FEAT. BEN BARNES

Matthéo Vince Hamilton

26 ans → Né à Miami le 26/04/1986 → Directeur d'hôtel
Célibataire → hétérosexuel → membre des Payboys.

And who am i ?

★Quelles sont tes caractéristiques?
→ ◮ Je souffre d'asthme chronique depuis l'âge de 15 ans. Si cette maladie ne m'handicape pas dans ma vie quotidienne, elle a en revanche pourri mon adolescence puisqu'elle m'a contraint à arrêter le sport de haut niveau alors que j'avais le potentiel pour devenir un très bon basketteur. ◮ Je n'ai aucune origine italienne et pourtant, mes proches disent que mes mains n'ont jamais autant la bougeotte que lorsque je suis en colère: le pire, c'est que je ne m'en rends même pas compte. ◮ Je me mordille la lèvre inférieure avec insistance lorsqu'une personne me met mal à l'aise ou qu'elle m'intimide. ◮ Je bouge frénétiquement ma jambe droite lorsque je suis stressé ou bien alors, je joue avec un stylo. ◮ Je déteste que l'on me touche les cheveux car je passe des heures entières à les coiffer le matin devant ma glace ◮ Je n'ai jamais aimé parler au téléphone: j'ai toujours trouvé ça trop impersonnel. ◮ J'ai un rire très communicatif qui est loin de passer inaperçu: j'ai d'ailleurs un humour qui ressemble à s'y méprendre à celui de Chandler Bing. ◮ Je possède un tatouage dans le haut du dos: il représente un lion et symbolise la force, le courage ainsi que le pouvoir. J’ai également le chiffre 7 gravé sur l'épaule droite: il fait référence aux 7 péchés capitaux et dans mon cas, il dévoile mon penchant pour la luxure. ◮ Je suis astraphobe: cela signifie que j'ai peur du tonnerre. ◮ Physiquement, j'ai toujours eu conscience d'avoir du charme et de plaire à la gente féminine. Je possède d'ailleurs un corps d'athlète que je dois aux nombreuses heures que je passe dans les salles de musculation. Mon visage a hérité des doux traits de ma mère et mon regard semble briller d’une sourde colère permanente et confère à ma gueule d’ange un air de mauvais garçon que je me plais à entretenir et à développer. ◮ Côté style vestimentaire, j'aime varier les plaisirs et m'habille donc en fonction de mon humeur.

★Quel est le caractère de ton personnage?
→ Je suis un homme que l'on peut difficilement comprendre au premier abord dans la mesure où je suis assez complexe à suivre. Etant souvent d'humeur changeante, il peut m'arriver d'être très renfermé sur moi-même et de ne pas paraître très sociable. Pour autant, je ne suis pas une personne foncièrement méchante mais il est vrai que je possède un caractère assez prononcé et qu'il ne faut donc pas me prendre de haut ou bien encore tenter de me marcher sur les pieds. D'ailleurs, même si je n'apprécie pas forcément la violence, je suis une jeune homme très impulsif et lorsque l'on me provoque, je démarre généralement au quart de tour. N'aimant pas trop m’attarder sur ma personne, il n'est également pas rare que l'on me voit comme quelqu'un d'assez mystérieux. Il faut dire que je connais parfois quelques coups de blues passagers et que j'ai alors tendance à rechercher la solitude. J'ai également un gros penchant pour le sexe et même si je ne considère pas les femmes comme des objets, j'ai toujours préféré les relations sans lendemain aux grande histoires d'amour. A côté de cela, je suis aussi un jeune homme loyal et généreux qui est prêt à tout donner pour les gens qu'il aime. J'ai d'ailleurs un sens de l'humour assez développé étant assez taquin dans mon genre et je ne suis pas le dernier quand il s'agit de s'amuser sans retenu. Malgré les apparences, je suis également une jeune homme assez sensible mais j'ai tendance à ne pas faire étalage de ce trait de ma personnalité.

Well... It's my story...

