Will Brand a dit « La famille est le noyau de la civilisation. » mais un proverbe géorgien dit aussi « Il y a toujours une cuillère malpropre dans chaque famille. » Peut-être que c'était lui cette cuillère vêtue de graisse indécollable. Comme une sorte de gène, de se sentir à part. Pourtant, ce n'est pas comme si sa famille l'avait rejeté ou autre. Mais il avait toujours ressentit une sorte de différence. Il n'était pas l'aîné, ni le dernier. Il était entre le milieu. Entre devoir suivre un exemple et montrer à son tour l'exemple. C'était une position toujours assez complexe. C'est peut-être pour cela qu'il était comme cela. Puis être entouré de deux frères jumeaux et trois filles triplettes. Qui ne se sentirait pas un peu de trop ? Il n'y avait personne avec qui réellement partagé ses véritables émotions ou sentiments. Alors que lorsqu'il les voyait, un seul regard suffisait pour qu'ils se comprennent. Après tout il ne pouvait pas en vouloir à ses parents de l'avoir fait uniquement seul, après tout il avait deux grands frères et trois petites soeurs. Peut-être était-c'est de la jalousie ou de l'envie ? Il ne savait pas vraiment. Ce qu'il savait c'est qu'il n'était pas vraiment à sa place. Pourtant ses parents ont tout fait pour qu'il se sente bien, il savait qu'ils l'avaient aimé autant qu'eux. Mais c'était lui, c'était peut-être une fausse idée, mais cette illusion lui suffisait pour se sentir différent. Son père lui avait même influé une passion qui était le sport. Il en remerciera d'ailleurs toujours du soutien excessif qui lui avait apporté. Peut-être avait-il trop mis d'espoir en lui ?
Il ne savait pas non plus. Il se sentait seulement seul au milieu de cette grande famille. Il avait cherché cette solitude auprès des femmes, mais il se rendit bien compte qu'il préférait s'amuser avec elles qu'être sérieux. Ses parents s'étaient rassurés sur le fait qu'il était en pleine crise d'adolescence et donc c'était tout à fait normal. Mais à vrai dire ils n'ont jamais accepté que leurs fils qui venaient d'une famille si pieuse pouvait être arrogant et égocentrique. Puis ils étaient choqués aussi d'avoir un fils qui ne se préoccupait que de son physique. Son père était ravi pour le sport, mais il pensait que cela est devenu trop une obsession. Peut-être chercher t-il ce vide à travers quelques musculations ou un son d'un ballon dans un stade vide ? Il ne savait toujours pas. Tout ce qu'il savait c'est ce que vide a commencé à disparaître lors d'une apparition d'une personne. En effet en pleine période de crise d'adolescence comme disait ses con-géniteurs, il avait fait la connaissance d'une jolie blonde. Son nom était assez particulier, surtout à ses yeux. Leur histoire commença donc à débuter à la grande surprise de tous. Il aimait voir son vieux cœur solitaire se remplir de l'amour qu'il avait pour elle. C'était magique et magnifique. Il était heureux de voir qu'une personne qui était différente de lui s'intéressait à lui pour son fort intérieur. Il commença à partir de ce moment-là à montrer toutes ces facettes. Il aimait pouvoir discuter avec elles durant des heures ou alors se disputer sur une idée dont ils n'étaient pas d'accord. Mais il fallut que leur idylle pris fin au cours d'une soirée traumatisante et bouleversante. Il savait que c'était mieux pour eux d'en finir là. Pourtant il avait toujours pensé que c'était cet événement qu'il aurait pu le rapprocher d'elle encre plus. Mais elle ne se laissait pas facilement pénétrer en elle. Il fallait être patient et il l'était. Il avait l'espoir qu'un jour elle ferait de nouveau appel à lui. Ils savent tous les deux qu'ils ont besoin de l'un de l'autre c'était vital. Alors lorsqu'elle fit à nouveau un pas vers lui, il ne put s'empêcher de faire le second, en espérant qu'ils pourront tourner la page sur l'autre et on recommençait une nouvelle. Mais il savait qu'il faudrait du temps. En tout cas il ne l'avait pas oublié, il l'aimait et espérait pouvoir à nouveau lier ses mains dans les siens et resté auprès d'elle durant des heures. Il la désirait plus que tout que le sport ou son physique. Elle était devenue un lien, un lien précieux. Était-ce malsain ou fou de penser à son ex comme il le pensait ? Mais elle était la seule pour qu'il accepte de changer et surtout la seule qui l'avait accepté. En effet, il avait un passé sombre qui n'était pas facile à accepter. Pourtant elle l'avait fait. Elle savait tout de lui. Même le jour qui avait changé sa vie, ses visions, qui avait forgé sa propre solitude. En effet une personne ne devient pas solitaire ou différente du jour au lendemain. Il a bien fallu un événement pour cela. C'est la dernière qui prit la parole ensuite « Pauvre parents, leur charité est si grande, il pourrait être la honte de notre famille.. » le deuxième frère ajouta « ouais pour moi c'est un étranger et cela sera toujours. Bon nous devons gardé cela secret alors cessez d'en parler et faut se faire une raison.. » A partir de ce moment, il ne retenu que le mot étranger. Il n'allait pas voir ses parents pour leur demander confirmation. Après tout il avait toujours su et il le savait. Des souvenirs enfouis refirent surface. Mais il savait qu'il ne pourrait le supporter bien longtemps. Pourtant il ne pensait pas que cela créerait autant de haine envers ses personnes. Il ne voulait pas leur montrer satisfaction. Pourtant l'envie ne lui manquait pas, il était entouré de mensonges et surtout de personnes fausses. Il avait l'impression d'avoir trouvé la raison de ce vide, mais que son monde s'anéantissait aussi. Pourquoi avait-il oublié ses souvenirs ? Et il y en avait un. C'était un soir d'hiver banale. Il n'avait que quatorze ans, il était en train de s'amuser avec ses frères et soeurs. Puis il était allé dans sa chambre pour s'instruire, du moins lire. Il ne voulait pas devenir un sportif inculte. C'est ce moment-là que son oreille n'a pu s'empêcher d'écouter quelque chose. Un son de vérité. Ses frères et soeurs étaient dans leurs chambres. Ils montraient leur véritable visage. « Ce frère est tout seul, je n'arrive pas à jouer avec lui tranquillement, me dire qu'il cause du soucis à papa et à maman. Il pense faire partir de notre famille mais il a tort. » dit-elle sa première soeur puis la deuxième enrichissait. « Effectivement, je me demande combien de temps papa et maman vont attendre pour lui dire... » Cette fois-ci c'est le plus grand qui pris la parole. « Un enfant adopté dans notre famille parmi nous n'a pas vraiment sa place, nous étions pas d'accord mais les parents ont eu si pitié de lui. Il paraît qu'il était dehors à mendier devant leurs yeux... »C'est la dernière qui pris la parole ensuite « Pauvre parents, leur charité est si grande, il pourrait être la honte de notre famille.. » le deuxième frère ajouta « ouais pour moi c'est un étranger et cela sera toujours. Bon nous devons garder cela secret alors cessez d'en parler et faut se faire une raison.. » A partir de ce moment, il n'avait retenu que le mot étranger. Il n'allait pas voir ses parents pour leur demander confirmation. Après tout il avait toujours su et il le savait. Des souvenirs enfouis refirent surface. Mais il savait qu'il ne pourrait le supporter bien longtemps. Pourtant il ne pensait pas que cela créerait autant de haine envers ces personnes. Il ne voulait pas leur montrer satisfaction. Pourtant l'envie ne lui manquait pas, il était entouré de mensonges et surtout de personnes fausses. Il avait l'impression d'avoir trouvé la raison de ce vide, mais que son monde s'anéantissait aussi. Pourquoi avait-il oublié ses souvenirs ? Peut-être qu'il cherchait tellement une famille qu'il pensait pouvoir s'y intégrer sans problème. Mais maintenant ce n'était plus un enfant, il le savait très bien. Depuis ce jour, il décida de prendre un travail à mi-temps, d'économiser et de partir d'ici pour pouvoir vivre loin d'ici. C'est pourquoi il décida d'aller à New York dans un internat où le sport lui permettait d'avoir une bourse et de payer sa chambre. C'est las-bas qu'il fit la rencontre de cette femme. Il avait fait une croix sur cette famille sans rien dire. Encore aujourd'hui, cet événement resta marqué. Il ne savait rien sur lui-même. Seulement son nom de famille et il espérait pouvoir un jour retrouver une personne de sa véritable famille. Après tout, il ne sait pas du tout d'où il provient. Il pense que tant il ne sera pas ses origines il n'arrivera pas à se construire complètement. Ce « il » s'appelle Timothy et a 24 ans. Cela fait donc 10 ans qu'il vit à New York. Il a plusieurs buts dans sa vie, aller le plus loin possible avec sa passion, reconquérir la femme qu'il aime et retrouver ses origines. Un beau commencement n'est-ce pas ?

