Sujet: J'fais genre j'vais bien et tout, mais en vrai j'ai raté Bob l'éponge ce matin. Jeu 8 Aoû - 15:10
FEAT. Vinnie Woolston
Oakley Hayes
24 ans → Né à Ottawa le 02/07/1989 → Dealeur célibataire → hétérosexuel, en réalité bisexuel refoulé → membre des Rebels.
And who am i ?
★Quelles sont tes caractéristiques? → Dans ton placard, y'a des doc martens que tu traînes depuis plusieurs années. Et puis des bottes aussi. Des vieilles bottes de moto en cuir coquées qui claquent sur le bitume. Ces bottes là t'y tiens presqu'autant qu'à ta moto, une honda noire qui ne fait pas son âge et de laquelle tu prends le plus grand soin. En bon motard qui se respecte, t'affectionnes aussi les jeans et les vestes en cuir élimées. Pour le reste, tu met ce qui te tombes sous la main. A tes doigts, de grosses bagues, et sur ta peau, de l'encre noir, des symboles qui enlacent ton torse, un crane édenté, qui veille sur ton coeur. Des yeux bleus, une carrure imposante, des cheveux qui n'ont jamais été coiffé, et que tu plaques négligemment en arrière. Y'a cette joie, cette force, qui brille au fond d'tes prunelles, et puis t'es beau à sourire comme ça, un sourire enjoleur qu'on dirait volé à un gosse de huit ans. Comme si t'avais plus rien à craindre du monde et d'ces cruautés. Tu t'es construit une belle carapace, un mur en béton armé, et puis ton cœur, tu l'as enfermé dans un bunker. Malgré ça, t'as rien d'une brute froide et distante. t'aime les gens, t'aime déconner, t'aime rire. T'es respectueux aussi, des femmes. Même si t'as pas prévu de t'attacher à qui que ce soit. Les femmes tu les aimes, et tu leur ferais jamais de mal. Un gentlemen un peu volage disons.
★Quel est le caractère de ton personnage? → Garder le contrôle, tenir bon, ne pas s'effondrer, continuer de marcher. Oak, t'es vraiment un type solide. Vraiment blindé, parce qu'à bien y regarder, y'a tellement de truc qui auraient du te miner, te tuer de l'intérieur. Le départ de ta mère alors que t’étais qu’un môme, puis celui de ta tante parce qu’elle non plus, elle a pas su, attends, ajoute à ça le comportement de ton père quand il cognait, pour finir, la disparition de ton frère. Mort, ouais mort. Pour sûr, ça t’a sonné, et p’t’être même que t’as perdu un brin de santé mentale dans cette sale histoire. Le coup qu’aurait attendu n’importe quel mec un peu sensible pour tomber. Ouais, le coup de grâce. Mais pas toi. Toi t'es resté debout, même si c’était pour marcher dans la merde, t'as gardé l'sourire et la tête haute, t'as rien lâché, trop fier pour ça. T’as fait un grand fuck au monde entier, à la vie, au destin, parce que tu les laisserais pas t’avoir, jamais. Parceque t’es endurant et que t’en veux. Pourtant, y'a d'ces soirs, où tu repenses au frangin avec une boule dans la gorge, et là dans l’obscurité d’ta piaule tu respires fort, t’as la haine, la haine contre toi. Et puis tu regrettes aussi, tu regrettes tellement, Oak. Ton p'tit frère, ta seule famille, tu l’revois partir sur son vélo et tu te maudit d'pas avoir été a ses côtés. Là voilà ta grande erreur. Tu te le pardonneras jamais. Ces soirs là, t’avale quelques pilules pour zapper, oublier que t’es qu’un con. Les pilules c'est tout ce que tu prends, parce que t'es pas comme Dash et que jamais tu te laisseras aller à taper dans la drogue dure. Trop peur de te laisser accrocher. D'ailleurs