Assis en tailleur sur mon lit, je tentais d'accorder ma guitare à l'oreille car j'avais à cœur de jouer un morceau que j'avais entendu à la radio et qui m'avait particulièrement bouleversé. La musique coulait dans mes veines depuis ma plus tendre jeunesse mais j'avais encore beaucoup de progrès à effectuer pour manier mon instrument avec maestria. Pourtant, à ma grande surprise, j'eus alors l'impression d'être possédé par cette mélodie tant et si bien que mes doigts glissèrent sur les cordes avec une aisance déconcertante. Je sentis les poils de mes bras se hisser au garde à vous et je fermai les yeux afin d'oublier tout ce qui se passait autour de moi laissant alors la musique m'emporter dans ses pas. Il m'était impossible de décrire ce que j'éprouvais au fond de mon cœur mais l'espace de quelques minutes, j'eus l'intime conviction d'être intouchable. Si j'accordais autant d'importance à ma guitare, c'est qu'elle me permettait de m'évader quand j'étais à bout de souffle et je ne comptais plus le nombre de fois où elle m'avait sorti de la galère quand tout semblait se retourner contre moi.

J'eus à peine le temps d'achever ma composition que quelqu'un frappa soudainement à ma porte. Fronçant les sourcils et craignant déjà d'être confronté à ma belle-mère, c'est avec une certaine méfiance que j'invitai cette personne à pénétrer dans ma chambre. A ma grande surprise, j'aperçus alors ma petite sœur pointer le bout de son nez et immédiatement, mon regard s'adoucit car Stacy était sans doute la seule habitante de cette maison en compagnie de laquelle j'avais réellement envie de partager des moments de complicité.

- Qu'est-ce qui se passe ma puce? Pourquoi tu fais cette tête d'enterrement?

- Papa veut pas jouer avec moi, il est méchant.

- Il ne faut pas lui en vouloir mon cœur. Il était certainement occupé quand tu lui as demandé, voilà tout.

- Oui, mais toi, tu es toujours d'accord pour t'amuser avec moi, tu es le meilleur frère au monde.

- Moi, ce n'est pas pareil: je n'ai jamais pu résister à ta petite bouille d'amour.

A ces mots, j'attrapai Stacy et commençai à la chatouiller afin qu'elle retrouve le sourire. J'avais toujours pris mon rôle de grand frère très à cœur mais il est vrai que je veillais d'autant plus à son bonheur depuis le divorce de nos parents. J'avais eu peur qu'elle souffre de cette situation et qu'elle soit malheureuse de devoir être sans arrêt séparée de son père ou de sa mère mais si il n'était pas rare qu'elle me pose des questions à ce sujet, elle avait fini par se faire à cette nouvelle donne. Néanmoins, j'avouais sans difficulté que je devais continuellement combler les brèches pour ne pas que Stacy se sente délaissée mais dans la mesure où j'avais une grande affection pour ma petite sœur, je me sacrifiais avec plaisir pour qu'elle nage dans un bonheur sans fin. Je continuais donc d'embêter mon petit trésor lorsque mon père nous somma de venir à table. Je lui obéis sans broncher et comme toujours, le dîner se déroula dans un silence de cathédrale: ce n'est pas que nous avions interdiction de parler durant le repas mais simplement qu'il y avait une ambiance délétère qui régnait dans l'atmosphère dès lors que notre belle-mère se trouvait dans les parages. Stacy et moi-même ne lui accordions pas le moindre crédit et comme elle était assez cruche dans son genre, on ne lui épargnait rien alors que de son côté, elle tentait tant bien que mal de gagner notre confiance. Pour ma part, je ne la détestais pas mais comme je partageais une relation fusionnelle avec ma mère, il m'était difficile d'éprouver de l'affection pour cette jeune femme car chaque fois que je la regardais, je ne pouvais pas m'empêcher de penser qu'elle n'avait rien à foutre avec mon père. Elle venait tout juste d'atteindre sa majorité et j'avais parfois l'impression d'avoir une grande sœur tellement je trouvais inconcevable qu'elle sorte avec mon vieux. A la fin du repas, Stacy et moi-même quittâmes la table sans demander notre reste et comme souvent, on s'attira alors les foudres de notre père. Celui-ci nous critiqua et nous reprocha de ne pas aider notre notre belle-mère à débarrasser la table. Dans le fond, ses arguments étaient valables mais je ressentais tellement de dégoût à son égard que je prenais toujours un malin plaisir à le provoquer: je crois qu'en quelque sorte, je ne lui avais jamais pardonné son infidélité et la peine qu'il avait causé à ma mère. D'habitude, j'ignorais ses remarques afin de ne pas envenimer la situation mais cette fois-ci, je ne pus m'empêcher de lui balancer mes 4 vérités dans la figure et forcément, il vit rouge: il me délivra alors une claque monumentale sous les yeux apeurés de ma petite sœur et bien qu'il sembla aussitôt regretter son geste, je le laissai en plan et rejoignit ma chambre à la vitesse de l'éclair. M'écroulant sur mon lit, j'eus alors envie de pleurer mais je n'en fis rien d'autant plus que Stacy ne tarda pas à m'apporter un peu de réconfort. Après avoir échangé un câlin des plus tendres, elle me demanda de jouer de la guitare et je ne me fis pas prier pour lui accorder cette faveur. Je ne savais pas encore ce que l'avenir me réserverait mais j'étais convaincu d'une chose: ma sœur et moi-même resterions unis pour la vie.



