Sujet: SEA + we're up all night to get lucky Ven 14 Juin - 2:15
FEAT. RACHEL BILSON
Sea Isabel Thomas
27 ans → Née à Londres le 7/05/1986 → Représentante pour la marque Chanel mariée → hétérosexuelle → membre des ordinaries.
And who am i ?
★Quelles sont tes caractéristiques? → J'ai une peur bleue des clowns depuis ma tendre enfance + je m'assure de toujours sortir impeccablement bien vêtue + je voue un culte à Gabrielle Chasnel, Marilyn Monroe, Audrey Hepburn et à mère Félicia Lawson-Forester + je suis maniaque de perfection et il faut toujours que tout soit bien fait à mon boulot + je suis bordélique sur les bords + je collectionne les souliers à talons hauts + malgré mon côté très féminin, je suis sportive et je fais beaucoup de sports + je suis allergique aux chats, chiens et arachides + j'ai souvent eu honte de mon prénom, mais maintenant plus + j'adore assister à des défilés de mode + j'aime beaucoup voyager + je ne magasine pas très souvent étant donné que j'ai trop de vêtements + je parle quatre langues : le français, l'anglais, l'italien et le portugais + je ne lis pas beaucoup de romans, préférant les revues + je n'ai pas d'enfants et j'ignore si j'en veux + j'ai deux tatouages qui sont minuscules + je suis mariée depuis quelques mois + je suis constamment sur mon téléphone portable + j'aime le fast-food + j'aime lorsqu'il y a des fleurs chez moi + je joue toujours avec mes cheveux + je suis à New York depuis seulement huit mois + je n'ai pas de permis de conduire, je prends toujours le métro ou le taxi + mon sac chanel est mon seul bébé + je déteste parler de mes problèmes + je ne fume pas, bois pas et ne sors pas + j'ai deux poissons rouges : evan le terrible et thor le plus fort + je suis très bonne en cuisine.
★Quel est le caractère de ton personnage? → bavarde + s'il y a bien une chose que j'aime chez moi, c'est mon côté bavard. Je suis le genre de fille qui aime beaucoup bavarder avec les gens, apprendre à les connaître, me présenter à eux etc. Bien que certains considèrent ce trait de caractère comme un défaut, pour ma part j'ai plutôt l'impression que c'est une qualité. Certes, parfois il peut être agaçant d'entendre quelqu'un parler pendant des heures et des heures, mais lorsque vous devez parler autant que moi, ce côté bavard est très pratique. bosseuse + ce que je déteste probablement le plus chez moi : mon côté bosseur. Oui, j'aime beaucoup le travail que j'exerce, mais le simple fait que je sois acharnée à ce boulot, me rend malade. Parfois, j'ai l'impression de trop travailler et ça me décourage parce que je suis un vrai bourreau du boulot et c'est dommage puisque tu peux passer à côté d'un tas de choses en l'étant trop. confiante + je n'ai aucune honte du ridicule et au contraire, je suis bien heureuse lorsque je me ridicule devant des gens. À mes yeux, le ridicule est une façon de prouver aux autres êtres humains qu'il n'y a personne de parfait sur cette planète. Puis, si tu n'as pas confiance en toi alors en qui peux-tu avoir confiance ? jalouse + oui, c'est vrai je suis d'une jalousie sans bornes lorsqu'une personne s'approche de ceux à qui je tiens réellement. Encore plus lorsque cela concerne mon mari... Une seule femme s'approche de lui et je ne sais pas pourquoi, mais je deviens Wolverine version féminine et pourtant, je suis probablement la personne la plus gentille qui existe. franche + je n'ai aucune peur à dire aux gens ce que je pense réellement et ce, même si la vérité peut être blessante. À mes yeux, il est important d'être toujours vrai et franc avec les gens qui t'entourent sinon c'est comme mentir en pleine face à cette personne. Si une robe vous fait un gros postérieure et que vous me demandez le contraire, je vous répondrais que vous avez des grosses fesses dans cette robe, ainsi est la vie. rancunière + me faire du mal, d'accord, mais me jouer dans le dos pour ensuite me mentir ? Non merci. C'est aussi simple comme bonjour : vous me planter un couteau dans le dos, je vous dis adieu pour un très long voyage et vous pouvez être certain que ce n'est pas demain la veille que je vous adressais la parole encore une fois. débrouillarde + je déteste attendre après une personne pour finaliser un projet, un travail alors avec mes années d'études et mon enfance, j'ai appris à me débrouiller comme une grande fille. Si je dois aller clouer un clou dans un mur, je n'attendrais pas après quelqu'un pour le faire à ma place. traîneuse + je suis bordélique, mais également très traîneuse et c'est probablement le plus gros défaut que j'ai et celui que tout le monde déteste chez moi. Je me laisse facilement traînée et j'égare souvent mes choses comme mon portable, mon sac à main ou encore mon veston.
