FEAT. GWYNETH PALTROW

Mary-Jane Penelope Susan Jody Juliet McShane-McWink

38 ans → Née à Dublin le 21/07/1975 → Psychologue ergonome au sein de plusieurs entreprises, chercheuse, professeur en faculté et maître de conférence
célibataire → hétérosexuelle → membre des Ordinaries.

And who am i ?

★Quelles sont tes caractéristiques?
→ Les caractéristiques de MJ ? Elles sont simples, elle est fringuée au quatre épingles, ne porte plus son alliance depuis sa fuite à New York il y a 5 ans, est blonde vénitienne, s’attache tout le temps les cheveux et ne porte aucuns tatouages ou piercing. Si sa fille en avait, elle s’en moquerait puisqu’elle est désormais majeure et vaccinée. Notre MJ porte des lunettes, sauf qu’elle triche avec des lentilles de contact, elle adore porter des hauts talons et des habits classes, malgré tout, elle aimerait bien se sentir jeune un peu de temps en temps, sauf que ce n’est pas possible. Enfin, elle le croit. En attendant, à la maison, disons qu’elle est fringuée mais RAIMENT comme une célibataire. Elle traine dans des habits en vrac, mange de la glace devant sa télé et adore jouer du piano ou de la guitare à ses heures perdues. JT aime beaucoup l’écouter et aimerait surtout la faire jouer dans un groupe, car pour elle, sa mère a du talent.

★Quel est le caractère de ton personnage?
→ MJ est une grande rêveuse, elle est ambitieuse, bornée dans son travail, elle pourrait passer son temps devant ses écrans d’ordinateurs à bosser pour arriver à ses fins. Il n’y a que sa fille qui a le droit de la déranger et lui dire « mam’ viens manger ! », alors MJ s’arrête, sourit et se lève avant de voir que dehors, tout est noir, alors qu’il y a quelques heures, le soleil était levé. MJ ne voit pas le temps passer, c’est une passionnée qui veut terminer ses dossiers le plus vite possible. Elle travail toujours vite et bien. MJ n’est pas qu’une bosseuse, elle est aussi généreuse, elle va dans des bals caritatives, donne son temps à quelques orphelinat ou autres recherches. Ne supporte plus la violence, quand quelqu’un hausse le ton, même si c’est pour du travail, elle se lève et s’en va. Elle ne revient que si les gens ont terminé de se hurler dessus. Elle est phobique de l’homme et de ce qu’il peut faire, phobique de l’amour, phobique de s’attacher. C’est cette peur qui la ronge et la renferme du monde de l’amour et tout le tintouin. Elle aimerait bien vivre sa vie, mais il faudrait qu’elle trouve quelqu’un qui puisse lui permettre de se lâcher et de faire ce don elle en a envie. Malgré tout, c'est quelqu'un de très gentille, sociale et drôle. Elle est franche, dis les choses calmement et clairement.

Well... It's my story...

« Maman … j’t’en supplie … restes avec moi … maman … tu me manques … je t’aime … me laisses pas seule … j’ai peur », pleure une fille, portant dans ses deux mains, la main de sa mère. Cette jeune fille, c’est ma fille. June-Taylor. Oui, j’aime beaucoup les prénoms composés. Et oui, c’est moi sa mère, couchée, dans le coma depuis quelques longs et pénibles jours. Je tente de revenir à la surface, j’entends ma fille sangloter, ma fille de 21 ans. Elle a peur. Je peux savoir qu’elle a la gorge nouée, qu’elle prit chaque jour que je revienne auprès d’elle, que je la prenne dans mes bras et lui dise combien je l’aime. Tous les jours, elle vient, elle sort de la fac et reste avec moi, faisant ses devoirs. Elle déprime, elle supplie, elle pleure parce qu’elle n’en peut plus et qu’elle craque. Elle pète un plomb, je la comprends. Moi ? Je dors, même si j’aimerais tant me réveiller. On va faire un flash back pour vous dire qui je suis et comment je suis arrivée là.

