Sujet: + have you ever danced with the Devil in the pale moonlight? (mgp) Lun 26 Aoû - 19:49
FEAT. BEN BARNES
Marwin Gorden-Powell
22 ans → Né à New York le 25/07/1991 → vit de l'argent de ses parents fiancé → hétérosexuel → membre des all stars.
And who am i ?
★Quelles sont tes caractéristiques? charmeur dans l’âme ; tatouage dans le creux des reins qui représente une mouette qui signifie le côté volage et sans attache ; une cicatrice sur l’avant-bras droit causé par une bagarre ; aime les filles, l’hiver, les sandwichs, les brunes aux cheveux long, la tequila, les tapas de l’Espagne, le brésil, les concerts, les vieux films, les chanteuses, la boxe et le basket, l’odeur de la lessive, les costumes, le naturel, le champagne, le noir ; il ne supporte pas de dormir quand il y a un peu de lumière ; déteste le foot, les motos, chiens, les enfants qui gueulent, les vieux en général, les dessins animés, le bordel, la nature, la bière, le orange, être seul ; toujours habillé très classe ; s’accorde des jours en jogging quand il ne sort pas ; fait du sport pour s’entretenir ; mange sainement ; se considère comme parfait ; trouve quand même les femmes enceintes comme la beauté à l’état pur ; ne se ridiculise jamais ; a des tonnes de numéros alors qu’il ne sait pas qui sait ; a deux téléphones, pour le deuxième, il s’agit de ses proches ou des numéros importants ; n’a aucune ambition ; aime se laisser vivre ; dort le jour, vit la nuit ; déteste l’engagement ; compte quand même se marier un jour ; n’a jamais prononcé les 3 mots ; vulgaire et charmant ; accorde une grande importance à l’apparence ; est toujours bien coiffé et habillé ; essaye toujours de se souvenir des noms de ses conquêtes ; accorde une grande importance à sa fiancé ; joue du piano ; ne sait pas chanter ; a apprit à faire du skate ; a déjà beaucoup bu, fume régulièrement et s’est déjà drogué ; aimerait habiter Paris dans le futur
★Quel est le caractère de ton personnage? Encore plus machiavélique qu’il n’est séduisant, il n’a jamais proféré une seule parole sans quelques projets malhonnêtes. De toutes celles qu’il a conquise il n’en est pas qui en ait à s’en plaindre. Fuyez le à tout prix. Marwin, plus connu sous le pseudonyme de Rin’, surnom donné par ses proches, est un homme orgueilleux, indépendant et qui a une grande fierté. Il n’a jamais accepté d’aide de personne, préférant toujours prouver qu’il peut se débrouiller seul. Ce qui est paradoxal, c’est qu’il a toujours détesté la solitude et pourtant, il n’est pas ce qu’il y a de plus amical. En effet, hautain et très peu modeste, il se pense au dessus de tout et tout le monde. Marwin, c’est le meilleur, le plus beau, le plus riche, il le sait et il en use. Il est bien conscient qu’il plait et il en joue. Il arrive toujours à ses fins car quand Marwin veut, Marwin obtient, que ce soit une chose ou une fille. Dragueur dans l’âme, il adore être entouré de femmes. Mais s’il y a bien une chose qu’il fait, c’est les respecter. Sa mère lui a inculqué de vraies valeurs et il s’y tient. Il sera toujours sincère avec les femmes. Il ne leur promettra jamais la lune quand il veut passer la nuit avec. Bien au contraire. Il leur dira la vérité et ce sera à elle de décider de la suite des choses. Le truc, c’est qu’il attire. Les femmes sont crédules, il le sait, et c’est finalement en étant honnête avec elle qu’il finit par les trahir car il connait leurs faiblesses et sans le vouloir, il s’en sert. En amitié, Marwin est quelqu’un de fidèle et sincère. Il n’a que très peu d’amis, voir presque pas. Beaucoup de connaissances. Très peu de proches. D'ailleurs, il est rare qu’il n’ait pas couché au moins une fois avec une de ses amies filles. Marwin n’est pas doux mais il n’est pas colérique. Il s’énerve quand on le provoque mais il lui faut plus que quelques mots de travers pour le faire sortir de ses gonds. Il joue beaucoup sur le sarcasme et l’ironie. Pour lui, les mots ont toujours été beaucoup plus fort que les coups et ne s’en est jamais caché. Marwin n’a rien contre l’amour, il n’a pas peur de souffrir, simplement, il se considère trop jeune pour s’engager et préfère profiter de la vie. Il ne voit pas l’intérêt de s’enfermer dans une relation quand il peut avoir toutes les filles qu’il veut. Marwin, c’est le roi du monde. Il est riche, il achète qui il veut. Il sait user de ses charmes. Il est intelligent. Assez pour savoir que l’argent ne fait pas tout. Il est donc prêt à tout pour obtenir ce qu’il souhaite. M. a les yeux pleins d’étoiles et un sourire séraphique qui dissimulent ses mauvaises intentions.
