ALAN • Regarde les vaches, elles nagent dans le bonheur, et pourtant elles finissent en hamburgers.
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Sujet: ALAN • Regarde les vaches, elles nagent dans le bonheur, et pourtant elles finissent en hamburgers. Mar 30 Juil - 22:14
FEAT. ADAM GALLAGHER
Alan Andrev Baker
24 ans → Né à Saint-Malo, France le 14/04/1989 → Cinéma-Audiovisuel, option musique et danse célibataire → hétérosexuel → membre des Artists.
And who am i ?
★Quelles sont tes caractéristiques?
→ J'aime le chocolat. Sous toutes ses formes. Sauf le noir. Ou celui à l'orange. A la framboise ça va, mais pas l'orange. En fait, je préfère le blanc. Oui, j'aime le chocolat blanc, voilà. Maintenant, si vous voulez de réelles caractéristiques sur la personne extraordinaire que je suis, vous pouvez demandé à n'importe qui, il paraît que mon plus grand attrait est mon charme anglais. Un vrai gentleman, aux dires de la gente féminine. Disons que j'aime prendre soin de ma personne. Entre mon apparence soignée et mon amour pour la danse, mon père croyais d'ailleurs que j'étais gay étant plus jeune. Est-ce donc fou qu'un homme prenne soin de lui? Mais, si vous voulez savoir quelque chose de vraiment spécial, il y a bien une chose, que je n'exhibe pas, dont je ne suis pas fier, mais qui a son histoire. Une cicatrice me traverse entièrement le dos de bas en haut, triste souvenir de mon accident. Voilà qui vous suffira, je l'espère.
★Quel est le caractère de ton personnage?
→ « Alan ? C'est un garçon exceptionnel! Il a une belle gueule, ça, vous n'avez pas besoin de moi pour le remarquer, mais, en plus de ça, c'est vraiment un type bien! Depuis qu'ils l'ont rencontré, mes parents rêvent qu'on se marrie! Avec les filles, c'est un véritable gentleman! Enfin... Quand il est amoureux. Quand il est question de sentiments, c'est le genre de gars à composer une chanson, à garder sa jalousie pour lui, à aimer dans ses actes comme dans ses dires! Par contre, bon... Quand son coeur est libre, c'est un con fini! A coucher un soir et à ne plus jamais rappeler après! Faut dire qu'il est sur de lui le gamin.»
→ « Ce type, c'est Monsieur Parfait, c'est la seule chose à dire. Beau garçon, intelligent, c'est le type le plus cultivé qui m'ai jamais été donné de rencontrer! Mais, ce n'est pas un de ces artistes chelou totalement barré... Bon, bien sur, si vous lui parlez d'art, vous êtes pas sorti de l'auberge, mais à côté de ça, Alan sait faire la fête. Il sait s'amuser, vraiment. Mais, je crois que c'est à gars à garder simplement en tant que pote... Pas trop s'en approcher, car, il abandonne vite les gens. Enfin, disons que dès qu'il est lassé, il s'en fout, il arrête de vous parler du jour ou lendemain. Je crois que même lui ne comprend pas ce trait de sa personnalité en fait..
Well... It's my story...
« Alan, comment vous sentez vous ? » « Je vous l'ai déjà dit, très bien, je n'ai pas besoin de vous. » « Vous ne voulez pas de moi, c'est différent. Vos parents me paient pour que je vous aide... » « Je n'ai pas besoin de votre aide. » « Alors je ne vous aiderai pas. Mais laissez moi vous écouter. » « Soit, qu'est-ce que vous voulez savoir alors ? » « Commençons par le début. Racontez-moi votre enfance, ce que vous voulez. »
« Je suis né à Saint Malo, c'est une ville dans le Nord Ouest de la France, en Bretagne. D'ailleurs, Alan et Andrev sont des prénoms bretons. Nolwenn, ma sœur, était née là-bas aussi. Alors, à huit mois de grossesse, ils sont tous partis en vacances. Elena, ma mère, aime l'air breton. C'est dans son sang, et dans le mien, à ce qu'elle dit. Après ma naissance, une fois ma mère remise, on est retournés en Amérique. Lorsqu'ils se sont rencontrés, Jake et Elena vivaient à Londres, mon père est de bonne famille anglaise. Mais à cause de son travail, ils sont partis aux Etats-Unis, c'était plus simple, à ce qu'il dit. Les Baker, la bonne famille. Les voisins parfaits, le couple amoureux, les enfants doués dans tout, la belle maison de banlieue. Vraiment, on ne peut pas dire que l'on était à plaindre. Tout le monde nous aimait, certains nous enviaient même, mais personne ne nous a jamais cherché d'embrouille.