my little secret
★Ton prénom ou ton pseudo & ton age → red hot, dix-huit ans. ★Comment es-tu arrivé(e) ici ? → via partenaires ★Ce personnage est-il un double compte ? → Non. ★Présence sur le forum → Régulière. ★Personnage inventé ou scénario ? → Inventé. ★Crédit images → adrenaline junkie & lj.
Mon exemple de RolePlay:
Callie frappa une seconde fois sur son réveille-matin avant de se lever en maugréant contre ce fichu son qui l'avait réveillée à sept heures piles du matin. Chaque matin, elle se détestait avoir activée son réveille-matin, mais après elle réalisait que sans celui-ci elle arriverait toujours en retard à son boulot, ce qui n'était pas acceptable spécialement dans le domaine dans lequel, Callie travaillait depuis deux ans déjà. Elle s'y plaisait, avait gagné la moitié des procès auxquels elle était désignée comme avocate, mais elle savait qu'à tout moment elle pouvait perdre un procès ce qu'elle ne voulait pas. Bâillant, elle se levait après avoir repoussé ses couvertures pour se rendre de suite dans sa salle de bain pour y prendre une douche qui ne dura pas très longtemps. Cinq minutes plus tard, elle était sortie, enfilait des vêtements et se dirigeais vers sa cuisine afin d'y préparer son café du matin. Callie n'était pas une grande fan de caféine, mais chaque matin elle en avait besoin, uniquement le matin. Regardant autour d'elle, la brunette remarqua rapidement une paire de chaussure qui ne lui appartenait pas et se souvint qu'elle n'était plus seule dans son appartement depuis bientôt deux semaines. Wayne avait fait une réapparition après deux ans d'absence. Certes, la blonde avait été surprise de le voir cogner à sa porte, mais elle connaissait plutôt très bien Wayne et n'avait pas eu le courage de lui dire non. Il avait confiance en elle, ce qui était plutôt rare chez lui.
« À demain ma belle » prononça Macy, la secrétaire du cabinet où Callie travaillait. Elle se retourna, souri et envoya la main pour prendre la direction de sa voiture. Comment pouvait-elle décrire l'état dans lequel Callie se sentait après une journée épuisante au bureau. Elle se sentait épuisée, sans force et surtout, elle était terriblement fatiguée de sa journée et ne désirait qu'une chose : Rentrer chez elle et se mettre au lit. Plus rapidement qu'elle ne l'imagina, la brunette arriva plus vite chez elle et d'un simple appui sur un bouton d'une manette, elle verrouilla sa voiture et entra chez elle. La première chose qu'elle fit fût d'enlever ses souliers, déposer ses affaires près de la porte et de retirer son manteau. « Bonjouur, passé une bonne journée ? » prononça une voix qu'elle reconnaissait, mais lorsque Callie l'entendit elle sursauta et regarda Wayne, assis sur le divan sourire au visage. À son tour, elle souri : « Hum... Oui, si tu ne prends pas en compte que mes pieds souffre, mais ta journée à toi ? » demanda-t-elle en s'asseyant près de lui et lui sourire. La brunette savait combien cela avait été dure pour Wayne, elle avait vécu à quelque chose centimètre la même situation alors elle comprenait plus facilement Wayne. « Je suis contente de savoir que tu es vivant, Wayne » dit-elle en blaguant.
