Sujet: ⊰ treasure, that is what you are Jeu 29 Aoû - 14:17
FEAT. CHACE CRAWFORD
Maxence Nicolas Luc DUCRET
24 ans → Né à Bordeaux le 26/03/1989 → Métiers ou Études célibataire → hétérosexuel → membre des ordinaries.
And who am i ?
★Quelles sont tes caractéristiques? → Répondre ici à la question ci-dessus ... Parlez ici de tout ce qui différencie votre personnage. S'il a des tatouages, des allergies, des piercings, une mimique particulière, tout ce qui selon vous le rend différent. Vous pouvez également parler de son physique, ses habitudes vestimentaires, bref tout ce qui le caractérise, tout simplement. Bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla
★Quel est le caractère de ton personnage? → De nature assez facile à vivre, Max est le genre de garçons que tout le monde gagnerait sans doute à compter parmi ses amis. La plupart du temps de bonne humeur, il prend toujours à coeur de mettre les gens à l'aise quand bien même sa timidité légère, mais non moins présente, le cloue parfois au sol. Généreux comme pas deux, s'il a toujours eu une vie confortable du fait des revenus parfaitement suffisants de ses parents, Maxence ne rechigne pas à partager, sans doute notamment car il l'a toujours fait. Il n'est pas fils unique, a toujours eu Elsa puis Léa avec lui et n'apporte pas grand intérêt aux biens matériels et à la nécessité d'en avoir 'rien qu'à lui'. Partageur et généreux, Max a une bonne mémoire et n'oublie jamais les différents anniversaires. Il adore faire des cadeaux, même s'il ne tombe pas toujours juste. Enfin, c'est l'intention qui compte. Maxence est un garçon plutôt ouvert en général, il est rare qu'il rejette une idée en bloc et ses 'non' se changent fréquemment en 'peut-être bien', avant de tirer vers le 'oui' tant attendu. Ouvert également sur le plan sentimental et émotionnel, Max est assez démonstratif dans ces sentiments. Quand il aime quelqu'un, la personne le sait et de même pour le contraire. Mauvais menteur, il est conscient de ses défauts et ne prend en général donc pas la peine de raconter des salades. S'il sait être joueur et séducteur, une fois casé, Max a tendance à devenir assez possessif. Il l'est d'ailleurs toujours avec ses proches de façon plus générale. Ses soeurs en sont un exemple. Il les dorlote pas mal quand il le peut et il sera toujours là pour elles, il ne se pardonnerait pas de les abandonner dans une situation critique. Aussi, il n'aurait pas de scrupule à envoyer sa main dans la figure de la personne qui leur briserait le coeur.
Dernière édition par Maxence N. Ducret le Jeu 29 Aoû - 22:51, édité 8 fois
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Sujet: Re: ⊰ treasure, that is what you are Jeu 29 Aoû - 14:17
Well... It's my story...
Partie 1 : L'enfance. La famille, c'est primordial, elle n'est jamais parfaite et est le plus souvent incroyablement agaçante, mais on en a qu'une seule. Max a toujours été très proche de la sienne. Ayant une soeur jumelle, il n'a jamais été 'seul'. Evidemment, un enfant ne naît pas seul, ses parents sont là pour l'accueillir, mais Maxence n'a pas subi la solitude du gamin qui doit jouer tout seul en attendant que les adultes terminent leur discussion. Sa soeur Elsa était toujours là. Cette présence permanente aurait pu étouffante, y compris lorsqu'on est enfant, cependant, ce n'est pas l'impression qu'a eu Maxence. Evidemment, entre un frère et une soeur, les disputes sont obligatoires et surviennent forcément, à un moment ou à un autre, mais dans l'ensemble, elles étaient rapidement étouffées. Les tensions retombaient au bout de quelques minutes et la relation d'Elsa et Max en ressortait comme neuve. Lui a toujours eu une sainte horreur des disputes, étant finalement un garçon assez facile à vivre, se laissant porter par le vent et les autres, ne rechignant pas trop à éteindre la télévision pour aller prendre son bain ou à aller se coucher. Il préférait faire des câlins et des bisous à sa soeur plutôt que de lui crier dessus et c'est plus ou moins le comportement qu'il adopte avec les gens qui ne lui cherchent pas des noises. La famille s'est agrandie avec l'arrivée d'une autre petite fille, trois ans après la naissance des jumeaux. Max a très bien vécu l'arrivée de sa petite soeur et si elle le fatiguait dans un premier temps en le réveillant en pleine nuit, aujourd'hui, leur relation est sans accroche, à l'image de celle qu'il entretient avec sa jumelle. Vivre en étant entouré de deux soeurs susceptibles d'avoir les mêmes jeux, les mêmes passions et donc ce petit pouvoir de la majorité aurait pu être un peu difficile et c'est vrai que Max a vu plus de dessins animés avec des princesses qu'il ne l'aurait souhaité, mais dans l'ensemble, tout