Un fil invisible, c'est comme un homme invisible, mais en forme de fil.
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Sujet: Un fil invisible, c'est comme un homme invisible, mais en forme de fil. Lun 23 Sep - 0:30
FEAT. Gemma Arterton
Wander Shell Delaware
22 ans → Née à Toronto le 09/09/1991 → Etudes en psychologie célibataire → hétérosexuelle → membre des Workaholics.
And who am i ?
★Quelles sont tes caractéristiques? → La colombe. Un symbole de paix. Un symbole de défense face à la guerre qui a fait rage entre les parents de Wander, une guerre qui s'est intensifiée le jour où son frère a décidé de constituer son propre camp. Un symbole, non pas de révolte d'adolescente, mais d'envie d'un retour à l'époque où tout semblait simple et parfait. Un symbole gravé à l'encre noir sur sa nuque, dissimulé par un carré plongeant de mèches brunes lorsqu'elle a le courage de les lisser et donc de les laisser détachés. Et le fait qu'ils le soient réveille un tic chez elle, tic plutôt courant chez la gente féminine d'ailleurs, qui ne se manifeste qu'en cas de léger stress, ou d'ennui intense, elle joue avec quelques mèches de façon totalement inconsciente. Wander est une fille simple, qui ne passe jamais trois heures devant un miroir, beaucoup diraient de toute façon qu'elle n'en a pas besoin. Pas besoin de colorer ses lèvres pour rendre plus charmeur un sourire qui à lui seul en fait déjà beaucoup. Il est sa plus grande arme pour ce qui est de dissimuler un certain mal-être dont presque personne ne connaît l'existence. Un simple trait d'eye-liner suffisait à intensifier son regard pétillant et enfantin. Cette simplicité se retrouve dans la manière dont elle s'habille au quotidien. Si jamais vous vous pointez chez elle un dimanche matin, ne soyez pas étonnés de la voir vous ouvrir la porte en jogging. Et s'il lui arrive de porter autre chose que des slims, cela reste occasionnel. Oui, parce que toute fille qui se respecte à ses complexes, justifiés ou non. Et Wander n'aime pas ses jambes, alors elle les dénude le moins souvent possible. Pour remédier à ce petit problème, elle court deux à trois fois chaque semaine. De plus, cela lui permet d'éliminer globalement toutes les cochonneries qu'elle peut avaler. Wander n'est pas spécialement gourmande, elle ne s'empiffre pas de chocolat quand le moral est bas ou quand elle n'a tout simplement rien à faire, mais le simple fait d'en manger de temps en temps réveille chez elle une certaine culpabilité.
★Quel est le caractère de ton personnage? La timidité. Pourtant bien dissimulée derrière une apparente extraversion, elle est bien présente. La peur de l'inconnu qui pourrait l'aborder dans la rue, la peur de ne pas savoir quoi dire, la peur de ne pas être à la hauteur. Wander exerce pourtant une attraction naturelle sur tous ceux qui croisent son chemin, un simple regard pourrait ameuter une foule, un simple sourire convaincrait ceux qui s'opposeraient à son point de vue, elle est comme... un noyau autour duquel gravitent des électrons, un soleil autour duquel gravitent des planètes. La franchise. Il est clair qu'une demoiselle ayant vécu une vie de famille difficile, rythmée par les mensonges que chacun se sert sur un plateau d'argent pour noyer le poisson, n'a pas sa langue dans sa poche. Jamais vous n'ignorerez ce qu'elle pense de vous si elle considère qu'il est important que vous le sachiez, non seulement pour vous, mais surtout pour elle. Comme il peut-être agaçant de se trouver avec des personnes dont le comportement est à