tu le lui dis à Dash. Souvent même, parfois tu pousses un coup d’gueule, parce que c’est plus possible d’le voir s’abîmer comme ça. Tu supportes pas. Empoisonner des clients, t’y penses même plus. Mais Dash ? merde, pas Dash. « Ifreann, s’tu continue à maigrir, j’vais pouvoir regarder la télé à travers toi. ». Mais c’t’une tête de mule, le p’tit Dash. Presqu’autant que toi en fait. Tu sais pas t’écraser, trop fier, trop grand, pas foutu de baisser la tête. Comme un roc. Mais une fierté sage, que t’arrive encore à museler dans certaines situations. Remettre ton cerveau en marche quand t’es sur le point d’exploser, ç’a été dur, mais maintenant, tu sais faire. Tu fais plus dans l’impulsivité, tu pèses le pour, le contre. Penses, réfléchis. Et ça peut être utile pour freiner Amen qui aurait une tendance toute naturelle à devenir agressif. Y’a qu’une situation où tu te contrôles plus, tu penses à ces salauds d’homophobes. Et c’est déjà arrivé qu’on menace Dash ou Iron en ta présence. Une fois même, l’un de ces enfoirés avait choppé Iron au col, à ce moment là, plus de question à se poser. Ton impulsivité brimée s’exprime, se change rapidement en colère farouche. Protecteur, tu ne commences jamais les bagarres, mais les termines souvent.
Well... It's my story...
T'sais, mon histoire c'est un beau merdier. Rien d'palpitant, rien d'excitant. Juste une suite d'événements sans queue ni tête comme si la vie et toutes ces merdes de destin à la con s'étaient ligués contre moi. Comme si j'avais raté le coche, fais un truc impardonnable et que du coup, on me refusait l’accès au bonheur. Un truc foutrement injuste.
Et comme dans tous ces contes de fées à la mords-moi-le-nœud, ça commençait bien. j'suis né dans une chouette famille, papa maman et des papillons colorés peint sur les murs de ma chambre tu vois le genre ? Parfait, le décors est important. Mes parents étaient corrects avec moi, pas de brûlures volontaires sur mon petit corps potelé, pas de bosses suspectes, rien d'affolant. Rien. J'ai grandis, et je crois que les trois premières années de ma vie ont été les plus merveilleuses qui soit. Passons. ça se passait tellement bien, que ma mère était enceinte d'un deuxième enfant. J'étais trop jeune pour le comprendre biensur. Alors quand elle m'a demandé de poser ma main sur son ventre rebondit en m'expliquant que ce que je sentais là, c'était les coups de pieds de mon futur petit frère, j'ai bondis en arrière estomaqué. « Tu l'as mangé ? » avais-je alors demandé, l'innocence à l'état brut. Si je cherche assez loin, si je me concentre assez fort, j'crois pouvoir entendre encore, la mélodie de son rire. Si j'ferme les yeux, j'peux sentir ses doigts dans mes boucles brunes. ses mots se perdent dans les méandres de mes souvenirs. Il s'agit en réalité de mon dernier souvenir heureux. Ma mémoire à occulté le reste. Je ne sais pas ce qui a pu provoquer un tel retournement de la situation. Honnêtement j'en sais rien. Ce qui compte c'est le résultat. Alors écoute ça. Ma mère a accouché, et quand je suis venu avec mon père pour faire la connaissance d'Ashley (car c'est ainsi qu'il avait prénommé mon petit frère), elle avait disparue. Elle était partie sans un regard en arrière. Sans une pensée pour ses fils ou son mari. Parce qu'elle se foutait bien de détruire notre vie. Je l'ai jamais revue.