s'est toujours bien passé. Il faut dire que Max n'avait pas que ses deux soeurs. Non, ses parents ne firent pas un quatrième enfant dans l'espoir de rétablir l'équilibre au niveau de leurs enfants, même si Maxence avait suggéré l'idée une ou deux fois. La famille ne se résumait pas aux parents et aux soeurs pour Max qui a toujours vécu près de ses cousins. Ils étaient tous réunis, dans leur France natale. Depuis toujours, Max a donc l'habitude d'être entouré de toute la famille et il a développé des relations fortes avec chacun des membres de cette dernière. Il ne se sent jamais davantage à sa place que lorsque toute la famille se réunit. Ainsi lorsque son père lui appris alors qu'il avait sept ans qu'un déménagement était prévu, la nouvelle fut plutôt mal accueillie. Avec le recul, il sait que le déménagement aurait été plus difficile à encaisser pour lui s'il avait dû se produire une dizaine d'années plus tard, mais à l'époque, il avait simplement l'impression que ses parents avaient perdue la tête. Il était en âge de comprendre que son père ayant été muté pour le travail, il n'avait pas vraiment eu le choix, Max révéla le côté boudeur de sa personnalité durant les semaines qui précédèrent le fameux départ.
Finalement toute la famille quitta la France et Max dut bien se résoudre à cette idée, à défaut de pouvoir y changer quoi que ce soit. Jamais à court d'idées et plutôt futé, déjà enfant, il s'était acharné à trouver des alternatives lui permettant de rester en France, mais naturellement, ses parents n'avaient pas voulu laisser leur enfant de sept ans sur un autre continent. Maxence eu le loisir de se consoler de ce déménagement en revenant pendant les vacances en France afin de retrouver ses cousins. Encore aujourd'hui, même si les années sont passées et que s'est trouvé une seconde maison, un second pays et une bonne raison de vivre au sein de ce dernier, Max considère qu'il y aura toujours une partie de lui en France. Ce pays le ramène à son enfance et même s'il n'a plus besoin de se rendre à l'aéroport avec ses parents, il est fréquent qu'il aille seul renouer avec son pays natal pour quelques jours. Des petits voyages courts pour la plupart, mais qui lui permettent vraiment de s'aérer l'esprit et de se donner l'illusion qu'en grandissant, il ne s'est pas perdu en cours de route.
Partie 2 : le passage à l'adolescence. Drôle, charismatique, souriant et franchement sympathique, Max n'a eu aucune difficulté à s'intégrer à une nouvelle ville, un nouveau pays, de nouvelles personnes, gravitant autour de lui et de ses proches, curieux d'en apprendre plus sur les nouveaux, la famille de français fraichement débarqués. Les premières années ne furent pas très drôles. Peu perfectionné en Anglais, les mots ne faisaient pas tous sens aux yeux de Max qui avait l'impression de louper des choses et d'être contraint à ne vivre que en comprenant des brides de phrases. C'était perturbant et frustrant. Cela ne dura heureusement pas : comme il s'était habitué à l'arrière goût dans son chocolat au lait et à la nouvelle vue depuis sa fenêtre, enfant studieux et travailleur qu'il était, il prit bien vite le goût de la langue que tout le monde utilisait dans sa nouvelle ville et il apprit à parler anglais. Aujourd'hui, il est donc bilingue : il parle plus fréquemment anglais bien obligatoirement, son entourage à New York n'étant pas toujours capable d'aligner deux mots dans sa langue natale. Désireux de ne rien perdre de son français, Maxence aime bien le parler et il s'adresse parfois à ses soeurs et ses parents dans cette langue, comme pour se rappeler et leur rappeler à eux aussi d'ou ils viennent. La France, c'est l'amour de sa vie, qu'on se le dise. Il songe à retourner y habiter un jour, quand il sera plus âgé, même si bon nombre de choses et de gens le retiennent maintenant aux Etats-Unis. Il a conscience que les gens sans qui il envisage désormais difficilement de vivre ne seraient pas prêts à tout plaquer pour le suivre dans le pays de son enfance et il n'oserait jamais imposer une telle chose aux autres. Ce n'est pas dans son caractère. Il sait que son pays ne manque pas de charme cependant et il a toujours sut plus ou moins en jouer. Il faut dire que son institutrice avait bien vite mit ses origines en lumière en le faisant se présenter en français lors de son premier jour d'école. L'étranger est attirant et si pour lui, le français n'a rien d'étranger, il l'était pour tous ses camarades. Au début, c'était juste une sorte de code secret pour parler de quelqu'un, ou juste une façon d'être différent, de se démarquer à défaut d'avoir des idées pour le faire autrement. Puis, les hormones entrèrent en scène et se mirent à travailler Maxence.