Dès que je l'ai voulu, j'ai commencé à prendre des cours de danse. Je n'étais rien d'autre que le petit garçon amoureux de sa grande sœur. Nolwenn avait cinq ans de plus que moi, et je voulais tout faire comme elle. Quand elle a commencé le violoncelle, j'ai commencé le piano. Quand elle a commencé le chant, j'ai commencé le théâtre. Bref, les artistes en herbe quoi. On s'entendait comme deux cochons de kermesse, Jake et Elena n'ont jamais eu à se plaindre de nous. »
« Qu'est-ce que vous avez ressenti, lorsque vous l'avez perdu ? »
« A votre avis ? Vous avez une sœur ? Qu'est-ce que ça pourrait bien vous faire si elle mourait dans un accident de voiture ? A cause d'un abruti défoncé ? J'ai été détruit ! Et alors ? La vie continue vous savez. J'avais quinze ans, mais elle m'avait apporté la maturité suffisante pour faire face à cette épreuve. Bien sur que j'ai pensé à me foutre en l'air. Mais, the show must go on. Je me suis relevé comme j'ai pu. Mes parents ont commencé à me payer des études à l'étranger, c'était plus facile pour eux, moins j'étais là, moins ils avait à faire semblant que ça allait. Je crois que c'est l'art qui m'a sauvé. Et, à partir de là, je me suis promis que je percerais dans ce milieu pour elle. Aujourd'hui, ça fait trois ans vous savez. Alors, c'est un peu tard pour m'aider, ne vous inquiétez pas, je sais prendre soin de moi même. »
Ce jour là, je me suis levé énervé, et j'ai claqué la porte. Je m'en souviens comme si c'était hier. C'était le troisième anniversaire de mort de Nolwenn. Jake et Elena m'avait envoyé chez le psy, comme d'habitude. Mais ce fut la dernière fois.
***
« Alan, comment vous sentez-vous ? » « J'ai mal à la tête bordel... Qu'est-ce qui s'est passé ? » « Vous avez eu un accident... Une voiture vous a percuté, le conducteur était ivre. »
Qu'ais-je donc bien pu faire au monde pour bénéficier de cette chance que ma sœur n'avait pas eu ? Vingt ans. Exactement le même âge qu'elle avait quand elle est morte. Alors bordel, qu'ais-je fais qu'elle n'avait pas fait ? Je ne crois pas aux signes du destin, etc. Mais, je me suis bien rendu compte d'une chose ce jour là. C'est qu'il fallait que je profite. De la vie, de tout. Même s'il fallait que je fasse de la rééducation, et que la danse m'était interdite pendant un moment. Même s'il fallait que je pardonne. Même s'il fallait que tellement de choses, j'avais la chance d'avoir le temps pour les faire.
my little secret
★Ton prénom ou ton pseudo & ton age → Lou, 17 YO. ★Comment es-tu arrivé(e) ici ? → Par les annuaires forumactifs, mais je crois bien qu'en fait j'ai déjà été inscrite ici! Leonid Aleksandrov, si ça vous dit quelque chose! ★Ce personnage est-il un double compte ? → Arh nein! ★Présence sur le forum → Je dirais 5/7 en moyenne ★Personnage inventé ou scénario ? → Inventé ★Crédit images → Hum, je ne saurais dire. Tumblr, pour beaucoup.
