Sujet: LOGAN ♣ scream and shout. Jeu 27 Juin - 15:53
FEAT. HAYDEN CHRISTENSEN
Logan Cobain Kenneth Breckenridge
30 ans → Né à Providence (Rhode Island) le 25/06/1983 → Lieutenant de police à la criminelle. célibataire → hétérosexuel → membre des workaholics.
And who am i ?
★Quelles sont tes caractéristiques? → Je tape du pied lorsque je réfléchis ⊹ J'ai tendance à être un peu maniaque ⊹ Je fume beaucoup, même si je me promets toutes les semaines que la dernière du paquet sera la dernière tout court ⊹ Lorsque j'en ai le temps, j'adore faire la cuisine ⊹ Je sors des blagues pas amusantes ⊹ Je suis trop cynique et j'aime trop l'humour noir, les gens aiment pas toujours ⊹ Les sentiments et moi, c'est une relation assez tendue ⊹ Je raffole des tagliatelles aux gambas ⊹ Je supporte difficilement l'autorité ⊹ Dans mon travail, j'aime bosser en solo ⊹ Je suis doté d'une très grande patience ⊹ Je bois toujours mon café devant la fenêtre du salon ⊹ Quand je lis, je déteste m'arrêter au milieu d'un chapitre, je suis obligé d'aller jusqu'au bout ⊹ Pareil pour la musique, je déteste couper une chanson en plein milieu ⊹ Je ne me trouve pas spécialement bien foutu ⊹ Je déteste mon style vestimentaire que je trouve banal et quelconque ⊹ Je passe souvent une main dans mes cheveux ⊹ Je suis capable de me taire durant des heures, voir des jours ⊹ Je range mes bouquins selon la hauteur ⊹ J'ai une cicatrice sur le genou ⊹ Je me montre parfois trop distant avec les gens ⊹ Je ne suis pas toujours aimable ⊹ Ma ville natale ne me manque pas et je n'y retourne jamais ⊹ Même si je donne souvent l'impression de m'en foutre, j'écoute toujours ce que les gens racontent ⊹ Je ne dors pas beaucoup ⊹ Je ne regarde presque jamais la télévision, sauf les informations.
★Quel est le caractère de ton personnage? → Je n'ai jamais été le plus doué dans cet exercice parce que je suis forcément incapable d'être le plus honnête pour dire qui je suis dans la vie de tous les jours. Mais s'il faut vraiment me décrire en détails, les autres le font bien mieux que moi. Par exemple, ma mère dirait que je suis quelqu'un de fermé, qui ne laisse jamais paraître ses émotions et qui semble ne jamais être déstabilisé. Elle dirait aussi qu'elle me trouve sans âme, sans cœur et que, probablement, je devrais être un peu plus humain envers le monde et envers les hommes. Elle ne supporte pas que je cache tout, que je garde tout au fond de moi et que je ne sois pas proche d'elle comme pouvait l'être mon frère. Elle ferait aussi quelques comparaisons idiotes en racontant que contrairement à Jackson, je ne suis pas quelqu'un de très bavard, de très amusant, ni de très sympathique à première vue. Elle irait même jusqu'à dire que je peux même être malhonnête envers les gens qui pourtant, ne me font jamais rien de mal et me demandent seulement quelques informations. Et elle ajouterait qu'elle-même a déjà eu droit à mon caractère de chien mouillé et que pendant de nombreuses années, elle a du faire face à mon comportement imprévisible et à mes coups d'éclats. Ouais, en fait, elle