FEAT. Emily VanCamp

Chelsea Brooks

23 ans → Né(e) à Hastings le 17/11/1989 → Journaliste en stage
célibataire → hétérosexuelle → membre des Outsiders.

And who am i ?

★Quelles sont tes caractéristiques?
Une jeunesse radieuse et un sourire sempiternel reflètent parfaitement son caractère. Bien que Chelsea n’y croie pas, elle bénéficie d’une beauté aussi simple qu’insolente. Loin d’être banale, elle est une fille très bien faite. Possédant un corps exhalant de santé, des courbes gracieuses, des seins ronds et très bien plantés. Et il s’y ajoute une chevelure mi-longue, blonde et soyeuse.

Sa peau est d’une pâleur douce, pas ennuyeuse, et qui n’inspire nullement la maladie. Elle n’a pas de tatouages ni de piercings et ne veut pas s’en faire. Mais il y a ses boucles d’oreilles rondes et très petites qui pétillent en mille couleurs. C’est d’ailleurs le seul bijou qu’elle possède et elle ne l’enlève presque jamais.

Chelsea a une allure fraîche. Son visage est plutôt un peu mignon même si elle passe pour une jeune femme et non jeune fille. Très souvent, elle a les yeux à peine maquillés et met de temps en temps du rouge-à-lèvres. Se garantissant ainsi une apparence totalement naturelle.

Son style vestimentaire n’est pas compliqué et elle ne se montre pour ainsi dire pas exigeante. Elle avait appris dès son plus jeune âge à se contenter des simplicités élégantes et pas très coûteuses. Chelsea sait d’ailleurs remplacer son manque d’argent par le bon goût, elle est très élégante même si elle se borne aux habits qui la mettent à l’aise.

★Quel est le caractère de ton personnage?
Si, physiquement, elle semble un peu trop naïve et faible, psychologiquement c’est tout autre chose. Chelsea n’est pas du genre à vouloir dépendre de quelqu’un d’autre, elle préfère faire appel à ses propres capacités et bien qu’elle n’ait rien contre un peu d’aide, elle s’entête souvent à se montrer relativement indépendante. C’est une personne qui n’économise pas son temps ou sa sueur lorsqu’il s’agit de travail. Surtout vu qu’elle aime énormément ce qu’elle fait. Elle oublie souvent la part de stresse qu’apporte son futur métier. Elle fait très souvent passer ses paroles avec une dose d'humour, comme le faisait son père.

Chelsea est également altruiste et attentionnée. Après tout, elle avait quitté son amoureux, non seulement pour sa carrière, mais notamment pour ne plus voir ses parents fatigués du travail. Ceux-ci ne subvenant qu’à peine aux besoins de sa sœur et son frère, Chelsea donne tout pour réussir son stage au Times, même si c’est également son rêve.
D’ailleurs, elle n’est pas très confiante en elle-même et craint grandement de ne pas réussir ce stage qui, pour le moment, constitue son espoir et le rituel de passage à une nouvelle vie plus aisée. Elle fait un peu facilement confiance aux gens –sans pour autant être exagérément naïve-mais, détestant l’hypocrisie et les mensonges, peut ne jamais pardonner ces dernières.

Mais Chelsea est avant tout une fille calme, discrète et polie. Ce qui pourrait, par contre, la faire passer pour autre chose est sans doute son caractère un peu « je-m’en-foutiste ». Elle se moque royalement du monde et de ce que pense le monde d’elle et peut se mettre facilement en colère si on touche à sa dignité ou si l’on trahit sa confiance. Mais elle tient aux rares personnes qu’elle qualifie d’amis.

Elle est également perspicace et comprend facilement le caractère des gens sans vraiment le vouloir. Elle est donc toujours disponible et à l’écoute si besoin est. En revanche, elle prend sur elle et ne se plaint pas quand elle ne va pas bien.
La jeune fille mène une vie sans remords si ce n’est l’histoire de son ex qui continue à peser sur sa conscience. Elle n’a jamais réussi à s’en remettre complètement et n’a pas su aimer à nouveau. Elle n’a donc jamais fait de l’amour avec un homme mais n’y tient vraiment pas. Il doit néanmoins exister un coin secret dans son cœur où se cache le désir de rencontrer à nouveau un amour fou.
Chelsea ne pleure que si elle est toute seule et supporte mal la distance qui la sépare de sa famille. Cependant, elle est loin de tomber dans une tristesse désespérée et focalise son attention sur sa carrière.

Hormis ses études, les divers boulots et son stage, Chelsea se trouve une multitude d’autres occupations comme la peinture, écouter de la musique, sortir et discuter. C’est en fait une fille très sociable.

Well... It's my story...