Mon exemple de RolePlay:
→ Ancien texte plus ou moins RP. Je tremble. J'ai froid. Cela ne m'arrive pourtant jamais. Je suis fatiguée. Cela doit être pour cela. Je porte ma cigarette à mes lèvres, et l'allume sans y penser. J'ai fait ce geste si souvent, au bas de cette rue que j'ai remontée tant de fois. Je recommence à marcher. Je passe dans cette rue comme une ombre. Je l'ai si souvent traversée que je pense pouvoir le faire les yeux fermés. Je ferme les yeux. Le monde est si différent lorsque l'on ferme les yeux. On peut l'imaginer comme on le veut. Beaucoup plus beau. Beaucoup plus attrayant. Parfois, j'aurais voulu être aveugle. Je ne dis pas qu'ils ont particulièrement de la chance, mais j'aime l'idée qu'à leur manière, ils peuvent voir le monde comme ils l'entendent. J'aime l'idée de ne pas savoir ce qui m'entoure, cette vulnérabilité face à l'inconnu. Les gens détestent être vulnérables. Pourtant, je trouve cela exaltant. Je suis donc là, à remonter cette rue, les yeux clos. Je l'imagine. Je connais les enseignes qui bordent mon chemin. Je vois distinctement les devantures et les portes. Là, à ma droite, entre la librairie et l'épicerie, il y a un appartement. La porte est d'un vert très ancien. Décoloré. Moi, je l'aurais faite rouge. Je suis à la moitié de la rue. Je n'ai pas ouvert les yeux. Je dois paraître folle, mais je sais que personne ne me voit. Je sais qu'il n'y a personne sur ma route. Il n'y a jamais personne sur ma route. Je suis seule. Au loin, j'entends les conversations d'hommes ivres du samedi soir. Ils sont loin derrière moi mais je perçois chaque parole de leur discussion. Peut être parce qu'ils crient. On a souvent tendance à crier, lorsqu'on est ivre. Sans doute est-ce une peur inavouée de ne pas être entendu, d'être transparent, qui éclate au grand jour quand l'alcool défait nos freins sociaux. J'aurais moi aussi envie de crier, mais je n'ai personne à qui m'adresser. Dans cette rue comme dans ma vie, je reste seule.
Je suis arrivée au bout de la rue. J'ai fait ce que tous les hommes font chaque jour de leur vie : je n'ai pas ouvert les yeux. J'ai fait ce que fait cette femme du quatrième chaque jour lorsque son mari rentre avec l'odeur d'une autre sur lui. J'ai fait ce que fait ce petit garçon de la dernière maison chaque jour lorsqu'ils voit ses parents se disputer. J'ai fait ce que fait le peuple face à un politique qui coule leur pays. J'ai fait ce que font les riches lorsqu'ils croisent un mendiant dans la rue. J'ai fait ce que je fais chaque fois que je la vois avec un autre. J'ai fermé les yeux.
