Sujet: + J'EXÈCRE CETTE VIE QUE J'IDOLÂTRE. Ven 5 Juil - 2:30
FEAT. HARRY STYLES
Jude Nathaniel Livingston
20 ans → Né(e) à new-york le 02/05 → étudiant en droit (en année sabbatique lalala) célibataire → bisexuel dans l'absoluu → membre des Playboys.
And who am i ?
★Quelles sont tes caractéristiques? ☇ il est indépendant et vit dans un appart tout seul ☇ son père subvient à ses besoins depuis toujours ☇ il est son seul héritier ☇ sa mère est morte il avait genre 15 ans ☇ son papa lui a acheté des terrains de golf pour son dernier anniversaire ☇ mais lui il s'est offert à lui-même un tatouage ☇ son seul tatouage fait dans les règles de l'hygiène ☇ il a pas souvent faim il se nourrit de café ☇ son kiff c'est d'accumuler les excès ☇ il entretient plutôt une relation patron/employé que père/fils avec son père ☇ il n'a pas des masses d'amis juste des gens qu'il côtoie ☇ c'est vraiment pas un sentimental ou même un romantique ☇ il pose souvent des questions indiscrètes pour mettre les gens mal à l'aise ☇ il adore prendre l'avion mais a peur du vide ☇ il déteste la route ☇ il trouve l'art moderne à chier mais il a des tableaux chez lui va savoir ☇ il aime bien la présence qu'offrent les plantes vertes ☇ il aime bien le golf mais préfère le billard même si c'est moins classieux ☇ il fume dès qu'il a un paquet sous la main.
★Quel est le caractère de ton personnage? → Jude est à mi-chemin entre l'ado pré-pubère qui se tâte et l'adulte accompli, et cela malgré ses 20 ans. Il possède donc une double personnalité compromettante. On sait pas vraiment où est le vrai lui, on connaît vaguement sa réputation mais on espère avec cette excitation palpitante pouvoir faire ressortir son meilleur côté. Devenir son pote. Taper la discute. Jude en donne pas l'impression mais il est juste fasciné par le comportement humain. Derrière ses bouclettes de caniche se cache un mec complètement conscient de ce qu'il fait subir à ceux qui l'entourent. Jude est plus gros chieur qu'il te sera donné de connaître et si il arrive pas à te cerner, ça fait de toi quelqu'un de plus intéressant. Parce que le pauvre chou, il s'ennuie entre les réprimandes factices de sont paternel et les conseil avisés de ses 'amis'. S'il les écoutait tous, il serait un étudiant blasé qui sait même plus quoi faire le samedi soir : réviser, approfondir ou sortir ? S'il écoutait son père il bosserait comme un dingue pour rafler un max. Mais il s'en fout, il se fout complètement de vivre grâce au fric de son papa. Toute sa prétention réside dans le fait d'être libre et de pouvoir en jouir, dans tous les sens du termes. En général les gens, ils interceptent un détail, une risette, un sourire aimable une mimique trop kawaii et paf ils oublient que Jude Livingston est Jude Livingston et restera toujours Jude Livingston. Jude et ses métaphores douteuses, Jude et sa ride au milieu du front, Jude et ses manies atrocement agaçantes. Un gosse de riche qui s'emmerde et qui court après les emmerdes comme une pute court après les pipes. Jude Livingston ne se justifie jamais. Il use de la naïveté humaine pour faire joujou et tire avec douceur sur les fils des pantins qui s'offrent à lui. Qu'est-ce qu'il y a de mal à ça ? Tout le monde peut faire comme lui, se donner des airs de manipulateurs brillant et tirer profit de toute situation. Mais Jude se rend bien compte qu'on lui reproche de mal vivre. Chose qui ne manque pas de lui arracher un rire sarcastique. Il tournera son index dans le verre de whisky sur sa table et répondra avec conviction 'Et c'est quoi pour toi, bien vivre ?' question à laquelle chacun après avoir redoubler d'hésitation, sorti une phrase décorée de 'euuuh baaah voilà genre euh chaispasmoi' se contentera de dire 'En tout cas, ta façon d'agir n'est pas la bonne.' et le pauvre Jude brûlera en enfer, à moins qu'il sorte une liasse de billets au Pape pour qu'il le lave de tous ses pêchés. Amen.
Jude exhale le dédain. Il impose son arrogance à qui veut bien se la prendre en pleine tronche. C'est un gros prétentieux despote et désireux d'imposer ses petites règles de tapette. Ouais Jude est vraiment invivable et bien qu'il n'en donne pas l'air derrière certains de ses gestes nonchalants, c'est un gros capricieux qui met un point d'honneur à s'auto-satisfaire. Puéril sans jamais se l'avouer, il aime la compétition et n'hésite pas à faire bouffer leur calbut par les trous de nez à ses adversaires. Ou les emmieller de compliments sans grande conviction, juste de quoi convaincre pour tirer son coup et faire oublier le conflit. Et si ce n'était qu'un serial-baiseur, bi dans l'absolu, gay dans le détail et arrogant tout serait beau; le pire paresseux qui existe, cynique et je-m’en-foutiste à souhait, il est snobinard un jour, pas très regardant et tolérant le lendemain. Il veut tout pour lui, tout de suite, servit par lui-même de préférence, sur un plateau d'or pur. PS: il déteste être contrarié et est possessif voilà voilà.