- Je suis vraiment désolé mais je ne parviens pas à suivre ton raisonnement, tu peux m'expliquer une fois de plus?

- Tu es vraiment chiant Matthéo, je vais vraiment finir par croire que tu le fais exprès.

Et elle n'avait pas tort. La vérité, c'est que non seulement, j'avais parfaitement compris l'exercice qu'elle m'expliquait depuis maintenant plus d'une demie-heure mais que je m'en foutais surtout royalement: je n'avais d'yeux que pour Kassiopéi et le reste m'importait peu. Je connaissais cette délicieuse étudiante depuis plusieurs mois désormais et dès que j'avais croisé son regard, je m'étais mis en tête de la faire succomber à mon charme. Pour un séducteur de mon genre, il était assez logique de vouloir mettre dans mon lit une créature aussi séduisante mais ce qui l'était moins, c'est que je continue de m'accrocher à ses basques depuis si longtemps alors que j'avais essuyé un nombre incalculable de refus de sa part. Pourtant, connaissant le succès que j'avais auprès de la gente féminine, il aurait été beaucoup plus simple pour moi de me rabattre sur une autre proie mais je n'avais jamais envisagé cette solution: je désirais Kassiopéi plus que tout au monde et j'étais bien décidé à obtenir ce que je souhaitais. Je plaisais à me dire que si je n'avais pas encore abandonné la partie, c'était parce que j'étais un homme qui adorait relever les défis mais j'avançais surtout cet argument car je refusais de voir la vérité dans la mesure où celle-ci m'effrayait: or, si j'avais tant envie d'obtenir les faveurs de cette beauté divine, c'est tout simplement parce qu'elle faisait battre mon cœur et que c'était sans doute la première fois que je ressentais bien plus qu'une simple attirance sexuelle pour une jeune femme. Du coup, j'avais décidé de sortir le grand jeu pour parvenir à mes fins et sur les conseils de ma petite sœur, j'avais établi un plan pour que Kassiopéi soit tentée de baisser sa garde. Alors, quand elle mit un point d'honneur à m'expliquer de nouveau cet exercice de sciences, je profitai qu'elle ait la tête plonger dans ses bouquins pour sortir de ma poche une petite boîte que je vins déposer sous le nez de l'étudiante.

- Qu'est-ce que c'est?

- Ouvre et tu verras bien.

Surprise au plus haut point, Kassiopéi s'exécuta et lorsque je vis son visage s'illuminer, je compris immédiatement que j'avais fait mouche. En réalité, j'avais rassemblé mes économies afin de lui payer un collier dont je l'avais souvent entendu parlée avec ses copines mais qu'elle regrettait de ne pas pouvoir s'offrir avant plusieurs années. Après en avoir discuté avec ma sœur, celle-ci m'avait conseillé de foncer les yeux fermés et j'avais donc décidé de me jeter à la gueule du loup sans hésiter une seule seconde.

- Je suis vraiment extrêmement touchée Matthéo mais je ne peux pas accepter ce présent de ta part.

- Et pourquoi donc?

- Je connais le prix de ce bijou et je sais que tu as dû te ruiner pour me le payer.

- Peut-être que ce cadeau t'ouvrira les yeux et te permettra de comprendre que je t'aime vraiment contrairement à ce que tu as toujours cru.