Dernière édition par Sea I. Thomas le Jeu 1 Aoû - 2:14, édité 11 fois
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: SEA + we're up all night to get lucky Ven 14 Juin - 2:16
Well... It's my story...
« Avec les années, tu comprendras qu’il est toujours important de soigner son apparence Sea! » Six ans et déjà ma mère me fascinait au plus haut point. Elle qui était toujours si bien vêtue avec sa coiffure impeccable. Même lorsqu’elle fumait une cigarette, elle ressemblait à Jackie Kennedy, l’élégance incarnée. Et elle seule arrivait à paraître plus saine d’esprit lorsqu’elle commettait une bêtise. Ma mère respirait la fraîcheur, la beauté et surtout l’élégance, mais je crois qu’au fond elle n’a jamais été heureuse de cette vie de bourgeoisie avec une grande maison, un mari absent, des domestiques à ces pieds, une voiture trop belle, un grand terrain vide et surtout de l’argent qu’elle n’avait pas gagné de toute manière et qu’elle considérait qu’elle ne méritait pas. Je crois aussi que je suis sa seule grande fierté parce que sans moi, je crois qu’elle était perdue. Perdue dans le sens qu’elle ne savait plus trop pourquoi elle respirait encore et pourquoi elle vivait aussi dans ce confort qu’elle avait toujours détesté. Et si je savais une chose à propos de ma mère, c’est qu’elle n’était pas heureuse dans son mariage et ce, même si elle affirmait le contraire et qu’elle affichait toujours un magnifique sourire lorsque papa était dans les parages ou lorsqu’il y avait des invités dans notre demeure. Elle n’était pas heureuse et c’est probablement ce qui l’a tué.
17 mai 1994 (manchester, royaume-uni), huit ans + « Arrête de crier aussi fort James… Tu vas réveiller la petite! » suppliait la voix de maman qui, dans un dernier espoir, s’adressait à mon père qui avait, comme à son habitude, trop bu d’alcool en revenant du travail. « Tu crois que j’en ai quelque chose à cirer de cette gosse? Je l’ai engendré, mais ça ne veut pas dire que je l’aime cette gamine et que j’en ai quelque chose à foutre putain! » Je crois que pour la première fois, ces paroles ne me blessait pas. Je crois que c’était aussi parce que j’étais rendu habitué à ce genre de remarque de sa part lorsqu’il avait trop bu. Le problème, c’est que je crois que c’est également la première fois que je pouvais sentir dans le ton de sa voix qu’il pensait vraiment les mots qu’il disait et que c’était pour ça qu’il me touchait autant à huit ans. « Tu n’as plus aucun contrôle sur tes mots James, c’est pour ça que tu dis ça… Tu l’aimes cette gamine parce que c’est ta fille Seigneur de Dieu! » Le rire de mon père face à cette réplique fût comme un poignard dans mon cœur. Sérieusement, il se foutait de moi. Je n’étais pas un garçon, je ne pourrais pas prendre la relève de sa compagnie. Il avait honte de moi, en quelque sorte et quelque part, je savais qu’il n’hésiterait pas à ignorer mon existence pour se laver de moi. « Au contraire, ma chérie, cette gosse c’est un fléau pour moi. Ce n’est qu’une gamine qui en veut à mon argent… Comme sa chère mère. Si seulement, tu avais été capable d’engendrer un garçon je crois que ma vie ne serait pas aussi minable qu’elle l’est maintenant chérie! » Il insista sur le mot chérie de manière sarcastique et de ma chambre, je pouvais très bien savoir que ma mère retenait ses larmes pour montrer à son connard de mari qu’elle était bien plus forte qu’elle l’était. « Oh! Tu vas te mettre à pleurer Félicia? Pleure autant que tu veux j’en ai plus rien à foutre de toi maintenant! » Les larmes me picotaient les yeux, mais je ne voulais pas pleurer pour mon géniteur qui blessait ma mère à travers de moi. Il m’utilisait comme argument et comme défense pour faire fléchir ma mère à ses pieds. Elle était faible. Je le détestais pour ça. Soulevant et repoussant ma couverture rose bonbon, je débarquais de mon lit pour aller fermer entièrement la porte de ma chambre afin de faire taire les voix de mes parents et je retournai dans mon lit, bien au chaud. Malgré la chaleur de ma couverture, des frissons ne cessaient de me parcourir le corps. J’avais mal. Mal au cœur et le mal de vivre. Serrant dans mes bras mon ourson beige, je laissais aller mes larmes et encore une fois, je me promis que la prochaine fois je ne pleurerai pas.