Well... It's my story...
❝ don't be a closet freak.
Ma mère est morte, j'avais quinze piges. Depuis, je n'ai absolument rien vécu d'attrayant. Ma vie est placide. Pire, elle est plate, vide, dénuée de sens. En d'autres termes, je le clame au fort, je me fais chier.
Pour être honnête, même avant la mort de maman, mon existence était quelque peu vaine. Entouré de boniches, bavoirs en soie et cuillères en argent changées à chaque bouchée, j'étais le petit enfant-roi chouchouté de tous et je babillais joyeusement en secouant mes boucles agiles et brillantes. À cause de ça, on dit de moi que je suis puéril, trop gamin pour comprendre ce qu'est la vie, la vraie. À ceux qui répandent ces rumeurs, je leur recommande d'aller poliment se faire foutre et c'est avec une totale dévotion que je leur enfoncerait ma cuillère en argent dans le fondement. Je m'en fiche pas mal qu'on ressente de la pitié ou de la haine en constatant que mon père me paye grâcement pour ne rien faire à part promener ma virilité. Histoire qu'elle prenne l'air, avant qu'elle ne devienne trop vieille pour proposer ses services.
Avant toute cette histoire de cancer, mes parents étaient prospères et bien dans leurs personnes. Des gens équilibrés pour être honnête, des parents normaux ayant dépassé le stade des poutoux publics et de la baise quotidienne; des parents se disant bonjour le matin, parlant argent et partageant des rapports physiques en moyenne une fois par mois. Oui mon père a eu du mal à s'ancrer dans le crâne que le temps où maman roucoulait d'amour pour lui était révolu. Il le regrettait presque le jour où il a dû refermer ses paupières froides et opalescentes.
Le jour de son enterrement, comment oublier ? Toute la population était au courant. La maison était remplie d'hypocrites, ça débordait presque par le toit et le pire de tout, c'était toutes ces femmes en robes et chapeaux noirs. Des gamines, des ados comme moi, des vieilles. Et ça piaillait avec ferveur; pourquoi avoir fait don de la parole à ces potiches chevelues ? Non pas que je sois misogyne mais leurs dandinements de gallinacés me donnait une nausée incurable dans l'absolu.
J'ai eu le plaisir de m'en taper une ce jour-là qui, complètement dénuée de cerveau, a trouvé intelligent de laisser une marque violacée dans le creux de mon cou. Abrutie finie. J'avais l'air fin lorsque le devoir de prononciation de l'oraison funèbre m'appelait et que je remontais mon col sur conseil de mon paternel qui fixait -encore et toujours- sa montre en me chuchotant d'abréger le discours qui était pour moi réel supplice.
Après ce triste accident, mon père n'a plus veillé à ce que je suive les cours de piano, les cours de violon et toutes ces conneries. Il avait flairé mon désintérêt pour ces activités, aussi nobles soient-elles. Lui, il perdait son temps avec des potiches blondes à ses bras. Moi, je tremblais -et tremble toujours- d'envie de les plonger dans de l'acide. L'acide qui pèle à vif, l'acide violente. J'ai vite dû apprendre à m'occuper de moi-même, pas compliqué avec une carte de crédit à disposition. Jamais je me suis demandé ce que je ferai plus tard -mon avenir était assuré- et les études me barbaient. Je trouvais des allures d'abattoir aux universités et mon but premier était d'oublier à quel point mon père était un con. Si j'étais pas parti de la maison sur ses conseils -ou plutôt, ses ordres poignants-, j'aurai certainement tué l'une de mes nouvelles mamans. Rien ne me troublait à par ces femelles blondes qui n'avait RIEN À VOIR avec maman qui elle, était brune et élancée. Le port altier et fier. Pas pulpeuse, blonde et écervelée. Ce genre de poupées baisables mais certainement pas épousables, si vous voulez mon point de vue.
Je suis mieux, oh oui vraiment mieux tout seul dans mon appartement à me poser des questions auxquelles on prétend ne pas savoir répondre de façon objectives.
my little secret
★Ton prénom ou ton pseudo & ton age → calli / gueuse en tutu. ★Comment es-tu arrivé(e) ici ? → j'étais jude voui voui. ★Ce personnage est-il un double compte ? → nope. ★Présence sur le forum → maintenant que c'est les vacances, je m'engage à être préseeente et pas faire supprimer de nouveau. ★Personnage inventé ou scénario ? → inventéé. ★Crédit images → tumblr &
Mon exemple de RolePlay:
→ C’est seulement lorsqu’un corps heurte la colonne qui le dissimule et que la silhouette cogne contre lui que le rire de Gwendal s’efface et que son visage se soulève ; par réflexe, il attrape la manche de robe qui apparaît sous ses doigts pour retenir le malheureux ; il a une exclamation d’horreur en rencontrant le regard clair de son cousin. Son visage s’enflamme immédiatement et son cœur douloureux rate un battement, remonte dans sa gorge, pulse à grands coups dans son crâne martyrisé.
