Sujet: easy for a good girl to go bad (HALEY) Mer 19 Juin - 12:42
FEAT. TAYLOR SWIFT
Haley Teddy Gwendoline WADE
23 ans + Née à Copenhague, Danemark le 08/11/1989 + prend une année sabbatique + en couple + bisexuelle + membre des beauty queens.
And who am i ?
★ Quelles sont tes caractéristiques?
+ elle adore les bretzels + elle a vu la série « Charmed » en entière environ cinquante fois + le premier qui touche ses cheveux, prend le risque de se prendre une claque + elle fume, depuis plus de trois ans + elle boit de litres de Pepsi par jour + sa famille est quelque peut compliqué + elle adore danser bizarrement + elle a une jambe plus courte que l'autre, de quelques millimètres + ses yeux bleus font partie des choses qu'elle adore chez elle + elle voit toujours le bon côté des choses + elle aime bien s'habiller de façon retro + elle adorerait jouer dans un groupe de rock + elle adore attirer l'attention des gens + elle est fan des koalas + elle s'écrit sur les bras et les mains quand elle s'ennuie + elle paraît toute innocente et aime bien en jouer + elle hésite à se faire tatouer + elle a appri à jouer de la guitare avec son père + elle est végétarienne + elle parle souvent en faisant des gestes + lorsqu'elle mâche du chewing-gum, elle fait automatiquement des bulles + elle imite à la perfection le castor + elle adore porter des chapeaux ou des bonnets, selon la saison + elle se sent comme un poisson, quand elle est dans l'eau + elle fait très attention à son apparence + le seul sport qu'elle pratique, c'est la danse orientale (elle adore l'effet qu'elle produit quand elle en parle) + ces surnoms sont Hales ou blondie.
⊹ La première chose à savoir sur moi c'est que je suis une jeune femme sûre de moi. Douter n'est pas permis, parce que je sais très bien ce que je vaux. Bien évidemment cela ne plaît pas à tout le monde... Beaucoup trouve que je suis hautaine à cause de cela, seulement pourquoi faudrait-il que je me rabaisse et que je fasse semblant de douter de moi, quand ce n'est pas le cas ? Je ne dis pas que je le suis tout le temps, ce n'est absolument pas le cas. Il m'arrive d'avoir des doutes, bien sûr, et de devoir demander conseil, mais en règle général je suis confiante en moins même. Les gens, peuvent bien penser ce qu'ils veulent, ils ne me connaissent pas. Mais au fond, c'est quand même dur d'être jugé à cause de son attitude. ⊹ Ce qu'il faut absolument retenir de moi c'est que je suis une personne très optimiste. Je vois toujours le verre à moitié plein, le bon côté des choses. « Tout arrive pour une raison », c'est un peu mon crédo. Je crois sincèrement que si les choses se passent de cette façon, c'est pour une raison. Rien n'arrive par hasard et pourtant je crois sincèrement qu'il y a une bonne raison pour que tous se passent de cette façon. Oui je suis optimiste et très souriante par-dessus tout et cela a le don d'agacer certains de mes proches... Mais je n'y peux rien, c'est comme cela. Mon père m'a appris à prendre les choses comme elles venaient. ⊹ Je suis aussi une personne extrêment bavarde. Parler, j'adore ça. Du matin au soir, je pourrais parler pendant des heures et des heures. Pourtant, je n'ai pas toujours quelque chose à dire, ou rien de bien intelligent, mais il faut que je parle. Heureusement, que j'ai un forfait illimité. ⊹ Malgré tout cela, je ne suis pas facile à vivre tous les jours. Non, j'ai mon petit caractère. J'aime obtenir ce que je veux et il est vrai que si ce n'est pas le cas, je peux facile me mettre en colère. Pas une grosse crise au point de me rouler par terre, mais plutôt du genre à ne plus parler à personne et tirer la tronche. Oui, j'aime obtenir ce que je veux, ce qui peut être une bonne chose. De toute façon je suis une personne persévérante, alors il est assez difficile de se débarrasser de moi. Surtout si j'ai une idée en tête. ⊹ Il faut aussi savoir que j'aime bien mentir. Bon, pas des gros mensonges, mais je préfère enjoliver la vérité si cela peut rendre quelqu'un heureux, plutôt que de le faire pleurer ou de l'abattre avec la vérité. Ma famille, se méfit toujours de moi à cause de cela. Ils me connaissent et savent très bien que tout ce que je dis, n'est pas forcément la vérité. Je ne pense pas que cela soit forcément quelque chose de mal, si ça peut faire plaisir aux gens. Je sais aussi être franche s'il le faut, mais je n'aime pas blesser les gens, je me sens tellement mal pour eux après, que je préfère mentir.