ne dresserait pas un très beau portrait de moi, de mes attitudes ou de ma façon d'être dans la vie de tous les jours. De toute façon, pour ce qu'elle connaît de moi... son avis n'est pas si intéressant que cela. Mon père, lui, il dirait que je suis un bon gars. Un peu étrange par moment, mais pas plus qu'un autre, pas plus que le môme des voisins, pas plus que ces malades qu'on voit à la télévision. Ouais, mon père ne prête pas franchement attention à ce que je suis et encore moins à ce que je fous. Il expliquerait qu'à l'école, j'étais un bon garçon, mais qu'une fois au lycée, j'ai complètement déconné et il mettrait ça sur le dos des autres. Parce que c'est à cause d'eux si son enfant faisait des conneries et puis quoi ? Fallait bien que jeunesse se fasse. Il est probablement le père le moins impliqué que j'ai vu de toute ma vie, mais ça allait très bien, je n'avais pas besoin qu'il soit présent, pas besoin qu'il me fasse des leçons, j'en avais rien à foutre. C'est pas comme si je comptais plus que son whisky. S'il était encore parmi nous, mon frère aurait dit que j'étais un bon petit frère, probablement le meilleur au monde. Il aurait dit que lui et moi, c'était plus fort que tout et que notre relation fraternelle en valait des milliers. Il aurait affirmé avec certitude que, peu importe mes choix, il serait fier et heureux pour moi. Il m'aurait soutenu, mais malheureusement, il est parti bien trop tôt. Et franchement, tout ceci n'est que supposition, mais je suis sûr qu'il aurait dit ce genre de choses. Parce qu'avant tout ça, avant ce drame, avec ma décision, avant de faire des choix, j'étais un enfant tout ce qu'il y a plus normal. Gentil, souriant, quoique toujours un peu solitaire, qui ne s'intéressait pas aux mêmes choses que les autres gamins. Toujours plus adulte, toujours trop mature, trop adulte, trop tout. Personne ne comprenait que je m'en foutais des dessins-animés, des jeux ou ces conneries dont les autres mioches raffolent. Moi, je voulais apprendre, je voulais connaître le monde. Et en grandissant, je n'ai rien perdu de ces envies, j'ai suivi un chemin en lequel personne ne croyait. Je suis devenu, comme le dit ma mère, quelqu'un de fermé, qui ne dit presque jamais rien et qui laisse ses sentiments au fond du placard, sous un tas de briques. Je ne peux faire autrement, je ne peux être une personne que je ne suis pas et je ne souhaite pas mentir au monde ; mais parfois, on n'a pas le choix. Ma vie personnelle est assez chaotique, je l'admets, mais est-ce que j'en suis malheureux pour autant ? Eh bien, je dirais que le malheur fait parti de la vie. Je ne suis pas défaitiste, mais je ne suis pas optimiste ; ça fait quand même une différence, non ?
my little secret
★Ton prénom ou ton pseudo & ton age → WS, 22 ans. ★Comment es-tu arrivé(e) ici ? → y a plus d'un an, via un top site. ★Ce personnage est-il un double compte ? → c'est même un troisième compte. ★Présence sur le forum → tous les jours. ★Personnage inventé ou scénario ? → inventé. ★Crédit images → schizophrenic (avatar) - bidouille (icon).