la limite du supportable ! La maladresse. Combien de personnes Wander a-t-elle vexé à cause de cette franchise que pour certains semble pourtant être la plus honorable des qualités ? Et ce simplement parce que choisir ses mots en fonction de la personne et des circonstances est une discipline dans laquelle elle est loin d'exceller. La fierté. Elle vous a vexé ? Dommage. Parce ce que si vous pensez que de simples excuses pour la maladresse dont elle a fait preuve suffiraient à remettre les compteurs à zéro, vous vous mettez le doigt dans l'oeil et jusqu'au coude. Tout simplement parce que jamais elle ne fera le premier pas, jamais elle ne s'excusera. Fierté mal placée quand tu nous tient... C'est une fille têtue, prête à perdre un ami pour des broutilles. Et s'il lui arrive un jour de vous présenter des excuses, c'est que vous aurez tout gagné, confiance et dévouement, parce que vous serez l'une des rares personnes indispensable à sa vie. La discrétion. Lors d'une des longues séances pendant laquelle vous avez déversé des litres de larmes sur son épaules, vous a-t-elle une seule fois parlé de ce qu'elle pouvait ressentir ? Si oui, c'est qu'encore une fois, vous êtes dans ses petits papiers, parce que parler d'elle, ou tout du moins de comment elle se sent réellement, ce n'est absolument pas son truc. La peur d'ennuyer les autres peut-être, ou la certitude que de toute façon personne ne peut réellement comprendre, qui peut réellement savoir ce qui se passe dans sa tête ? La rancune. Vous avez sa confiance ? Génial, mais tâchez de ne pas la perdre parce que pour la récupérer je vous souhaite bien du courage. Wander n'est pas le genre de fille que l'on peut trahir sans conséquence. A vrai dire, elle ne fait pas confiance à beaucoup de monde, et ce petit monde est tout simplement constitué des gens pour qui elle tuerait s'il le fallait. Alors si vous la trahissez, ça n'arrivera qu'une fois, vous êtes prévenus. La lassitude. Nous n'avons pas encore parlé de son passé amoureux. Chaotique. Simplement parce que ce qui intéresse notre petite Wander est plus la chasse que le butin. Quelle femme n'apprécie pas d'être désirée ? L'obstacle de la timidité amoindri, faire patienter, languir ces messieurs devient une palpitante distraction. Et quand elle cède enfin, ne vous réjouissez pas trop vite, cela ne sera pas long avant qu'elle ne change d'avis. Et puis l'amour, qu'elle bêtise. A quoi bon s'engager dans une histoire qui a tant de chance de partir à la dérive, de faire souffrir bien plus que les deux personnes directement concernées ? Le divorce de ses parents étant un bel exemple de comment gâcher le quart d'une vie d'adulte et la moitié d'une vie d'adolescent.
Well... It's my story...
Il y a une plage en France, on l'appelle la plage des Demoiselles. Olivia s'y était rendue, un soir de l'été 1989. Elle avait mêlé ses orteils au sable encore chaud à la fin de cette journée caniculaire, elle avait mêlé son souffle à celui qui, vivement, lui fouettait le visage, et elle avait mêlé ses doigts aux cheveux de Jimmy Delaware. Ce fut le début de tout. La mémoire est une chose étrange. Elle s'accroche à tout, aux odeurs, aux sons, aux images. Et à tout ça, elle associe un sentiment, un événement, une vie. N'est-ce pas Rousseau qui, mangeant une madeleine, se rappelât de celles que préparaient sa grand-mère ? Les hivers sont rudes à Toronto, et chaque fois que Wander apercevait la moindre flamme, ne serait-ce que du coin de l'oeil, elle se souvenait de ces hivers rudes, quand dans la