my little secret
★Ton prénom ou ton pseudo & ton âge → Margaux, toujours 23 ans. ★Comment es-tu arrivé(e) ici ? → Je squatte depuis des années. ★Ce personnage est-il un double compte ? → un QC pour être précise. ★Présence sur le forum → 7/7 + H24 (a) ★Personnage inventé ou scénario ? → inventé. ★Crédit images → gif ; tumblr + avatar ; lovely kitty + icons ; glowingstarsx@LJ.
Mon exemple de RolePlay:
Il la rendait folle, complètement folle et pas dans le bon sens du terme. Elle l'aimait encore, c'était un fait établi, mais par-dessus tout, elle voulait se venger de tout le mal qu'il lui avait fait. C'était petit, elle le savait bien et parfois elle se demandait même si elle n'allait pas le perdre définitivement à jouer à ce petit jeu. Mais c'était plus fort qu'elle, elle avait besoin de lui faire payer son année de malheureux, principalement à cause de lui. Alors, oui, elle se vengeait verbalement. Elle n'allait pas le frapper, déjà parce qu'il était bien plus grand et musclé qu'elle, mais surtout parce que la douleur morale était bien plus efficace, elle en savait quelque chose. D'ailleurs c'était parfaitement ce qu'elle venait de faire en parlant de Carlos à Xavier. Elle savait qu'il n'avait pas pu l'oublier et il n'était pas difficile de deviner qu'il avait été plus qu'un ami dans toute cette histoire. En revanche, elle n'allait pas parler du fait, que sa principale utilité avait été de le rendre jaloux. Cela, avait d'ailleurs marché au-delà de ses espérances. « Oh, Carlos c'est du passé. La vie continue, tu sais... » Inutile de lui en dire plus, il n'avait pas besoin de connaître les détails de l'histoire. En réalité elle avait cessé toute activité autre que celles d'amis avec Carlos, le lendemain du bal, tout de suite en rentrant de chez lui. Mais encore une fois, il n'avait absolument pas besoin de savoir tout cela. La vérité était que depuis qu'ils avaient repassé la nuit ensemble, elle n'avait eu aucun autre homme dans son lit. Tout ça à cause de lui. Encore et toujours, à cause de lui. « La solitude a parfois du bon. Cela évite d'être déçue. » Sous-entendu, comme elle l'avait pu l'être par le passé. Elle s'était retenue de lui dire « qu'il valait mieux être seule que mal accompagné », mais elle l'avait pensé très fort. Elle voulait bien être mal accompagné, elle supportait assez mal la solitude que ce soit niveau affectif ou sentimentale. La solitude, ne faisait pas partie des choses qu'elle affectionnait particulièrement. « Parce qu'un an après, ça fait toujours aussi mal ! » Voilà, c'était dit. Oui, même un an après, elle avait toujours mal en repensant à la façon dont il l'avait quitté. Un an après, il lui arrivait encore d'avoir les larmes aux yeux en pensant à tout ce gâchis. Un an après, elle l'aimait toujours autant. Alors, au final lui faire payer encore aujourd'hui, était une maigre compensation pour elle. Elle aurait aimé lui faire un grand coup, comme elle avait souffert, seulement elle en était incapable. Premièrement elle ne savait pas comment s'y prendre, deuxièmement elle avait peur que cela sonne la fin définitive et enfin, elle ne voulait pas vraiment. Parce que même si elle, elle avait souffert, elle ne lui souhaitait pas de souffrir autant. Tout ceci était extrêmement contradictoire, elle en avait une parfaite conscience. Elle s'énervait elle-même de toute façon. Toute la situation l'énervait.
