32 ans → Né(e) à New York le 10/06/1981 → Entraineur des New York Knicks célibataire → hétérosexuel → membre des All stars.
And who am i ?
★Quelles sont tes caractéristiques? Qui dit basketteur, dit armoire qui va avec. Jamie a une collection impressionnante de baskets et de casquettes, c’est son petit truc à lui. D’ailleurs c’est une vraie fashion victime. Il dépense plus d’argent en vêtements et accessoires que certaines femmes. Son deuxième point faible ce sont les costumes, il aime tellement l’élégance et la classe qu’ils dégagent qu’il s’en achète tout le temps. Et puis maintenant qu’il est entraineur des Knicks, il peut bien se le permettre. – Il mène une vie très saine. Il n’y a pas une journée qu’il ne commence pas en courant à Central Park, qu’il neige ou pas. D’un point de vue alimentaire, il fait de son mieux pour manger le plus équilibré possible pour garder la forme. Son pire cauchemar serait de voir ses abdos se transformer en graisse. De ce fait, il ne mange que très rarement gras, les hamburgers, pizzas et tout ça c’est même pas la peine. Et le pire c’est qu’il le vit bien. – Il est censé porter des lunettes pour sa myopie mais se contente de lentilles la plupart du temps. Selon lui un jeune entraineur à lunettes ça ne serait pas crédible et sexy du tout. – Il a toujours un dé sur lui qui l’aide dans ses grandes décisions. S’il révèle un trois, la date de naissance de sa petite sœur, la réponse est oui. C’est grâce à son dé qu’il a osé postulé pour son poste actuel. – Il n’a jamais changé de parfum depuis ses 19 ans et il a bien raison, Eau Sauvage de Dior lui convient à merveille. Lorsqu’il était plus jeune et qu'il n’avait pas encore les moyens de se payer un flacon, Jamie avait l’habitude d’aller se parfumer dans des boutiques. – Il fait une fixation sur ses dents, c’est d’ailleurs la raison pour laquelle il ne boit pas de café, de peur qu’elles ne jaunissent. Il se lave les dents dès qu’il en ressent l’envie, ce qui dépasse les trois fois nécessaires certains jours. - Depuis qu'il entraine les Knicks, il donne une part de son salaire astronomique à l'orphelinat où il a passé une partie de son enfance. - Il a une vilaine cicatrice au genou droit, suite à une bagarre qui a mal tournée lorsqu'il était plus jeune.
★Quel est le caractère de ton personnage? Jamie a toujours été quelqu’un qu’on ne peut pas louper, le genre de garçon qui attire l’attention et qui ne s’oublie pas facilement. Il possède un charisme fou et c’est indéniable, ceux qui disent le contraire sont simplement jaloux. Il dégage énormément de confiance en lui sans pour autant inspirer le dédain, cette façon qu’il a d’être sur de lui, de respirer l’indépendance, provoque plus le respect que la colère des gens qui le connaissent. A le voir, on dirait que rien ne peut le toucher, que rien de mal ne peut arriver et Dieu sait que sa vie n’a pas été toute rose. On pourrait croire alors qu’il se sent supérieur et qu’il n'est de ce fait pas facilement approchable, mais c’est tout à fait le contraire. Jamie aime tout le monde. Ou plutôt tous les gens qui lui inspirent la sympathie. Il reprend d’ailleurs souvent une citation d’Eminem qui dit qu’il se fiche que la personne soit blanche, noire, hétérosexuelle, homosexuelle, grosse ou maigre, si celle-ci est sympa avec lui, il le sera tout autant. Qui plus est, Jamie a horreur de la solitude, ce qui explique cette facilité qu’il a à aborder les gens. Quand on commence à le côtoyer sans pour autant vraiment le connaitre, il est parfois possible de se méprendre sur son caractère. En effet, le basketteur est un vrai blagueur