28 ans → Né à Antibes le 14/10/1985 → styliste célibataire → bisexuel → membre des Outsiders.
And who am i ?
★Quelles sont tes caractéristiques? → Il marche sans savoir où il va. Son pas est lent, traînant. Il prend le temps de savourer sa promenade et sa cigarette qu'il porte à intervalles réguliers à ses lèvres trop minces. La blancheur cadavérique de sa peau le fait passer pour un malade récemment sorti de l’hôpital, même si ce n'est pas le cas. Cette pâleur prouve seulement que le petit génie s'est réfugié trop longtemps dans son atelier afin de peaufiner les derniers détails de sa prochaine collection.
Les traits tirés de son visage juvénile trahissent son extrême fatigue et son insomnie. C'est au-dessus de ses forces que de s'endormir avant 4 heures du matin. Les traces d'oreilles parsemant ses joues mal rasées prouvent qu'il dort quand la fatigue le prend ; c'est-à-dire qu'il somnole la plupart du temps.
On pourrait avoir peur pour lui qu'il s'endorme en plein milieu de la rue, tombant au sol telle une poupée de chiffon. Mais, vaille que vaille, il avance, son allure inchangée, son dos courbé et sa chevelure indisciplinable d'un brun cuivré cachant les cernes, plutôt valises, s'étalant sur la moitié de sa figure.
Le vent joue avec les pans de sa chemise froissée, en fin de vie, tout comme son pantalon aux trous béants usé jusqu'à la corde. Ses chaussures, une paire de Doc bleue électrique, ne sont pas en meilleur état, le vernis craquelé de toutes parts et les lacets tenant par un miracle divin.
Ses admirateurs sont nombreux dans la ville, son talent reconnu. Cependant, personne ne pourrait le reconnaître dans ses vêtements de tous les jours. Tant qu'il n'a pas discipliné un minimum ses cheveux ni plaqué contre son corps osseux ses chemises aux motifs psychédéliques, tant que son nez d'empereur romain n'est pas chaussé de ses lunettes surdimensionnées lui donnant un air de geek, il ne peut pas être « Balthier Pheles ». Il est Q. Quantum. La plue petite mesure indivisible ; un minuscule entier, quoi. En un mot : lui-même.
Il soupire. Dans une semaine il lui faudra se mêler de nouveau à la foule, présenter son œuvre et prendre, le temps d'un mois, le temps d'une nouvelle tournée, contact avec ses clients. Avec la réalité.
Aller, encore sept jours de liberté.
Il tourne et disparaît dans la nuit noire, sa chétive silhouette flottant dans ses habits trop grand, le définissant comme ce qu'il est au fond : un enfant trop vite grandi.
★Quel est le caractère de ton personnage? → Le jeune homme est encore endormi, sa pâle figure aux traits tirés marquée de violet autour de ses paupières pour l'instant fermées. Son corps nu se confondrait presque avec la blancheur immaculée de ses draps.
D'ailleurs, tout est blanc ici, du sol au plafond. Les seules tâches de couleurs proviennent des rares photos et croquis collés de-ci, de-là au petit bonheur la chance. Tous ont trait à son métier, sa fierté : le stylisme. Des mannequins élancés sont à jamais emprisonnés sur papier glacé, leur visage de marbre outrageusement maquillé ou à peine, donnant un effet nude désormais à la mode. Des costumes aux formes élégantes et aux couleurs flashy s'envolent de mur en mur, se répondant et s'interpellant dans un bruyant silence. « Le maître dort, ne le dérangeons pas », semblent-ils dire.
Ces êtres de papier sont les seuls à pouvoir se vanter de connaître personnellement le petit génie encore plongé entre les bras de Morphée. C'est qu'il ne se dévoile pas si facilement, jamais il ne se racontera dans une interview ni un tête-à-tête après un verre de trop. Tel un escargot dans sa coquille, il est dur de le faire parler de lui-même. Etre au centre de l'attention le gêne terriblement, presque pourrions-nous parler de phobie.
Pourtant, c'est un gai compagnon de boisson. De plus, il aura toujours un mot gentil à ses amis, toujours là lorsqu'on a besoin de lui. Mais il est fait comme cela qu'il est timide, gauche et facilement anxieux. Sauf lorsqu'on s'en prend à ce qu'il a de plus précieux. Sa famille de cœur. Hors de question de sortir un mauvais mot sur elle en sa présence. Il ne le supporte pas et, après avoir vertement remis à sa place le fautif, quittera les lieux de la joute verbale sans un mot de plus.
