Sujet: aspen ► my pussy tastes like pepsi cola. Jeu 13 Juin - 21:56
FEAT. Taissa Farmiga
Aspen Rebecca Napier
18 ans → Née à Bâton-Rouge, Louisiane le 12/04/1995 → Fugueuse. célibâtarde → pansexuelle, tout est bon dans l'cochon → membre des Rebels.
And who am i ?
★Quelles sont tes caractéristiques? → Aspen est une fille comme il en existe des milliers. Une fille ni belle ni laide, tout au plus banale, avec des yeux sombres et des cheveux châtains filasses et difficiles à discipliner. Elle est de taille moyenne, un peu maigre, ayant encore un pied dans cette adolescence qu'elle peine à quitter. Ses traits sont encore un peu enfantins avec un visage ovale, une bouche lippue qui semble toujours faire la moue et un nez qu'elle n'aime pas vraiment. C'est la fille qui attend à côté de vous dans le métro, ou peut-être celle qui vous demandera quelques dollars dans la rue. C'est la fille la plus banale qui soit; le physique, Aspen s'en tape, car elle a bien mieux: du charme. Des attitudes, des gestes, une intonation, difficile à définir. Son tempérament, ses actions savent retenir l'attention avec une certaine facilité, même sans parler de séduction. Son côté bien dans ses pompes y joue beaucoup, très logiquement.
C'est la lolita qui vous croise à la sortie d'un bar, qui parle peu mais bien. C'est la fille avec des trous dans son jeans, et un sourire un peu désabusé aux lèvres; une clope coincée entre les dents. La beauté, c'est pour les cons; elle continue à dire qu'elle n'a pas besoin de ça et, les cheveux dans la tronche, elle rit sans raison. Avec ses docs martens et ses jeans trop serrés, ses pulls trop grands, ses grands yeux noirs et ses écharpes imprimés léopard. Elle fume, surement trop, surement depuis bien trop tôt aussi. Mais elle s'en fout. Elle s'en fout aussi de ce qu'on pense de son mode de vie, de son refus d'avoir des tatouages ou des piercings, de ses chaussures imprimés zèbres. Elle est bien dans ses pompes et porte tout ce qui lui plait: la mode, c'est pour les faibles. Elle, elle fait sa propre mode, avec ses chapeaux, ses breloques moches, ses bagues énormes, ses dizaine de colliers au cou: parce que chaque objets est un souvenir. Et elle ne se coupera jamais les cheveux, juste pour voir jusqu'à où ils pousseront sans qu'elle marche dessus. Aspen, elle a son propre look, son propre monde et elle t'emmerde. Elle n'a pas besoin de suivre les autres pour être cool.
★Quel est le caractère de ton personnage? → Aspen est une véritable lolita; plus jeune, elle a apprit que beaucoup de choses s'obtiennent d'un sourire ou d’une attention, qu'on arrive parfois à ce qu'on veut en faisant semblant ou en faisant appel à l'émotionnel des gens plutôt qu'à leur logique. Pourtant, ce n'est ni une manipulatrice, ni une garce; simplement une fille qui se débrouille et a ce petit quelque chose que d'autres n'ont pas. Elle refuse de rentrer dans le moule: pas de tatouages, pas de piercings, et elle refuse de boire la moindre goutte d'alcool; du tabac, peut-être, mais chacun son vice. Elle fait mine de se foutre de tout, mais ce n'est qu'une apparence pour plaire aux gens. Parfois, elle se fait plus conne qu'elle ne l'est. Plus enfantine: ni plus vraiment une ado, ni encore vraiment une femme: c'est une adulescente assumée; parce que ça plait aux gens plus âgé et elle, elle aime les gens plus âgée. Les gens de son âge sont so mean; sa génération la dégoute. Elle dirait d'elle qu'elle aime dire merde aux hipsters et autres anarchistes de salon qui ont quelque chose à cacher sous leur tonne de tatouages. Qu'elle se fout bien de ces nanas si sillonnées que bientôt, leur chatte sera en PVC. Ces gens-là ne voient que la surface des choses, la chose que déteste Aspen: les apparences. Elle est de la nouvelle "Beat Generation", selon ses propres dires: les Beatniks et hippies des temps modernes.