Well... It's my story...
Veuillez écrire ici l'histoire de votre personnage. 30 Lignes minimum.
my little secret
★Ton prénom ou ton pseudo & ton age → clémence/redsoul, 19 ans ★Comment es-tu arrivé(e) ici ? → déjà inscrite ★Ce personnage est-il un double compte ? → non. ★Présence sur le forum → 7j/7 ★Personnage inventé ou scénario ? → inventé ★Crédit images → tearsflight & sugar slaughter
Mon exemple de RolePlay:
FLASHBACK ► On passe notre vie à chercher le Prince Charmant. On embrasse quelques crapauds, on passe du temps avec attendant la magique transformation mais ils ne deviennent jamais ce que l’on attend. On attend. Ils restent de vulgaires animaux. On s’est amusé avec, on a trompé le temps, on a joué avec jusqu’au moment où on s’est lassé de toute cette mascarade et puis on a continué notre chemin. J’ai eu l’occasion de croiser quelque fois l’amour. Non pas l’amour avec un grand A mais plutôt avec un S. S comme souffrance. J’aimais ces garçons mais jamais de la bonne manière, jamais comme il le fallait, jamais assez longtemps, jamais assez fort. Je passais de bons moments avec eux, j’étais heureuse mais jamais amoureuse. Je me trompais et je me faisais tromper. Par l’amour. Il jouait avec moi, ce foutu sentiment. J’ai toujours aimé l’amour, malheureusement pour moi, ça n’a jamais été réciproque. Je me sentais bien en couple, entourée, en sécurité, mais c’est les garçons qui ne me convenaient pas. Mais voyez-vous, le problème, ce n’est pas les autres, c’est nous, toujours nous. Incapable de reconnaitre notre âme sœur car c’est une fois qu’on le perd qu’on se rend compte à quel point la vie est triste sans lui, à quel point notre existence est fade et sans intérêt. Je n’ai jamais ouvert les yeux, je les ai toujours gardés clos. Je n’ai jamais accepté que je puisse être dépendante, que j’avais besoin d’un homme à mes côtés pour être heureuse. J’ai trop souvent fuit, je suis trop souvent partie, j’ai tiré ma révérence et je me suis retournée sans jamais regarder en arrière, clamant mon indépendance. A l’époque de l’université, tout le monde voyait que je ne savais pas qui j’étais et pourtant, même près de longue débâcles, je continuais à penser que je savais ce que je faisais, que je savais qui j’étais. Même mes amis les plus proches étaient incapables de me dire la vérité sans que je ne le nie. Aujourd’hui, encore, je pensais ne pas l’avoir rencontrer et pourtant, quand mes yeux se plongèrent dans les siens, je compris que j’avais eu tout faux. C’était comme pour la première fois. Comme si tout n’était que le début, un renouveau, le début de quelque chose. Il y a dix ans, j’étais dans ces lieux, je les arpentais telle une reine, connaissant son château par cœur. Une confiance en moi très peu présente, des amis que l’on compte sur les doigts d’une main. J’étudiais à Berkeley il y a dix ans. Je partageais des moments avec mes proches, des souvenirs ancrés en moi à jamais. Ce soir, encore, je me remémorais mes plus beaux passages de ma vie d’étudiante. Jayan, Eileen, June, Adriel, Manon, Jordane, Indianna avec son fils Sacha, Ethan, Augusto, Autumn, Eden, Matthew, Sasha, mais aussi Sam, Seth, Danahiel, et Jader. Tous avaient marqué ma vie d’une manière plus au moins positive mais je ne gardais que le meilleur. C’est tout ce qu’il me restait. Un tas de souvenirs en pagaille dans mon esprit et dans mon cœur. Je n’en oubliais aucun. Je les gardais tous en moi. J’étais venue seule, j’exposais dans une galerie en France, à Paris, une ville que j’affectionnais particulièrement, dont laquelle j’étais tombée amoureuse il y a dix en maintenant. J’étais revenue spécialement pour l’occasion, à San Francisco, ma ville de toujours, à Berkeley, dans cette salle. Je faisais virevolter ma main pour saluer