Mon père a fait une sale dépression. Il s'est mis à boire comme un porc, pour oublier, pour anesthésier la douleur. Le problème, c'est qu'il était tellement mort, qu'il s'occupait plus de nous. Sa soeur, ma tante, à rapidement emménagé chez nous, parce que ça commençait à devenir critique comme situation. J'veux dire, Ashley il avait pas deux mois, et il était déjà recouvert de bleus, parce que mon père pouvait pas supporter de l'entendre hurler sa faim, alors il avait trouvé une manière radicale de le faire taire. Il lançait ses canettes de bières vides le plus fort possible dans le berceau. « Ta gueule ! » Quand tante Joann est arrivé, ça a été une véritable bouffée d'oxygène.
Même si elle était pas tendre. Même si elle nous engueulait plus que ce qu'on méritait. Même si elle remettait tout ce bordel sur notre dos. Au moins, y'avait à manger dans nos assiettes, et les vêtements qu'on portait étaient propres. Au moins, elle s'occupait d'Ash. Au moins, elle faisait en sorte qu'il lui soit plus fait aucun mal. Joann, elle était assez forte pour canaliser la colère de mon père, et nous protéger que lui. ça a bien duré cette période. Jusqu'à mes sept ans environs. Mon père était tellement ivre qu'il s'est mit à me cogner Ash sans raison apparente. Sans vraiment m'en rendre compte j'me suis mis à hurler. La scène a perdu de sa netteté, je crois que tante Joann s'est avancée pour le calmer, et qu'il s'est retourné contre elle. Une gifle retentissante. Bientôt suivi d'un coup de poing. Et puis il marmonnait des paroles incompréhensibles en déversant sur elle, une rage contenue depuis tant d'année. Je l'ai fixé, l’œil sec. Je voyais plus mon père. J'voyais un étranger. Un monstre. Tante Joann s'est fait la malle comme ma mère avant elle.
Le départ de sa sœur ne fit absolument aucun effet à mon père. Pour moi en revanche, c'était un peu moins évident. J'comprenais pas tout. Mais c'que j'savais, c'est que la galère recommençait. Ce dont j'doutais pas, c'est qu'on était seuls mon frère et moi, seuls et que personne viendrait nous tendre la main. à sept ans, c'est dur à encaisser, il a bien fallut pourtant, parce que pour bouffer, mieux vallait pas compter sur mon père, vu qu'il claquait le peu de thune qu'il avait dans l'alcool; parfois dans une pizza, qu'il mangeait sous notre nez sans nous en laisser une miette. Et j'me demande, si on était mort de faim, comme ça dans la cuisine, il se serait passé quoi ? Il nous aurait regardé pourrir sur place ? J'avais sept ans donc, et une détermination en acier trempé. Vous visualisez Aladdin ? Bon, habillez-le à la mode canadienne et vous obtiendrez une version de moi à cette époque. J'suis descendu en ville, et j'ai fais main basse non pas sur une pomme ou une pastèque, mais sur une putain de miche de pain. Je l'ai ramenée à la maison et j'ai regardé mon frère mordre dedans à pleine dent. C'est comme ça qu'on a mangé pendant longtemps. Avec ma gueule d'ange, ça posait pas trop de problème, et puis j'étais pas con comme môme, alors j'me suis rapidement fait la main. J'cousais de grandes poches à mon manteau, juste pour entasser des victuailles dedans. J'entrais dans un magasin, j'étais tout mince, j'en ressortais, j'étais quasiment obèse. Ash, ça l'faisait mourir de rire. Le truc avec le visage d'ange, c'est que ça dure jamais bien longtemps, j'ai eu treize ans, et mon père s'enfonçait dans son alcoolisme. Le vole ça marchait toujours mais, je risquais gros. me faire prendre ça aurait attirer l'attention sur mon père, et à coup sûr on lui aurait retiré notre garde. Traduction, j'aurais été séparé d'Ashley, et ça, c'était même pas envisageable. Il nous fallait du boulot, et vite. L'occasion s'est rapidement présenté. On a pas hésité à dire oui.
