23 ans → Née à Brighton le 16/05/1990 → Études de droit célibataire → hétérosexuelle → membre des Beauty Queen.
And who am i ?
★Quelles sont tes caractéristiques? → _ Calypso est grande, brune avec un physique de rêve et des yeux qui pourrait faire chavirer n’importe quel cœur et ça, elle le sait. _ Son style vestimentaire ? Tous lui va comme un gant. Que ce soit un pull large avec un legging ou une robe de soirée près du corps. _ Elle possède plusieurs tatouages dont le plus visibles se trouve sur l’avant de son bras, mais leurs significations vous ne les saurez comment dire ? Jamais. Ses tatouages sont des moments de sa vie qui l’ont marqué. Elle possède aussi un piercing à la langue avec lequel elle aime bien joué. _ Elle passe souvent la main dans ses cheveux, quand elle se trouve dans une situation gênante ou qu’elle s’ennuie.
★Quel est le caractère de ton personnage? → Calypso mélange charme et sensualité sans pour autant être vulgaire, c’est une jeune femme qui plait et qui le sait. Elle en joue beaucoup même si pourtant tout cela n’est qu’une apparence qu’elle se donne. Au fond d’elle c’est une personne fragile qui a besoin de pouvoir se reposer sur les personnes auxquelles elle tient. Elles sont rares malheureusement. Bien que pouvant apparaître superficielle et légère, elle est idéaliste, parfois même utopiste. Elle cherche à trouver un sens à sa vie pour se sentir exister pleinement. Au fond, c’est une jeune femme qui rechercher le bonheur mais qui ne sait pas comment le trouver. Elle a de nombreuses blessures dans le cœur qu’elle ne cesse de cacher mais qu’elle a fait marquer à l’encre indélébile pour ne jamais oublier la douleur qu’elle a ressentie et surtout ne jamais devoir le revivre. C’est une jeune femme souriante, il ne passe pas une heure sans que l’on aperçoive ses dents ou son petit sourire en coin. Elle aime aussi rire, mais rire pour de vrai pas pour faire plaisir aux gens qui l’entourent. Par contre, elle est très rancunière et n’oublie jamais quand on lui fait une crasse, elle le rendra même au quintuple. En fait, c’est une jeune femme assez simple quand on la connait mais quand on ne la connait pas, on peut la prendre pour une salope prétentieuse. Calypso, on l’aime ou on la déteste. Choisissez votre camp.
Well... It's my story...
Je me rappellerais toute ma vie du jour où j’ai déménagé, certes je n’avais que cinq ans mais c’est un de ses moments dans la vie que l’on n’oublie pas. Avant je vivais à Londres dans un petit appart’ avec mes parents, puis un jour mon père a été promu et nous sommes arrivés ici, à Brighton. Il est devenu PDG d’une grande entreprise et nous, nous avons eu le droit à un beau pavillon dans un quartier résidentiel de Brighton et une piscine. Quand je dis « nous », je parle de ma sœur, ma mère et moi. La vie rêvée vous me direz ? Et bien non. Mon père travaillait de plus en plus et nous le voyons de moins en moins souvent. A la fin on s’habitue mais c’est toujours douloureux quand j’y repense mais je sais aussi qu’il faisait ça pour nous, pour qu’on ait une bonne vie. Le 15 juin 1995, peu de temps après notre emménagement je fis la connaissance de Marwyn, mon voisin d’à côté. Un petit bonhomme pas plus haut que trois pommes de six ans. Ce fut le coup de foudre, non pas celui dont on parle dans les films, celui était un coup de foudre amical. Comme si au fond de vous, vous saviez que ce serait une personne importante dans votre vie. Marwyn et moi avancions ensemble, main dans la main, alors que les années passaient, notre amitié ne se faisait que plus intense. Lui et moi savions que nos parents parlaient mariage et compagnie derrière notre dos, mais ce n’était pas pour nous ça. Il ne se passait pas un jour sans que lui et moi ne soyons ensemble, pas un seul. C’était Marwyn et Calypso, Calypso et Marwyn. Deux prénoms atypiques pour une amitié pas comme les autres. Puis vins le jour de mes seize ans, la crise d’adolescence ne nous allait pas, ni à l’un ni à l’autre. Marwyn était un garçon timide alors que j’étais une jeune fille extravertie. Et puis fut le jour où mon premier béguin pour Caleb, un jeune garçon blond comme les blés avec des yeux bleus où l’on pouvait se noyer dedans, ouais c’est ce que je disais à l’époque. Et j’ai réussi à sortir avec lui, je passais même tout mon temps avec lui et j’avais l’impression que cela ne plaisait pas à Marwyn, mon meilleur ami. Je l’abandonnais en quelque sorte sans m’en rendre compte car mon cœur était occupé autre part. Puis, je vis de moins en moins Marwyn, ressentant de moins en moins le manque de lui. Les années passèrent, j’étais devenue une jeune femme épanouie, populaire et adulée des autres, mais il me manquait quelque chose, mais je n’aurais su dire quoi. Je commençais à sortir, à boire, à aller dans des clubs, tout ça avec la même bande potes qui n’était pas vraiment des amis pour moi mais seulement des bouches trous.
Aujourd’hui, je ne suis pas heureuse, c’est pour cela que je déménage à New York. Je vais continuer l’université là-bas. Commencer une nouvelle vie ou je pourrais être celle que j’ai toujours voulu être, celle qui est au fond de moi.
my little secret
★Ton prénom ou ton pseudo & ton age → Adeline, 21 mais plus pour longtemps. ★Comment es-tu arrivé(e) ici ? → Avec Mayon ( Marwyn ). ★Ce personnage est-il un double compte ? → Non. ★Présence sur le forum → 5/7. ★Personnage inventé ou scénario ? → Inventé. ★Crédit images → LAMN.