et ne peut s’empêcher de dire des bêtises à longueur de temps. Il lui arrive très fréquemment de dire des phrases prétentieuses à souhait mais qu’il ne pense pas réellement, ça fait tout simplement partie de son humour. Une fois qu’on a perçu la nuance, on ne peut qu’en rire. Et qui dit blagueur, dit grand taquin. Si Jamie vous embête, que ce soit à travers des mots ou des gestes, il ne faut pas chercher plus loin : il vous apprécie. C’est un homme après tout, on ne peut pas vraiment lui en vouloir de ne pas savoir communiquer son affection d’une meilleure façon. Cependant, il y a bien un trait de caractère qu’on ne peut pas louper chez le basketteur, il est tout bonnement incapable de rester sérieux. Une vie trop calme et monotone c’est tout ce qu’il fuit. Jamie ressent constamment le besoin de se lancer des défis, de jouer, de prendre des risques. Cet aspect de sa personnalité se répercute dans un premier temps sur ses choix dans la vie de tous les jours. En cas de doute ou face à une question banale, il remet immédiatement la décision entre les mains du hasard. C’est bien pour cela qu’il cache toujours son dé sur lui. La règle est simple, si le dé s’arrête sur le numéro trois, la réponse à sa question est positive. Dans le cas contraire, il prend ça pour non. Certains le prennent pour un fou à mettre en jeu des décisions importantes, mais il s’en fiche puisque c’est toujours ainsi qu’il a fonctionné et on peut dire que ça lui a plutôt bien réussi jusqu’à maintenant. De plus, son côté joueur se retrouve également dans sa vie sentimentale. A 33 ans, Jamie n’est toujours pas casé et ne compte pas le devenir de si tôt. Il aime les femmes, il aime le jeu de la séduction et ne s’en lasse pas. Enfin, Jamie s’avère être un grand maniaque, ce qui a le don d’amuser la plupart de ses amis. S’il y a bien une chose qu’il déteste ce sont les gens sales et mal élevés. Chez lui tout est parfaitement rangé, parfois même au centimètre près, tout brille et rien ne traine. Jamais. Une grimace très reconnaissable s’affiche bien souvent sur son visage lorsqu’il est invité chez quelqu’un de peu soigneux ou qu’une personne à côté de lui se comporte de façon peu propre. Une fille qui rote ? Il n’y a pas moyen.
Well... It's my story...
Une immense pièce montée de petit muffins tous plus colorés les uns que les autres trônait au milieu de la table de la salle à manger. Des cupcakes, le pécher mignon de la petite Andrea, en particulier ces petits roses pailletés que sa mère avait pris soin de placer au milieu de tous. Diverses guirlandes d’anniversaires étaient accrochées sur les murs de la pièce, des ballons par dizaine tentaient désespérément de s’échapper du plafond et surtout, une famille réunie. Jamie, alors âgé de quatorze ans, regarda avec tendresse sa petite sœur. Elle partageait sa vie depuis seulement deux ans et pourtant, un véritable lien s’était crée entre eux. Ils n’avaient personne avant d’avoir la chance d’être recueillis par cette famille, tous les deux, dans le plus grand des hasard. Il entendit son père parler à Andrea, lui demandant de faire un vœu. Qu’on ne soit jamais séparés, pensa-t-il tout en souriant à la petite fille. Quand la dégustation fut finie et que l’heure d’aller se coucher arriva, ce fut à lui de mettre au lit sa petite sœur. Emmitouflée sous sa couverture de princesse, la petite s’adressa à son frère. « Ils te manquent pas tes parents à toi ? » Un silence s’installa. « Qu’est ce que tu racontes ? Ils étaient là, ils sont là. En bas dans le salon. »« Mais non je veux dire, tes vrais parents. C’est pas les miens non plus, ils me l’ont dit. »« Je t’ai déjà dit que c’étaient eux nos parents, ne pense pas à tout ça. On est bien ici, ils nous aiment, dors maintenant. »