6 août 1998 (manchester, royaume-uni), douze ans + « Salut Sea ! » Sursautant, je me retournai vers la voix masculine qui m’avait adressé la parole et lorsque je reconnu Ray, un sourire s’afficha sur mon visage. « Ah ! Salut Ray, tu vas bien ? » Dans un sourire, ce dernier vint s’asseoir près de moi et fixa l’horizon devant lui. « Je suis vraiment désolée pour ce que les filles ont dit tout à l’heure… » Quelque chose dans sa voix me fit légèrement douté puis je me retournais vers Ray en tentant de déchiffrer son expression, mais après avoir regardé son visage, je sus qu’il ne mentait pas. « Ne t’excuse pas, ce n’est pas de ta faute Ray » J’ajoutais à cette phrase un léger sourire à laquelle il répondit également par un sourire. Dans ma tête, je me questionnais quant aux raisons pour lesquelles Ray s’excusait pour quelque chose qu’ìl n’avait pas fait. Après tout, pourquoi s’excuser pour des gens avec qui nous n’avons aucun rapport ? « Je sais bien, mais je tenais tout de même à m’excuser parce que ma sœur fait partie du lot ! » Il prit une légère pause, sans doute pour reprendre de l’oxygène vu la vitesse à laquelle il avait débité ces mots. « E t je-ne-sais combien de fois je lui ai demandé d’arrêter d’être aussi méchante avec toi, mais elle ne m’écoute jamais ! » Un rire nerveux s’échappa de sa gorge et je me retournais vers lui. Ce qu’il venait de dire me surprenait vraiment beaucoup étant donné que Ray et moi n’étions probablement pas les personnes les plus proches l’une de l’autre, mais j’avais toujours ressenti un béguin pour ce garçon aux yeux bleu perçants. En regardant son visage, je crus voir le visage de sa petite sœur de treize ans me regarder, puisqu’ils se ressemblaient à un tel point que s’en était frappant, et je détournais rapidement le regard. Je détestais sa petite sœur, Kiley, pour des raisons qui n’étaient même pas justifiés. Non, en réalité, je ressentais un dégoût profond pour cette dernière. « Écoute, tu n’es pas obligé d’être de mon côté. Ta sœur et sa petite bande me déteste, je n’y peux rien. » Relevant légèrement ma manche, je regardai l’heure sur ma montre et dans un bond je descendis du mur de brique pour atterir sur le sol, non pas sans douleur. « Tu fais quoi Sea ? » « Je dois vraiment y aller. Mes parents vont s’inquiéter ! » En moins d’une fraction de secondes, Ray m’avait rejoint pour venir se planter devant moi. De la main, je lui fis signe au revoir, je tournais les talons et je commençais à me diriger vers ma demeure. « Sea, attends ! » La voix de Ray me parvint rapidement, mais lorsque je commença à me retourner ce dernier s’approchait déjà de moi en courant. « Il faut que je te demande quelque chose… On se voit à l’école ? » Pendant quelques instants, j’étais certaine qu’il allait me faire une déclaration d’amour et j’avoue que je n’aurais pas détesté. Dans un hochement de tête, je lui fis comprendre que oui nous allions nous revoir à l’école et il disparut dans un sourire.