Elle aime des choses simples, un peu triviales: zoner, de jour comme de nuit, parler avec un peu tout le monde et n'importe quoi. Jouer de la guitare bien sur, en gueulant du Lana Del Rey ou du Adele dans le métro pour quelque pièces. Faire bander tout les mecs et dégouter les nanas. C'est pas si dur, en fait. Le physique n'a aucune importance. L'argent n'est pas un moyen d'être heureux: elle, elle aime la liberté, les plages de Coney Island et quand à la tombée de la nuit, le ciel y devient orange et rose. Lire, lire, et lire encore, tout ce qu'elle peut lire. La culture, c'est la force. Les faibles c'est ceux qui se complaisent dans la médiocrité. Parce que ouais... l'air du temps encourage les gens à trouver « cool » le fait d’être bête, vulgaire, et inculte... du moins pour Aspen. Alors elle fait de la résistance culturelle avec ses potes Poe, William S. Burroughs, Allen Ginsberg, Rimbaud ou encore Brontë. Tu connais pas les sœurs Brontë? Boulet. T'as pas de feu non plus? Bah alors, à quoi tu sers? Son écrivain préféré est Jack Kerouac et son "sur la route", manifeste de la "love generation" qu'elle admire, qui exprime le mieux cette volonté qu'elle a de se libérer des conventions sociales et de donner un sens à son existence. Ouais meuf: être hippie aujourd'hui, c'est ça la vraie rebel attitude: aller la découverte de mondes nouveaux.
Elle kiffe les chats aussi; des animaux indépendants et fainéants: comme elle. Elle aime à penser qu'elle leur ressemble, un peu. Comme un chat errant qui fait ce qu'il lui chante. Yep, les chats, c'est cool. Y'en a plein internet, a prouve bien qu'ils sont cools, non? La musique, c'est la vie: Lana Del Rey, Adele, Duffy, Amy Winehouse, Horrorpops, The Meteors et les Scissors Sisters. Tout ce qui est rétro est cool. S'il lui restait un vœu avant de mourir, elle aimerait baiser avec Dita Von Teese. Ou rouler en cadillac de nuit dans le désert Mojave, jusqu'à s'endormir au volant et crever dans un accident. Born to die, man, rien de plus vrai. Elle est folle et elle est libre. Elle veut mener une vie comme dans le clip de Ride, de Lana. Rencontrer des tas de gens et vivre au jour le jour, complètement libre de vivre sa vie comme elle l'entend. Se prostituer occasionnellement ne la dérange pas; y'a des amateurs pour des nymphettes banales comme elle. Y'a des amateurs pour tout. Yep, elle est une lolita. Comme dans Carmen. De Lana, pas de Bizet, pauvre tâche.
Well... It's my story...
The sweet escapist.
Would you be mine, would you be my baby tonight? It's you that I adore, though I make the boys fall like dominoes... I could be yours, I could be your baby tonight. All I want is to have fun and be in love with you; stealing your stuff, borrowing your lipstick and using your shirt as a pillow case. Yure my best friend but I wanna ruin our friendship because we should be lovers instead.
code episkey.
❝ J'ai pas spécialement envie de te parler de mon passé en plein métro, tu vois. Puis bouge, tu vas me faire fuir les keums, quoi. Ouais... Moonlight Shadow de Mike Oldfield, j'aime bien, pourquoi, toi pas? C'est dommage, parce que je vais quand même le jouer, tu vois. Écoute un instant, je pari que tu connais même pas. Laisse-moi accorder ma gratte, attend; passe-moi une clope, s'il te plais. C'est parti alors, je vais te parler de ma vie super trépidante, mon vieux.
Je suis née dans le trou du cul de la Louisiane; je déconne, je viens de Bâton-Rouge. Non, pas l'école de sorciers françaises... Bâton-Rouge, pas Beauxbâtons. Ma mère était une de ces petites pouffe de secrétaire qui a sauté le patron. Mon père? Ce con a divorcé pour elle quand elle lui a apprit qu'elle était enceinte de moi. Tu vois le tableau? Non, en effet, moi j'aime pas ça, tu vois. Je trouve même ça carrément bâtard, mais bon: c'est leur affaire. J'ai grandi comme une petite fille banale, avec une famille banale, dans une maison banale d'un quartier banal. Rien de spécial, non. Non, j'touche pas à la drogue. J'bois pas non plus. Regarde ma gueule d'ange: j'ai une tronche à suivre les moutons? Non, bon bah alors... Quoi, ce qui a déconné? Non, mon père ne me violait pas; il ne me battait même pas, t'as vu. J'ai pas besoin de ça pour fuguer, tu vois. Ouais, j'ai fugué. C'est mon affaire et je retournerait pas chez moi. Pourquoi je me suis tirée? C'est à cause de Bradley, mon demi-frère. Non, lui non plus ne m'a pas violé, tocard... il sait même pas qui je suis, et surement même pas que j'existe.