*
La première fois est toujours la plus douloureuse, c’est ainsi que l’agence d’adoption les avait prévenu. Les deux enfants ne l’avaient pas vu venir celle-là, se retrouver à nouveau sans parents alors que tout se passait si bien. Leur père avait fini par perdre son travail et celui de leur mère ne suffisant plus, la décision avait été prise. Ils n’étaient plus en mesure de s’occuper de Jamie et Andrea, mais ils les aimaient. Enfin ça, le garçon n’y croyait plus du tout, parce que les gens qu’on aime, on ne les abandonne pas devant la première difficulté. Son souhait avait volé en éclats, tout comme son rêve d’enfant. C’est ainsi qu’à partir de seize ans, il connu le cercle terrible des familles d’accueil. Celles qui vous prennent pour l’argent et qui finissent par vous rendre pour la même raison. La seule chose positive dans tout ça restait sa petite sœur, toujours à ses côtés. Les deux enfants avaient été bien clairs, personne ne pourrait les séparer. C’est ainsi que les années s’écoulèrent sans qu’une vie fixe ne leur soit accordée. Face à ce manque d’affection et de repère, Jamie ne trouva qu’un échappatoire : le basket. C’est à ce moment de sa vie qu’il se mis réellement à ce sport, délaissant les cours pour aller jouer dehors et ne rentrer que dans la nuit.
*
« Bienvenue chez nous petite sœur. » Son frère s’écarta alors de l’ouverture de la porte, laissant place à un petit appartement aménagé du strict minimum. Les yeux de l’adolescente se mirent à battre rapidement, elle était stupéfaite. Grâce à sa majorité, Jamie avait finalement obtenu la garde sa sœur et il leur était désormais possible de vivre seuls, loin de toutes ces soit disant familles qui ne leur avaient apporté que chagrin. C’était dans le Bronx, ce n’était pas luxueux, les voisins n’étaient pas des gens très cleans, mais c’était leur foyer à eux. A eux d’eux ils formaient une vraie famille et ils n’avaient besoin de personne. A dire vrai, la seule chose dont ils avaient vraiment besoin c’était d’argent. Durant les premières semaines, il fut assez facile de cacher à Andrea le manque d’argent certain qu’ils avaient. Tout récemment accepté dans une équipe de basket universitaire, il lui fit croire que l’argent gagné lors de ses matchs était suffisant et qu’il était même en mesure de lui acheter les vêtements qu’elle désirait. Mais malgré son désir de prendre soin d’elle, les choses ne se passèrent pas aussi bien que cela. Un soir alors qu’il rentrait de l’entrainement, épuisé, il retrouva Andrea dans un état de panique. « J’ai essayé d’allumer la lumière, plusieurs fois, mais ça ne marche pas. Et il n’y a que de l’eau froide qui coule. Jamie qu’est-ce qui se passe ? » Ce fut alors une évidence, il avait échoué et il n’était plus possible de rester les bras croisés. « Ne t’inquiètes pas, je vais régler ça. Je vais tout faire pour que les choses s’arrangent. » Sans perdre de temps, le jeune homme partit à la recherche d’une source de revenu supplémentaire, mais rien ne suffisait tout en correspondant à son temps libre. Suite à diverses discussions avec des amis, la solution devint évidente, son quartier regorgeait de dealers, tous à la recherche de nouvelles mains. N’arrivant pas à prendre cette décision importante, ce fut la première fois que Jamie lança son dé. Un trois. Oui. C’est ainsi qu’il se retrouva contraint de travailler pour cet homme qu’il croisait souvent en bas de son immeuble, dans l’unique but de faire vivre sa famille.