Mon exemple de RolePlay:
→ Musique dans les oreilles, clope entre les lèvres, je me dirige vers l’entrée de la bibliothèque de l’université. Pour une fois, je ne m’y rends pas pour faire quelques révisions ou pour prendre des livres, mais pour rendre visite à Paige, une jeune femme dont j’ai fais la connaissance il y a quelques mois et pour qui je ressens une réelle affection, même si nous apprenons encore à nous connaître – mais puisqu’elle accepte parfois mes invitations à déjeuner, je peux dire que nous sommes sur la bonne voie. Je monte les quelques marches qui mènent à l’immense bâtiment, balance la clope et m’engouffre dans les couloirs avant de franchir les grandes portes de la bibliothèque. Mon regard glisse un peu partout, mais je ne trouve la jeune femme nulle part -du moins, elle n’entre pas dans mon champs de vision-. Si ça se trouve, elle est déjà sortie et je me retrouve comme un imbécile avec mon idée de prendre notre déjeuner dans un coin tranquille de Central Park qui ne se trouve pas très loin d’ici. Finalement, après quelques secondes de flottement, je l’aperçois et un sourire fend mes lèvres. « Hé ! Paige ! » hurlai-je bien malgré moi avant de m’en rendre compte. J’adresse un signe d’excuse aux quelques personnes présentes et retire mes écouteurs -je suis quand même un peu con-, avant d’enfoncer une main dans la poche de mon jean et éteindre mon ipod. Je m’avance vers la jeune femme et tourne la casquette que je porte sur le côté afin de ne pas lui faire prendre la visière en pleine tête lorsque je lui fais la bise. « C’est l’heure de la pause, je t’emmène. » murmurai-je en regardant l’autre vieille sorcière qui me jette toujours des regards bizarres -probablement une collègue de Paige (si tel est le cas, je la plains, elle a pas l’air très sympathique)-. « Aucun refus ne sera toléré. » ajoutai-je rapidement. Non parce qu’il faut bien qu’elle prenne une pause, moi je crève la dalle, j’ai déjà tout prévu, il ne faut pas mettre mes plans à mal. « Je t’attends sur les marches. » ajoutai-je dans un sourire -le temps qu’elle prenne ses affaires, j’ai le temps de m’en griller une petite -je suis vraiment accroc à cette merde de nicotine-.
Une fois la clope allumée, je tire une longue taffe, avale la fumée et la recrache lentement en regardant le ciel -pour une fois, le temps est plutôt bon, sans que ce soit excessif, bien entendu, mais je pense que la pluie ne tombera pas sur notre tronche une fois là-bas-. J’attends encore un petit peu lorsque la jeune femme fait enfin son apparition, ce qui me fait de nouveau sourire -encore un peu et j’allais croire qu’elle ne voulait vraiment pas prendre ce déjeuner en ma compagnie-. Je profite toujours qu’il fasse à peu près beau et bon pour être dehors. Non pas que je déteste les restaurants et autres lieux de restauration, mais... je ne me sens jamais totalement à l’aise lorsqu’il y a beaucoup de monde, que ça parle de partout, que les gens rient trop forts, qu’ils s’exclament comme si ils étaient seuls et pour le peu que je ne sois pas près de la porte ou d’une fenêtre, je me sens terriblement mal. Donc au moins, dehors, je ne risque absolument rien. « Alors, comment ça se passe pour toi ? » demandai-je alors que nous prenons la route tranquillement -rien ne sert d’être trop pressé, ce n’est pas à l’autre bout du monde que nous allons-. La vie à New-York est quand même bien différente de ma vie à Cardiff, lorsque je vivais encore chez mes parents et ensuite, avec ma fiancée. Il n’y avait pas cette ambiance, cette histoire que racontent toutes les rues de la ville. Bien évidemment, ma ville me manque malgré tout et j’espère qu’un jour, j’aurai l’occasion d’y remettre les pieds, mais actuellement, ce n’est pas dans mes projets et autant que j’évite un maximum les contacts avec là-bas.
Après quelques minutes, j’entraîne Paige dans une brasserie afin que nous puissions prendre quelque chose à emporter. Bon, moi, je suis déjà dans la merde, y a tellement de choix que je ne sais absolument pas quoi prendre -et le pire dans tout cela, c’est qu’il faut que je choisisse quelque chose où les aliments ne sont pas tous mélangés ensemble. Je ne sais trop pas pourquoi, mais je déteste cela depuis que je suis gamin. Il faut toujours séparer les aliments... Mon Dieu, je me désespère moi-même, c’est pour dire ! « Hum. » fini-je par dire en regardant les différents produits -s’il vous plaît, que quelqu’un m’offre une corde pour me pendre !-. Finalement, j’opte pour un sandwich en précisant bien à la demoiselle de bien superposer les aliments afin que rien ne se mélange (je passe pour un fou, et alors ? Le client est roi !). Je prends également une bouteille d’eau et pour le dessert, des cookies -pêché mignon, bonjour-. Une fois nos commandes prêtes, je paye -c’est moi qui invite, c’est logique-, et nous sortons de la brasserie. Heureusement, il ne reste plus que quelques mètres avant que nous arrivons à Central Park, si je ne mange pas dans dix minutes, je sens que je vais faire un malaise (j’exagère un peu, mais l’idée est là). Je lance un petit regard à Paige -le genre de regard qui veut dire : je sais que je suis bizarre, merci de ne pas en faire la remarque-, même si je prends toujours cela avec le sourire.