Candice en avait marre, elle avait envie de partir, de rentrer chez elle et de dormir. Elle était debout depuis un bon maintenant et la fatigue commençait sérieusement à se faire ressentir. Une bonne dispute dès le matin, ce n'était pas ce qu'elle préférait. Généralement, il lui fallait un thé vert avant ce genre de choses. C'est pourquoi quand il lui annonça avoir été en prison ces trois derniers mois, elle alla s'asseoir. C'était trop pour elle d'un seul coup. « En prison », les mots repassés sans cesse dans sa tête. Alors, ce n'était peut-être pas volontairement qu'il ne lui avait pas donné de nouvelles depuis trois mois. Il disait avoir honte, elle pouvait le comprendre. Oui, étrangement elle comprenait très bien ce qu'il avait pu ressentir. Elle le connaissait assez pour savoir qu'il était aussi sincère. Elle soupira légèrement, avant de se lever pour se planter devant lui et l'embrasser. Elle ne savait pas vraiment pourquoi elle avait cela. Principalement par envie. De toute, il devait déjà la prendre pour une folle, alors un peu de plus ou un peu de moins, elle n'était plus à ça près. « Et toi alors ? Tu me quittes. Ensuite tu es jaloux quand je viens à une soirée avec un autre. Au final, on finit par passer la nuit ensemble, tu disparais de nouveau et voilà que tu me cris dessus... Tout ça pour me dire que tu ne peux pas te contenter de peu ou rien avec moi... Alors, au final, explique-moi qu'est-ce que tu veux ? » Oui, qu'est-ce qu'il voulait ? Il avait admit aussi qu'ils n'étaient plus les mêmes, que les choses étaient différentes entre eux. Peut-être qu'il valait mieux qu'il parle clairement tous les deux, que par des sous-entendus et des coups bas, parce qu'il était clair qu'ils ne se comprenaient pas. « Carlos c'est terminé. Tu n'es pas obligé d'y penser. » Tout était tellement compliqué entre eux, par leurs fautes, parce que chacun avait un sacré caractère et qu'il voulait avoir le dernier mot. Elle ne vit pas venir le baiser qu'il lui donna et il fut bien trop court à son goût. Et après, c'était elle qui était contradictoire. Ils se ressemblaient trop pour que les choses se passent calmement. C'était là, toute la complication de leur histoire maintenant. Elle s'éloigna volontairement de lui quand il lui annonça devoir retourner bosser. Elle ne fit aucun geste pour le retenir. Elle était encore bien trop perdue par toute cette rencontre et elle avait peur de tout gâcher sans le faire exprès. « Très bien... » Elle n'avait rien d'autre à ajouter, pas maintenant, elle avait une tonne d'informations à digérer.
Dernière édition par Haley T. G. Wade le Ven 21 Juin - 23:58, édité 21 fois
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: easy for a good girl to go bad (HALEY) Mer 19 Juin - 12:42
Well... It's my story...
Parler de moi, j'adore ça. Vous voulez connaître mon histoire, ma vie (plutôt courte vu mon jeune âge) ? Et bien pas de problème, je vais vous raconter tout ça. Ne vous attendez à rien d'extraordinaire non plus. J'ai une vie tout ce qu'il y a de plus banale et ce n'est en rien un conte de fée ou autre histoire que l'on raconte aux petites filles. Non, cette histoire c'est ma vie... De ma naissance à mes vingt-trois ans (et demi).
Born to be alive.