des connaissances, ouvrant mes bras aux personnes qui ne m’ont jamais quitté comme mon duo de brune et blonde, mes coéquipières, mes doubles, mes amies, mes sœurs et à Jayan, mon amour de toujours, mon meilleur ami, ma préférence, mon pilier, ma frère, ma vie. Trois personnes sans qui je n’aurais jamais survécu dans les moments les plus difficiles. Un goût de nostalgie s’empara de moi et mon cœur se serra. Je n’allais pas pleurer, je ne pleurais plus mais je n’étais pas loin de m’effondrer face à temps de sentiments qui semblaient remonter d’une époque lointaine, une époque maintenant derrière moi. Puis je me tournais de nouveau vers lui. Mon regard se perdant dans la foule puis se posant de nouveau dans le sien. Je lui souris et je m’avance vers lui, ma robe se secouant tout au long de ma démarche, mes talons claquant sur le sol, je n’entendais plus qu’eux, je ne voyais que lui à présent. Face à lui, de nouveau, j’étirais mon sourire à son compliment et je tournais sur moi de manière soft comme pour m’auto-complimenter. Sans rien répondre, je le regardais et quand il vint me faire la bise, c’est comme avec une aisance sans limite que je le pris dans mes bras. Il était un de mes plus beaux souvenirs et aujourd’hui, j’étais heureuse de le revoir. Il me présenta à son amie et je ne parlais toujours pas. Je gardais mes premiers mots pour moi, les choisissant à la perfection dans mon esprit. Une joie indescriptible s’empara de moi me rendant fébrile. Puis son amie s’en alla nous laissant seuls. Nous étions seuls comme à notre première rencontre. Puis il me posa une question que j’ai préférée ignoré et je me suis mise à rire. « Dix ans que l’on ne s’est pas vu et tu me parles de ma cousine et tu me demande si je suis venue seule ? Tu n’as vraiment pas changé. Enfin, je suis moi aussi très heureuse de te revoir Wren. »
J’installais chaque photo de manière méticuleuse et je me remémorais cette soirée qui avait eu lieu il y a une semaine. J’étais arrivée il y a 3 jours même si j’étais ici, je savais à présent que mon cœur était là-bas, à San Francisco, de nouveau. En arrivant au Cambodge, j’avais le cœur lourd, l‘estomac noué. J’étais heureuse d’être ici et pourtant, effondrée d’avoir quitté les Etats-Unis. J’étais venue m’installer ici. Non pas pour de bon, je savais qu’un jour j’allais revenir mais je sentais que je devais me rendre ici, que je devais vivre ma passion en Asie. Je l’avais sentie à la seconde où j’avais reçu l’appel du gérant de la galerie. C’était une chance que je ne pouvais refuser et j’étais partie. Je m’étais doucement installé et j’avais d’ailleurs ouvert très peu de carton, passant mon temps à parcourir la ville pour a connaitre. Habillée de vêtement tristement simple, j’avais abandonné les grandes robes, les talons et les coiffures sophistiquées. J’avais opté pour une allure beaucoup plus soft. Je portais maintenant des vêtements simples. Je portais d’ailleurs un short couleur blanc avec une chemise noir très fine sans manche quand même classe ainsi que des nu-pieds Camel. Les cheveux tiré en arrière, je les avais attachés les laissant flotter dans mon dos tant la chaleur était étouffante. Je ne m’étais pas encore adapté et j’espérais pouvoir le faire au plus vite. Certaines photos étaient déjà affichées et c’est en attrapant la dernière que je me suis sentie obligée de repositionner toutes les autres. Celle-ci méritait une place de choix. Elle devait être au centre de tout. Elle allait être la pièce maitresse de la galerie. Elle n’était pas à vendre mais je tenais à l’afficher pour le plaisir des yeux, celui des autres mais aussi et surtout le mien. Après plusieurs minutes à la cadrer je me suis éloignée et je l’ai contemplé. C’était de loin ma préférée. On y voyait