La vie m’a accordée jusqu’à ce jour vingt-trois années, que j’ai toujours vécues en suivant mon instinct de bonheur, parce que j’ai grande confiance en ma passion de vivre. A part ma famille et ma carrière, j’essaie de n’accrocher à rien ni à personne. Ce fut d’ailleurs pour cette carrière que j’ai dû quitter une maison, une ville, un pays, une vie… [Dernière note laissée dans son journal intime avant de quitter l’Angleterre]

Enfance :

Mon père rentrait rarement avant le soir, tant son travail l’accaparait, mais cela n’empêchait qu’il avait toujours été là pour nous tous. Il était un simple ouvrier, qui s’adonnait corps et âme au travail pour répondre à nos besoins. On ne pouvait tout avoir, moi la première, mais nous avons appris à ne pas nous plaindre. J’étais très jeune mais je savais pertinemment que certains n’avaient même pas à manger. J’étais reconnaissante pour tout, j’ai instinctivement appris à me contenter du peu que j’avais. Parce qu’au final, il n’y avait que ma famille qui comptait. Le reste c’était de l’accessoire. J’adorais les moments où l’on se rassemblait autour de la table pour manger ou rigoler ensemble. Mon père nous avait fait de mauvaises blagues, mais je les ai aimées et j’en ris toujours. C’est sans aucun doute de lui que j’ai hérité mon sarcasme. Tout comme lui, j’aimais tant faire rire les gens qui m’entouraient.

Adolescence :

Je me doutais pas que mes camarades étaient encore trop jeunes, parfois trop bornés, pour penser pareillement. Mais qu’est-ce que je m’en fichais ! Les rares avis auxquels j’accordais de l’importance étaient ceux de ma famille et des quelques personnes de mon milieu scolaire qu’étaient mes amis. On pouvait se moquer de moi, me persécuter parfois, pour mes idées très en avance pour mon âge, mais je me défendais pas mal contre eux. Parce que sinon il n’y avait personne pour le faire. Mes parents m’avaient toujours incitée à réagir face aux injustices. Et, en l’occurrence, je répondis à leur méchanceté gratuite. Certes, cela ne m’a pas rendue plus populaire mais ils me fichaient la paix assez vite. Je passais pour une fille forte et cela ne me dérangeait pas parce que c’était la vérité. Et ces évènements m’avaient permis de rencontrer celui que je n’oublierais certainement jamais.

Premier amour :

Il était le premier à voir en moi quelqu’un de spécial. Et lui, Ellen, se démarquait à mes yeux par son sempiternel sourire – qui était sa plus grande qualité. Nous étions au même collège mais je ne l’avais jamais remarqué, du moins jusqu’à mon passage au lycée où nous sommes tombés dans la même classe et où il s’est présenté à moi. Se décrivant comme un « fan anonyme » parce qu’il trouvait que j’avais une forte personnalité. Ce ne fut que quelques jours plus tard que je découvris à quel point on se ressemblait. A partir de ce moment, nous nous sommes revus très souvent et j’ai fini par tomber amoureuse. Réellement amoureuse ! Il n’y avait plus que lui dans mon cœur et cette sensation m’était extrêmement agréable. Cependant, je remarquais en parallèle que mon père se fatiguait beaucoup au travail. Il n’était plus jeune et survenait à peine aux besoins de notre famille. Je me sentis redevable à mes parents, sans eux, je ne serais sûrement pas où je suis aujourd’hui, et il fallait que je les épaule. Je me suis donc entièrement consacrée aux études et avais fini par être accepté au sein d’une bonne université. J’avais opté pour le journalisme, depuis le jour où mes parents m’avaient offert un journal intime, j’y écrivais passionnément de tout et de rien et y racontais les mille évènements quotidiens qui se produisaient. Bons ou mauvais. Par conséquent, je découvris inévitablement une facilité d’écrire, j’écrivais plus que les autres et avec plus d’aisance. Si bien que mon orientation professionnelle avait été décidée assez tôt : je voulais devenir journaliste. De un, ça me permettrait de me prononcer librement, de deux je pourrais éventuellement rendre mes parents heureux grâce à un certain appui financier. Ma sœur pourrait s’acheter plein de choses que je n’avais pas eues. Et il en allait de même pour mon frère.

En revanche, à cause de cette logique, mon amoureux passait au second plan. Lui restait dans son truc niveau carrière et on ne se voyait que très peu. Mais nos sentiments réciproques et immuables faisaient qu’on ne se sépare pas et on était heureux, tous les deux.

Les études et la grande chance :

Il était déjà certain dans ma tête que j’allais moi-même payer mes études de journalisme. Je me voyais contrait d’accumuler une multitude de petits boulots, et de supporter le sarcasme amer et les mauvaises habitudes des clients et parfois de mes supérieurs. Mais j’allais plutôt bien, j’étais réellement heureuse. Après tout, tant qu’on touchait pas à ma dignité, on restait tranquilles.

Malgré mes efforts méritoires à la fac, mon avenir professionnel risquait fortement de se borner à ces petits boulots stressants. En fait, je ne voyais vraiment plus l’utilité de telles études qui étaient exclusivement théoriques. Il me manquait une sorte de « mise en application » pour que ça avance. C’est-à-dire un stage. Chose qui était carrément impossible à Hastings où je vivais puisque les postes étaient presque tous occupés et qu’une formation pareille n’était de toute façon pas de qualité si l’on la comparait à ce qu’offrait l’Amérique aux étudiants de journalisme.