15 décembre 2002 (manchester, royaume-uni), seize ans + Quelques coups sur la porte rouge de la demeure des Hemingway et déjà une vieille femme ouvrait celle-ci. Dans un sourire, elle m’accueillat à l’intérieur de sa magnifique maison. « Bonjour, Sea. Comment vas-tu ? » « Bonjour mademoiselle Hemingway, très bien et vous ? Ray est là ? » « Très bien, merci. Je crois qu’il est sorti, mais tu peux aller voir en haut pour être certaine puisque je viens d’arriver. » Dans un sourire, je me dirigeai vers les escaliers pour monter celles-ci lentement pendant que la mère de Ray disparaissait dans la cuisine où elle continuerait à préparer le souper. Rendu au deuxième étage, après quinze marches, je tournais à droite pour me rendre à la chambre de Ray. La porte était fermée, ce qui était inhabituel venant de la part de Ray étant donné qu’il gardait toujours la porte de sa chambre ouverte en permanence. Après un an et six mois de relation, je connaissais très bien mon petit copain. Déposant ma main sur la poignée de sa chambre, je tournais cette dernière pour pénétrer dans sa chambre. Cependant, je me stoppais bien rapidement en découvrant mon petit copain avec une blondasse à moitié nue dans les bras. Les deux se retournèrent vers la porte afin de savoir qui venait les déranger et lorsque Ray me reconnut, une expression d’horreur s’afficha sur son visage et moi, je restais figée sur place. Ce n’est qu’après avoir entendu la blondasse demandé c’était qui elle, je défigeai. « Je suis qui ? Tu te fous de ma gueule ? Je suis la copine de Ray, enfin l’ex maintenant ! » À ces mots, Ray tenta de dégager la blondasse de ces bras alors que moi je portais la main à mon cou pour y arracher violemment le pendantif qu’il m’avait offert pour nos un an. « Attends Sea, c’est pas ce que tu cr… » « Tu peux bien aller te faire voir avec tes excuses de minable. T’es qu’un sale con Ray. J’aurais dû écouter tout le monde, y compris ta propre sœur, lorsqu’ils me disaient que tu n’étais qu’un petit coureur de jupons. » À ces mots, je lui jettai son pendantif au visage pendant qu’il enfilait un pantalon et qu’il tentait de me rejoindre, mais j’étais bien trop rapide pour lui. Main sur la poignée d’entrée, j’allais ouvrir la porte lorsque sa main vint se poser sur cette dernière pour qu’elle se referme. « Je t’aime Sea et tu le sais très bien. Je ne voulais pas, je t’assure. C’était une grave erreur et je te promets que je ne recommencerais plus jamais… Pardonne-moi mon ange, je t’aime tellement je ne veux pas te perdre ! » Il me dégoûtait à un tel point que je n’avais plus envie de revoir son beau visage une seconde de plus. « J’arrive pas à croire que tu oses me dire des conneries de ce genre Ray. Bordel, je t’ai donné ma virginité, j’ai tout fait pour toi et c’est comme ça que tu te débarasses de moi ? J’en ai marre, retourne voir ta blondasse, elle semble beaucoup plus s’y connaître que moi Ray. Et lâche-moi immédiatement la main Ray. » Voyant qu’il ne semblait obtempérer à ce que je lui demandais, je tentais de repousser sa main qui était sur la porte, mais il était beaucoup plus fort et grand que moi. « Ray, retire cette main immédiatement de la porte et laisse partir Sea ! » La voix de sa mère était ferme et autoritaire qu’elle me fit sursauter alors que son fils se retournais vers elle. Dans un mouvement lent, il retira sa main et je pus enfin ravoir de l’oxygène dans mes poumons. Les larmes commençaient à me piquer les yeux durant le trajet du retour où j’éclatais en sanglots lorsque je fus devant ma porte d’entrée.