Wren, au premier plan, regardant l’objectif, me regardant et j’avais l’impression qu’il était là avec moi, à cet instant, Eileen, June et Jayan se partageant l’arrière-plan et on les voit rire, et j’ai comme l’impression de les entendre. Eux aussi étaient là. Je restais plusieurs minutes à regarder cette photo. Puis les sonnettes de la porte retentirent et c’est sans perdre une seconde que je me retournais. « Je suis désolée mais nous sommes.. » Mon cœur s’arrêta. Mon visage se figea. Le temps se stoppa. Et je ne bougeais plus. Je restais face à lui. Je vis la pluie commencer à tomber. Je n’entendais que ça puis sa voix retentit créant un écho dans ma tête me projetant de nouveau une semaine en arrière.
FLASHBACK ► J’étais allongée, face au ciel noir, remplit d’étoiles. Mon regard se perdait dans l’immensité de l’univers. Je me laissais vaguer à toutes sortes de pensées. Je pensais à ce qu’était devenue ma vie. Tout ce qui s’est passé, tout ce qui peut arriver. Je m’imaginais déjà loin, loin de tout et de tout le monde. Nous étions étendus dans l’herbe. On s’était éclipsés, on avait abandonné les mondanités pour nous retrouver seuls. On ne faisait attention à rien. Nous avions trente ans et on agissait comme des adolescents, se cachant du reste du monde. Il me parlait de lui, de sa vie, de son arrivée au sommet, du football, de ses envies, de ses passions de ses rêves, parlant quelques fois de son amie qui l’attendait à l’intérieur avec le reste des invités. J’ignorais le reste. Ce soir j’étais égoïste, je ne pensais qu’à moi. Je e gardais pour moi, comme s’il m’appartenait, comme si sa place était auprès de moi, une place qui lui était réservée depuis toujours. Je n’avais pas peur, je n’avais peur de rien. Je me sentais invincible. Un sentiment que j’avais très peu connu et que je ne pensais pas pouvoir ressentir de nouveau. Pourtant, grâce à lui, ce soir, je me sentais de nouveau bien, un bien être qui a trop longtemps été absent. Je sentais que je me laissais aller, que je laissais les choses se faire sans rien forcer. J’avais l’impression de pouvoir tout faire. Wren avait cet effet sur moi, ce soir. Il me laissait croire qu’il était tout à moi, comme si nous étions ensemble de nouveau et que tout était possible tant que nous restions l’un avec l’autre. « Pars avec moi. Wren, quitte tout et pars avec moi. Viens au Cambodge. On pourrait être ensemble. » Je n’ai rien dis de plus. Je savais qu’il avait Kim et sa vie et le foot et.. et.. Je le savais mais sans savoir pourquoi, j’avais besoin de lui près de moi. Je ne pouvais expliquer ce sentiment mais j’avais envie qu’il soit avec moi, loin, loin de tout, de la difficulté, des autres, de nos vies. Du monde. Je ne me doutais de rien, je n’attendais aucune réaction précise. Je ne savais pas à quoi m’attendre. J’espérais simplement qu’il accepte et qu’il parte avec moi. C’est tout ce que je voulais. Eileen, June et Jayan était au courant de mon départ, ils le savaient tous et j’avais prévu leurs réactions. De la tristesse, de la joie mais aussi beaucoup d’excitation de la part de mes amis qui s’imaginaient déjà venir profiter de leurs vacances chez moi. Ils me faisaient rire et j’avais hâte de les voir débarquer chez moi. Mais je ne savais pas quoi faire face à Wren. Je ne savais pas quoi faire ni quoi dire de plus. Je partais dans une semaine et cette soirée était la dernière que je pouvais passer aux Etats-Unis. Le lendemain, je repartais en France, faire mes bagages, dire aurevoir à mes proches de Paris et surtout, faire un dernier tour, munie de mon appareil photo pour prendre quelques clichés de cette ville que j’aime tant. J’allais pouvoir exposer ici mais aussi là-bas, m’occuper de ma passion, vivre de ce que j’aime le plus au monde.