Réciter des phrases aux consonances romantiques et poétiques à des filles en français tout en mettant naturellement le ton en usant de son accent français, l'accentuant volontairement, histoire de bien en mettre plein la vue : un des sports auxquels il s'est adonné par le passé. (et qu'il pratique toujours d'ailleurs) Depuis qu'il les voit différemment que comme des copines potentielles de ses deux soeurs, Max est attiré par les filles. Il les trouve très différentes des garçons (mais, bon, pour avoir grandi avec deux d'entre elles, il le savait déjà. Il ignorait cependant que ses différences pourraient avoir de tels effets sur lui) et à ses yeux, cela ne fait qu'ajouter à leur charme. Les opposés s'attirent, comme on dit.
Partie 3 : le premier coup de foudre. La vie est constituée de différentes étapes, semblables à des échelons qu'on gravit afin d'atteindre au moment opportun le sommet de la montagne. Max a retenu les plus importantes et certaines sont mieux conservées que d'autre : sa première cigarette, il l'a fumé alors qu'il avait seize ans et qu'un garçon de sa classe lui en avait proposé une. Il avait détesté ça, ayant du mal à respirer avec ce machin coincé entre ses lèvres. Il s'était senti ridicule et l'avait terminé avec difficulté en s'efforçant de dissimuler sa frustration. C'était un premier essai, le second fut le bon, si bien qu'aujourd'hui il ne met pas un pied dehors sans un paquet de clopes. Son premier baiser sur la bouche, il y eut droit alors qu'il vivait encore en France. Il avait six ans et participait à un jeu dont il n'avait pas bien saisit les règles dans la cour de son école primaire. Le jeu consistait pour les filles à embrasser un des garçons. Un jeu que Max et ses copains qualifiaient de stupide et quand ce dernier fut embrassé par Samantha Martin, une petite fille à côté de qui il était assit en cours l'embrassa sur la bouche, il fit la grimace et s'essuya la bouche avec une mine dégoutée. C'était un peu baveux et bizarre. A l'époque, les filles, ça ne lui plaisait pas des masses. Le premier baiser avec la langue vint plus tard, lorsque Maxence avait quinze ans. La fille l'attirait nettement plus et c'était au cours d'une soirée, alors qu'il avait un petit coup dans le nez, les détails sont un confus ce qui a un côté comique : il se souvient du prénom et du nom de la gamine qui lui a volé un baiser quand il était pour ainsi dire un bébé, mais il ignore ceux de la fille qui lui a donné un vrai baiser près de dix ans plus tard. Il faut dire qu'il ne la connaissait pas et qu'il ne la reverra sans doute jamais. Sa virginité, Max l'a perdu à l'âge de dix-sept ans. Il n'en garde pas franchement un très bon souvenir et ce n'est pas franchement une histoire qu'il aime bien raconter. Heureusement, il s'est un peu perfectionné au fil du temps. En parlant de ça, à l'inverse du baiser précédemment abordé, la fille avec qui il a passé cette étape n'était ce coup-ci par le moins du monde une inconnue. Il la connaissait. Vraiment bien. Si ses tentatives de drague ont toujours été assez nombreuses, Maxence ne s'est jamais classé dans la case des hommes volages, désireux de mettre une fille différente dans leurs lits tous les soirs. Comme tout le monde, il aime passer des soirées dans les bars ou les clubs, mettre le grappin sur une ravissante demoiselle et la faire fondre à coup de commentaires minutieusement étudiés. C'est un des passes-temps préférés du brun et il ne s'en cache pas, mais il a aussi eu des relations sérieuses. Ainsi, il était vraiment amoureux de celle avec qu'il a passé sa première nuit d'amour. Charity était arrivée au cours de l'année de leurs quinze ans. Anglaise, elle était du genre timide, alors que dans la bande d'amis de Maxence, tout le monde s'était accordé à dire dès le premier coup d'oeil qu'elle n'avait rien à envier à personne sur le plan physique.