Mon exemple de RolePlay:
→ Cela faisait un an qu’elle n’avait pas retouché à la drogue que ce soit fumer ou snifer. Un an c’est long quand on était une habituée, un an c’est long quand on était une droguée. Voilà ce qu’était Bailee il y a un an. Elle n’avait honte de rien à cette époque, que ce soit les verres qu’elle s’enfilait ou les hommes qu’elle se faisait. Mais au fond, tout ce monde qu’elle s’était créé n’était qu’artificiel, ses amis n’étaient pas des amis, juste des gens qui en voulaient à son argent. A cette époque, elle n’avait rien personne sur qui compter. Un père absent, une mère décédée que voulez-vous qu’elle soit devenue ? Une jeune femme dévergondée, bien trop d’ailleurs pour son âge. Mais quand l’argent coule à flot et que les mauvaises fréquentations s’en suivent, cela devient une spirale infernale. Elle avait essayé pourtant, à de nombreuses reprises, mais elle avait échoué parce qu’elle était seule. Elle voyait sa vie basculer sans pouvoir faire quelque chose, trop défoncée ou bourrée pour ne bouger un seul de ses doigts. Elle aurait demandé à son père de l’envoyer en cure qu’il ne l’aurait jamais plus regardé de la même façon et ça c’est ce qu’elle souhaitait le moins au monde. Elle l’aimait, elle l’aimait tellement que son manque d’affection la bouffait alors elle tombait dans plus en plus dans les abymes, trop froides et étroites pour elle. Ce manque, elle le comblait par tous ce qui pouvait se boire, se fumer ou s’avaler pour partir loin, très loin de tout cela et commencer à planer. C’était sa solution à elle, pas très glorieuse certes mais c’était ce qui lui faisait changer d’air, voir la vie autrement que cette si triste vérité qui l’entourait.
Il devait être six heures ou peut-être sept quand elle se réveilla, un mal de crâne intolérable fit son apparition. Elle ferma les yeux quelques instants puis les rouvrit, il était toujours là, à lui tambouriner le crâne, à lui faire sentir qu’elle avait abusé hier soir. Oui, elle avait abusé, sur l’alcool, rien d’autre enfin ça c’est seulement ce qu’elle pouvait affirmer grâce aux brides de la soirée qui lui revenait. Ce n’est pas souvent qu’elle se met dans cet état, mais généralement c’était plus par chagrin qu’autre chose. Cela devait arriver tous les trois à six, quand la peine prenait une place trop immense dans son corps et son cœur. A ce moment, elle ne pleurait pas, parce qu’on lui avait souvent fait ressentir que pleurer c’était pour les faibles alors dans ses moment elle sortait comme au bon vieux temps pour oublier tous ce qui la faisait souffrir de près ou de loin.
Elle regarda alors à côté, un homme se trouvait là, endormi. Elle avait sûrement dût finir la soirée avec lui dans cette voiture, mais là, aucuns souvenirs. Elle le détailla alors progressivement, passant par son visage, son torse et le reste de son corps. Il fallait dire qu’elle n’avait pas pris le plus laid, non loin de là, il était tout à fait son type, son type d’autrefois. Ce devait être un fils à papa, assez fière de sa personne, dragueur au possible enfin c’était un stéréotype à lui tout seul. Elle regarda alors sur la banquette arrière, elle fut rassurée d’y voir son sac intacte, une chose qui changeait au moins, parce que généralement elle ne retrouvait pas son sac. Elle ouvrit alors la porte de la voiture et l’air de la mer vint lui chatouiller les narines, elle aimait cette odeur, malgré le fait qu’elle lui rappelle Miami. Elle mit un pied dehors, puis l’autre et se mit enfin debout. Ses jambes n’étaient pas stables, elle s’en rendit compte alors qu’elle regardait ses pieds, enfourner dans une paire d’échasses signé Louboutin. Elle les enleva rapidement, ouvrit la porte arrière de la voiture et attrapa son sac en jetant un regard à l’intérieur pour être sûre que tous s’y trouvait. Victoire, elle y mit alors ses escarpins et se dirigea vers la plage.
La plage, son sable, son odeur avait comme la capacité à la faire décuver plus vite qu’un doliprane. Elle commença alors à marche doucement, sentant ses pieds s’enfoncer dans le sable frais du matin. Elle marcha jusqu’à la mer, pour sentir la caresse de l’eau sur ses pieds. Bailee est une fille de l’eau, c’est son élément, elle ne pouvait pas s’en passer. Elle marcha un petit temps le long de la mer regardant le paysage que lui offrait l’endroit, elle en était stupéfaite. Alors qu’elle balayait l’endroit du regard, elle vit une forme, non pas une forme mais un corps allongée sur le sable. Elle se rapprocha alors rapidement de l’endroit où il se trouvait, c’est une femme, d’environ son âge, qui respire à voir son ventre se soulever pas intermittence, elle tenait une bouteille de Whisky contre elle. En voilà une qui a dû abuser aussi hier se dit Bailee. Elle s’accroupit alors devant elle, posa sa main sur son épaule et la secoua quelque peu espérant la réveiller.
Dernière édition par Calypso A. Brythe le Mar 18 Juin - 18:01, édité 20 fois