Sujet: jaxson ∞ tears don't mean you're losing. Mer 5 Juin - 1:01
FEAT. SEBASTIAN STAN
Elliott Jaxson Callaghan
26 ans → Né à Austin, Texas le 22/08/1987 → mécanicien et serveur, pour dépanner célibataire → hétérosexuel → membre des outsiders.
And who am i ?
★Quelles sont tes caractéristiques? → Signe particulier : Je me suis fais tatouer lorsque j'avais dix-neuf. Mon tatouage est gravé sur mon avant-bras et représente les lettres de mon anniversaire, soit le nombre treize. Je possède également une cicatrice sur le sommet de crâne, cela dit elle est petite et ressemble beaucoup à un barreau de chaise. Je m'étais ouvert le crâne lorsque j'étais gamin, dû à une mauvaise chute sûrement, car je ne m'en rappelle plus vraiment.
→ Mon physique : Je ne suis pas un jeune homme spécialement grand puisque je mesure dans les un mètres quatre-vingt et quelques. Commençons par le haut ; mes cheveux sont d'une couleur châtain clair généralement en bataille puisqu'il m'arrive très rarement de les coiffer. Non pas parce que je n'ai pas le temps mais tout simplement parce que je n'aime pas être peigné et brossé comme l'élève modèle type. Au-dessous de cette masse capillaire, un visage plus ou moins ovale où trônent une paire d'œils d'une couleur gris métallisé, scintillants presque à la lumière du jour. La couleur de mes yeux varient en fonction du temps et des saisons. Par exemple j'aurai les yeux d'une couleur bleuté en été et bleu/vert au printemps. Un nez d'une dimension plutôt bonne réside au beau milieu de ce visage. Des lèvres légèrement pulpeuses sont également disposées sous ce nez. Je possède donc un faciès plutôt agréable à observer. Disons que Dame Nature m'a bien gâté. Parlons du corps à présent. Faisant régulièrement du sport, je possède donc un corps musclé et ferme. Bien que j'aime m'empiffrer de temps à autres de toutes sortes sucreries ; mais bon, je sais qu'après cela il faudra que je cours durant une bonne vingtaine de minutes pour éliminer ce que j'ai ingurgité. Rassurez-vous, je ne suis pas ce genre de garçon qui passent leur temps à courir pour éliminer Je fais tout simplement du sport pour le plaisir afin de garder un corps sain et parfait, ou du moins presque. Il faut donc dire que j'ai un corps de rêve mais contrairement à d'autres personnes, je ne me vante pas d'avoir une telle silhouette, au contraire. Les seules pouvant admirer ce corps magnifique sont les filles avec lesquelles je passe régulièrement mon temps. Là, elles peuvent contempler les courbes idylliques de mon torse, des muscles puissants et fermes surmonter d'un visage d'ange et vous obtiendrez l'homme - presque - parfait. Prétentieux ? Probablement mais, rassurez-vous, je me soigne.