Ce fut donc après une longue hésitation que je me décidais à y aller. Entre mes sentiments grandissants pour Ellen et la perspective d’une nouvelle vie qui permettrait d’aider financièrement ma famille – pour que mon père ne se fatigue plus - le choix était facile mais très douloureux. Je ne suis pas une grande sentimentale et je n’ai certainement pas un cœur de pierre, mais je devais classer mes priorités. La victime fut donc Ellen, je le quittais, je brisais son cœur et le mien.
Je n’allais peut-être pas regretter ma décision, mais en quelque sorte je me suis jamais vraiment pardonné ce que j’ai osé faire. Ellen était mon grand amour, j’aurais tellement aimé franchir le pas avec lui, j’avais toujours cru que ce sera lui qui me prendra ma virginité mais voilà. Il n’en était rien. Le destin avait décidé autrement.

Je rencontrais d’autres hommes mais il me semblait qu’à Ellen, ils n’arrivaient même pas à la cheville. Parfois je me demande si j’étais incapable d’aimer quelqu’un d’autre. Je n’en sais strictement rien.
Mais il n’y avait pas que cela, le fait de quitter mon pays natal et ma famille me brisait le cœur. Je sais pas si je peux m’en remettre. Ils me manquent terriblement même s’ils m’appellent régulièrement. Mon frère m’envoyait lui aussi un SMS quotidien et ça me faut vraiment chaud au cœur d’entendre de lui.

Bien déterminée, et une fois à New York, je repris mes petites habitudes, cumulais quelques boulots pour avoir à manger et pour payer mon médiocre studio, m’inscris à la fac et devenais journaliste en stage à la New York Times ! La New York Times ! Vous vous rendez compte ? C’était mon rêve ! Du coup, le stress issu du planning surchargé de mes journées ne me dérangeait vraiment pas. J’étais jeune et je pouvais fournir beaucoup d’efforts ! Et puis, si je pouvais aider mes parents en prime, ce serait parfait !

Enzo :

Je ne serais pas fidèle à la vérité si j’omettais d’ajouter que la rencontre d’Enzo Sheppard, le responsable de mon stage et en quelque sorte mon encadreur, a plus ou moins bouleversé ma nouvelle vie à New York. Au départ, il donnait l’air de quelqu’un qui vit et travaille à sa façon, qui se fiche du monde également. Mais je crois qu’il cache quand même un bon fond car, bien qu’il semble totalement indifférent à mon sujet, il m’aide correctement. Il est aussi à l’écoute et reste disponible. A vrai dire, je pense plutôt que c’est une bonne personne. Je parle de lui souvent à mes parents. Bon, au tout début, son comportent laissait un peu à désirer et je l’ai décrit comme le portrait craché du diable à ma mère. Mais il faut dire qu’au cours de nos conversations, je m’habituais à lui et je sens qu’il se comporte un peu plus gentiment avec moi. Un peu.
En bref, en tant que personne, il m’intéresse énormément. Allez savoir pourquoi. En ce qui concerne le boulot, je peux faire ce que je veux, je semble pas l’impressionner. Mais je ne compte absolument pas baisser les bras, je vais lui prouver que si je suis arrivée là, c’est que j’ai ce qu’il faut pour être journaliste.

my little secret

★Ton prénom ou ton pseudo & ton age Scarlet et 21 ans
★Comment es-tu arrivé(e) ici ? Grâce à mon meilleur ami, Google.
★Ce personnage est-il un double compte ? Nop.
★Présence sur le forum Je compte passer souvent et RP régulièrement puisque je serai très bientôt en vacances, sinon ce serait 3 jours par semaine minimum.
★Personnage inventé ou scénario ? Scénario de Enzo =)
★Crédit images Elles proviennent toutes de Google.

Mon exemple de RolePlay:

VanCamp
bienvenue parmi nous

Bienvenue parmi nous

Bienvenue parmi nous
Bon courage pour ta fiche

Emily
Bienvenue

Merci à vous ! =D

Bienvenue ici o/

Emily Bienvenue !

Bienvenue 

Trop bon choix de scénario  et en plus avec Emily 
Bienvenue parmi nous 

Encore merci à tout le monde pour ce chaleureux accueil. ^^

Ethan : Ok, je rajouterai la ville 
Enzo : justement, je savais pas que dire sur leur relation, j'avais trop peur de passer à côté de la plaque xD Je vais t'envoyer un MP et modifierais l'histoire par conséquence. =)

bienvenue

Welcoooooome 

Pas de soucis ma jolie, j'ai d'ailleurs répondu à ton mp

EMILY
Bienvenue parmi nous

Ca fait tellement super longtemps que je l'avais pas vu sur un forum
Bienvenue parmi et j'espère que tu te plairas sur le forum

Bienvenue chez nous

bienvenue 

Bienvenue sur NYCL!
Bonne chance pour ta présentation et amuse-toi bien avec ce personnage!

Bienvenue parmi nous