Dernière édition par Logan C. K. Breckenridge le Ven 28 Juin - 16:45, édité 8 fois
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Sujet: Re: LOGAN ♣ scream and shout. Jeu 27 Juin - 15:54
Well... It's my story...
Lorsque j'étais petit, je me souviens que ma mère se montrait très autoritaire et ne supportait clairement pas que l'on désobéisse aux ordres. Elle tenait absolument à ce que ses enfants soient polis, serviables et montrent aux autres à quel point elle pouvait être une bonne mère et assurait son rôle à la perfection ; elle voulait donner l'illusion que notre famille était bien au dessus de celles des autres. Mais tout ceci n'était que mensonge, évidemment. La vérité, c'est qu'elle n'avait plus que cela pour être bien dans sa vie et avoir encore le courage de supporter un mari qui buvait plus que de raison et qui n'en foutait pas une. Avec Jackson, mon frère aîné, on trouvait toujours un moyen d'être loin de cette vie de famille chaotique et on sortait souvent sans que personne ne soit d'accord ou même au courant. On s'en fichait, on agissait comme on le voulait. Cela ne plaisait jamais à nos parents, qui, le lendemain, finissaient par être au courant puisque l'on se faisait remarquer avec d'autres amis dans les rues du quartier. On avait toujours droit à une leçon de morale qui durait des heures et on faisait cette promesse que plus jamais on ne le ferait – le gros mensonge de tous les gamins. Mais malgré tout cela, je sais que Jackson était le fils préféré de mes parents. Je n'étais pas jaloux, j'étais même assez indifférent et cela m'arrangeait un peu puisque je n'avais pas toute cette pression sur les épaules. Lui, il se devait d'être encore plus parfait et d'être la réussite par excellence. Bien entendu, par la suite, j'avais souvent droit aux remarques habituelles comme quoi je devrais prendre exemple et que je devrais faire aussi bien que lui. Cela me faisait doucement sourire parce qu'il haussait toujours les épaules en levant les yeux au ciel. Notre complicité fraternelle n'était jamais entaché par cette rivalité que nos parents voulaient mettre en place. En tous les cas, moi, je n'avais pas cet esprit là, et je pense qu'à force, ils ont du le comprendre puisque c'était matière à me faire à nouveau la morale et quelques misères ici et là.
Il est vrai que je n'étais pas un adepte du sport, même en grandissant. Je courais parfois pour me détendre, je faisais quelques séances de musculation, mais je n'avais jamais eu pour ambition d'être monsieur muscle ou faire carrière dans le sport au contraire de mon frère qui voulait être un footballer professionnel – une situation qui ravissait notre paternel qui lui-même avait fait parti des footballers du lycée et de l'université, mais qui n'avait jamais été plus loin que cela. Enfin, Jackson devenait la petite célébrité de la famille et bien rapidement, cela faisait le tour du quartier. Je dois dire qu'il était très bon dans ce domaine, je le voyais à chaque match, il donnait tout ce qu'il avait (et je me rendais un peu plus compte que c'était vraiment pas mon truc). Pendant que toute la lumière se trouvait sur lui, moi, j'avançais tranquillement de mon côté. Avec nos quatre années de différence, pendant que j'étais au lycée, lui, se trouvait déjà à l'université et on ne se voyait plus beaucoup. J'étais bon dans beaucoup de domaine, mais cela ne trouvait jamais grâce aux yeux de mes parents qui étaient en admiration devant le fils prodige qui conduisait son équipe à la victoire. Que je sois l'un des meilleurs n'avait aucune importance ; je n'étais pas un sportif comme mon père et comme mon frère. Peu importe ! Au moins, j'étais libre de mes choix, de mes actes et de ma vie, tout simplement. À cette époque, je ne savais pas encore ce que j'allais faire plus tard, j'y réfléchissais beaucoup. Il faut dire que pas mal de choses étaient intéressantes et je voulais un peu tout faire, bien que j'avais conscience que plus tard, je ne pourrais pas faire trente-six métiers à la fois.