★Quel est le caractère de ton personnage? → On comprendra que ma principale qualité est bien entendu ma perfection, mon don d'exceller dans n'importe quelle matière et ce, peu importe le nombre de temps que j'ai à consacrer à mes études ou à mon boulot, ma capacité d'apprentissage grandissante est irréprochable, cela ne serait rien sans ma soif de perfection, mon envie de se surpasser à chaque fois. On peut définir ce trait de caractère comme étant une détermination excessive, je ne vois pas cela de la même manière, non, je le vois comme étant du courage, de la force de caractère. Ne jamais baisser les bras, voila ma principale devise que je respecte chaque jours de ma vie, profiter du moment présent en est un autre cependant, ne profite pas des moments opportuns préférant peut-être les consacrer davantage dans ses études ? A vous de voir, enfin avec ma détermination, on peut voir le subtil mélange de ma patience et de mon sens des responsabilités. J'entretiens intelligemment mes relations et en déduis toujours les pours et les contres et c'est à partir de ces observations que je peux en déduire si la personne en vaut la peine ; petit futé ? Je le suis davantage : prévoir ses conséquences à l'avance, voilà un énorme progrès dans ce qu'on peut appeler la maturité. La manipulation est-ce véritablement un défaut ? Non puisque sans un talent d'acteur, jamais ses tentatives de manipulation seraient crédibles, alors étant excessivement futé, je cacherai probablement bien mon jeu la plupart du temps pour arriver à mes fins ... Cruel ? inhumain, faire croire aux autres qu'ils détiennent exactement ce qu'ils veulent sans pour autant leur laisser la moindre chance c'est ce qu'on appelle un brin de génie. D'autre part, je fonce et n’ai pas peur de dire ce que je pense. Je possède une technique imbattable pour combattre mes peurs ; je ferme les yeux et compte jusqu'à cinq, à partir de ce moment-là je dois oublier ma frayeur et continuer. C’est aussi un très grand passionné de musique, de théâtre, de cinéma, de peinture. Je suis également très franc, direct, ne mâchant pas mes mots, pourrait on dire. J'ai tout simplement horreur de garder les choses pour moi et je vais généralement droit au but sans me soucier des répercutions que certaines choses peuvent faire sur la personne en question. Bien entendu, je suis beaucoup plus doux sur ce sujet-là vis-à-vis des personnes que j'apprécie, afin de ne pas les blesser.
Well... It's my story...
C'est par un beau mois d'août que naquit Jaxson Elliott Calaghan, jeune homme promit à un avenir incertain, comme tant d'autres. Fils unique, je profitais de la fortune de mon père, compensant dès mon plus jeune âge son absence ainsi que celle de ma mère - ayant quitté le domicile familial pour raison alors inconnue lorsque j'eus six ans - par l’argent. Jusqu’à ce que j’aie quinze ans, je ne me posais pas trop de questions sur la vie que mon père menait, lequel prétendant œuvrer dans les « affaires ». Par ailleurs, je n’étais que peu attaché à lui, froid et silencieux lorsqu’il était présent à la maison. Nous n'avions jamais eu ce feeling, ce lien paternel (...) De plus, aucun de nous deux ne semblaient aptes à engager une réelle conversation ; quelques mots échangés, sans un regard .. rien. Ce peu d'affection, je l'avais ressenti et ce manque m'avait même bouffé durant une grande partie de ma vie. Je m’occupais donc comme je le pouvais ; les premières années de ma vie, une nounou prenait soin de moi quotidiennement. Lorsque je suis entré à l'école, je me consolais de la solitude et du désespoir qui régnait dans cette grande maison vide, en sortant avec des amis que je charmais avec mon caractère jovial et la vie qui m’animait. Aussi, je pris longtemps des cours de guitare, une de mes activités favorites, pour passer le moins de temps possible à la maison.