Il était face à moi. Là. A quelques mètres. J’avais à avancer de quelques pas pour pouvoir le toucher, le prendre dans mes bras, pour pouvoir me rendre compte que tout ça n’était pas un rêve. Pourtant, cela y ressemblait. Le Cambodge, lui, moi, ici, aujourd’hui. Rien ne semblait réel et pourtant, tout ça était la réalité. Une douce, paisible et délicieuse atmosphère s’installa dans les lieux. Je lui ais sourit. Je ne bougeais pas, je restais immobile, fixé au même endroit depuis plusieurs secondes, minutes, heures, années. Le temps s’était arrêté et j’avais l’impression qu’un millénaire avait passé et que durant tout ce temps, le temps s’était stoppé ici, dans notre bulle. La pluie claquait contre les vitres comme mon cœur frappait contre ma poitrine. Je fixais mon regard dans le sien et ma cage thoracique semblait faire un bruit monstre, un son que j’étais la seule à entendre. Et c’est sans plus attendre, prenant mon courage à deux main, me laissant submerger par le bonheur que je me suis mise à courir vers lui, lui sautant au cou, nichant mon visage dans le creux de ses épaules. Je sentais de nouveau son odeur, son délicieux parfum qui faisait virevolter des tas de souvenirs dans mon esprit. Ces nuits que l’on a partagé, ces rires qui ont raisonnés dans nos chambres, dans les bars, dans les parcs, et tous ces lieux que l’on a visité. Les échos de sa voix se baladaient parmi ces souvenirs, des phrases, des mots que je ne pouvais oublier, ses gestes ses mains parcourant ma chair, ses doigts mêlés aux miens, ses lèvres se sellant aux miennes et toutes ces petites choses qui comptaient et qui ne m’ont jamais quittés. Je me souvenais de tout. Une de mes mains vint l’enlacer tandis que l’autre alla caresser sa chevelure, un geste affectif que j’avais perdu l’habitude de faire et qui semblait avoir un goût de renouveau. Mon souffle se perdit dans le creux de son cou, mes yeux clos, mes lèvres effleurèrent sa peau, retenant un geste qui aurait pu tout dire, un geste que j’ai gardé par peur. Peur de souffrir et de le voir repartir. Je me contentais simplement de le garder contre moi. Je ne voulais pas rompre ce silence. Nos gestes disaient tout ce qu’il y avait à dire. J’avais peur que les mots ne gâchent ce moment, qu’ils viennent rompre notre douce et tendre étreinte. Je retirais mon visage, venant attraper son visage dans mes mains comme pour m’assurer que c’était bien lui, que tout ça n’était pas un mirage, une illusion, un rêve. Mon regard se lia avec le sien de nouveau et je me mordis les lèvres quand il ouvrit la bouche et que le son de sa voix vint jusqu’à mes oreilles. C’était bien lui. Cela ne pouvait pas être quelqu’un d’autre. Mais il faut croire que l’amour n’était pas le seul à ne pas beaucoup m’aimer et que le bonheur n’était pas prêt non plus à me laisser être heureuse. Je sentais mes jambes trembler, tout mon corps se mit à se secouer et j’ai d’abord cru que mes jambes me faisaient défaut devant tant d’émotion et c’est en tournant la tête que j’ai vu les cadres se secouer de plus en plus vite, de plus en plus fort. Alor j’ai compris. Je n’ai pas mis beaucoup de temps à savoir ce qu’il se passait. La veille, j’avais suivis un stage indispensable, celui qui nous expliquait durant quelques heures comment réagir face à des tremblements de terre, chose qui était très fréquente ici, surtout en ce moment. Cependant, si celui-ci commença doucement, il semblait bien plus fort que ceux annoncé par la personne qui nous a formés. Prise de panique, j’ai vu les murs trembler, la pluie tomber, les cadres tomber, les vitres se briser et par reflexe je me suis protégée la tête, le visage, tout ce que je pouvais, n’épargnant pas mes bras et mes mains qui furent très vite mutilés par les débris qui tombaient. Le plafond qui n’était pas