A treize ans, mon père m'a parlé de son autre fils, Bradley. J'aurai voulus avoir à quoi il ressemblait, le voir, tout simplement, voir la maison dans laquelle il habitait. Lui parler, peut-être. J'étais curieuse de cette moitié de frangin que je n'avais jamais vu. Et j'avoue que ça m'a choqué, au début. Je sais pas pourquoi ça m'a heurté comme ça. Mais tu vois, après, j'ai pas arrêté de penser à Bradley; papa disait ne rien savoir de lui. Il vivait à Los Angeles avec son ancienne daronne, avant. J'ai pas pu m'en empêcher... Internet permet de faire tellement de choses, maintenant. J'ai trouvé l'adresse des Reed, la famille de Bradley et prétextant un voyage avec mes copines -mon père était un con de papa gâteau- je suis allée toute seule là bas... pour me faire gueuler dessus comme un putois: le vieux disait qu'il ne connaissait pas de Bradley. Le bâtard, comment il m'a menacé de me foutre chez les flics... mais sa femme, elle avait ce regard des mères tristes. Celui des mères seules. J'ai appelé chez eux quand l'autre couille molle était au boulot, et j'ai discuté avec madame Reed. Bradley avait été chassé de chez lui; pourquoi? Aucune idée, elle a refusé de me le dire.
J'imaginai alors tout sur mon demi-frère: qu'il était camé, qu'il avait fait de la taule, qui était pédé, allez savoir, sa famille semblait un bon garage de cul-bénis. Je suis rentrée chez moi bredouille, sans rien dire à mes parents. Je voulais découvrir ce frère dont l'idée me hantait; son père l'avait délaissé pour moi, en quelque sorte, embryon d’à peine quelques semaines dans la bidoche de ma mère. L'idée est resté en moi plusieurs années jusqu'à ce qu'un jour, la vieille Reed me rappelle: elle pensait avoir remonté la piste de Bradley par un détective privé. Il aurait été à New York. Ouais, ici, man. Alors tu crois que j'ai fais quoi? Bah je me suis tiré de la maison en faisant croire à mes parents que j'allais à nouveau en vacances avec des copines et qu'on avait prévu ça sur Facebook. Mon cul: je suis partie seule à la Grande Pomme, et comme tu vois je n'ai toujours pas trouver Bradley. En même temps, j'ai qu'une vieille photo sa mère m'a envoyé et son nom. Autant dire trois fois moins que la queue d'un chien.
J'aime trop Mike Oldfield, tu sais. Old is gold, sérieux. Mais si, le mec de Tubular Bells. Tu connais pas? Putain mais t'aimes que le mainsteam, ou quoi? Attend un peu, j'vais essayer de te donner le goût. Hein? Comment je m’appelle? Tu peux m'appeler Roberto. Ouais... Sarah sinon, genre Sarah Ingalls? Appelle-moi comme tu veux, ou siffle. Sinon tu peux m'appeller... "ce soir"? Ouais, trop con je sais. Je sais pas si je retrouverai mon demi-frère mais y'a une chose que je sais: mes parents sont en train de flipper pour moi. Mais je retournerai pas à la maison avant de l'avoir vu. J'ai pas fait tout ça pour rien. J'ai pas chanté dans ce métro pourri et vendu parfois mon corps pour rentrer bien sagement à la maison sans même ce que je suis venu chercher. Ce serait trop con, trop dommage. Je vais le retrouver, ça je peux te le jurer; ça prendra le temps qu'il faut, j'essayerai d'éviter les flics autant que possible. Je fais pas de vague. Je chante juste. Je tapine un peu, aussi. Ouais je sais, j'ai que dix-huit ans. C'est pas important, ça me perturbe pas. J'ai besoin de thunes... je resterai ici tant que j'aurai pas retrouvé Bradley Reed.