Populaire dès la petite école, je me distrayais avec ce que je pouvais : De petites amies, par exemple. À quinze ans ce n’était pas très sérieux, mais je multipliais les relations avec les filles. Qu'aimaient-elles réellement chez moi ? Mon côté mystérieux et beau-parleur ou bien ma sociabilité et mon manque de tact ? Je n'en savais rien mais tout ce que je ne pouvais nier était qu'à cet âge-là j'avais essayé plus de choses que la plupart des garçons de mon âge; l’alcool, bien sûr, la cigarette, ainsi que les drogues que j'essayais quelques fois simplement pour voir si ce qu’on disait était vrai. Il ne fallut qu'un jour, qu'une seule nuit pour que tout bascule : le 12 novembre 2008 ; en rentrant chez moi comme à mon habitude, un affreux spectacle se dressait devant mes yeux: Des voitures de police encerclaient mon immense maison, et une limite interdisait l’accès au terrain. Les cris, les sirènes, les pas pressés; j'avais les yeux remplis de larmes, je pleurais en sachant, mais sans le savoir... Je parvins à me faufiler entre tous ces gens en uniformes, entre ces curieux qui observaient la scène avec une expression qui trahissait leur avidité de savoir. J'entrais, tout en percevant une voix hurler mon nom et en sentant un policier me prendre par le bras pour tenter de m’entraîner hors de portée de la scène que j'avais sous les yeux ; Le corps de mon père gisait, inanimé, dans un coin, appuyé contre une commode, transpercé de la lame d’un couteau. Cette image restera gravée pour toujours dans ma mémoire, mais il m'évoque toujours des sentiments opposés; Le déni d’abord, semblable à la première étape qu’affrontent tous les autres face à la mort. Je ne pouvais le croire, c’était trop irréel, horrible ... Mais le sang dans lequel baignait l’homme avec qui j'avais vécu durant toutes ces années était là, rouge, écarlate ... La tristesse ensuite, déception d’avoir perdu un être « proche », « cher », après tout c’était mon père n’est-ce pas ? Puis la culpabilité de ne l’avoir jamais appelé « papa », de l’avoir négligé tout comme je l’avais fait, mais tout de même. Finalement la colère, la colère de comprendre tout ce que j'avais repoussé de mon esprit jusqu’à présent. Cette colère contre lui, mais contre moi-même également. On ne m'avait rien dit, on avait refusé de parler. Mais les pièces du puzzle s’assemblaient dans ma tête; j'eus le temps de réfléchir à cette énigme qui m’opposait à l’accomplissement de moi-même, les quatre longues années qui suivirent.
Âgé désormais de vingt-six ans, j'étais désormais plus seul que jamais. J'avais foutu le camps du Texas, préférant ne plus songer à la vie passée là-bas. Ca me rendait malade lorsque j'osais recaser les images de la mort macabre de mon père. J'avais mis les voiles en direction de New-York, le rêve américain allait-il finalement m'offrir une chance ? C'était pas vraiment ce à quoi je pensais. J'avais plus une tune, pas de sous pour payer mes études - de médecine - et j'avais tout juste de quoi payer mon loyer. Je refusais d'avoir un colocataire, j'étais bien tranquille dans mon trou à rat, au beau milieu du Bronx. Pourtant, après tout ce qui m'était tombé dessus, je m'étais décidé à reprendre ma vie en mains et aller de l'avant. Au bout de quelques semaines, on m'engagea sans grande peine en tant que mécanicien dans un garage dans le coin sud de Manhattan. J'étais le meilleur en ce qui concernait la réparation de nouvelles comme d'anciennes voitures et même de motos ; sans compter que le garagiste actuel manquait cruellement d'effectifs. Ce fut une aubaine pour moi. Certes j'avais horreur de bosser dans un quartier de riche mais je le faisais sans broncher. Je voulais gagner ma vie et pour cela, je m'étais aussi engagé à travailler en tant que serveur dans un des nombreux nightclubs de la ville. Je suis miséreux. La faute à qui ? Mon père, qui ne m'avait laissé que des broutilles dans son testament. Pourtant, je continue de garder espoir. Je pense même que s'il m'arrivait d'avoir un peu de chance et de tomber sur la bonne personne, mes problèmes financiers seront résolus plus vite que prévu (...)
my little secret
★Ton prénom ou ton pseudo & ton age → Lexy ★Comment es-tu arrivé(e) ici ? → Grâce à bazzart ★Ce personnage est-il un double compte ? → pas du tout (: ★Présence sur le forum → régulièrement. ★Personnage inventé ou scénario ? → personnage inventé. ★Crédit images → @tumblr.