En privé, il est très doux, même s'il sait exprimer ses désirs et ses dégoûts avec force. N'étant pas très communicatif, il se montre démonstratif et très, énormément (même un peu trop ?) tactile. Avec lui, les mains se lient comme par enchantement, une caresse n'est jamais manquée, comme un baiser volé. Il aime être amoureux car cela lui donne l'occasion de sortir son côté câlin et peluche en manque d'affection. Ses amis savent qu'entre ses bras, ils trouveront toujours un petit coin chaud pour eux.
Un défaut, parce que personne n'est parfait, n'est-ce pas ? Rancunier. Horriblement rancunier. Vous avez cassé sa tasse de thé préférée (il en fait collection et a pour chacune un petit nom doux et sonore), vous avez dit du mal d'un de ses amis, vous avez ri de ses créations, vous l'avez bousculé sans vous excusez...Et que sais-je encore ! Ne croisez pas sa route ou bien préparez-vous à ses regards noirs et son sourire mauvais. Il a une bonne mémoire et n'oubliera jamais un affront fait à sa personne. Le pire : vous ne pouvez même pas être au courant de votre faute...Ne comptez pas sur lui pour vous la rappeler.
Well... It's my story...
Tu roules à toute vitesse sur la route déserte. Normal : il est plus de quatre heures du matin. Tu fais la course avec le soleil, tentant d'arriver à un point imaginaire avant l'aube. Ta moto rugit violemment sous ton corps; tu ne fais plus qu'un avec cette silhouette de métal et de cuir. Ton bolide tout de noir vêtu est ta seconde moitié, ton âme sœur. C'est étrange de dire cela d'un objet, mais c'est bien ce genre de lien que tu partages avec elle, à défaut de faire de même avec un humain.
La nuit t'apaise après le coup de téléphone de ton frère aîné, juriste de son état à L.A. Sa carrière flamboyante, ses amis puissants, ses soirées, ses coups d'un soir...Tout, absolument tout de lui te sort par le nez. Tu l’écoutes d'une oreille distraite, te sentant encore lié avec lui par le soin qu'il a pris, étant enfant, à jouer pleinement son rôle de grand-frère attentionné. Tu sais que dans sa grande maison trop silencieuse, il est perdu, tel un petit garçon. Alors, de temps à autre, tu vas le voir. Même si tu repars au bout de deux jours, excédé par sa conduite, te jurant de ne plus jamais remettre les pieds chez lui.
Tu te sens nostalgique lorsque te reviennent en mémoire les bribes floues de ton enfance. La France. Antibes. La mer. Le sable. Le catamaran que ton père t'enseignait, les week-end à voguer sur la mer et à te sentir le roi du monde. Jusqu'à ce que tu chavires, hilare.
Vous rentriez, ton père et toi, crevés mais heureux. Ton frère ayant le mal de mer, il vous attendait avec votre mère, déjà plongé jusqu'au cou dans ses livres. Cela pouvait aller du dernier « Harry Potter » jusqu'à la biographie de Jane Austen.
La maison était un Eden pour toi. Un Eden perdu. Ton père est mort, porté disparu dans la Méditerranée si chère à ton cœur. Ta mère s'est remariée, avec un gentil type, là n'est pas la question, mais tu ne te sens plus chez toi dans cette demeure à Los Angeles.
Tu sais que c'est depuis la mort de ton père que tu t'es séparé du reste de ta famille. Ton frère ressemblait trop à votre géniteur dans sa façon de passer une main dans tes cheveux, alors tu l'as fuis. Ta mère te regardait avec ces yeux si tristes alors tu as détourné la tête, t'enfonçant plus profondément dans ta solitude et tes dessins.
Puis, la rupture. L'école de haute couture à New York, les premiers podiums, les premières marches. Plus de travail, un carnet d'adresses fourni, plus de cocktail, de fêtes, de drogues, d'alcool...Tu t'es perdu un temps. Tu as voulu fuir, oublier, mettre de côté les vagues jamais apaisées de ton chagrin.
Finalement, aujourd'hui. Tu as la gueule de bois, mal au crâne et l'envie de vomir. Alors tu fais ce que tu faire de mieux : t'éloigner. Prendre du recul sur ta vie, sur tes succès et tes déboires, refaire le point. Prendre soin de toi, tout en travaillant.
Un jour, une semaine, un mois...Un an que tu vis à part, dans ta bulle, renfermé sur toi-même. Maintenant, tu es sevré. Les bouteilles d'alcool ne sont plus finies en une heure mais en plusieurs semaines. La drogue a disparu de ton sang et de ta vie. Tes cernes se sont estompées, tout comme le gras que tu commençais lentement à entasser sur ton ventre. Désormais, tu es clean. Et maigre. Pâle, comme un fantôme. Tu es ici sans être là, ton esprit dans un Ailleurs que tu ne parviens pas à nommer. Si tu étais poète, tu dirais que tu voyages en continu dans ton Imagination sacrée. Mais tu es lucide alors tu sais qu'une fois de plus, une putain de fois de plus, tu t'es perdu.