Bon maintenant si tu voulais bien la fermer, j'essaye de chanter là. ❞
my little secret
★Ton prénom ou ton pseudo & ton age → Basterd, 30 ans. ★Comment es-tu arrivé(e) ici ? → En cherchant un forum city qui dure. ★Ce personnage est-il un double compte ? → Oui, de Claes J. Blømkvist. ★Présence sur le forum → 4/7. ★Personnage inventé ou scénario ? → Inventé. ★Crédit images → Riddle, Tumblr.
Mon exemple de RolePlay:
→ Les vampires s'attachent parfois à de vieilles choses sans importances, comme pour se raccrocher à une Humanité perdue; et pourtant à la fin, il n'y a que la solitude. Et à ceux qui croient encore que les Caïnites sont une espèce grégaire, il y a le rappel de la vie d'errance du Premier Né, Caïn: toujours seul sur les routes; toujours accompagné seulement par le poids de sa Non-Vie, sa Malédiction qui a présent est celle de tout ses Enfants. Peut-être que la jeune génération avait oublié ce que cela fait, d'être damné. Car c'est bien ce qu'Ils sont, tous: damnés à tout jamais. Constance ne se faisait aucune illusion sur sa nature et son avenir: elle était condamnée au fardeau des gens de pouvoir, les plus libres et les plus seuls à la fois. Les Toréadors ne réjouissaient parfois bien étrangement de cette douleur, disant avec "esprit" qu'il s'agissait d'une mélancolie romantique. Pauvres fous; il n’y a que dans la fiction que la douleur est poétique. Dans la réalité, elle s’accompagne de sanglots et de suppliques, de larmes et de reniflements. Et chaque douleur est une mémoire qui une fois cicatrisé laisse un souvenir indélébile dans l'esprit.
Constance n'aimait pas souffrir; la seule chose qu'embellit la souffrance, c'est bien l'écrevisse. Les vampires eux, se ratatinent sur eux-mêmes et leur ego. Elle n'aimait pas cette inaction née de la déprime. Et même si avec le temps ses plaies suintaient encore le souvenir de son doux Louis et la perte de Rose, il n'y avait pas de quoi se lamenter; elle était née pour régner, comme tout ceux de son clan, pas pour se plaindre. Elle laissait ça à quelques Dégénérés geignards ou Lunatiques en pleine crise. La Ventrue était à la fois une femme d'action et de réflexion: dangereux mélange autant pour ses ennemis que ses alliés et lorsqu'elle avait apprit par ses Goules que Rose de Beaumont résidait en ville -peu importe qu'ils n'avaient pas localisé l'endroit- elle eut presque l'impression que son cœur cognait contre sa poitrine belle et bien morte depuis plus de deux cent ans; c'est incroyable comme l’Humanité qu'on pense avoir enfouie en soi revient parfois à la charge, comme un soldat qu'on aurait oublié d'achever sur le champ de bataille et qui vous donne un coup de baïonnette dans le dos quand vous tournez les talons.
Elle était restée un long moment seule dans son bureau, Lohengrin de Richard Wagner pour seul compagnon. Le Prince était demeurée silencieuse durant de longues minutes, n'acceptant aucune visite; ses poings étaient si serrés que ses phalanges en devenir livides; elle serra les dents à s'en mordre la langue, dignement: rien sur son visage. De la rage contenue, rien que de la colère et de la haine. Une occasion manqué; les souvenirs lui revenaient rapidement et précisément, en même temps que montait cet indicible sentiment qui la changeait en Bête, celle-la même qu'elle avait toujours combattu. La Ventrue se releva d'un bond, ses mains claquant sur le bois précieux, des sueurs de sang perlant des tempes; elle qui s'était toujours maitrisée sentait en elle s'agiter la Bête. Non, tu ne m'auras pas; disparais. Elle grogna entre ses dents, quelques gouttes de sang perlant de son menton pour s’écraser sur le bureau et sur ses mains. Non, ce n'était pas de la sueur; c'était des larmes de sang.