Mon exemple de RolePlay:
→ « Sert moi un verre Cooper. » Verre tendu au dessus du punch, mon regard se portait en direction du jeune homme que je venais d''aborder. Un gars assez costaud pour son âge, les cheveux ébouriffés, l'air déconcerté mais terriblement canon. Je le connaissais depuis quelques temps déjà : d'après mes souvenirs, nous nous étions déjà croisés lors d'une fête identique à celle-ci. L'alcool coulant à flot, cela avait largement suffi à faciliter un rapprochement. « Ton verre Jamie. » Acquiesçant d'un signe de tête, je pris le gobelet qu'il m'avait rempli à raz-bord, manquant de le faire glisser de mes doigts - ma maladresse légendaire - C'est lorsque je comptais m'éclipser du buffet que Cooper - pardonnez moi, son prénom m'échappe - me rattrapa. Sa main agrippa mon avant-bras, un frisson s'empara de mon corps tandis que le beau brun reprit la parole, l'air sérieux comme jamais. « Je voudrai te voir tout à l'heure, vers ton pavillon, ça te dit ? » Je fis mine de réfléchir, me demandant s'il allait être mon plan c*l du soir ou s'il comptait simplement me causer et parler de la pluie et du beau temps. J'approuvais finalement. « Ça marche, on se voit dans trois-quart d'heure. » En guise de remerciement, je lui tapotais tranquillement le bas-ventre, plantant mon regard épineux dans le sien. Inutile de préciser que j'attendais le moment où ce beau mâle comptait me chevaucher. Celui-ci disparu de mon champ de vision, me laissant seule, un verre à la main et au proie à une tranquille errance entre les étudiants qui s'éclataient comme jamais. Me frayant un chemin vers un endroit plus ou moins tranquille, un sofa semblait me tendre les bras et je ne me priais pas pour le rejoindre. M'asseyant sur ce dernier, je bus tranquillement mon verre de punch, observant avec délice les jeunes qui s'emparaient de la piste de danse. Autant dire que j'étais plutôt contente d'être venue non accompagnée, cela me laissait plus de temps pour admirer les beaux mâles et choisir celui que je ramènerais en fin de soirée.
« P*tain, t'es trop bonne toi. » me susurra un gars qui venait tout juste de s'emparer de la place libre à mes côtés. Un loser, un de plus rétorquais-je, intérieurement parlant. Levant les yeux au ciel, j'implorais la déesse de l'alcool de me rendre complètement ivre pour pouvoir vomir sur cet homme qui m'apparaissait un peu trop collant. « Ouais je sais, inutile de me flatter, tu perds ton temps. » Mon regard se posa sur lui, le dévisageant brièvement avant de contempler ses pupilles qui étaient incroyablement captivantes ; le seul atout qu'il pouvait présentement avoir. « Ça te dit de tirer un coup vite fait ? Allez, s'te plaît .. » Ses lèvres se rapprochèrent dangereusement des miennes ; son haleine empestait l'alcool et je n'eus à peine le temps de bouger, qu'il commençait déjà à vaciller. « A ta place je boirais moins. Oh et un conseil, essaie de draguer la fille du bar, elle a des atouts qui risquent de te donner encore plus le vertige. » Cette fille, c'était Miranda ; la 3ème année de sciences po. On la surnommait ' miss gros lolos ' dû à la paire imposante - mais fascinante - qu'elle possédait. Suite à cette entrevue, je quittais les lieux pour prendre - enfin ! - place sur la piste de danse. J'étais probablement venue seule, mais je savais que mes ' soeurs ' étaient également présentes .. allez savoir où exactement. La musique était enivrante, percutante et rythmée. Mon corps ondulait sur une chanson de David Guetta. Malgré la piste qui était bondée, je me serai cru seule à danser, transportée par ce son purement dancefloor. Je prenais plaisir à me coller contre tous les corps qui se présentaient à moi. A force de sauter, mon gobelet s'était déversé sur le sol. Puis, le DJ vint à improviser d'autres chansons dont je ne connaissais absolument pas les titres, des remix qui me faisaient tourner la tête. Ma robe virevoltait à chaque saut, mes cheveux collaient à ma peau humide, c'était un pur délice.