J'avais à peine eu mes vingt ans lorsque Jackson a perdu la vie. À mes yeux, cela ressemblait à une histoire banale, quelque chose de déjà vu, une mort qui aurait pu être évitée si la prudence faisait partie de toutes ces personnes. Après un match qu'ils avaient gagnés, lui et les gars de l'équipe avaient fais une grosse fête. Le genre de fête où on ne boit pas que du jus d'orange en mangeant des biscuits. Ils avaient tous beaucoup bu et ils ont quand même fais la connerie de prendre la route. Ils ont roulés quelques kilomètres avant que l'accident se produise. Le pire dans tout cela, c'est qu'avec eux, ils ont emportés deux personnes innocentes. Cette disparition avait bouleversée ma mère, et encore plus mon père qui venait de perdre son fils ainé, et en même temps, avec lui, s'était envolé les rêves de gloire. J'étais, moi aussi, très affecté par cette disparition. Je venais de perdre mon grand frère et je savais que ça allait être difficile. Jackson, pendant toutes ces années, avait été mon repère, presque la seule personne avec qui j'avais des contacts. Je n'ai jamais été très proche des gens, et même avec les jeunes demoiselles, j'avais souvent du mal et je lui demandais des conseils (mais même avec, j'allais toujours droit dans le mur, mais peu importe). C'est quelques mois plus tard que j'avais découvert mon envie d'être flic. Ce choix ne convenait pas à mes parents qui pensaient que j'allais gâcher ma vie, que je n'étais pas fait pour ce job et que cette décision était ridicule. Mais de toute façon, peu importe le job, ils auraient dis quelque chose. Mon père passait son temps avec ses bouteilles, ma mère ne cessait de jouer à la dépressive et cela commençait sérieusement à être trop lourd pour moi. Je me suis rendu compte que je n'avais jamais rien eu en commun avec eux et étrangement, cela ne me faisait pas plus de mal que cela, je m'en fichait et peut-être même que cela avait quelque chose de rassurant. Ne pas être comme eux... c'est tout ce que je voulais. Aussi, sans même un petit soutien, je m'étais inscrit à l'école de police et j'avais quitté la maison familiale.
À la fin de l'école de police, j'ai été affecté dans un poste à New-York et j'étais ravi de ne pas remettre les pieds dans ma ville natale. Je me suis installé là-bas et j'avoue que les débuts n'ont pas été faciles. Il fallait que je prenne mes marques et que je me fasse à cette grande ville. Heureusement, à mes côtés, j'avais un flic qui m'aidait énormément et se montrait parfois comme un père envers moi. Il me disait toujours ce qu'il fallait faire, comment et pourquoi. Il était un excellent formateur et grâce à lui, je peux dire que j'ai appris beaucoup de choses. Être un flic en uniforme, ce n'est pas toujours facile dans le sens où certaines personnes sont clairement hostiles à ce que nous représentons. Je ne compte plus le nombre de fois où nous avons été insultés ou pris à parti. Mais il fallait toujours être professionnel et remettre de l'ordre dans toutes les situations ; je savais que cela faisait parti du métier et je ne voulais pas renoncer pour autant. La première fois où je me suis réellement servi de mon arme, c'était deux ans après mon affectation. J'avais rapidement compris qu'il était question de vie ou de mort ; c'était lui ou l'un d'entre nous. Il faut que j'avoue que cela m'avait franchement perturbé et il m'a fallu du temps pour m'en remettre et me faire à l'idée que dans ce travail, il arrive que l'on tue des gens pour la sécurité des autres. En parallèle de mon travail, je suivais également des cours de psychologie et de criminologie. Cela m'intéressait toujours de comprendre pourquoi certains criminels en arrivaient à ce stade.