« FAIS GAFFE TIMÉO ! »
Ô COMBLE DU MALHEUR ! Il a failli le faire tomber. Il lutte contre l'angoisse qui s’immisce dans sa poitrine, retient des larmes, sent une goutte de sueur froide obliger un cambrement immédiat de sa colonne vertébrale. Et s’il le déteste ? et s’il ne lui parle plus jamais ? et s’il le méprise ? Jamais il ne l’épousera ! Il ne lâche pas la manche, serre les doigts sur l’avant bras – quel avant-bras viril, et qu’il est beau avec cet air surpris -, s’enquiert en espérant encore que sa culpabilité passe inaperçue : il pourrait même le cafter.
« Merci gamin. »
Lorsque la main adulte caresse ses cheveux soyeux, il se fige, se raidit sensiblement, fixe son cousin d’un regard vide et avide, tandis qu’un gouffre brise ses côtes et avale son cœur. Glups. Et aussitôt la main s'évapore. Il inspire. Son souffle palpite avec peine. Mais Timéo a autre chose à faire que de s’intéresser aux états d’âmes et de corps d’un gamin en mal d’affection et continue sur sa lancée, tout entier offert à l’élucidation du grand mystère et à la réprobation que lui inspire cet acte d’insubordination. Gwendal aurait bafoué sans scrupules l’autorité d’un autre membre de la brigade, avec une risette angélique et un joli mouvement de recul qui lui aurait innocemment permis de prendre la fuite sans mal, mais voir Timéo soucieux, effleurant déjà la réponse qu’il ne préfère pas envisager – un Sword à l’origine de cette supercherie révoltante et téméraire ? – le plonge dans une culpabilité insurmontable qui lui ferait presque monter les larmes aux mirettes ; il va deviner, il va deviner, et il sera intensément déçu, intensément désapprobateur. Déjà, le blason jaune et noir, il le sait, il l’avait déjà entendu petite, il en avait eu le cœur douloureux lors de la répartition, ne trouve pas grâce à ses yeux, et si en plus il entre dans le groupe bien défini de la racaille qui. Il inspire profondément, ferme brièvement les paupières, ravale la panique qui lui étreint le crâne. Inspiration. Timéo ne saura rien. Elle sait faire, elle sait faire.
« Tu t'es fait mal ? Tu veux aller à l'infirmerie ? »
Quand il veut il lui administre un baiser magique, au fait.
Dernière édition par Jude N. Livingston le Mar 9 Juil - 20:27, édité 3 fois
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Sujet: Re: + J'EXÈCRE CETTE VIE QUE J'IDOLÂTRE. Ven 5 Juil - 2:31
+1 je suis l'ancien jude oui désolée d'avoir déserté, problèmes personnels et bac.
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Sujet: Re: + J'EXÈCRE CETTE VIE QUE J'IDOLÂTRE. Ven 5 Juil - 2:36
C'est bien ce qui me semblait que le pseudo ne m'était pas inconnu
Re-Bienvenue
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Sujet: Re: + J'EXÈCRE CETTE VIE QUE J'IDOLÂTRE. Ven 5 Juil - 4:23
Welcome ! Bonne chance pour ta fiche.
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Sujet: Re: + J'EXÈCRE CETTE VIE QUE J'IDOLÂTRE. Ven 5 Juil - 5:43
Oh! Nous avons le même nom de famille
Bienvenue parmi nous
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Sujet: Re: + J'EXÈCRE CETTE VIE QUE J'IDOLÂTRE. Ven 5 Juil - 8:35
Re-bienvenue ici
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Sujet: Re: + J'EXÈCRE CETTE VIE QUE J'IDOLÂTRE. Ven 5 Juil - 10:03
Re-bienvenue à toi! =)
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Sujet: Re: + J'EXÈCRE CETTE VIE QUE J'IDOLÂTRE. Ven 5 Juil - 10:21
HARRY. Good choice, me gusta Bienvenue parmi nous
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Sujet: Re: + J'EXÈCRE CETTE VIE QUE J'IDOLÂTRE. Ven 5 Juil - 10:24
merci tout le monde vous êtes adorables + clarisse : ça nous fait un lien gratuit ça no ?
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Sujet: Re: + J'EXÈCRE CETTE VIE QUE J'IDOLÂTRE. Ven 5 Juil - 10:26
Re-welcooooooome
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Sujet: Re: + J'EXÈCRE CETTE VIE QUE J'IDOLÂTRE. Ven 5 Juil - 10:57
merciii
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Sujet: Re: + J'EXÈCRE CETTE VIE QUE J'IDOLÂTRE. Ven 5 Juil - 11:07
Re-bienvenue parmi nous Bon courage pour ta fiche
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Sujet: Re: + J'EXÈCRE CETTE VIE QUE J'IDOLÂTRE. Ven 5 Juil - 11:24
Re-bienvenue sur le forum et bonne chance pour ta fiche.