Enfin, je décidais de quitter les lieux pour me rendre à mon - je l'espère - coup d'un soir - du moins, c'était ce que je pensais - Quittant la salle des fêtes, je m’accaparais d'une bouteille de vodka qui trônait en solitaire contre un muret, avant de m'éloigner de ce doux paradis. Il était plus minuit lorsque j'errai dans le campus avec et comme seul compagnon, cette bouteille de vodka. Tenant relativement bien l'alcool, il m'arrivait d'en ingurgiter des litres avant que je ne sois totalement saoule, à proprement parler. Empruntant des chemins familiers, je ne tardais pas à rejoindre cette grande avenue où se touchaient presque tous les bâtiments des confréries. M'avançant tranquillement en direction de mon pavillon, je remarquais rapidement qu'un homme s'était installé sur les marches menant jusqu'au perron. Pourtant, il ne ressemblait en rien à Cooper. « P*tain ... Il m'a posé un lapin. L'enfoiré ! » Je fulminais. Cooper n'allait pas venir, je le sentais. Cela faisait bien un quart d'heure qu'il aurait dû m'attendre et ce n'était pas le cas. Alors, mes pas se rapprochèrent rapidement de cet homme, ce .. cette espèce de clochard qui bousillait la peinture des escaliers. Je ne voyais même pas son visage ; les seuls vêtements qu'il possédait étaient son jogging pouilleux et son sweat à capuche dégueulasse. Qui c'était celui-là ? « Hey ! Hey toi le bouseux ... Dégage d'ici ! » ordonnais-je à ce type tout en me plaçant face à lui, gardant tout de même une certaine distance entre lui et moi. Buvant une gorgée de vodka, j'attendais qu'il ne vienne à redresser son visage pour voir à quel type j'avais à faire ; on ne sait jamais, s'il était canon, il y avait toujours moyen de s'arranger.
Dernière édition par Jaxson E. Callaghan le Mer 5 Juin - 15:19, édité 5 fois
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Sujet: Re: jaxson ∞ tears don't mean you're losing. Mer 5 Juin - 1:04
Sebastian Stan Excellent choix d'avatar
Bienvenue parmi nous Bon courage pour ta fiche Je te demanderai juste de mettre ton pseudo sous la forme Prénom P. Nom s'il te plaît
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Sujet: Re: jaxson ∞ tears don't mean you're losing. Mer 5 Juin - 1:06
Bienvenue
Très bon choix d'avatar
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Sujet: Re: jaxson ∞ tears don't mean you're losing. Mer 5 Juin - 1:10
Merci vous deux
Ethan + J'ai changé, merci pour la remarque
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Sujet: Re: jaxson ∞ tears don't mean you're losing. Mer 5 Juin - 1:11
Sebastian Stan ! Excellent choix de vava ! Bienvenue et bonne chance pour ta fiche !
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Sujet: Re: jaxson ∞ tears don't mean you're losing. Mer 5 Juin - 1:14
STANNNNN!!!!!!!!!!!!! J'adore tout simplement ce DIEU!
Bienvenue parmi nous
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Sujet: Re: jaxson ∞ tears don't mean you're losing. Mer 5 Juin - 1:20
Bienvenue parmi nous Bon courage pour ta fiche
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Sujet: Re: jaxson ∞ tears don't mean you're losing. Mer 5 Juin - 1:45
Sujet: Re: jaxson ∞ tears don't mean you're losing. Mer 5 Juin - 15:32
Oh god, j'ai trop aimé l'histoire Je suis curieuse de savoir ce qui est arrivé à son père Il nous faudra un lien
Je te pré-valide donc en attendant qu'un admin t'ajoute à ton groupe
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Sujet: Re: jaxson ∞ tears don't mean you're losing. Mer 5 Juin - 15:45
Stan Bienvenue parmi nous
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Sujet: Re: jaxson ∞ tears don't mean you're losing. Mer 5 Juin - 18:53
bienvenue
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Sujet: Re: jaxson ∞ tears don't mean you're losing. Mer 5 Juin - 19:53
Validé !
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Sujet: Re: jaxson ∞ tears don't mean you're losing.
jaxson ∞ tears don't mean you're losing.
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