Et enfin, il y a deux ans, j'ai passé un concours pour gravir les échelons. Après plusieurs années en uniforme, je voulais faire autre chose. Je m'y étais longuement préparé et finalement, j'ai réussi. Je suis devenu lieutenant et j'ai été affecté à la brigade criminelle (ce qui était mon choix). Je savais que cela représentait encore plus de travail et de dévouement, mais j'étais prêt à cela. Il faut dire que mon travail passe toujours avant le reste et cela explique que les femmes ne restent jamais très longtemps en ma compagnie ; elles comprennent qu'elles passeront toujours après une enquête. Maintenant, je suis toujours flic. Toujours accroc à son travail. Toujours seul comme un imbécile parce que les relations ne m'intéressent pas plus que cela. Je passe ma vie au travail, et quand je n'y suis pas, je ramène le boulot à la maison. Je ne vis que pour cela. Je ne vis que pour résoudre des enquêtes, pour mettre des criminels derrière les barreaux et faire en sorte que cette ville soit un peu plus sûre. Mais je sais pas si cela me suffira encore pendant longtemps.
Dernière édition par Logan C. K. Breckenridge le Ven 28 Juin - 16:47, édité 1 fois
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Sujet: Re: LOGAN ♣ scream and shout. Jeu 27 Juin - 15:54
Excellent choix d'avatar. Finalement, tu as craqué, le club des tc s'agrandit terriblement. Re-bienvenue poulette, hâte de voir ton nouveau personnage. Et bonne chance pour ta fiche.
Dernière édition par Hope A. Roseberry le Jeu 27 Juin - 16:05, édité 1 fois
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Sujet: Re: LOGAN ♣ scream and shout. Jeu 27 Juin - 15:56
Je te le réserve jusqu'au 30.06 inclus Re-bienvenue à toi, bon courage pour ce nouveau personnage !
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Sujet: Re: LOGAN ♣ scream and shout. Jeu 27 Juin - 15:57
Helloooooow toi
Rererebienvenue hâte de lire ton histoire !!
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Sujet: Re: LOGAN ♣ scream and shout. Jeu 27 Juin - 16:00
merci.
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Sujet: Re: LOGAN ♣ scream and shout. Jeu 27 Juin - 16:03
T'as craqué
Purée Hayden le choix de malade quoi Re-Bienvenue, bon courage pour ta fiche et tout
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Sujet: Re: LOGAN ♣ scream and shout. Jeu 27 Juin - 16:11
je suis faible, et c'est TA faute. merci mademoiselle. (a)
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Sujet: Re: LOGAN ♣ scream and shout. Jeu 27 Juin - 16:16
Genre ma faute Je ne ferais jamais rien de tel voyons
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Sujet: Re: LOGAN ♣ scream and shout. Jeu 27 Juin - 17:24
WELCOME ! Re-bienvenue en fait
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Sujet: Re: LOGAN ♣ scream and shout. Jeu 27 Juin - 17:30
DYLAN, tout est toujours de ta faute. t'es mon démon. :arrow:
merci Roméo !
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Sujet: Re: LOGAN ♣ scream and shout. Jeu 27 Juin - 17:38
Rebienvenue Good choice d'avatar
Mackenzie J. Howard
Empire State of Mind
i love the ring of your name you're the yin to my yang
▌INSCRIT LE : 01/07/2010
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▌ADRESSE : 6812 Beverley Road #104, Brooklyn. avec l'amour de sa vie.