Kassiopéi finit par accepter ce collier et ne tarda pas à se montrer sous un jour que je ne lui avais encore jamais connu. Beaucoup plus tendre à mon égard, elle m'offrit un baiser pour me remercier de ce merveilleux présent tout en précisant qu'il était inutile que j'espère plus de sa part. Pourtant, plus tard, cette nuit-là, la jeune femme m'invita à passer la nuit chez elle et après quelques tendres câlins échangés, nous fîmes l'amour jusqu'au petit matin. Ce fut un moment merveilleux en tout point et  le début d'une magnifique relation qui dura l'espace de deux longues années: sans aucun doute, les plus belles de mon existence.



Allongé sur mon lit, je dévorais un roman dans lequel j'étais plongé depuis plusieurs jours. En ces lieux, les bouquins étaient devenus indispensables à ma vie car le monde littéraire me permettait de trouver le temps moins long. Il fallait admettre que j'essayais autant que possible de me changer les idées afin de ne pas sombrer en pleine déprime. J'avais conscience que mon séjour dans ce centre m'avait en quelque sorte sauvé la vie puisqu'il m'avait permis de ne plus me sentir dépendant de la drogue mais l’atmosphère ambiante y était tellement glauque qu'il était nécessaire de posséder un moral d'acier pour ne pas être tenté par le suicide. Voilà désormais 4 mois que je résidais dans cet établissement et logiquement, il était prévu que je le quitte pour les fêtes de fin d'année. Est-ce que je méritais le sort que le destin m'avait réservé? Voilà une question qui traversait souvent mon esprit et chaque fois, j'y répondais par la positive. J'avais beau être tombé plus bas que terre, j'étais conscient d'être le premier responsable de ma chute. J'avais pourtant eu toutes les cartes en main pour m'assurer un avenir des plus heureux mais j'avais trouvé le moyen de tout gâcher en trompant l'élu de mon cœur. Moi qui avais déployé tant d'efforts pour conquérir cette jeune femme et qui m'étais totalement épanoui au travers de l'amour qu'elle m'offrait au quotidien, je m'étais permis de trahir sa confiance effectuant du même coup, les mêmes erreurs que j'avais pourtant tant de fois reproché à mon père. Alors forcément, lorsque tu avais réalisé que ta pire crainte était devenue réalité, tu m'avais quitté sans perdre une seconde refusant catégoriquement de laisser une seconde chance à notre relation: à tes yeux, j'avais simplement fini par montrer mon vrai visage et cela t'avait profondément meurtrie. J'avais bien essayé de te recontacter mais dans la foulée, tu avais décidé d'ouvrir un nouveau chapitre de ta vie en partant t'installer à New-York. Ce départ précipité avait coïncide avec le début de ma descente en enfer puisque dès que j'avais réalisé que je t'avais sans doute perdue à tout jamais, j'avais noyé mon chagrin dans l'alcool écumant soir après soir, le bars de mon quartier. Quelques proches avaient alors tenté de me mettre en garde pour que je réagisse mais cela n'avait pas freiné un seul instant mes pulsions autodestructrices. En fait, j'avais même continué de dériver vers le côté obscur en cédant à l'appel de la drogue tout en traînant alors avec des gens peu fréquentables et au bout de quelques mois, l'inévitable avait fini par se produire. Un matin, j'ouvrai les yeux et contemplai un tableau des plus effrayants: j'étais allongé sur un lit d'hôpital et constatais qu'on m'avait fait de nombreuses perfusions: je n'avais alors aucune idée de ce qui avait bien pu m'arriver. Lorsque le verdict avait fini par tomber, j'avais reçu un véritable choc sur la tête: une infirmière m'avait en effet annoncé que j'étais resté plusieurs jours dans le coma à la suite d'une overdose et que j'étais passé à deux doigts de la mort. Cette nouvelle avait alors eu le mérite de me mettre face à mes responsabilités et comme la ciel m'avait offerte une seconde chance, j'avais décidé de ne pas la laisser passer.