Réservé dans un premier temps, se contentant de rester avec ses amis, balançant quelques blagues à la cantonade comme il avait habitué le faire, Maxence avait bien surpris la jeune fille en train de rire parfois, sous cape cependant, comme si elle craignait qu'il la remarque. Il avait trouvé ça mignon ainsi, il l'aborda au cours d'une soirée de fin d'année visant à célébrer le début des vacances. Ils firent plus ample connaissance et échangèrent leurs numéros de téléphone, le courant étant plutôt bien passé. Ils se rapprochèrent durant ces quelques mois de pause avant la reprise des cours. Ils firent des sorties, en apprirent davantage l'un sur l'autre et continuèrent à se parler via l'échange de textos lorsque Max parti en France avec sa famille durant toute une semaine. Lorsqu'il fut temps de reprendre les cours, ils étaient en couple.
Dernière édition par Maxence N. Ducret le Jeu 29 Aoû - 22:37, édité 29 fois
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Sujet: Re: ⊰ treasure, that is what you are Jeu 29 Aoû - 14:18
bla bla bla bla Les épaules sur lesquelles on s’épanche vont et viennent mais une meilleure amie pour la vie on l’a pour toujours. Parce que quelque soit l’endroit ou vous allez, vous savez que vous n’y allez pas tout seul ; Personne ne possède toutes les réponses, et parfois, la meilleure chose qu’il nous reste à faire est de pardonner, en laissant le passé derrière nous ; Lorsqu’on regarde vers l’avenir en croyant tout savoir à l’avance, il ne faut jamais oublier que la vie peut nous surprendre à tout instant ; et qu’il est toujours possible de se surprendre soi-même. Les épaules sur lesquelles on s’épanche vont et viennent mais une meilleure amie pour la vie on l’a pour toujours. Parce que quelque soit l’endroit ou vous allez, vous savez que vous n’y allez pas tout seul ; Personne ne possède toutes les réponses, et parfois, la meilleure chose qu’il nous reste à faire est de pardonner, en laissant le passé derrière nous ; Lorsqu’on regarde vers l’avenir en croyant tout savoir à l’avance, il ne faut jamais oublier que la vie peut nous surprendre à tout instant ; et qu’il est toujours possible de se surprendre soi-même. Les épaules sur lesquelles on s’épanche vont et viennent mais une meilleure amie pour la vie on l’a pour toujours. Parce que quelque soit l’endroit ou vous allez, vous savez que vous n’y allez pas tout seul ; Personne ne possède toutes les réponses, et parfois, la meilleure chose qu’il nous reste à faire est de pardonner, en laissant le passé derrière nous ; Lorsqu’on regarde vers l’avenir en croyant tout savoir à l’avance, il ne faut jamais oublier que la vie peut nous surprendre à tout instant ; et qu’il est toujours possible de se surprendre soi-même. Les épaules sur lesquelles on s’épanche vont et viennent mais une meilleure amie pour la vie on l’a pour toujours. Parce que quelque soit l’endroit ou vous allez, vous savez que vous n’y allez pas tout seul ; Personne ne possède toutes les réponses, et parfois, la meilleure chose qu’il nous reste à faire est de pardonner, en laissant le passé derrière nous ; Lorsqu’on regarde vers l’avenir en croyant tout savoir à l’avance, il ne faut jamais oublier que la vie peut nous surprendre à tout instant ; et qu’il est toujours possible de se surprendre soi-même.
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Dernière édition par Maxence N. Ducret le Jeu 29 Aoû - 17:59, édité 2 fois
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Sujet: Re: ⊰ treasure, that is what you are Jeu 29 Aoû - 14:18
my little secret
★Ton prénom ou ton pseudo & ton age → Leslie & 18. ★Comment es-tu arrivé(e) ici ? → bazzart. ★Ce personnage est-il un double compte ? → non. ★Présence sur le forum → 6/7. ★Personnage inventé ou scénario ? → scénario. ★Crédit images → Goldcrest, livejournal, tumblr.