On livrait de la came aux junki de toutes la ville. C'était la combine parfaite : aux yeux des flics ont étés rien d'autre que des gosses qui faisaient une balade à vélo. C'était le meilleur travail que j'avais trouvé. ça s'est très bien passé pendant plusieurs années. Pourtant, un jour la merde est arrivée. Ashley a fait tombé a perdu une partie de la dope pendant le trajet, et quand il a tendu le paquet au client le type a sorti les crocs « Il en manque, où est l'reste ? » « C'est tout c'qu'on m'a donné pour vous. J'ai rien d'autre. » La scène qui a suivit, je la devine. Je peux l'imaginer sans peine jusque dans ses détails les plus sordides. C'est que j'ai eu beaucoup de temps libre toutes les nuits de ces dernières années. Ashley n'a pas du être suffisamment convaincant. Et quand il a essayé de faire demi-tours, le client l'a levé de son vélo, jetté par-terre et frappé jusqu'à ce que mort s'en suive. Je ne sais pas avec quoi il a fait ça. Mais quand, ne le voyant par rentrer, je suis venu à sa rencontre. L'état de son corps ne laissait aucun doute sur les circonstances de son décès. J'en aurais crevé de rage. Contre ce salopard, que j'ai cogné comme un dingue jusqu'à ce que les flics débarquent. Mais contre moi aussi. Parce qu'évidemment, j'avais pas été là. ça devait être inscrit dans nos gênes, à nous, la putain de famille Hayes. Une tare qui infestait tout l'arbre généalogique. La mère, le père, la tante, aucun d'eux n'avaient eu le temps, le désir, la patience, la force, j'sais pas quelle vertu il leur manquait, j'm'en fous, aucun avait su s'occuper de nous. ÊTRE LA, PUTAIN. Et voilà que j'en remettais une couche. Notre absence conjuguée, ça l'avait affaibli. Mais le seul responsable de sa mort, c'était moi. Moi qui l'avais poussé à travailler au milieu des types louches. Moi qui l'avais laissé partir sans aucune protection. Je me le pardonnerais jamais. De quel droit ?
La perte d'un fils auquel il avait jamais fait attention plus de cinq secondes d'affilées. ça lui a fait comme un électrochoc à mon père. Et il a fait, ce que je désespérais de le voir faire un jour. Il a fait une cure, il a décroché de l'alcool, et puis il m'a emmené aux States, en Californie. Un pays de soleil que mon frère ne connaîtrait jamais. J'étais plus bas que terre, mais j'm'efforçais de pas le montrer, de garder la tête haute, d'être fort pour lui. La-bas, j'ai rencontré les pièces manquantes de mon puzzle personnel. Amen et Dash. Des mecs comme j'en avais jamais rencontrés avant. Et peut-être bien qu'ils étaient aussi niqués que moi intérieurement, peut-être qu'en m'accrochant à eux, j'étais voué à couler à leur suite. Peut-être, mais j'en avais rien à foutre. J'ai recommencé à sourire, pour eux, par eux. Allez comprendre. J'suis tombé amoureux de leur connerie, et c'est probablement ça qui m'a sauvé. Amen et Dash. Il a fallut se quitter, trop tôt ça c'était clair. On s'est promis d'se retrouver, d'vivre c'qui nous restait d'vie dans l'même trou à rat. Deux ans après, je m'envolais pour New York. On a tenu parole, et c'est dans l'fond du Bronx qu'on évolue maintenant. Si on sortira ? Moi j'en sais rien et puis d'ailleurs j'y crois pas, dans le fond qu'est-ce qu'on s'en branle !
my little secret
★Ton prénom ou ton pseudo & ton age → Erwan & 19ans. ★Comment es-tu arrivé(e) ici ? → Un top-sit je crois. ★Ce personnage est-il un double compte ? → Clairement pas. ★Présence sur le forum → Variable. ★Personnage inventé ou scénario ? → Scéna d'Amen Chomsky. ★Crédit images → Bazzart -pas taper-.
