FEAT. ROBBIE AMELL

Jason "Duke" Dawson

26 ans → Né à Boston le 13/09/1987 → Journaliste & écrivain
célibataire → hétérosexuel → membre des Ordinaries.

And who am i ?

★Quelles sont tes caractéristiques?
→ Tout d'abord, il faut savoir que Duke n'est pas un second prénom. A vrai dire, il n'en a pas. Ce n'est qu'un surnom, une sorte d'héritage. Rares sont les personnes à l’appeler ainsi. Seuls les plus proches se le permettent, et encore, même ses parents ont finit par oublier et s'en délaisser avec le temps.
Aux premiers abords, on pourrait croire que peu de choses différencient Jason du reste du monde. Qu'il se fond dans la masse, tel un énième mouton dans le troupeau de son berger qui ne sait même plus reconnaître les siens de ceux de son voisin. Pourtant, à voir de plus près, on note quelques particularités... Pas sur le bilan médical, de ce côté tout va bien. Ni maladie, ni allergie, ni handicap particulier. Non. Tout est sain, pour le moment en tout cas.
On remarquera un petit tatouage, très discret, sur l'épaule gauche. Souvenir lointain qu'il cherche à cacher du mieux qu'il peut.
Sur le plan vestimentaire, pareil. On ne remarque pas toujours cela du premier coup d'œil. Alors que l'on pourrait croire que tout est simple, sans ton, on note une sorte d'aura qui se dégage du style. Une influence, comme une envie de dire que même avec des vêtements moyennes-gammes, on peut obtenir un style propre et classe. Pas la peine de mettre des grandes marques, des vêtements de luxe, ou demi-luxe, avec Jason.

Il est fils unique, n'a pas de cousins, pas à sa connaissance du moins. Ni d'oncles ou de tantes. Seuls ses grands parents du côté maternel sont encore en vie.

★Quel est le caractère de ton personnage?
→ Si l'on devait suivre l'avis des experts pour adapter notre mode de vie à leurs recommandations, nous serions face à un problème de taille. Qui croire? Et surtout, comment vivre avec ça? Faire attention à ce que l'on mange, faire attention à ce que l'on boit, à ce que l'on fume, à ce que l'on regarde, faire attention au volume du son dans les écouteurs, se laver les dents après chaque repas, ne pas manger trop salé, sucré ou gras, ne pas trop boire d'alcool, ne pas rouler trop vite, éviter de polluer, trier ses déchets, faire du sport régulièrement, etc. Ce n'est plus vivre, c'est devenir obséder par la survie. Mais dans quel but? Voilà comment on pourrait résumer l'avis de Jason à ce propos. Il s'en fout royalement. Aussi royal que peut l'être son avis, en tout les cas. Vous l'aurez compris, il vit simplement, sans se prendre la tête. Simplicité est le maître mot de sa conduite, de son mental. Évidemment, comme monsieur tous le monde, il ne faut pas le titiller, encore moins le faire volontairement. Personne n'est parfait après tout. Mais, voilà. Il est également "bon enfant", on dit souvent des garçons par exemple qu'ils seront toujours qu'un petit enfant dans un corps d'adulte. Il ne déroge pas à cette règle, loin de là. Boutades et taquineries s'enchaînent sans une once de méchanceté, toutes teintées d'une incroyable affection. Une sorte de marque d'attachement. N'est-ce pas adorable? Pas pour tous en tout cas, certains n'apprécient pas vraiment d'être ainsi ciblé, la susceptibilité sans doute, ou alors un complexe divers. A ce portrait de petit ange s'ajoute néanmoins toute une tripotée de défauts. Qui a dit que Jason était timide? Non, il ne l'est pas. Peut-être légèrement réservé au début, lors d'une nouvelle rencontre. Cependant, une fois lancé et la fête commencée, plus rien ne l'arrête. Au point de devenir peut-être insupportable aux yeux des autres. Ce qui, accentué par son "je-m'en-foutisme-de-ce-que-les-autres-pensent", peut mal finir.

Well... It's my story...

Jason naît à Boston le 13 Septembre 1988, dans un quartier modeste, le Bay Village. Un quartier historique, composé intégralement d'appartements et maisons en briques rouges. Initialement, ce quartier était réputé idéal pour les familles aux revenus moyens, voir inférieurs. On était loin du tumulte du centre de la ville. Mais dans les années 90, les prix dans le quartier flambèrent. Probablement lié aux nouveaux parcs à proximité, et à la nouvelle mode autour des appartements en briques. Enfin, c'étaient peu important et il était trop jeune pour n'en comprendre n'en serait-ce qu'un dixième. Ce qu'il faut retenir néanmoins, c'est qu'ils furent obligés de déménager. Le quartier devînt inhabitable pour les petits revenus, laissant place à des revenus plus... Haut de gamme. Ils emménagèrent d'abord dans une petite ville en périphérie de Chicago, retour aux sources familiales, où son père pu trouver un travail chez un petit revendeur, pour réparer divers matériels. Tandis que la mère servait temporairement de secrétaire dans l'entreprise de sa famille. Le seul souvenir que Jason retint, du haut de ses 5 ans, de cette ville, était la mine affreuse de ses parents. Même s'il ne comprenait pas, trop innocent et trop jeune, il sentait la morosité et la déception chez sa mère, qui influençait le moral de son mari. Cela fait toujours mal de voir ses rêves partirent en fumée et se les voir jeter à la figure. Devoir revenir auprès de ses parents - grands parents de Jason donc - à l'âge de 40 ans n'est pas vraiment une marque de réussite. C'était une épreuve difficile, mais elle fut passée. Au final, avec le temps, et à l'âge de 7 ans, ils repartirent. Au Canada cette fois. Tout en restant proche de la frontière américaine. Son père avait trouvé un travail un peu plus convenable leur permettant de retrouver une indépendance financière à part entière. Il aurait aimé éviter d'être balloté d'une ville à l'autre, mais Jason n'avait pas le choix.

