant tous les jours \o/ ★Personnage inventé ou scénario ? → Inventé ★Crédit images → Avatar : Mattress hole ; Icône : HogwartsRealm
Mon exemple de RolePlay:
→ Contexte : Doctor Who ♥
Un brin d’herbe, la Terre. Une étoile, une galaxie. Le temps, l’espace. Mark avait plaqué ses mains blanches et froides contre l’épaisse vitre qui occupait tout le mur du poste d’observation. Ses doigts longs et fins l’effrayèrent au premier coup d’œil avant de reconnaître leur maigreur habituelle. Son regard se plongeait progressivement dans la profondeur du ciel. Ce terme n’était sûrement pas adapté à la merveille qui s’étendait devant l’humain. Le ciel caractérisait cette chose qui rend chaque être minuscule, un grain de sable blanc sur une plage terrestre ou de poussière dans l’espace-temps, peu importe, c’était aisément comparable. Le ciel demeurait être ce qu’il y avait au-dessus des têtes propres à un astre, convainquant les enfants de tendre les bras vers lui, le seul but en tête étant de toucher son lit doux et voluptueux. Mais ce qui s’étendait face au jeune garçon n’était donc pas réellement un ciel, mais plutôt une sorte de « tout » dans lequel, si on l’y jetait, il semblerait flotter éternellement en son sein, sans jamais distinguer le haut du bas, la gauche de la droite… la terre, du ciel.
Mark Dichter avait été embarqué dans une de ces aventures qu’un être tout à fait basique et désavantagé au niveau imaginatif aurait qualifiée de fictive, d’irréelle ou d’impossible. Mais prenez un habitant de Gallifrey, entre deux âges, et posez-lui la question. Lui, vous dira que ces histoires sont une partie de sa vie, une certaine routine à laquelle il fut formé. Il vous dira aussi qu’il n’aime pas voyager seul, qu’il ne peut pas voyager seul, alors il vous dira qu’il vous propose un voyage. Il vous tendra la main, vous embarquera dans son vaisseau spatial et vous serez parti pour changer de vie, comme le jeune Dichter ici présent. Les pensées de celui-ci se bousculaient. La prison sontarienne, son ancienne planète, sa nouvelle, sa famille, Mendax… Il ne savait plus comment les filtrer, et voilà qu’elles le submergeaient. L’étoile face à lui l’envoûtait. Sa surface bouillonnante semblait le réchauffer au travers de l’épaisse vitre qui l’en séparait. Le TARDIS voguait dans l’espace, Mark ne put réprimer un frisson de bonheur.
Il dût rester ainsi près d’une heure, alternant les positions assises et debout. Puis ses pas le conduisirent à l’escalier le plus proche. Son objectif était de regagner la chambre du Seigneur du Temps. Il l’avait trouvé beaucoup plus froid qu’auparavant la veille, il ne laisserait pas passer ça. Il ne voulait pas le voir malade, étrange ou indifférent lorsqu’il était à ses côtés. Parfois il était détendu, enfantin. Il s’approchait de lui avec l’unique but de le prendre dans ses bras, mais d’autres fois, son esprit semblait se refermer, chassant ses sentiments à l’égard de son compagnon, lui désemparé. Il voyait dans ses yeux qu’il n’était plus vraiment le même qu’au départ, lorsqu’il avait pris sa main pour le faire quitter New-Berlin. Il n’était plus le même que lorsqu’il l’avait fait s’échapper de l’établissement sontarien. Il n’était plus le même que lorsqu’il avait pour la première fois poser ses lèvres sur les siennes. Un soupir trahit l’état de l’humain qui s’empirait, il devait le voir, absolument.
Arrivé face à l’entrée de la chambre de l’alien, son poing vint frapper trois longs coups sur la surface métallique de la porte. « Mendax ? Mendax, tu es là ? » L’absence de réponse le convainquit de rebrousser chemin, traînant des pieds sur le sol chaud du TARDIS. Mais ce fut lorsqu’il passa devant une porte qu’il n’avait jamais remarquée que son attention s’y focalisa, oubliant une partie du reste qui le paralysait. Elle était grande, imposante. Aucune poignée ni bouton, ni même de levier ne permettait de l’ouvrir. Une forte lumière et chaleur passaient par-dessous, incitant le jeune homme à se jeter à plat ventre pour y jeter un coup d’œil. L’air épais et chargé de poussière qu’il s’étala sur son visage ne le fit pas se relever. Il aperçu très vaguement le sol dallé couleur sable qui s’étendait juste derrière. *Qu’est-ce qu’il y a derrière ?* Était sans doute la seule pensée qui envahissait Mark à cet instant. Sa curiosité le fit se remettre sur ses pieds. Les converses noires qu’il portait, le jean légèrement à l’étroit et le pull épais tricoté main qu’il avait trouvés dans la penderie du TARDIS ne l’avaient jamais fait autant ressembler à un terrien.