cheminée brûlait un feu qui réchauffait à lui seul l'ensemble du rez-de-chaussée. Dans ces moments là, Olivia préparait des soupes avec lesquelles Wander se brûlaient les lèvres, avide d'y goûter, et Jim repoussaient les meubles pour étaler une couverture à même le sol. Ces soirs là, la pièce résonnaient des éclats de rire de la famille qui se laissait divertir par un film. Il arrivait que Wander s'endorme entre ses parents, mais au matin, elle se réveillait toujours dans son lit. Elle avait deux ans lorsqu'un nouvel individu s'invita sur la couverture familiale. Il s'appelait Marvel et, comme elle, avait de grands yeux bruns. Faire un deuxième enfant est vu par beaucoup comme une confirmation de la solidité d'un couple. Il a survécu au premier, il survivra forcément au deuxième et en ressortira plus fort. Si seulement les gens savaient à quel point ils se trompaient. Parce qu'un événement imprévu, comme l'arrivée d'un deuxième bébé, peut perturber beaucoup de choses. Et en particulier une vie de famille. Mais les enfants sont de petits êtres aveugles, et puis les parents sont doués lorsqu'il s'agit de dissimuler ces tristes secrets. Et parfois, malgré tous les efforts des parents pour ne pas perdre la face, il reste des petits souvenirs, gravés dans un coin de mémoire, qui reviennent à chaque fois que le ton monte entre eux. Et l'une des scènes qui s'imposait souvent à Wander était celle de sa mère, déposant un baiser sur son front avant de partir travailler, petit baiser déclenchant une réaction chez son père « Et moi ? », puis le silence, la porte qui claque, l'inassouvissement d'une simple requête. Mais revenons à nos moutons. Wander commença à détester son frère au moment ou il franchit le seuil de la maison dans les bras de sa mère. Elle ne se souvenait pas d'avoir vu ce tendre regard posé sur elle, et pourtant tant de fois il lui avait autrefois été destiné. La haine fraternelle est quelque-chose de courant et bien souvent superficiel, elle se termine aussi instantanément qu'elle a commencé et fini par ne plus laisser de trace. Celle qui s'installa entre Wander et Marvel en 1993 dura bien 5 ans, jusqu'à ce que Marvel tombe du troisième étage d'un immeuble. L'appartement était plein d'enfants courant et hurlant, présents pour l'anniversaire du petit Chris. La mère était débordée par cette vague de bambin. Elle n'aperçut par la petite tête brune passer sur le balcon, s'étant frayé un chemin entre les portes vitrées qu'elle avait oublié de fermer. Les yeux rivés sur la rue en contrebas, Marvel s'était dit qu'il aimerait bien la survoler. Par quel genre de miracle un petit garçon de 5 ans peut-il survivre à une chute de 9 mètres ? Wander se jura que jamais plus elle ne lui reprocherai d'être né, puisqu'elle avait tant craint qu'il ne meure. Elle avait vu sa mère pleurer toutes les larmes de son corps, et son père rester impassible, murmurant de tant en tant des phrases comme « Je savais qu'il ne devait pas y aller, la mère de Chris et une incorrigible distraite. » ou « C'est de ta faute tout ça, moi, je ne voulais pas qu'il y aille. ». La jalousie, sentiment destructeur. Chez Wander, il avait d'abord pris la forme d'une haine fragile, et maintenant disparu, il laissait derrière lui un terrible goût de remord. Pourquoi jalouser cet enfant aussi mortel qu'elle, aussi fragile qu'elle et qui ne marcherait peut-être plus ? Il lui fallait le protéger, l'encourager, l'aider, l'aimer. Un an de rééducation, un an qu'elle passa à ses côtés, un an de silence avant que les