Et là, tu ne sais pas quoi faire pour retrouver ton chemin.
Tu rêves d'un endroit au calme, sans pollution, sans voiture, sans foule..Sans rien. Juste toi et...La mer. Tu veux partir. Tout quitter.
Mais voilà. New York te colle à la peau. Et pour ne pas ressembler à un écorché vif, tu restes.
Encore une semaine et tu retrouveras tes podiums, le seul endroit au monde à part ta ville d'origine où tu te sens toi. Où tu te sens vivant.
Midi. Tu te forces à manger une pomme, ton regard fuyant vers ton téléphone portable depuis trop longtemps silencieux. Tes amis d'autre fois doivent encore dormir, se remettant lentement de leur soirée. Tu te demandes si, juste une fois, une ultime fois peut-être, tu ne ferais pas mieux de les rejoindre.
Fatigué, tu pars te coucher alors que tu n'as rien fait de particulier ce matin.
En quittant tout, en te mettant volontairement de côté, en devenant un Outsider, tu as retrouvé le petit garçon à peine sorti de l'enfance. Ce petit garçon aux yeux vides, hagard, n'arrivant pas à croire à l'inévitabilité de la Mort.
Es-tu encore vivant ? Ou bien as-tu déjà un pied dans la tombe ? Dis-moi, Balthier...
Le téléphone sonne. Le regard n'y croit pas mais les mains se sont déjà emparées du cellulaire. Le cœur bat, espère. La raison grogne. La voix est rauque :
« Allô ? -Balthier ! Ca fait un bail ! Tu ne dois plus te souvenir de moi, mais c'est... »
La bouche sourit. La vie renaît.
my little secret
★Ton prénom ou ton pseudo & ton age → Lawerance, 109 ans, 10 mois, 6 semaines, 4 jours, 21 heures, 12 minutes, 29 secondes... ★Comment es-tu arrivé(e) ici ? → gogole is my friend, dear ★Ce personnage est-il un double compte ? → nope ★Présence sur le forum → 4/7 ★Personnage inventé ou scénario ? → Everything come from my madness.... ★Crédit images → gogole? Sorry, je n'ai pas retenu^^"
Mon exemple de RolePlay:
→ C'était un de ces soirs sans lune, sans repères, exceptés le ronronnement des moteurs de rutilantes voitures et le murmure des conversations jointes aux soupirs de plaisirs nocturnes. C'était une de ces nuits où il n'arrivait à rien, sauf à se tourner et se retourner dans son trop grand lit aux draps fraîchement lavés. Il manquait un élément. Féminin ou masculin, peu importe. Et c'était ici qu'il était venu chercher cette chose lui faisant si cruellement défaut. Là, en plein quartier chaud tokyoïte, il était sûr de trouver la perle rare ou, tout du moins, un corps répondant à ses critères de sélection. Mais même en manque, il ne prenait pas n'importe quelle marchandise non plus.
Bien installé sur le siège en cuir de sa décapotable argentée, une Jaguar racée, ses lunettes aux verres fumés juchées sur le bout de son nez d'empereur romain, il traquait sa future proie. Il voulait que la créature possède de longues jambes capables de s'enrouler tout naturellement autour de son buste, des bras graciles dotés à leur extrémité de douces mains aux doigts fins pour apaiser ses maux de tête lorsqu'il aurait trop bu, un buste bien sculpté, la poitrine lui étant égale et un petit sourire n'était pas de refus. Mais surtout, il fallait obligatoirement que la beauté ait une peau d'un blanc parfait, laiteuse à souhait, n'attendant que les dents du félin qu'il était pour la marquer. Et par pitié, tout sauf une voix nasillarde ou trop haut perchée, rien de mieux pour éveiller de douloureuses migraine une fois levé le lendemain.
Pour l'instant, le trésor convoité ne se montrait pas. Cela le faisait sourire plus largement. Il aimait chasser, longuement, arpentant encore et encore les boulevards et avenues de la mégalopole, bien à l'abri et au chaud dans son bolide. Il pouvait rouler jusqu'au petit matin, cela ne le dérangeait pas. Le son étouffé du moteur, l'air frais sur son visage juvénile, les néons s'imprimant dans ses rétines... Le charme de la vie nocturne l'avait toujours énormément attiré, tel un papillon près de la flamme d'une bougie. Il avait goûté à tous ses aspects. Les meilleurs comme les pires. Consommant le tabac avec la drogue, et la drogue avec l'alcool, le tout saupoudré de sexe.