*
Pour ses vingt-deux ans, Jamie n’aurait pas pu rêver mieux. Prêt à rentrer chez lui pour sa traditionnelle tournée dans le quartier après son entrainement, le jeune homme fut retenu par son entraineur. Souvent fatigué suite à ce nouveau rythme de vie qu’il menait, il craint dans un premier temps les réprimandes de son coach mais ce ne fut pas le cas. « Écoute mon grand, tu n’as rien à faire ici. Tu es un bon. J’ai un ami qui cherche deux joueurs pour son équipe pro, va le voir et dis-lui que c’est moi qui t’envoie, il te fera jouer pour te tester mais j’ai confiance en toi. Ça sera mieux pour toi, et pour ta sœur aussi. Tu mérite cette place mon garçon. » La chance lui souriait donc pour la première fois, après toutes ces années difficiles, son rêve semblait enfin devenir accessible. Il annonça immédiatement la nouvelle à sa sœur, qui bien évidemment partagea sa joie. Il y avait cependant un détail non négligeable dans l’histoire, en passant professionnel, il n’était plus question pour lui de jouer les dealer. N’étant pas sûr à cent pour cent d’être engagé, il ne prit aucune décision sur le sujet, préférant garantir sa source d’argent. Les choses allèrent cependant très vite, il ne fallut qu’une semaine pour que son avenir s’ouvre à lui. L’entraineur au téléphone avait été très clair, il était officiellement engagé. Devenir pro était pour lui un véritable bonheur, mais plus encore, il allait pouvoir se débarrasser de ce travail qu’il détestait tant. Le soir même, il se rendit alors dans l’appartement de son « patron » afin de lui donner sa démission, si on pouvait appeler ça ainsi. Malheureusement, la nouvelle ne fut pas bien accueillie. « Comment ça tu t’en vas ? C’est pas toi qui choisi mon gars, j’ai encore besoin de toi. Tu restes. » Son ton était froid, son regard menaçant. « Il te reste encore des trucs à moi, on ne peut pas se quitter comme ça. » Jamie déposa alors une enveloppe d’argent sur la table en face de lui, puis une seconde enveloppe dans laquelle se trouvait trois pochons d’herbe. « Il en manque. » dit l’homme après vérification des deux contenus. « C’est tout ce que j’avais, j’ai toujours été réglo avec toi. Tu le sais. » L’agitation des autres hommes dans la pièce aurait du alerter Jamie à ce moment, mais ce ne fut malheureusement pas le cas. Il ne vit rien venir, et surtout pas le coup de poing de ce gros baraqué qui s’approcha rapidement de lui. « Sois tu restes avec moi, sois tu payes pour ce qu’il manque. » Ne voulant pas continuer sur cette voie et sachant pertinemment qu’il ne laisserait pas partir sans avoir remboursé une dette qui n’existait pas, Jamie accepta. « Très bien, je vais payer. » Tout aurait pu se passer pour le mieux si ils s’étaient tous les deux mis d’accord sur un moyen de paiement, qui coulait de source pourtant aux yeux de Jamie. Dans la surprise, il n’eut pas le temps de se défendre face aux deux hommes qui l’attrapèrent, l’empêchant de faire le moindre mouvement, puis sans attente, il reçut une ruée de coups d’un troisième homme. Il parvint enfin à se libérer après quelques instants, déclenchant une grande colère chez ses anciens collègues. Prêt à s’échapper, il sentit alors une lame le couper au niveau du genou. La douleur avait été inexistante jusqu’à ce qu’il n’arrive chez lui, le visage abimé et le genou en sang. Ce fut lorsqu’il se retrouva nez à nez avec sa petite sœur qu’il réalisa. Celle-ci l’amena à l’hôpital sans plus attendre, où il fut pris rapidement. Le médecin était très clair, une telle blessure impliquait une opération qui allait lui demander par la suite des mois de repos. Un repos qu’il ne pouvait pourtant pas s’accorder avec son nouveau contrat professionnel. Si la décision n’avait tenue qu’à lui, Jamie ne se serait probablement jamais fait opérer, mais sa petite sœur eut finalement raison de lui. Ce fut alors une grande déception, le milieu professionnel lui glissait sous les doigts.