médecins émettent un avis qui fit basculer les probabilités. De 10%, on passa à 50% de chance qu'il remarche un jour. Deux mois plus tard, Marvel ferma le clapet de tous les médecins du pays : « Un miracle. » disaient-ils. Marvel, de façon inexpliquée parvenait à se lever la nuit, et à faire quelque pas avant de s'écrouler sur le sol, toujours profondément endormi. Les séquelles n'étaient plus seulement physiques mais psychologiques, et on entama une toute autre thérapie. A 7 ans, Marvel fit son premier pas sous hypnose. A 9 ans, Marvel fit son premier pas de façon totalement consciente. A 11 ans, Marvel put reprendre une activité physique « normale ». A13 ans, Marvel vit son père gifler sa mère. Ça n'arriva qu'une fois et Wander fut la première qu'il vint voir. Elle éclata en sanglot. Elle en savait déjà beaucoup, et la gifle ne faisait que confirmer ce qu'elle ne savait déjà. Ses parents allaient divorcer. Pas maintenant, mais elle le savait, cela se produirait un jour ou l'autre. Ils ne se regardaient plus depuis la naissance de Marvel, ils ne se parlaient que froidement et s'ignoraient le reste du temps. La mémoire est une chose étrange. A une plage elle peut associer un premier amour. Alors Wander avait-elle raison de croire que proposer à son père un voyage en France pour lui changer les idées changerait en fait ses intentions ? Quoi qu'il en soit, elle avait 17 ans lorsqu'ils partirent tout deux pour un voyage père-fille. Elle avait tout organisé, avait acheté le billet de train qui les conduirait sur la côte Atlantique, avait réservé le taxi qui les emmèneraient à Saint-Jean-de-Mont. Et c'est ainsi qu'un soir, 19 ans après, Jimmy Delaware respira de nouveau l'air marin de Vendée, l'air chargé de ses souvenirs de jeune adulte. Son regard se perdit à l'horizon et Wander pu presque voir à travers ses yeux le film de ce premier baiser échangé à quelques mètres de là. Sur le retour, après un long silence, Jimmy se laissa aller à une confession « Ça ne change rien. » dit-il simplement. Le 12 Janvier 2010, le divorce fut prononcé. Le 13 Janvier 2010, Marvel mit le feu à sa première voiture. Le 5 Septembre 2010, Marvel mit le feu à sa dernière voiture et fut envoyé le jour suivant dans un camp de redressement en Irlande. Sous le choc Wander remarqua simplement que cette année, il ne serait pas là pour son anniversaire. Cette année là, elle obtint son diplôme de fin d'études secondaires et entama des études de psychologie. Son père cessa de donner de ses nouvelles, trop occupé à entretenir sa nouvelle compagne. Sa mère, trop absorbée par l'ivresse, la laissa se débrouiller seule. Elle trouva un boulot de serveuse à mis-temps qui lui permit à 20 ans de prendre un appartement à Toronto et de quitter l'ambiance glauque qui régnait désormais dans la maison qu'elle n'avait jamais quitté. Une maison qui avait vu la vie d'une famille partir à la dérive. Elle envoyait toujours des lettres dans le camp qui avait accueilli son frère, mais elle ignorait s'il les recevait, et même s'il était toujours là-bas. Jamais elle n'avait reçu de réponse. Et si elle savait qu'elle n'en recevrait jamais, elle ne continuait à le faire que pour avoir cette impression qu'elle continuait à le soutenir malgré la distance. L'élément qui déclencha son départ pour New-York, dont les enseignements avaient la réputation d'être meilleurs, fut le dernier appel de sa mère, celui pendant lequel elle lui avoua qu'elle partait à l'autre bout du pays, vivre la vie de célibataire qu'elle n'avait jamais pu vivre.