Mon exemple de RolePlay:
→ Son regard est froid, las, excédé, cependant, toutes émotions semblent s’être effacées au profit d’un ressentit qui couve en moi. Je ne parviens pas à détacher mes yeux des siens : ils n’ont plus rien à voir avec ses petits yeux pas tout à fait bleus, pas tout à fait gris, qui étaient si souvent plissés, lui donnant un petit air suspicieux, comme s’il était sans arrêt à l’affut de tout, du moindre détail susceptible de troubler les rues désertées après le couvre feu d’Uglyville. Tout ce que je retrouvais dans ce regard si familier quelques jours plus tôt à été balayé par l’opération. Désormais, il me couve de ses grands yeux qui semblent contenir une multitude de constellations étoilées, comme s’il retenait des larmes. Il porte en lui une chose si belle et elle se retranscrit par une vulnérabilité qui semble émaner du plus profond de sa personne. Je suis prise de l’envie incontrôlable de le serrer dans mes bras, comme je l’aurais fait il y a une semaine, mais je me fige lorsqu’il ouvre la bouche.
- A croire qu'elle veut à tout prix se faire tuer et tu ne sembles pas valoir beaucoup mieux ce soir. Tu n'étais pas sensée être la plus intelligente des deux ?
Sa voix claque comme un fouet. Elle est mélodieuse cependant, comme s'il récitait une comptine. C'est cela : tout dans sa bouche parvient à mes oreilles comme le refrain d'une chanson. Ca lui ôte une certaine crédibilité.
- Arrête, c'était ton idée, une de tes grandes idées. Ne lui met pas tout ça sur le dos quand tu apparais comme le seul responsable.
- Moi ?
Il semble effaré et un sourire moqueur se fige sur ses lèvres. Je pourrais trouver en celui-ci une certaine beauté, mais je dois déjà contrôler une envie mordante de ne pas crier, laissant éclater rage et frustration, à quelques pas des hauteurs de la ville dans lesquelles ont lieues les soirées gargantuesques des Pretties. La discrétion est de mise et si je peux contrôler ma voix, la lueur de rage dans mes yeux ne trompe personne.
- Laisse tomber. Elle n'est plus là, de toute façon.
- Elle est bien stupide.
Si cela n'en est pas une, ce mot sonne dans sa bouche comme une insulte et je m'offusque. Il a changé, mais de là à la déprécier alors qu'elle n'est même pas là pour se défendre. Mes yeux s'emplissent de larmes et je me maudis en silence d'être si faible tout à coup. Je me mords la lèvre, si fort qu'un goût âcre de sang ne tarde pas à se répandre dans ma bouche, je réprime un haut le coeur et fourre le papier dans sa main. Il me dévisage, l'air désormais à bout de patience. Il perds son temps, il préférerait être ailleurs : au coeur de la fête qui se tient à côté. Il n'a plus sa place dans les rues mal éclairées du quartier ou nous avons passés les dernières années. Il détonne avec tout ici, moi y compris.
- Prends ça, c'est tout. Elle voulait que tu l'ai, tu pourrais au moins respecter ça.
Je m'efforce de faire taire les sanglots dans ma voix, mais rien ne semble aller ce soir. Mon amie, la personne que lui prétendait aimer avec une ardeur telle que personne n'aurait put douter de sa bonne foi, est quelque part, dans la nature, ou tout simplement morte, agonisant quelque part. Il ne reste que ce fichu bout de papier, cette lettre. C'était tout ce qu'elle voulait laisser derrière elle. Egoïste. Le mot me brûle la langue, mais la présence de Taram m'empêche de le prononcer. Il finit par lâcher un soupire et enfouit le bout de papier dans la poche d'une veste, une nouvelle veste bien sûr, dépourvue de toute familiarité à l'instar de tout chez lui.
- D'accord. Je peux y aller maintenant ?
Je ne suis même pas blessée, juste emplie d'une colère qui m'aveugle, qui m'étouffe. J'approuve d'un hochement de tête et alors que je m'apprête à regagner les dortoirs, il m'attrape par l'épaule avec une grâce qui le définie désormais.
- Onze jours. Bientôt, tout sera plus simple. Tu seras belle, tu seras avec moi, là-bas. (D'un mouvement de tête, il indique les tours illuminées de la ville) Tout sera comme avant.
J'aimerais beaucoup le croire.
Dernière édition par Maxence N. Ducret le Jeu 29 Aoû - 18:07, édité 2 fois
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Sujet: Re: ⊰ treasure, that is what you are Jeu 29 Aoû - 14:19
Bienvenue parmi nous Bon courage pour ta fiche
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Sujet: Re: ⊰ treasure, that is what you are Jeu 29 Aoû - 14:24
Bienvenue
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Sujet: Re: ⊰ treasure, that is what you are Jeu 29 Aoû - 14:28