Mon exemple de RolePlay:
→ Confortablement installé dans le taxi qui devait me reconduire chez moi, je me laissais aller à somnoler. Il n'était pas si tard, mais j'avais plusieurs verre de rhum dans le nez, et sans être saoul pour autant, il fallait bien admettre que l'alcool m'aidait à décompresser. Mensonge. Je ne peux pas vous dire que j'ai bu pour décompresser : ce serait faux. Si j'ai bu ce soir, c'est pour faire écho à tous les autres soirs de la semaine. Un peu comme toutes les semaines depuis environs cinq ans. Je vous entends me traiter d'ivrogne d'ici. Et vous êtes peut-être pas si loin de la vérité. Mais je m'en branle. Parceque je ne me souviens absolument pas du nombre de verre que j'ai pu ingurgiter. J'ai oublié. Je me contente d'observer le paysage qui défile sous mes yeux en songeant au tableau qui m'attends chez moi, je soupire d'aise, doucement bercer par le vrombissement du monteur. Un sourire, quelque peu niaiseux il faut bien l'admettre, vient étirer mes lèvres alors que je me figure installé devant mon chevalet, pinceau en main. La voiture freine et s'arrête au feu rouge. La circulation est calme, il y a très peu de véhicule ce soir, c'est bien, je serais chez moi dans moins de cinq minutes. Une femme passe alors près de ma portière, et elle est si belle que je ne peux m'empêcher de la suivre des yeux. Aussitôt mon imagination s'emballe. Non, pas sexuellement parlant. Simplement, artistiquement.. Un homme passe à son tours devant moi et l'espace d'une seconde, je les crois ensemble. Mais quelque chose ne va pas. Peut-être l'expression sur le visage de la jeune femme lorsqu'elle s'adresse à lui ? Le feu passe au vert, la voiture redémarre, c'est ce moment que choisi l'homme pour plaquer la demoiselle contre le mur. Mes sourcils se froncent. La scène s'éloigne. « Arrêtez vous.. Arrêtez-vous j'vous dis ! Hé vous êtes sourd ? STOP J'AI DIS ! » le taxi finit par s'immobiliser de mauvaise grâce près du trottoir. « Pas trop tôt putain ! » grognais-je en lui lançant quelques billets avant de m'extraire habilement de la voiture et de courir dans la direction opposée sous le regard étonné du taxidermiste. Je cours vite, et dans les cinq secondes qui suivent, me voilà face à la scène que je viens de quitter. « J'ai toujours aimé les p'tites vierges homos dans ton genre, ça me dérange pas. » Je piles, légèrement éberlué lorsque les grosses pattes du mec viennent caresser les hanches de 'la p'tites vierge homo', qui réplique aussitôt « DÉGAGE putain, qu'est-ce que tu fous! » La panique est très perceptible dans le ton de sa voix, et je sens mes muscles se contracter sous l'adrénaline. Je m'approche d'un pas mesuré, les mâchoires serrées, pour taper sur l'épaule de l'homme-ours-mal-léché. « Tu comprends pas quand ont te parle ? Je crois qu'elle est pas daccord. Il te faut quoi pour tilter ? Un décodeur ? Maintenant lâche-la. » aboyais-je. Il se tourna alors vers moi, l'oeil vide, la gueule défaite, et l'haleine pestilentielle qui allait avec. « Trouve-toi quelqu'un d'autre, elle je la baise. » souffla-t-il. Bon, manifestement le dialogue c'était pas trop son truc. Essayons une autre approche. Sans réfléchir je levais le poing et lui décochais un crochet du droit qui l'envoya rouler par-terre. « C'est pourtant pas compliqué du-con, tu dégages, MAINTENANT. » arquais-je en lui envoyant un coup de pied dans le bas-ventre avec toute la violence dont j'étais capable. Je n'écoutais pas sa réponse et me tournais vers la jeune-fille. « Belle soirée n'est-ce pas ? »
Dernière édition par Oakley Hayes le Lun 12 Aoû - 18:17, édité 20 fois