my little secret
★Ton prénom ou ton pseudo & ton age → June, 19 ans ★Comment es-tu arrivé(e) ici ? →Si vous saviez depuis combien de temps je connais ce forum ★Ce personnage est-il un double compte ? → Nop ★Présence sur le forum → J'essayerai de passer tous les jours MAIS je ne fais pas des études qui me laissent masse de temps libre, donc il pourra arriver que je m'absente quelques jours, et si ça doit se prolonger je ferai le nécessaire pour vous prévenir ★Personnage inventé ou scénario ? → Inventé ★Crédit images → Tumblr
Mon exemple de RolePlay:
→ C'est un vieux RP, je suis désolée il est un peu... bof, mais j'ai sincèrement la flemme d'en faire un tout beau tout propre
C'était la première fois que j'avais en face de moi quelqu'un qui me plaisait autant sur le plan physique que sur le plan psychologique. Ou plutôt, c'était la première fois que j'avais vraiment envie de continuer une conversation, faire perdurer un moment de simple échange verbal, sans pour le moment ressentir le besoin d'y mettre fin pour aller plus loin ou pas. J'avais juste envie de l'écouter, de l'entendre me parler, et de lui parler de moi. Sans pour autant aller trop loin dans les détails, le mystère est la clé de la continuation d'une histoire. Et je ne voulais pas que la notre s'arrête ce soir. Alors comme ça il avait visité toute l'Europe. Je l'enviais, moi qui n'avait rien visité d'autre que Boston et Philadelphie. Je n'avais jamais véritablement osé aller plus loin. Je n'aimais pas la solitude et ce devait être vraiment difficile de ce point de vue là de voyager. Même si les locaux étaient sûrement très chaleureux. Je n'avais même jamais été au Canada ou au Mexique qui étaient pourtant deux pays voisins des États-Unis. J'étais sans attache affective et trop trouillarde pour aller voir ailleurs. Et pourtant, Dieu sait que l'inconnu m'attire. Je pris une gorgée de ma boisson en écoutant sa réponse concernant ses études. J'aurais dû m'en douter. Quelqu'un amoureux du voyage et parfaitement bilingue étudie presque à coup sûr les langues.
Ça me fascinait, moi qui n'avais jamais réussi à maintenir ma moyenne de français au dessus de 10 au lycée, j'étais admirative. Ce devait être difficile des études pareilles, surtout au début.
Et tu parles combien de langues en tout ?
J'étais curieuse de savoir, avide de savoir. En combien de langues seras-tu capable de ma dire que je te plaît, ou que tu ne veux pas rester ici avec moi ? En combien de langues sera-tu capable de me baratiner sur tes relations avec les filles, sur tes désirs, tes exigences du futur ?
Toi je parie que tu étudies le théâtre?!
Je secouai la tête en souriant, même s'il n'était pas loin de la vérité, ce n'était pas encore ça. J'étais danseuse depuis peu et je n'étais pas spécialement la plus douée ni douée tout court. Disons juste que c'était le seul moment où mes véritables émotions prenaient le pas sur le rôle de fille presque facile que je jouais au quotidien. Je dansais pour oublier que ma vie n'avait pas vraiment de sens et que ma rupture avec le seul qui avait eu de l'importance pour moi m'avait sûrement complètement détruite.
Raté mais presque. Danse et musique, c'est le même domaine.
Je baissai les yeux une fraction de seconde. Avant, je voulais faire carrière dans le droit. J'aurais pu y arriver si j'avais un peu remonté mon niveau de français et si je n'avais pas changé d'avis en voyant le nombre d'année d'études. Les études longues en université, assise sur une chaise à écouter quelqu'un parler, c'est pas fait pour moi. Je suis restée longtemps sans choix d'avenir jusqu'à la danse. A la base, je n'en voulais que comme activité, mais comme on dit, les temps changent. Oh oui les temps changent. J'avais été une gamine parfaite, une adolescente modèle. Que devait penser ma mère en lisant les quelques messages que je lui envoyais dans la semaine ? Terrible déception. Le bar s'était un peu vidé même s'il était toujours difficile de circuler convenablement. La musique peinait à couvrir la cacophonie des différentes conversations, mais c'était comme s'il n'y avait rien autour de nous. Juste nous et mes espoirs pour ce soir. Pourvu que l'autre soit quelque peu consentant. Non je ne suis pas une fille facile, juste une fille terriblement seule et triste.
Ta famille ne te manque pas trop ?
Question trop banale. Idiote. Jamais tu ne l'auras comme ça, tu ferais mieux de rentrer chez toi, nourrir le chat que tu finiras par avoir si tu continues comme ça.
Dernière édition par Wander S. Delaware le Mer 25 Sep - 1:23, édité 7 fois
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Sujet: Re: Un fil invisible, c'est comme un homme invisible, mais en forme de fil. Lun 23 Sep - 0:33
Bienvenue
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Sujet: Re: Un fil invisible, c'est comme un homme invisible, mais en forme de fil. Lun 23 Sep - 0:38
Oh le sublime choix d'avatar
Bienvenue parmi nous Bon courage pour ta fiche
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Sujet: Re: Un fil invisible, c'est comme un homme invisible, mais en forme de fil. Lun 23 Sep - 0:40
Bienvenue
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Sujet: Re: Un fil invisible, c'est comme un homme invisible, mais en forme de fil. Lun 23 Sep - 1:10
Wander..Wanda... Bienvenue !