Cette catin de comtesse d'Agoult la mettait, après tout ce temps, dans des transports tout à fait inacceptables. Une fois qu'elle eut reprit le contrôle d'elle-même, la rousse décida tout de go d'agir contre ce souvenir embarrassant; elle était Prince à présent, et ne pouvait plus se permettre ce genre de faiblesse et de débordement. Qu'elle aime ou qu'elle haïsse du plus profond de son cœur cette femme, elle ne savait pas; elle ne savait plus: trop de siècle avait passé, trop d’Humanité avait été perdu. Il ne restait plus qu'un sentiment indésirable dont elle voulait se débarrasser et pour cela deux moyens: soit Rose la rejoignait -ce dont elle doutait fort- soit elle rencontrait la Mort Ultime. Dans tout les cas le soir-même Constance loua sous un faux nom un des entrepôts sur les ports de Southwalk, sur Docklands, à l’abri des regard indiscrets. Elle n'avait pas besoin de savoir où se trouvait la Sabbat, puisqu'elle viendrait à elle. Et elles en finiraient une fois pour toute.
La nuit aurait été agitée si mademoiselle de Bavière n'avait pas dormi du sommeil des mort, celui où les rêves et les cauchemars n'ont pas de place: celui qui ne repose pas ceux qui ne sont jamais fatigués. Le sommeil du vampire. Elle avait décommandé ses rendez-vous du soir sans laisser de note, disant simplement qu'elle avait une affaire urgente à faire en organisant scrupuleusement sa scène, ses possibilités de sorties: n'était-elle pas aussi sotte pour ne pas se douter que la Lasombra ne l’accueillerait pas de manière très urbaine. Le quartier n'était fréquenté que par quelques clochards qui lui demandèrent quelques pennies pour manger ou quelques réalisations triviales dont les mortels avaient besoin pour vivre -ou survivre, dans leur cas. La Ford noire avec chauffeur l'avait déposé en toutes discrétions et son seule effort face à la misère du Bétail fut un sourire cruel qui en disait long, suivit d'un billet de cinquante livres sterling jeté avec une négligence révoltante, frappé du visage souriant et bienveillant de la reine mère. Foutaise; elle disparu dans l'entrepôt, immortelle enfant d'une noblesse déchue qui avait toujours méprisé et moqué la pauvreté.
Peut-être que personne n'en saura rien; le lieu était désaffecté depuis plusieurs dizaine d'années, avec sa voute métallique pourrie et son odeur étrange et rance; rance et douce, agréable, bien curieusement. Elle n'avait pas de chagrin. Personne n'a aimé personne, dans cette histoire. L'endroit la plongeait dans un silence minéral qui était, même pour elle, une sorte de plaisir à la solitude. Nous sommes tous damnés: il n'y a qu'en ces lieux, seul et dans l'obscurité de grandes structures rouillés, que nous nous en rendons compte. Nous sommes maudit à refaire sans cesse les mêmes erreurs; et c'est sans regret. Peut-être Constance aurait-elle voulu y mettre plus de forme, pour une femme du rang de Rose: un fauteuil, au moins, un peu de musique peut-être; Der Freischütz de Carl Maria von Weber, peut-être. Brahms ou Wagner étaient bien trop ronflant. Scolopendres et giroflées évoluant malgré le béton étaient les seuls habitants de ce lieu oublié des Mortels, des immortels aussi. Ici serait bien.
Comme un jardin enfoui au fond de sa mémoire, ici serait bien. Elle imaginait les bruits de ses pas; une serre de fleurs, ici et là, un kiosque: son rire clair de jeune fille aujourd'hui surement troqué pour l'amertume de ceux qui ne peuvent pas mourir. Toute ces choses du passé. Ce n'était qu'un vieil entrepôt dévoré par la rouille. La Ventrue n'y mit pas de formes: c'était inutile et aurait été ronflant. Au lie de cela, elle se contenta de se réfugier dans un coin sombre, croisant les bras derrière le dos en attendant son heure, fermant les yeux.
Elle n'avait pas peur des ombres, ni même de l'obscurité, aussi autant s'y cacher; un accueil parfait pour un membre du clan des Gardien, ceux qui voient si bien dans les Ténèbres. Alors elle l'Invoqua, par la puissance de sa Présence.
Viens à moi, maintenant Et s'il est encore temps, rejoins-moi. Ou meurs.
Dernière édition par Aspen R. Napier le Lun 29 Juil - 10:22, édité 56 fois
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Sujet: Re: aspen ► my pussy tastes like pepsi cola. Jeu 13 Juin - 21:57
Preums Ma soeuuuuuuuuuuur jotaime
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Sujet: Re: aspen ► my pussy tastes like pepsi cola. Jeu 13 Juin - 21:57
yeaaaah un DC o/
Re-bienvenue ici !! Hâte de lire l'histoire de ton nouveau perso !!