Il posa sa main sur la porte avant de se laisser surprendre par l’énoncé d’une énigme. « Il ne faiblit qu’en passant la main derrière sa nuque. » Le sourire de l’humain s’étendit presque jusqu’à ses oreilles. Les dents blanches et parfaitement alignées qu’il révéla laissèrent deviner qu’il avait la réponse. « Le sontarien. » « Bonne réponse, Mark. » La porte s’ouvrit. Face à lui s’étendait désormais un champ, un véritable monde de murs le surpassant, formant un parfait et incroyable labyrinthe. Sous ses pieds, le sol qu’il avait pris pour une imitation s’avéra bien être composé de sable. Parfaitement lisse, balayé par un vent inexistant, personne ne semblait y avoir posé le pied depuis plusieurs semaines, voire plusieurs mois. En se retournant, il remarqua que la porte s’était dissimulée dans le mur à l’allure antique, marquant le départ du jeu. Sa main se porta à ses yeux, en guise de pare-soleil, lui permettant de distinguer une sorte d’obélisque qui pointait le ciel parfaitement clair et pur. La curiosité du terrien l’entraîna à s’avancer vers ce monument hors du commun.
Ses pieds foulaient le sable d’une telle lenteur que le temps semblait s’être ralentit. Les arbres lointains exécutaient une valse lente et soutenue sous la brise imperceptible et le chant des oiseaux invisibles formait un écho dans l’esprit de l’humain, perdu dans ce monde trop vaste… trop différent. Ce n’était pas comme une nouvelle planète, ce n’était pas comme un nouveau paysage, ni une nouvelle civilisation, de nouvelles rencontres… Mark Dichter détenait l’impression d’avoir plongé tête la première dans une toute autre dimension. Sa tête lui pesait, sans doute à cause de la chaleur, mais très vite il parvint au pied de la pointe de pierres. Les gravures à sa surface attirèrent son attention. Tous ces cercles, les uns dans les autres, ces lignes et ces ornements ressemblaient à un alphabet, quelque chose qu’il avait déjà croisé auparavant, dans le TARDIS de Mendax. Mais trêve de réflexions. Un bruit sec retentit au bout du labyrinthe, convainquant le jeune homme de se jeter dans le couloir le plus proche. Adossé contre un mur, il semblait vouloir s’y incruster, y disparaître complètement. Il savait très bien que ça ne pouvait être que Mendax, mais justement. Il n’avait pas peur, il était seulement joueur. Il vit le Timelord parcourir ces inscriptions du regard. Il se trouvait derrière lui, et sa discrétion le rendit soudainement fier. Il passa ses mains dans ses cheveux, puis s’approcha de l’alien à pas feutrés. Le sable ne crissait pas sous ses pas, il semblait même en étouffer le son. Et, doucement, il plaça ses deux mains sur les yeux du jeune homme, sans doute quelques secondes seulement après qu’il ait découvert sa présence. « Que fait un Seigneur du Temps, sans son compagnon, dans un endroit si étrange… » Il lui redonne la vue, puis se place devant lui. « Qu’il ne lui a même pas fait découvrir ? » Il croise ses bras sur son torse, en lançant un regard de faux reproches à son amant.
Dernière édition par Sally T. Turner le Lun 27 Mai - 10:18, édité 13 fois
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Sally ► When i was little, I dreamt of the stars. Lun 27 Mai - 0:29
God! L'avatarrr!!!! Ça m'étonne pour vrai que personne ne l'ait prit avant. Bref, bienvenue parmi nous
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Sally ► When i was little, I dreamt of the stars. Lun 27 Mai - 0:30
Saoirse Excellent choix d'avatar Bienvenue parmi nous Bon courage pour ta fiche !
Sujet: Re: Sally ► When i was little, I dreamt of the stars. Lun 27 Mai - 10:49
Validée !
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Sally ► When i was little, I dreamt of the stars. Lun 27 Mai - 10:53
Merci beaucoup Je sais pas trop quoi dire d'autre, je vous nême déjà
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Sally ► When i was little, I dreamt of the stars. Lun 27 Mai - 19:23
Saoirse ça fait bizarre de voir un perso sur un RPG qui a le même âge que moi irl bienvenue parmi nous
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Sally ► When i was little, I dreamt of the stars. Sam 1 Juin - 11:42
welcome
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Sujet: Re: Sally ► When i was little, I dreamt of the stars.
Sally ► When i was little, I dreamt of the stars.
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