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Sujet: Re: Un fil invisible, c'est comme un homme invisible, mais en forme de fil. Lun 23 Sep - 1:34
Welcome
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Sujet: Re: Un fil invisible, c'est comme un homme invisible, mais en forme de fil. Lun 23 Sep - 2:45
Bienvenue parmi nous
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Sujet: Re: Un fil invisible, c'est comme un homme invisible, mais en forme de fil. Lun 23 Sep - 3:01
Sujet: Re: Un fil invisible, c'est comme un homme invisible, mais en forme de fil. Lun 23 Sep - 9:50
Gemma excellent choix d'avatar ! Bienvenue !
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Sujet: Re: Un fil invisible, c'est comme un homme invisible, mais en forme de fil. Lun 23 Sep - 9:54
GEMMMMMMMMMMMMMMMMMMA
Bienvenue sur le forum
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Sujet: Re: Un fil invisible, c'est comme un homme invisible, mais en forme de fil. Lun 23 Sep - 12:12
bienvenue ici & bon courage pour ta fiche si tu as des questions n'hésite surtout pas & si tu as le temps tu peux passer sur la chatbox pour te familiariser avec les membres. gemma excellent choix !
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Sujet: Re: Un fil invisible, c'est comme un homme invisible, mais en forme de fil. Lun 23 Sep - 12:44
Bienvenue chez nous
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Sujet: Re: Un fil invisible, c'est comme un homme invisible, mais en forme de fil. Lun 23 Sep - 16:20
gemma, quoi. bienvenuue parmi nous et bon courage pour ta fiche
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Sujet: Re: Un fil invisible, c'est comme un homme invisible, mais en forme de fil. Lun 23 Sep - 18:27
Merci à tous
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Sujet: Re: Un fil invisible, c'est comme un homme invisible, mais en forme de fil. Lun 23 Sep - 18:57
Bienvenue sur le forum et bonne chance pour ta fiche.
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Sujet: Re: Un fil invisible, c'est comme un homme invisible, mais en forme de fil. Lun 23 Sep - 21:34
Sexy Gemma. Bienvenue
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Sujet: Re: Un fil invisible, c'est comme un homme invisible, mais en forme de fil. Lun 23 Sep - 22:48
bienvenue et bon courage pour ta fiche
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Sujet: Re: Un fil invisible, c'est comme un homme invisible, mais en forme de fil. Lun 23 Sep - 23:20
J'adore ton choix de prénom
Bienvenue parmi nous Bon courage pour ta fiche
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Sujet: Re: Un fil invisible, c'est comme un homme invisible, mais en forme de fil. Mar 24 Sep - 19:51
WECOME !!! je dois dire que tu as un excellent choix d'avatar !!! passe par ma fiche de liens dès que tu es validé si tu en a envie !
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Sujet: Re: Un fil invisible, c'est comme un homme invisible, mais en forme de fil. Mer 25 Sep - 11:02
Ta fiche est très agréable à la lecture, je te pré-valide donc en attendant qu'une admin passe t'ajouter à ton groupe Bon jeu parmi nous
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Sujet: Re: Un fil invisible, c'est comme un homme invisible, mais en forme de fil. Mer 25 Sep - 13:20
Merci merci merci Pettyfer Je passerai sans faute !
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Sujet: Re: Un fil invisible, c'est comme un homme invisible, mais en forme de fil. Mer 25 Sep - 18:44
Validée !
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Sujet: Re: Un fil invisible, c'est comme un homme invisible, mais en forme de fil.
Un fil invisible, c'est comme un homme invisible, mais en forme de fil.
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