*
Dans un gros bruit assourdissant, le bouchon de champagne traversa la terrain, laissant tout l’alcool se déverser dans une explosion. « ALLEZ LES KNICKS ! » Toute l’équipe était au complet, les joueurs, les managers, les entraineurs, toute une équipe prête à célébrer sa victoire. Jamie posa la bouteille sur un banc et essuya rapidement son costume tâché par l’alcool. Lui qui n’aimait pas la saleté allait faire une exception pour ce soir, car c’était un grand soir. Entraineur depuis seulement deux ans de la célèbre équipe des New York Knicks, il lui était déjà possible de savourer sa victoire au championnat de NBA. Il fut rapidement rejoint par Andrea qui lui sauta dans les bras, criant de toutes ses forces. « T’es vraiment le meilleur grand frère! » Elle déposa un baiser chaleureux sur sa joue et le lâcha afin d’aller saluer le reste de l’équipe. Un sourire de satisfaction se dessina sur le visage de jeune homme. Son regard balaya alors le gymnase du regard. Il en avait vu des terrains de basket, des délabrés lorsqu’il était jeune, d’autres mieux entretenus quand il jouait en équipe universitaire, tous les terrains sur lesquels il avait finalement entrainé des équipes de plus en plus importantes suite à son opération, mais de tous, celui là était le meilleur. Bien sûr qu’il regretterait éternellement de n’avoir jamais pu jouer en tant que professionnel, mais cette carrière qui s’ouvrait à lui était si belle. Il pouvait enfin le dire, aujourd'hui il était fier de cette vie qu’il menait.
my little secret
★Ton prénom ou ton pseudo & ton age → PINK TIGER, Margot et 20 ans ★Comment es-tu arrivé(e) ici ? → Un chaton aux cheveux roses l'a découvert par une italienne dépressive ★Ce personnage est-il un double compte ? → Jamais deux sans trois ★Présence sur le forum → 6/7 ★Personnage inventé ou scénario ? → Inventé ★Crédit images → Répondre ici.
Mon exemple de RolePlay:
Just let it go.
Plantée devant la porte d’entrée de son amie, si on pouvait encore la qualifier de telle, Erika sentait inévitablement l’eau prendre possession de ses vêtements, de son corps. Dans le silence de la nuit, elle parvenait à entendre les gouttes tomber sur le sol carrelé du palier, une à une. Une personne dans un état normal aurait probablement été frigorifiée à cet instant, mais ce n’était pas du tout le cas de la jeune femme. Pour la simple et bonne raison que l’alcool qu’elle avait dans le sang l’empêchait de ressentir la moindre sensation physique. Le froid elle ne connaissait plus, ni la douleur. Mais tout ça n’était malheureusement que provisoire, elle ne le savait que trop bien.
Après un moment qui lui paru une éternité, June vint enfin lui ouvrir. Ce qu’elle était belle. Mais ce n’était pas le moment de lui dire, elle était fâchée après elle. Il ne fallait surtout pas céder devant son charme. Rien ne sortit cependant de sa bouche, sûrement trop anesthésiée par l’alcool. Elle se laissa alors transporter à l’intérieur de l’appartement, puis s’installa sur le canapé sans broncher. « Erika écoute moi, tu restes là, tu bouges pas. » Elle fit battre ses paupières, incrédule face à l’état de stress que pouvait montrer la jolie blonde. Ce n’était pas tous les jours qu’elle la voyait s’exciter ainsi pour elle. En attendant qu’elle ne revienne d’elle ne savait où, elle balaya la grande pièce du regard. En plus d’être incroyablement belle, June avait énormément de gout. Stop. Erika se secoua la tête et fronça les sourcils, énervée contre elle-même. Elle se trouvait bien pathétique parfois. Quelques secondes plus tard, elle vit son amie revenir, coussin en main et autres divers objets qu’elle ne parvenait pas à identifier de manière certaine. Elle se laissa allonger, le regard dans le vide puis écouta la voix douce qui s’échappait de la bouche sulfureuse de la blonde. « Tu sais. T’es bête parfois hein! Non mais cogner à cette heure chez une personne! Tu peux bien être malade, ça t’apprendra à être aussi têtu! Et puis le karma quoi que veux-tu. » Ça y est, la June qu’elle connaissait était de nouveau présente. Toujours la première a vouloir avoir le dernier mot, toujours à avoir raison. Les sourcils de la jeune femme aux cheveux roses se froncèrent à nouveau. « Le karma serait injuste de me punir moi. Tu es mauvaise et il ne t’arrive jamais rien à toi. » lâcha-t-elle sur un ton contrarié mais pas méchant. Elle n’avait jamais voulu de mal à son amie, mais parfois elle se disait que ça lui serait peut-être bénéfique de savoir que la vie n’est pas toujours rose.