12 septembre 2009 (paris, france), vingt-trois ans + « Maman ? » criais-je en entrant dans le grand vestibule du pied-à-terre de ma mère qui se trouvait à Paris. Une bonne arriva vers moi en courant, mais je congédiais cette dernière d’un signe de main et dans un sourire, elle inclina la tête avant de disparaître de mon champ de vision. Déposant mon sac à main sur le sol de marbre, je commençais à monter les escaliers lorsqu’une autre bonne m’arrêta au milieu des escaliers. « Votre mère est présentement occupée avec votre père… Je vais vous annoncer Mademoiselle Forester ! » M’annoncer ? Depuis quand, devais-je m’annoncer pour prendre des nouvelles de celle qui m’avait mise au monde et qui s’était occupée de moi ? Fronçant les sourcils, je regardais la demoiselle dans les yeux et j’inclinais légèrement la tête dans l’espoir d’y déceler de l’humour, de l’ironie ou autres, mais rien dans ces yeux ou dans son expression ne laissait présager qu’elle se foutait de ma gueule. « Je dois attendre ma propre mère, désormais ? » « Toutes mes excuses Mademoiselle Forester, mais c’est votre mère qui a ordonné de ne pas la déranger. » Je n’avais plus aucun argument, alors je redescendis les escaliers pour me diriger vers le salon le plus près de moi. En moins de deux secondes, un nouveau visage inconnu s’approchait de moi avec dans les mains un plateau de thé. J’avais une envie irrésistible de lever les yeux au ciel, mais je me retins le plus possible. « Du thé Mademoiselle ? » Je déclinai l’offre détestant le thé depuis toujours. Je jetai un coup d’œil à ma montre, impatiente de vouloir parler à ma mère et lui dire une bonne nouvelle, mais le temps passait à une allure folle qu’à un certain moment, je me demandais si je ne devrais pas revenir le lendemain. Puis, au moment où je m’apprêtais à quitter la demeure de ma mère, la même bonne que tout à l’heure arriva avec un sourire et elle me dit que ma mère était, enfin, disposée à me recevoir. Je remerciai la demoiselle d’un hochement de tête, j’allais prendre mon sac à main et je recommençais à monter les escaliers pour me rendre jusqu’au bureau de ma mère. Elle y était, mais de dos. Pour une raison, quelque chose à l’intérieur de moi écrasa mon cœur et je sus que ma mère n’allait pas bien. « Maman, tout va bien ? » questionnai-je en refermant la porte derrière moi et en continuant d’avancer jusqu’à ma mère. En se retournant, ma mère avait les yeux rougis par faute d’avoir pleuré et elle essuyait le dessous de ces yeux. « Oh chérie ! Je vais très bien » Elle affirmait ces mots par ce sourire que je connaissais trop bien et qui dissimulait un désespoir profond. D’une partie je savais que c’était à cause de mon père et de l’autre je le détestais pour avoir fait pleurer ma mère. « Maman, dis-moi ce qui ne va pas ! » En l’espace d’une fraction de secondes, elle tenta de se trouver une excuse, mais elle abandonna bien rapidement à la vue de la détermination qui devait probablement émané de moi. « Chérie, je m’excuse vraiment… Mais tu sais, j’ai vraiment tout essayé pour sauver ce mariage. » Elle n’avait plus besoin de m’expliquer ce qui venait de se passer puisque je comprenais entièrement la situation. « Moi et ton père allons divorcer Sea. » Sa voix me paraissait lointaine.
Dernière édition par Sea I. Thomas le Mer 26 Juin - 0:16, édité 4 fois
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: SEA + we're up all night to get lucky Ven 14 Juin - 2:23
Bienvenue
Rachel Bilson <3<3
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: SEA + we're up all night to get lucky Ven 14 Juin - 2:28
Merci Ton choix d'avatar est trop
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: SEA + we're up all night to get lucky Ven 14 Juin - 2:53
Bienvenue parmi nous
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: SEA + we're up all night to get lucky Ven 14 Juin - 8:26
Welcooome Rachel Bilson
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: SEA + we're up all night to get lucky Ven 14 Juin - 10:03
Rachel Bienvenue parmi nous & bonne chance pour ta fiche
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: SEA + we're up all night to get lucky Ven 14 Juin - 11:01
Bienvenue parmi nous Bon courage pour ta fiche !
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: SEA + we're up all night to get lucky Ven 14 Juin - 11:35
Bienvenue parmi nous et bonne fiche
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: SEA + we're up all night to get lucky Ven 14 Juin - 11:50
Bilson
Bienvenue parmi nous Bon courage pour ta fiche
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: SEA + we're up all night to get lucky Ven 14 Juin - 11:52
Rachel est un pur choix bienvenue parmi nous & bonne chance pour ta fiche