Il resta cependant beaucoup plus longtemps au Canada, jusqu'à ses 17 ans en fait. C'est là-bas qu'il acquit son surnom, Duke. C'était le nom du fidèle compagnon croisé en cours de route, son chien. Un adorable petit Jack Russell terrier retrouvé perdu dans leur jardin. L'histoire ne s'arrête pas là. Il en fallait plus pour qu'on surnomme Jason par le nom d'un chien. En effet, pendant ses études, histoire d'alléger les coûts pour ses parents, Jason intégra une équipe de hockey sur glace pour décrocher la bourse qui allait de pair. Lui permettant ainsi de profiter des études tout en ayant que peu à dépenser. C'est lors d'un entraînement, avec toute l'équipe, que le chien débarqua au beau milieu de la patinoire. Déclenchant ainsi l'hilarité générale. Bien que, au fond, le coach avait apprécié cette petite parenthèse, il ne le montra pas, ou très peu d'une légère esquisse de sourire. C'est ainsi que Jason fut surnommé par son équipe et son coach, par Duke. Surnom largement véhiculé par les discussions entre lycéens par la suite.
Son tatouage, il le doit à son équipe. C’était sa bande d’amis. Ils s’étaient tous fait ce petit tatouage en souvenir de ces années passées ensemble. Une crosse de hockey, surmonté d’une petite étoile. Une marque de fabrique, comme un langage codé.

Mais au fond, bien qu'étant heureux, Jason restait un américain dans l'âme, fier et patriotique. C'est ainsi qu'il développa un intérêt particulier pour de grandes villes culturelles telles que Los Angeles, San Francisco, ou encore New York. Qu'elle n'a pas été sa déception quand les trois quarts de sa classe, pour ne pas dire la totalité, entreprit un voyage à New York de deux semaines, tandis que lui était obligé de rester au Canada. Même s'il comprenait intérieurement au plus profond de lui les raisons du refus de ses parents, il ne pouvait s'en empêcher d'être amère sur la question.

Mais son rêve ne fut pas hors de portée pour autant. Une occasion s'ouvrit devant lui. Elle était trop belle pour qu'il la rate. Suite à un partenariat lié à la collaboration entre les États-Unis et le Canada, son lycée offrait une bourse d'étude dans une école supérieure prestigieuse, au choix parmi une petite liste d'écoles partenaires. Le concours n'avait qu'un à deux gagnants, et il fallait avoir de très bons résultats un peu partout, sports comme études. Les profs ayant un avis très décisifs. Et un entretien final avec le comité de direction de l'université. Ayant depuis tout jeune, à côté du sport, une passion pour l'écriture, c'est ainsi qu'il intégra l'Université Columbia à Manhattan. Lorsqu'il apprit qu'il avait réussit à obtenir la bourse, devant tous les autres, il manqua de peu de s'évanouir s'il n'avait déjà été assis. Voir ainsi tous les regards se tourner vers lui était quelque chose d'incroyablement déroutant. Et comprendre, quelques secondes après, que c'était lui qu'on appelait, que le rêve devenait réalité, était incroyablement effarant. C'est ainsi qu'il débarqua à New York, en plein cœur de la Grosse Pomme. Il termina sans problème son parcours scolaire, décrochant son diplôme. Il dut rendre le logement étudiant qu'il occupait, mais cela ne le dérangeait pas. Il était petit et peu apte à la vie adulte.

Au final, il trouva un travail en tant que chroniqueur au New York Times. C'était un début. Il fallait qu'il fasse ses preuves désormais. Il aimerait également pouvoir se laisser aller à ses passions d'écriture et pouvoir publier son premier roman. Mais il lui fallait du temps de libre, et un éditeur.

my little secret

★Ton prénom ou ton pseudo & ton age → Andy, 19 ans.
★Comment es-tu arrivé ici ? → Google : "Forum contemporain city".
★Ce personnage est-il un double compte ? → Non.
★Présence sur le forum → Régulière.
★Personnage inventé ou scénario ? → Inventé.
★Crédit images →  Pretty Little Liars (Wikia.com) - Tomorrow People TV.

Mon exemple de RolePlay:

Robbie
Bienvenue & bonne chance pour ta fiche, n'hésites pas si tu as des questions

Bienvenue parmi nous
Bon courage pour ta fiche

Bienvenue

Bienvenue chez nous !

Je te souhaite la bienvenue sur le forum

Bienvenue

Bienvenue chez nous

WELCOME

Merci à vous tous!

Je n'hésiterais pas pour les questions, promis.

Et voilà, fiche terminée

Welcome

welcome parmi nous

bienvenuue parmi nouus  

As usual, je suis à la ramasse, mais bienvenue parmi nous quand même