adapté à ce genre de catastrophe comme la plupart des bâtiments de cette ville tombait en lambeaux et s’écroulait juste au dessus de nos têtes. J’ai alors prit Wren par la main et j’ai courus, j’ai courus aussi vite que je le pouvais, me guidant par instant, me protégeant comme je le pouvais et je nous ai emmené jusqu’au bar. J’ai courus si vite que ma main se détacha de la sienne. Je l’ai perdu. Et je suis tombée, glissant sur un bout de plâtre. Je me suis retrouvée au sol quelque peu sonnée. Ma tête cogna contre une poutre qui était tombée me faisant une entaille aussi grosse qu’un poing mais je me suis redressée et j’ai regardé derrière moi, me protégeant comme je le pouvais et j’ai aperçu Wren étalé sur le sol qui se relevait à son tour. Et les secondes qui ont suivis étaient aussi longue que des heures. Le temps a ralenti, les bruits se sont stoppé, un voile s’est déposé sur nous, rendant les lieux calmes et effrayant. La terre continuait de trembler, la pluie continuait de tomber, le plafond, les murs ne cessaient de se détruire mais j’avais l’impression de ne plus rien entendre, je ne voyais que cette poutre descendre, tombée de manière très lente et une fois arrivée au sol, un cri me sortit de cette bulle alors je me suis levée et j’ai courus dans la direct opposé à celle d’avant et j’ai rejoint Wren. Je criais son prénom. Encore et encore. Je suis arrivée vers lui et j’ai regardé sa jambe, coincée sous la poutre. Il ne bougeait plus, complètement assommé par la douleur. « Wren ? Wren répond. Ca va ? Je vais te sortir de là. » Je l’ai attrapé par les épaules et j’ai tenté de le tirer pour le dégager de la poutre qui immobilisait sa jambe mais ses cris m’arrêtèrent à la seconde où j’ai compris que je le faisais souffrir. Je me suis alors agenouillée, posant sa tête sur mes cuisses et je me suis baissée vers lui pour lui protéger le visage des débris qui pouvait le blesser en tombant. « Wren. Ca va.. ? Réponds moi.. Je te protège, je suis là. Ne t’inquiète pas. Je ne partirais pas. » J’essayais de mettre mon bras sur ma tête tandis que mon autre main vint prendre la sienne. Ma tête était au dessus de la sienne et nos visage se touchait et je sentais que je n’arrivais pas à contenir mes larmes et je les sentais me caresser les joues, je sentais les bits m’écorcher vif dans mon dos, mes bras, mes jambes mais je ne bougeais pas, je continuais de le protéger et de répéter la même chose. « Je suis là. Je ne partirais pas. Je ne partirais plus.. Je te le promets. Je te le promets. »
Dernière édition par Marwin Gordon-Powell le Mar 27 Aoû - 20:41, édité 6 fois
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Sujet: Re: + have you ever danced with the Devil in the pale moonlight? (mgp) Lun 26 Aoû - 19:56
Je te souhaite la bienvenue sur le forum
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Sujet: Re: + have you ever danced with the Devil in the pale moonlight? (mgp) Lun 26 Aoû - 19:58
Bienvenue
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Sujet: Re: + have you ever danced with the Devil in the pale moonlight? (mgp) Lun 26 Aoû - 19:59
Re-Bienvenue Bon courage pour ta fiche
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Sujet: Re: + have you ever danced with the Devil in the pale moonlight? (mgp) Lun 26 Aoû - 20:06
Re-bienvenue alors, Ben Barnes + un All Stars, j'approuve Bon courage pour ta fiche
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Sujet: Re: + have you ever danced with the Devil in the pale moonlight? (mgp) Lun 26 Aoû - 20:14
Re-bienvenue
Mackenzie J. Howard
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i love the ring of your name you're the yin to my yang
▌INSCRIT LE : 01/07/2010
▌MESSAGES : 20301
▌AGE DU PERSO : 23
▌ADRESSE : 6812 Beverley Road #104, Brooklyn. avec l'amour de sa vie.