Je disais donc que j'étais arrivée au bout de la rue. J'ouvre les yeux. Aucune lumière ne m'irrite, seule une lueur du lampadaire à quelques pas de moi me fait en fait comprendre que j'ai bien rouvert les paupières. J'ai toujours froid. Je ne me suis pas arrêtée. Je ne dois pas m'arrêter. Je ne suis pourtant pas en retard, mais je ne suis pas en avance non plus. Ma mère m'attend. Elle ne peut pas dormir tant que je ne suis pas rentrée. Avec une certaine habitude, et une habitude certaine, je laisse mon corps avancer. Et avec cette même connaissance des gestes, je glisse la main dans la poche avant de mon sac. Le contact du métal froid me fait frissonner. J'ai froid. Je sors les clés et m'arrête devant une porte. Elle est d'un rouge vif. Moi, je l'aurais fait verte. Vert ancien, décoloré. Je tourne la serrure et m'engouffre dans l'entrée. Une odeur de livres parcours mes narines. Ma maison en est pleine à craquer. Je pense que l'on aurait pu ouvrir une librairie, tellement on en a. Parfois, j'aurais voulu être libraire. Je ne dis pas qu'ils ont particulièrement de la chance, mais j'aime l'idée qu'à leur manière, ils peuvent sentir le monde comme ils le lisent. Je traverse cette entrée que j'ai si souvent traversée, et commence à monter les escaliers. C'est une petite maison de ville qui ne contient qu'une pièce par étage, et qui ne contient que trois pièces. Au premier, ma mère m'attend. C'est une petite femme reflète pas très gâtée par la vie. Cela fait quelques années que je ne prête plus réellement attention à elle. Je ne l'écoute plus vraiment quand elle me parle, et je ne la remarque plus totalement. Je le lui ais déjà dit, d'ailleurs, mais je crois qu'elle a oublié. Je crois qu'elle a préféré oublier. Elle me pose une question, je lui répond distraitement. Je sais que ce soir encore, elle va pleurer. Elle pleure toujours lorsque je rentre tard, et que je porte le délicat parfum d'un mélange parfait de tabac froid et d'alcool fort. Je la déçois, je le sais. Mais elle ne dit rien. Elle aussi, ferme les yeux. J'arrive au troisième étage, ma chambre. En réalité, c'est une pièce qui comporte un lit et un bureau. C'est pour cela que je l'appelle ma chambre. Je dis ma chambre par habitude, mais je ne m'y sens pas plus chez moi que dans celle d'un autre. Sans même enlever mon manteau, je me couche sur mon lit, celui qui ne porte même pas mon odeur tant j'y dors, et ferme les yeux. Ce soir encore, moi aussi je vais pleurer.
Dernière édition par Alan A. Baker le Mar 30 Juil - 23:41, édité 5 fois
Sujet: Re: ALAN • Regarde les vaches, elles nagent dans le bonheur, et pourtant elles finissent en hamburgers. Mer 31 Juil - 11:51
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Sujet: Re: ALAN • Regarde les vaches, elles nagent dans le bonheur, et pourtant elles finissent en hamburgers. Mer 31 Juil - 12:57
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Sujet: Re: ALAN • Regarde les vaches, elles nagent dans le bonheur, et pourtant elles finissent en hamburgers. Mer 31 Juil - 14:21
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Sujet: Re: ALAN • Regarde les vaches, elles nagent dans le bonheur, et pourtant elles finissent en hamburgers. Mer 31 Juil - 14:27
Merci vous tous
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Sujet: Re: ALAN • Regarde les vaches, elles nagent dans le bonheur, et pourtant elles finissent en hamburgers. Mer 31 Juil - 15:10
Pour moi ta fiche est bonne, je te pré-valide donc en attendant qu'une admin vienne t'ajouter à ton groupe Bon jeu parmi nous
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Sujet: Re: ALAN • Regarde les vaches, elles nagent dans le bonheur, et pourtant elles finissent en hamburgers. Mer 31 Juil - 16:55
Validé !
ADAM GALLAGHER. Il est tellement canon, omg.
Un système d'intégration est mis en place sur le forum sous forme de flood d'intégration, mélangeant anciens et nouveaux membres, n'hésite pas à t'y inscrire ! N'oublie pas de compléter ta fiche personnage, ton profil et de faire toutes les demandes nécessaire. Si tu as la moindre question ou problème, tu peux bien sur contacter un membre du staff par MP. Nous t'invitons aussi à aller lire ce sujet premiers pas sur le forum Et puis tu peux bien sur voter toutes les deux heures pour aider le forum en cliquant sur la petite plume :
Have Fun !
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Sujet: Re: ALAN • Regarde les vaches, elles nagent dans le bonheur, et pourtant elles finissent en hamburgers. Dim 11 Aoû - 22:13
Adamchou. Bienvenue sur le forum.
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Sujet: Re: ALAN • Regarde les vaches, elles nagent dans le bonheur, et pourtant elles finissent en hamburgers.
ALAN • Regarde les vaches, elles nagent dans le bonheur, et pourtant elles finissent en hamburgers.
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