Je suis née à Copenhague, au Danemark, le huit novembre mille neuf cents quatre-vingt-neuf. Je ne connais ni ma mère, ni mon père biologique, je suis née sous X comme ils appellent ça. Apparemment on ne voulait pas de moi, mais au final c'est moi qui suis gagnante vue ma famille. Mes parents n'étaient ensemble que depuis trois quand ils m'on adopté. Ma mère avait un fils d'une précédente union, qui était aussi excité qu'eux à l'idée de ma venue dans la famille. Mes parents sont tous les deux américains, mais ils vivaient à Copenhague depuis presque deux ans, à cause du travail de mon père. Ne me demandez pas ce qu'il fait, je n'ai moi-même jamais réellement compris... Je sais seulement qu'il travaille beaucoup, qu'il voyage de temps en temps et qu'il gagne des tonnes d'argents pour faire tout ça. En tous les cas, j'ai rapidement été adoptée, à peine deux jours après ma venue au monde. Je n'ai pas eu le temps de me faire au Danemark, puisque nous avons tous déménagés lorsque j'avais un mois. Ils étaient temps pour mes parents de rentrer chez eux, aux États-Unis. De toute façon, je ne me souviens absolument pas de ce pays. J'avais été abandonnée là-bas, alors ma vie ne pouvait que devenir plus belle, à Los-Angeles.
J'ai donc grandi, à Los-Angeles et je n'ai quitté la ville que depuis dix mois. Mon frère, plus âgés de cinq ans, a toujours été heureux d'avoir une petite soeur. Je ne l'ai jamais entendu se plaindre de ma venue, même si dorénavant il devait partager sa mère. Il ne connaît pas son père biologique lui non plus, cela nous fait un point commun de plus. Mon père est aussi devenu le sien, même si nous n'étions pas ses enfants biologiques. Ma famille est quelque peu compliqué je vous l'accorde, mais c'est la meilleure qui soit. Forcément je ne me souviens pas de mes premières années et honnêtement je n'ai que moyennement envie de me souvenir de mes premiers pas, mon premier mot et tout ce qui avec... Mais j'ai eu une enfance heureuse, oh ça oui. Je me souviens particulièrement de mon huitième anniversaire. Ce jour-là, ma mère m'avait habillé comme une princesse, tout en rose (mon frère c'était moqué de moi, en me disant que je ressemblais à une meringue, je lui ai plus parlé de toute la journée). Mes parents avaient prévu une grande fête pour fêter mon anniversaire, comme tous les ans. Mais si je me souviens plus particulièrement de celui-là, c'est parce que ce jour-là, mon père m'a offert une guitare. Ma toute première guitare, plus exactement. J'avais toujours aimé écouter mon père en jouer. Il le faisait souvent le soir avant de me mettre au lit et j'étais complètement admirative de sa façon d'en jouer. C'est pourquoi quand il m'en a offert une, pour mes huit ans, je suis fut la plus heureuse de toutes les petites filles de huit ans. J'allais pouvoir essayer de jouer comme lui et surtout, j'allais pouvoir en jouer avec lui. Je sais que j'ai eu un bon nombre d'autres cadeaux, mais cette guitare, fut celui qui me marqua le plus. Je l'ai d'ailleurs conservée, rangée bien sagement dans ma chambre à la maison.
J'ai donc eu une enfance tout ce qu'il y a de plus normal. Rien à noter de particulier, aucune crise majeure à la maison. Pas d'accident, pas d'incendie, pas de décès, rien d'exceptionnel. J'ai grandi à Los-Angeles avec mes parents et mon frère. J'ai toujours su que j'avais été adoptée, mes parents ne m'ont jamais caché la vérité et je n'ai jamais posé de questions, bien trop heureuse d'avoir une vraie famille.
Be wild and have fun.