Je m’appelle Mary-Jane Penelope Susan Jody Juliet McShane-McWinck. Tous les prénoms, enfin après mon premier prénom, viennent de grands-mères et arrières grands-mères. Je suis une Ecossaise, venant de deux familles de renom d’Ecosse. Née là- bas, j’ai naturellement grandit dans le luxe, la richesse et le gratin bourgeois. J’aurais pu être une garce, mais venant de la branche McShane, je n’avais pas intérêt de faire la peste de luxe, sinon ma mère risquait de me faire manger sa main aussi fort que possible pour que mes potentielles caprices s’enfuient de mon cerveau. De toute façon, il n’y avait rien à craindre de moi. J’étais une petite fille et une adolescente adorable. Intelligente, avec un QI supérieur à la moyenne, cultivée, curieuse, musicienne, je jouais du piano dès mes 5 ans et me suis mise à la guitare à 15 ans. En bref, ma vie bourgeoise était bien remplie. Je n’avais jamais rien à me plaindre. J’étais l’héritière d’une immense fortune, même si l’argent, je m’en fichais pas mal. De toute manière, j’allais partager cette fortune, cette richesse culturelle avec mon frère aîné, Georges. Il a toujours été un grand-frère très aimant et surtout très protecteur. Aucuns garçons n’avaient le droit ni de me regarder, ni de me parler et encore moins de me toucher sous peine de se prendre une bonne raclée. Après faut dire, Georges est doux, mais … avec ce grand molosse de 1m95 et sa carrure d’acier de rugbyman, je peux vous dire que personne n’osait le contre dire ou faire quoi que se soit contre lui. Mon ex mari a failli se faire tuer … dommage … il le mérité. Il s’appelle Eliott et m’a été imposé. Contrairement à mon frère-ainé, j’avais été sujette à un mariage arrangé. Je ne l’ai jamais approuvé, mais je ne pouvais rien y faire. Eliott n’a jamais été très gentil, ni tendre avec moi. Georges ne l’aimait PAS du tout. Vraiment pas … non mais … vraiment. Mon frère s’est marié avant moi et a eu un fils, dont j’en suis la marraine et ce fut à mon tour. Disons que je me suis mariée à 19 ans et j’ai eu ma fille à 20 ans. Eliott a attendu une bonne année avant de me violer sauvagement. Oui … nous n’avons PAS fait l’amour. Il m’a juste torturé sur le lit conjugal avant de me laisser là, en larmes. Il en riait ce con. Enfin, j’ai voulu mourir mais j’ai fini par me réfugier chez ma mère. Selon elle, c’était normal, il fallait que je sois forte. Mais je lisais dans son regard du regret, de la culpabilité, qui s’accentua dans son étreinte. Elle ne voulait pas que je divorce, c’était de plus, très mal vu à cette époque. Alors, j’ai serré des dents et a accueilli ma fille neuf mois plus tard. Eliott a une fille, il voulait un fils. Il a décidé de retenter l’acte de viol. Super hein ? Oui je suis ironique. Il a réussi à avoir un fils. Mort né cependant. J’ai déprimé. Alors qu’Eliott a failli me battre sur mon lit d’hôpital, mon frère est entré à cet instant là et Eliott s’est cru avoir vu sa dernière heure arrivée. Je suis restée chez mon frère et ma belle sœur, avec ma fille June-Taylor, pendant quelques semaines avant de revenir au domicile conjugal. J’ai dû laisser ma fille à une nourrice, je lui ai de suite fait confiance et pendant ce temps, j’ai repris mes études, ça m’a beaucoup aidé dans ma traversée de l’enfer et dans mes envies de liberté. C’est ainsi que durant 5 bonnes années, je n’ai vu que très peu de fois ma fille, je me suis battue à avoir mes diplômes, j’ai continué encore quelques autres années avant d’obtenir le doctorat et avoir la possibilité de faire des recherches. A ce moment-là, j’étais psychologue dans le domaine de la cognition, mais je voulais voir plus grand alors, je me suis mise à tenter de comprendre la nouvelle aire de la nouvelle technologie. Et franchement, ça me passionnait énormément. Lorsque j’eus enfin mes diplômes en main et que je fus embauchée dans une grande entreprise à Edimbourg, ainsi qu’à Londres, je voyais un peu plus ma fille June. Je voulais qu’elle soit heureuse, je ne voulais pas qu’elle croit que je l’abandonne. Alors, dès que je le pouvais, je l’appelais. Lui lisant des histoires quand elle avait 8 ans, lui laissait me raconter toutes ses nouveautés et ses histoires de cœur à ses 12 ans. Même en galas de bienfaisances, j’allais dans une pièce avec un téléphone et l’écoutais, avant de raccrocher avec tristesse et un « je t’aime ma chérie ». June a toujours été ma perle. Mon bébé, ma fille. Eliott la battait malheureusement quand elle parlait trop et que ça ne lui plaisait pas et lorsque je m’interposais, il me frappait durement. Plusieurs fois, June et moi nous réfugions chez mes parents. Et à chaque fois, mon père m’ordonnait d’être forte. Ma mère pétait les plombs et mes venues en catastrophe étaient des sujets de disputes. Ma mère voulait que je divorce. Et moi aussi. Ainsi que June. Je l’ai fait. Mais, 4 ans plus tard. Sauf qu’Eliott a fait trainer les papiers. Il a refusé de m’accorder ma liberté. Il voulait que mon père change d’avis, qu’il fasse en sorte que je revienne à la « maison ». Mon père l’a regardé et l’a cogné. Je suis partie avec JT a New York. Et pendant 5 ans, je me suis battue à ce qu’Eliott signe enfin les papiers, mais toujours, il réussi à ne pas le faire. Pendant ce temps, je continuais mon ascension dans le monde de la psychologie et surtout dans celui de l’ergonomie avec la nouvelle technologie. Plusieurs entreprises m’appelaient pour que l’on discute de leurs projets, de la mise en œuvre ainsi que des répercussions sur les utilisateurs. Je vivais quand même heureuse, me sentant célibataire, même si encore liée à mon ex. Par respect, je n’ai couché avec personne, même si ma fille pétait les plombs et disait que je méritais de faire la bringue, de me lâcher un peu, d’être amoureuse, mais elle savait … que ce genre de sentiments, j’en avais juste … peur. Alors, souvent, elle soupirait et me prenait dans ses bras, me disait ses « je t’aime », me serrait fortement et s’en allait. Je la regardais alors avec un sourire triste, le cœur serré. Et j’étais perdue dans mes envies. En attendant, JT suivait mes pas. Enfin, presque. Elle était intelligente, très. Disons qu’elle avait sauté une classe au lycée, s’est vu d’un QI supérieure à la moyenne, comme moi. Par contre, elle n’était pas l’intello frêle et sage comme je l’étais, elle ressemble plus à mon père dans le sens où elle aimait rentrer dans le tas des gens. Elle n’avait pas froid aux yeux et j’aimais son courage. Elle m’en donnait aussi. Tout aurait pu être malgré tout parfait, mais les choses ne peuvent pas l’être ainsi éternellement. JT est arrivée un jour à notre appartement. J’étais au sol, en sang. La pagaille régnait dans l’appart. Ma fille, 21 ans, a pleuré. Paniquée, elle a appelé les secours. Dire que nous nous étions disputées pour… je ne sais plus. Elle m’avait blessé avec des mots … que j’avais oublié. Car son regard humide, son souffle court, sa gorge nouée … ont fait qu’elle s’en était tellement voulu, que je voulais juste la prendre dans mes bras et lui dire : « c’est pas grave, on dit tous des méchancetés et après … on pardonne, parce qu’on le fait aux personnes qu’on aime ». Mais je l’ai regardé, je l’ai souris, un dernier je t’aime et je me suis évanouie avant l’arrivée des secours. Avant de partir dans les limbes, j’ai entendu un hurlement et je pense que c’est celui de ma fille. Ce qu’il s’est passé ? Pourquoi suis-je au sol ensanglantée ? Eliott est arrivé, a défoncé la porte ivre, m’a frappé et une dispute s’en est suivie. Puis une bagarre. Et enfin, un couteau dans mon abdomen. C’est comme ça, que JT était à mon chevet.