my little secret

★Ton prénom ou ton pseudo & ton age Elodie mais j'étais sous le pseudo de Snow, 19 ans *-*
★Comment es-tu arrivé(e) ici ? → Par quelqu'un que je connais du forum qui se reconnaîtra vis à vis de ces émoticones   (car je ne sais pas son nom)
★Ce personnage est-il un double compte ? → Nop
★Présence sur le forum → Alors en temps normal je pense plus de 4 jours par semaine.
★Personnage inventé ou scénario ? → Scénario de la belle Hope  
★Crédit images → Je ne sais pas je l'ai trouvé sur google  

Mon exemple de RolePlay (après 5 mois de rouille, il date d'hier sur un autre forum):

Bienvenue parmi nous
Bon courage pour ta fiche

Samuel J. McKelhann a écrit:

t'es pas étonné parce qu'Adam Levine est trop sexy. eh eh eh
ouais, mon nom, parmi d'autres.
ils me rappellent à quel point tu es une perverse. à ton âge... c'est honteux.

on s'amusera bien. tu verras.

Hope A. Roseberry a écrit:

Oh putain, le meilleur ami de thathane sous Soren, Ingrindichou quoi. :cutie:j'aime.
Et si, tu es perverse, tout le monde le sait sauf toi on dirait.

Sinon, je viens de jeter un oeil à ton exemple de rp et détends toi directement, ça me plaît. :cutie:J'ai surtout jouer le joueur chiant dans les conditions car j'ai vu moult scénarios pris par des boulets donc je préfère leur faire peur directement. :HK:Et je ne me relis pas non plus (ce que je devrai faire ) mais ne te prends pas la tête, je ne vois aucun soucis apparent, tu me plais déjà. (les smileys, c'est la vie ).

Tu es un amour, je peux déjà dire que je t'aime. (oui, je peux avoir un cœur d’artichaut et si quelqu'un à quelque chose à redire à cela, je l'encaca gentiment ). Et take your time même si j'ai hâte de te lire.

Samuel J. McKelhann a écrit:

genre. :hum:pourquoi, de suite, quand on fait une référence à ma petite personne, on utilise ceci : ?