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Sujet: Re: aspen ► my pussy tastes like pepsi cola. Jeu 13 Juin - 21:58
Ton DC, at last
Re-bienvenue parmi nous, donc Bon courage pour cette nouvelle fiche Je te réserve Taissa ou tu as changé d'avis ?
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Sujet: Re: aspen ► my pussy tastes like pepsi cola. Jeu 13 Juin - 22:00
Merci les loulou! Oui je veux bien une réservation, bien que je vais tenter de finir ma fiche dans la soirée. JOVOUZEM.
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Sujet: Re: aspen ► my pussy tastes like pepsi cola. Jeu 13 Juin - 22:01
Re-Bienvenue Bon courage pour ta fiche
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Sujet: Re: aspen ► my pussy tastes like pepsi cola. Jeu 13 Juin - 22:02
Jotem aussi !!
Re-bienvenue et bonne fiche à toi !!! *va signaler la sienne*
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Sujet: Re: aspen ► my pussy tastes like pepsi cola. Jeu 13 Juin - 22:04
oh boy, ton perso a l'air hyper intéressant rebienvenue parmi nous
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Sujet: Re: aspen ► my pussy tastes like pepsi cola. Jeu 13 Juin - 22:05
Taissa t'est réservée jusqu'au 16.06 inclus la miss
Sujet: Re: aspen ► my pussy tastes like pepsi cola. Jeu 13 Juin - 22:10
le titre Rebienvenuuuuuuue j'ai hâte devoir ce que tu nous réserves avec ce nouveau personnage
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Sujet: Re: aspen ► my pussy tastes like pepsi cola. Jeu 13 Juin - 22:13
Merci pour la réservation, j'espère que ça va vous plaire!
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Sujet: Re: aspen ► my pussy tastes like pepsi cola. Jeu 13 Juin - 22:15
Déjà ton premier compte mais là... Taissa, tu me tues. C'est genre la fille que j'aimerai avoir, elle est trop mignonne et outsider.
Re-bienvenue sur le forum et bonne chance pour ta fiche.
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: aspen ► my pussy tastes like pepsi cola. Jeu 13 Juin - 22:26
Parce que Taissa, célavie. Je l'ai trop aimé en Violet dans AHS. Elle a ce côté "ado rebelle mais qui se fait dans les chaussures" que j'adore. xD (pour ça que j'avais pris un de tes vavas de Taissa sur Bazzart, en plus, il était trop canon!)
Hospen, alors, moi je dis. ---->
Merci pour vos petits mots, les gens.
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Sujet: Re: aspen ► my pussy tastes like pepsi cola. Jeu 13 Juin - 22:28
Hospen, c'est la vida. On en a parlé sur le sujet de nycl de ahs, violet's the best.
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Sujet: Re: aspen ► my pussy tastes like pepsi cola. Jeu 13 Juin - 22:37
Bienvenue parmi nous
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: aspen ► my pussy tastes like pepsi cola. Jeu 13 Juin - 22:47
Elle a du style la nana Re-bienvenue chez nous
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: aspen ► my pussy tastes like pepsi cola. Ven 14 Juin - 1:16
REBienvenue sur NYCL! Bonne chance pour ta présentation et amuse-toi bien avec ce personnage!
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: aspen ► my pussy tastes like pepsi cola. Ven 14 Juin - 2:55
Bienvenue parmi nous :cutie:J'adore le choix d'avatar
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: aspen ► my pussy tastes like pepsi cola. Ven 14 Juin - 4:06
Validée !
Un système d'intégration est mis en place sur le forum sous forme de flood d'intégration, mélangeant anciens et nouveaux membres, n'hésite pas à t'y inscrire ! N'oublie pas de compléter ta fiche personnage, ton profil et de faire toutes les demandes nécessaire. Si tu as la moindre question ou problème, tu peux bien sur contacter un membre du staff par MP. Nous t'invitons aussi à aller lire ce sujet premiers pas sur le forum Et puis tu peux bien sur voter toutes les deux heures pour aider le forum en cliquant sur la petite plume :
Have Fun !
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: aspen ► my pussy tastes like pepsi cola. Sam 15 Juin - 18:30
re très bon choix d'ava *-*
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Sujet: Re: aspen ► my pussy tastes like pepsi cola.
aspen ► my pussy tastes like pepsi cola.
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