Et puis, je me suis réveillée, j’ai posé mon regard sur mon enfant endormi et lui ai caressé doucement les cheveux. Elle s’est réveillée immédiatement et a pleuré de joie. Les médecins ont prit soin de moi pendant que June me raconte ce qu’il s’est passé avec Eliott. Une fois rétablie, je pourrais passer au tribunal pour plusieurs choses conter son père. Je l’ai regardé et a sourit. « Maman … tu dois le faire », je la regarde « je sais », elle fronce les sourcils « tu ne le feras pas … bon sang maman ! Avec tout ce qu’il t’a fait ! Il mérite … ». Je la coupe d’un signe de main « honey, qui te dis que je ne le ferais pas ? Je VAIS le faire … je veux noter liberté ». Je lui ai sourit et quelques jours plus tard, me voila au tribunal. Me voila en train de mettre mon bourreau d’ex mari en taule, me voila libre. Aujourd’hui ? Et bien, ça fait juste deux jours que je suis libre et que je me rétablie doucement de cette folle aventure. Mon frère était venu de ma convalescence au tribunal, avec cette envie de démonter la tête à mon ex, qui s’en est tiré à une visite quotidienne en maison de psychiatrie. Tant qu’il me fiche la paix, le reste … je m’en fiche. Je veux juste un truc : vivre ma propre vie, comme je l’entend