C'est lorsque j'eue douze ans, que les choses se sont légèrement dégradés. Rien de bien grave non plus, je n'ai pas de casier judiciaire à cause de mon adolescence. Seulement je voulais sortir avec mes copines et avoir beaucoup moins mes parents sur le dos. L'âge ingrat, c'est parfaitement le cas. Je voulais faire ma grande, faire ce que je voulais et ne devoir de compte à personne. Bien évidemment, les choses ne se sont pas déroulées de cette façon. Mes parents n'étaient pas irresponsable et ne me laissaient pas faire tout ce que je voulais. J'ai quand même fait quelquefois le mur pour retrouver des copines. Nous ne faisions rien d'autres que de parler entre nous, mais le fait d'être sortie de chez nous sans avoir le droit, nous donnait l'impression d'être des rebelles. C'est véritablement l'année de mes quatorze ans qu'il s'est passé des choses qui méritent que j'en parle plus longuement. Tout d'abord, j'ai découvert que j'avais une demi-soeur quelque part. En effet j'ai surpris une conversation entre mes parents et en demandant, mon père a fini par m'avouer qu'il avait une autre fille. Il avait voulu aider une amie d'enfance lesbienne à avoir une enfant, mais voilà qu'il aimerait bien la retrouver. J'en ai voulu à mon père de m'avoir caché une telle chose. Moi qui avait toujours été si proche et si complique avec lui, j'avais l'impression d'avoir été trahie. Avec le temps, j'ai compris qu'il n'en avait pas parlé parce qu'il ne savait rien de cette autre fille et qu'elle ne faisait pas partie de sa vie et qu'il n'était pas sûr de pouvoir dire qu'il faisait partie de sa famille à elle. Mais sûr le coup, je fus vraiment secouée par cette nouvelle. Ma mère était au courant, mais pas mon frère -qui prit bien mieux la nouvelle que moi-. J'ai seulement réussi à savoir son prénom (Katherine-Jane), histoire de pouvoir appeler cette fille dont mon père voulait retrouver la trace. Je sais aussi, que mon père n'en a pas terminé avec cette histoire. Hormis cette découverte, qui m'a obsédé pendant pas mal de temps, c'est à cette période que j'ai eue mon premier copain. La seule fois où j'avais embrassé quelqu'un avant cela, c'était lorsque j'avais neuf ans, avec mon meilleur ami. Mais, là, les choses étaient totalement différentes, parce que c'était mon copain officiel. Cela a duré trois mois, aucun de nous deux, n'était amoureux. Cependant, j'aimais bien passer du temps avec lui, bien qu'au final nous étions simplement deux copains, les bisous en plus. Ma première relation, ne fut donc pas une histoire romantique, ni avec l'homme de ma vie.
Si on enlève la découverte de cette demi-soeur, mon adolescence fut quelque peu banale. Tout ne fut pas rose non plus, mais rien d'anormale pour une adolescente.
Let's set the world on fire.
Pour mes dix-neuf ans, lassé de n'avoir aucune relation sérieuse, j'ai demandé à mon meilleur ami (le même qui m'avait embrassé le premier), de bien vouloir me débarrasser de ma virginité. Je devais être la dernière de mes amis à n'avoir encore pas couché avec un garçon. Et comme aucun des ceux avec qui j'étais sortie, ne m'avait donné envie d'aller plus loin, autant le faire avec une personne en qui je pouvais avoir confiance. Ce ne fut pas facile de le convaincre, parce qu'il ne voulait pas, j'étais son amie et compagnie, mais au final c'était soit lui, soit le prochain garçon que je croisais, il a fini par accepter. Je ne lui demandais pas de m'aimer pour la vie après cela, ni même de me faire une déclaration d'amour enflammée, mais seulement de bien vouloir faire de moi une femme (une vraie, sans ce truc de virginité qui gâchait tout). Ma première fois fut donc totalement planifié et loin d'être romantique, mais c'était parfaitement ce que je voulais, au moins j'avais fini par franchir le cap, moi aussi. Inutile de préciser qu'après cela, notre amitié en a pris un sacré coup. Il y a deux ans et demi, j'ai commencé à sortir avec quelqu'un. Un copain de mon frère plus précisément. Au début, notre relation était secrète, à cause de mon frère justement, qui était un brin possessif envers sa petite soeur, mais avec le temps, il a bien fallu nous rendre compte que c'était une histoire sérieuse. Mes parents n'ont rien trouvé à redire, mon frère en revanche a très mal prit la chose (et encore je minimise les faits). Seulement, c'était notre histoire à nous et à personne d'autre. Même si je comprenais parfaitement le point de vue de mon frère, je n'ai pas arrêté de le voir, pour faire plaisir à mon frère. Je crois qu'avec le temps il a fini par se rendre à l'évidence.