Sujet: Re: + have you ever danced with the Devil in the pale moonlight? (mgp) Lun 26 Aoû - 20:48
Oh my god Lily-Roooooooose c'était une jaune Re bienvenue avec le beau Barnes en plus
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Sujet: Re: + have you ever danced with the Devil in the pale moonlight? (mgp) Lun 26 Aoû - 21:11
bah, voilà, je suis de retour
exactement Tulisa merci en tout cas et puis bush
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Sujet: Re: + have you ever danced with the Devil in the pale moonlight? (mgp) Lun 26 Aoû - 21:16
au risque de me faire taper sur les doigts * t'as vu je prends ce risque pour toi * biiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiievenue ma bigouden, t'es trooooop hot en Ben. Et je retourne dans ma fiche
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Sujet: Re: + have you ever danced with the Devil in the pale moonlight? (mgp) Lun 26 Aoû - 21:20
BEN + le groupe. Re-bienvenue sur le forum et bonne chance pour ta fiche.
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Sujet: Re: + have you ever danced with the Devil in the pale moonlight? (mgp) Lun 26 Aoû - 21:27
Re-bienvenue parmi nous
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Sujet: Re: + have you ever danced with the Devil in the pale moonlight? (mgp) Lun 26 Aoû - 23:01
welcomeeee
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Sujet: Re: + have you ever danced with the Devil in the pale moonlight? (mgp) Lun 26 Aoû - 23:55
Bienvenue parmi nous
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Sujet: Re: + have you ever danced with the Devil in the pale moonlight? (mgp) Mar 27 Aoû - 0:49
merci beaucoup pour votre accueil, vous êtes des amours
Orlane R. Ryans a écrit:
au risque de me faire taper sur les doigts * t'as vu je prends ce risque pour toi * biiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiievenue ma bigouden, t'es trooooop hot en Ben. Et je retourne dans ma fiche
mooooh, qu'elle est mignonne la crête humaine collins te va à merveille ! il faudra que l'on se trouve un bon lien
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Sujet: Re: + have you ever danced with the Devil in the pale moonlight? (mgp) Mar 27 Aoû - 11:00
Re-bienvenue
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Sujet: Re: + have you ever danced with the Devil in the pale moonlight? (mgp) Mar 27 Aoû - 14:34
Bienvenue parmi nous, avec Ben Barnes !
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Sujet: Re: + have you ever danced with the Devil in the pale moonlight? (mgp) Mar 27 Aoû - 15:17
Bienvenue parmi nous & bon courage pour le reste de ta fiche
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Sujet: Re: + have you ever danced with the Devil in the pale moonlight? (mgp) Mar 27 Aoû - 16:44
Welcome
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Sujet: Re: + have you ever danced with the Devil in the pale moonlight? (mgp) Mar 27 Aoû - 20:09
merci beaucoup pour votre accueil
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Sujet: Re: + have you ever danced with the Devil in the pale moonlight? (mgp) Mer 28 Aoû - 12:28
Bienvenue & Bon courage pour ta fiche
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Sujet: Re: + have you ever danced with the Devil in the pale moonlight? (mgp)
+ have you ever danced with the Devil in the pale moonlight? (mgp)