my little secret

★Ton prénom ou ton pseudo & ton age → Justine, 23 ans
★Comment es-tu arrivé(e) ici ? → Une pub fb
★Ce personnage est-il un double compte ? → nop
★Présence sur le forum → 7/7
★Personnage inventé ou scénario ? → PI
★Crédit images → rabbit & gwynethfans

Mon exemple de RolePlay:

Bienvenue parmi nous Si tu as des questions, n'hésites pas et je t'invite à aller faire un tour sur la CB pour te familiariser avec les membres

Si mon post gêne, je le supprimerai

Encore une Errington

Bienvenue parmi nous
Bon courge pour ta fiche

Hé bé, les Errington! Bienvenue en tout cas, amuse-toi bien ici et bonne fiche! =D

Ma parole, c'est vraiment une invasion

Bienvenue

Bienvenue parmi nous

Hello bienvenue tout d'abord
Par contre les jimelles doivent être prises toutes les deux en même temps par deux personnes qui se connaissent déjà et en l'occurence, j'ai deux amies qui vont les prendre bientôt :/

N'hésite pas si tu as besoin d'aide pour trouver un autre personnage

Bienvenue chez nous

Hey la compagnie créole !! ah bah crotte alors :'( je venais juste de te mpotter mince X___X bon bah vais changer de perso alors tant pisch

Gwyneth
Choix de malade

Comme dit dans le mp, contente que tu restes Puis avec Gwyneth quoi
Bon courage pour ta fiche

Bienvenue sur NYCL

haha ça doit être sympa de remplir les papiers administratif avec un nom aussi loong Bienvenue sur NYCL & bon courage pour rédiger ta fiche toussa

Je kiffe trop l'avatar

Bienvenue ici !! Une psychologue je crois qu'elle va pouvoir avoir un lien avec tous les perso du forum

Bienvenue parmi nous

Excellent choix

Addison O'Brian a écrit:

Bienvenue ici !! Une psychologue je crois qu'elle va pouvoir avoir un lien avec tous les perso du forum

Bienvenue parmi nous ! Gwyneth est vraiment un choix extra

Alors déjà merci à tout le monde xD et oui j'attends tout le monde sur le ponton avec le fauteuil rouge et leur bouquin de Freud xD nan je découne ^^ ma perso est ergo dans tout ce qui est nouvelle technologie, la psychanalyse c'est pas son domaine xD mais en attendant, histoire terminée ^^

Niarf promis *o* merci en tout cas =)

bienvenue sur nycl

Thanks *o*

OMG EXCELLENT CHOIX D'AVATAR PUNAISE, je t'aaaime.
bon, j'arrive à la bourre comme d'habituuuude. bienvenue