Au mois de janvier, j'ai quitté Los-Angeles pour venir à New-York. Mon frère habite ici depuis plus d'un an maintenant, pour ses études et j'ai décidé de le rejoindre. Mes études ne se déroulant pas vraiment bien, j'ai fini par annoncer à mes parents que je prenais une année sabatique pour décider quoi faire réellement de ma vie. Et puis mon frère me manquait beaucoup trop. Depuis six mois, je squatte donc son appartement (payé par papa), tout en essayant de trouver quoi faire plus tard. J'ai tout quitté, par besoin de changement. Ma famille, mes amis et même mon copain. Ce n'est pas tous les jours faciles, mais je n'ai pas envie de rentrer, pas tout de suite. Je suis déjà plus indépendante (même si mon frère veille sur moi en permanence) et puis j'aime bien la ville. Seulement, il n'y a pas que des côtés positifs. Mon couple se meurt un peu plus chaque jour. Se parler tous les deux jours au téléphone, ce n'est franchement pas facile. Bien sûre je suis rentrée plusieurs fois à Los-Angeles et il est venu me voir à New-York, mais franchement nos vies s'éloignent de plus en plus. Pour moi, nous ne somme plus un couple. Ce n'est pas possible de continuer comme cela. Je me considère donc célibataire (ou à moitié, mais inutile de lui en parler). On verra bien par la suite, ce que cela donne. Si nous sommes fait pour être ensemble, alors on finira par être ensemble. Sinon, tant pis, il y a d'autres personnes dans la Grosse Pomme.
Dernière édition par Haley T. G. Wade le Sam 22 Juin - 17:34, édité 10 fois
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Sujet: Re: easy for a good girl to go bad (HALEY) Mer 19 Juin - 12:46
Re-bienvenue toi Taylor Swift t'est réservée jusqu'au 21.06 inclus Bon courage pour ta fiche
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Sujet: Re: easy for a good girl to go bad (HALEY) Mer 19 Juin - 12:47
Hey rebienvenue Margaux, bonne fiche à toi!
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Sujet: Re: easy for a good girl to go bad (HALEY) Mer 19 Juin - 12:54
Rewelcooooome
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Sujet: Re: easy for a good girl to go bad (HALEY) Mer 19 Juin - 12:56
Ethan R.J. Blackson a écrit:
Re-bienvenue toi Taylor Swift t'est réservée jusqu'au 21.06 inclus Bon courage pour ta fiche
Même pas t'es venue avec Roberto Merci pour tout
Aspen R. Napier a écrit:
Hey rebienvenue Margaux, bonne fiche à toi!
Merci
Kitty M. Dawson-Errington a écrit:
Rewelcooooome
Merci
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Sujet: Re: easy for a good girl to go bad (HALEY) Mer 19 Juin - 12:59
Haley T. G. Wade a écrit:
Ethan R.J. Blackson a écrit:
Re-bienvenue toi Taylor Swift t'est réservée jusqu'au 21.06 inclus Bon courage pour ta fiche
Même pas t'es venue avec Roberto Merci pour tout
Ca t'aurait fait plus plaisir si j'étais venue avec Roberto ? Merci à toi surtout, c'est de toi qu'elle vient cette idée, t'as carrément géré sérieux.
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Sujet: Re: easy for a good girl to go bad (HALEY) Mer 19 Juin - 13:01
Ba ouais Roberto, le seul et unique Oh ben de rien, tu sais des idées j'en ai pleins, pleins, pleins en stock
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Sujet: Re: easy for a good girl to go bad (HALEY) Mer 19 Juin - 13:19
Des jumelles ? Re-bienvenue, hâte de voir ce que vous nous avez concocté!
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Sujet: Re: easy for a good girl to go bad (HALEY) Mer 19 Juin - 13:22
Oui des jumelles, mais on la joue compliqué Merci
J'ai une purée d'idée pour ta Erika, si ça t'intéresse
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Sujet: Re: easy for a good girl to go bad (HALEY) Mer 19 Juin - 13:27
Totalement intéressée, mpotte moi
Sebastian E. Black
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a lion still has claws.
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