Il n'avait pas honte de raconter ses expériences, guidant les bleus comme un vieux capitaine à la retraite. Malgré ses vingt-six ans baignaient au fond de ses prunelles, grises et insondables, les lueurs d'une sagesse d'ermite millénaire. Avec lui, on ne savait sur quel pied danser, ni à quel tempo. Ceux le connaissant un peu allaient à leur propre rythme, sachant d'avance sa capacité à s'adapter à n'importe quelle situation. Peut-être cet espèce de don inné permettait au brun de rester depuis si longtemps en vie au milieu de toute cette débauche, de tous ses excès. Lorsqu'on lui reprochait ses frasques, toujours en premières pages des journaux, il souriait, hautain, fier. Son tableau de chasse, son prestige. Son image.
Une cigarette tenue entre son majeur et son annulaire, il expulsa nonchalamment une bouffé vers le ciel sans étoiles. Le panache de fumée prit une nuance rouge sous les feux des bagnoles, teignant sa figure et lui donnant un air de démon. Ce qu'il était, uniquement à la surface.
Soudainement, on lui fit un signe. Une main délicate, un pouce droit, presque majestueux. Un ongle bien coupé. Il apprécia la vue de ce membre littéralement surgi du néant. Son pied caressa la pédale de frein, stoppant le carrosse aux pieds de l'éphèbe. Il leva les yeux, encore et encore, jaugeant l'individu lui ayant, d'un simple doigt, fait aussi bonne impression. Et là, il en resta quasi bouche bée.
Un corps musclé. Très musclé. Grand, aussi. Plus de deux mètres. Les muscles étaient bien proportionnés, visibles sous le tricot de corps aux longues manches bleu marine, presque noir. Deux solides jambes, fermement plantées dans le sol, signe que cet individu ne repartirait pas sans avoir atteint son but. Des bras épais, tout comme son cou, soutenant un fort beau faciès étranger. Des yeux lumineux, saphirs éblouissants, des lèvres rosées, pleines à souhait, un menton carré, des traits étonnamment durs, mais un regard doux. Des cheveux bruns aux reflets roux frôlaient ses fortes épaules. Un magnifique homme d'à peu près son âge ou à peine plus âgé, une proie idéale. Sauf que ce ne serait pas lui qui prendrait le contrôle ce soir, mais bien cet inconnu. Il voyait déjà les folles galipettes que tous deux pourraient exécuter, éprouvant la solidité du sommier. Oh oui, c'était ce qu'il lui fallait. Il lui sourit, ôtant ses verres fumés.
« Je peux vous aider ? proposa le prédateur. »
Sa voix prit des accents charmeurs, incroyablement chauds et sexy. Le grand jeu était de mise.
Dernière édition par Balthier Q. Pheles le Lun 24 Juin - 1:30, édité 17 fois
BIENVENUE PARMI NOUS Par contre je vais faire ma grosse relou Il serait possible que tu changes de prénom ?
En tout cas, bon courage pour ta fiche
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Where am I? Mer 19 Juin - 23:28
Ne pourrions-nous pas avoir le meme prenom?
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Sujet: Re: Where am I? Mer 19 Juin - 23:31
bienvenue parmi nous
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Where am I? Mer 19 Juin - 23:46
Mon téléphone veut pas citer le message pfff Mais bref, désolé de t'embeter mais j'aimerais avoir l'exclusivité du prénom pour diverses raisons :cutie:De plus, le règlement me le permet donc je me permets de te le demander
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Where am I? Jeu 20 Juin - 0:01
Ok je comprends. Desole, je n avais pas fait attention.
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Where am I? Jeu 20 Juin - 1:45
bienvenue ici & bon courage pour ta fiche si tu as des questions n'hésite surtout pas & si tu as le temps tu peux passer sur la chatbox pour te familiariser avec les membres.
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Where am I? Jeu 20 Juin - 8:05
Bienvenue parmi nous
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Where am I? Jeu 20 Juin - 11:13
Bienvenue parmi nous !
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Where am I? Jeu 20 Juin - 14:55
Bienvenue
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Where am I? Jeu 20 Juin - 17:02
bienvenue
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Where am I? Jeu 20 Juin - 22:32
bienvenue sur le forum
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Where am I? Jeu 20 Juin - 22:57
merci à tout le monde^^ j'ai hâte de rp avec vous^^ B.V
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Where am I? Jeu 20 Juin - 23:31
Bonsoir
J'ai lu ta fiche, vraiment très agréable à la lecture En revanche, il faudra monter l'âge de Balthier à 27 minimum, puisque Ben Wishaw a 32 ans et que nous demandons une différence d'âge maximum de 5 ans entre la célébrité et le personnage. Ensuite, il manque une petite dizaine de lignes à l'histoire de ton personnage, aussi je te demanderai de rallonger un peu cette partie s'il te plaît.
N'hésite pas à reposter dans le topic des fiches terminées lorsque ces modifications seront apportées Bon courage à toi !