Aujourd'hui, j'étais donc déterminé à repartir sur de nouvelles bases et même si je savais que j'allais devoir reconstruire ma vie de A à Z, j'avais bien l'intention de me prouver à moi-même que la vie valait la peine d'être vécue. Je voulais surtout ne plus causer de peine à ma petite sœur car celle-ci avait assisté impuissante à mon autodestruction et avait alors eu l'impression que je ne lui portais aucun intérêt. Or, je m'en voulais terriblement de m'être montré si égoïste à son égard et je comptais bien me donner corps et âme pour que l'on rattrape le temps perdu dès que je sortirais de ce trou à rat.

 

- Ecoute Stacy, je n'ai jamais dit que c'était une bonne idée. J'essaye juste de suivre ce que mon cœur me dicte de faire.

- Et après, qu'est-ce qui se passera si elle t'envoie balader? Tu te morfondras sur ton sort et tu recommenceras tes conneries?

- Non, j'ai appris de mes erreurs et tu sais parfaitement que j'ai mûri grâce à cette expérience.

- Oui, j'en suis consciente mais je ne peux pas m'empêcher d'être inquiète, c'est plus fort que moi: j'ai peur de te perdre une nouvelle fois.

- Cela n'arrivera pas,  je te le jure.

- Et même si tu dis vrai, plus rien en sera jamais comme avant: il y aura toujours cette distance qui nous séparera désormais.

- Je suis désolé Stacy mais je n'ai pas le choix. Tu me connais sur le bout des doigts et tu sais donc mieux que quiconque à quel point je souffre au fond de mon cœur. J'ai vraiment tenté de l'oublier mais j'ai bien vu que c'était impossible: Kassiopéi est ma moitié et sans elle, je ne suis plus rien, c'est aussi simple que ça.

- Je l'ai bien compris frérot et c'est justement parce que je t'aime plus que tout au monde que j'accepte de te laisser partir. Je voudrais te garder près de moi pour toujours mais cela signifierait que je fais passe mon bonheur avant le tien et je n'ai jamais été ainsi.

- Oui, et c'est pour ça que tu restera à jamais ma petite sœur chérie et que quoi qu'il puisse arriver, tu auras toujours une place dans mon coeur.

- Je t'aime tant frérot, promets-moi de faire attention à toi et de me donner des nouvelles régulièrement.

- Tu peux compter sur moi et de ton côté, n'oublie pas non plus de prendre soin de toi et garde toujours en mémoire que rien, ni personne ne pourra briser notre lien. Je t'aime ma puce...

Même si je m'étais bien gardé de pleurer jusqu'à présent, je fus bien incapable de retenir mes larmes lorsque ma sœur se jeta dans mes bras. Cela me déchirait le cœur de la quitter car elle avait toujours veillé à mon bonheur en toutes circonstances mais mon départ était inévitable. Kassiopéi était mon rayon de soleil, l’oxygène de ma vie et j'étais bien décidé à la reconquérir. C'est pour cette raison que demain matin, je m'envolais vers New-York quittant la ville qui m'avait vu naître et grandir dans l'unique but de retrouver l'amour de ma vie. Mes chances de réussite étaient sans doute proche de zéro mais je n'avais pas le choix: je préférais me battre jusqu'à mon dernier souffle pour regagner la confiance de Kassiopéi plutôt que de continuer à vivre loin de la seule personne qui m'avait démontré que le paradis existait bel et bien sur Terre.

my little secret

★Ton prénom ou ton pseudo & ton age → Sunshine, 26 ans.
★Comment es-tu arrivé(e) ici ? → Par le biais d'un top-site.
★Ce personnage est-il un double compte ? → Non.
★Présence sur le forum → 5/7.
★Personnage inventé ou scénario ? → Scénario.
★Crédit images → Tumblr.

Mon exemple de RolePlay:

Bienvenue sur NYCL En plus avec Ben, mi amor de Dorian Gray

bienvenue & bonne chance pour ta fiche

Bienvenue parmi nous, excellent choix d'avatar

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Welcooooome

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Hope A. Roseberry a écrit:

Ben. excellent choix de scénario.
Bienvenue sur le forum et bonne chance pour ta fiche.

Bienvenue parmi nous MON Matthéo
Bonne chance pour ta fiche, j'ai hâte de lire tout ça
N'hésites pas à me contacter concernant le personnage

Bienvenue

Bienvenue sur NYCL!
Bonne chance pour ta presentation et amuse-toi bien avec ce personnage!

Barnes  Bienvenue parmi nous et courage pour ta fiche