Allongée de tout son long, Erika pivota la tête vers celle de June, installée à ses pieds. C’était une vision magnifique. Pour une fois, ce n’était pas elle aux pieds de son amie. Elle émit un petit rire mesquin à cette idée, qui lui passa finalement très vite. Rire était trop fatiguant. « Ne bois jamais pour te sentir mieux. Ne bois que pour te sentir encore mieux. » Ce que venait de lui dire la styliste était bien trop compliqué et philosophique pour Erika à ce stade de la nuit. Néanmoins une chose était sûre, elle était certaine que ces paroles relevaient du conseil, voire même de l’ordre quand on connaissait le tempérament de June. Erika fit donc claquer sa langue contre son palais et lança un regard électrique à la jeune femme. « Je fais ce que je veux, je ne veux pas recevoir d’ordre de toi June… » Sa voix se faisait de plus en plus faible au fur et à mesure de sa phrase. Elle était si fatiguée, si lourde dans ce corps.
Un rayon de soleil vint chatouiller le visage de la photographe, c’était chaud, si agréable. Ses petits yeux bleus s’ouvrirent lentement, s’habituant difficilement à la lumière qui régnait dans la pièce. Quand elle fut assez réveillée pour distinguer les objets, elle se rendit compte que le chat de June avait élu domicile entre le creux de son corps et la tête de sa maitresse. L’endroit avait l’air confortable, chaleureux. Si seulement leur relation avait pu être ainsi. Erika se releva, dérangeant le chat au passage et sentit alors une affreuse douleur dans son crâne. Les méfaits de l’alcool. Elle se leva du canapé tout en essayant de ne pas réveiller June et se dirigea dans la cuisine, aussi discrètement que possible. En quelques minutes, elle prépara un thé et l’amena sur un plateau, accompagné de deux tasses, de sucre et de gâteaux qu’elle avait trouvés dans un placard. Elle posa le tout sur la table basse, faisant volontairement du bruit cette fois-ci et attendit un peu que son amie ne daigne ouvrir les yeux. « Je me suis permis de préparer du thé. Je vais en avoir besoin pour avoir les idées claires. Parce que tu as échappé à la conversation hier soir mais ça ne sera pas le cas ce matin. Je suis venue parce qu’il est temps qu’on parle. Je n’en peux plus moi. » Elle marqua une petite pause et se servit dans sa tasse, sans s’occuper de celle de June. Sa colère étant revenue, elle n’avait en aucun cas l’envie d’être gentille et attentionnée envers elle. « Ce que tu m’as fait la dernière fois, c’était horrible. Je pourrais jamais te pardonner pour ça. Tu en es consciente ? »
CREDIT TO KAIJI
Dernière édition par Jamie N. Madden le Mar 14 Jan - 23:24, édité 10 fois
joder j'ai pété mon câble en zone invisible mais je recommence à la vue de tous BABY TIMBERLAKE je vais pas dire que c'est un excellent choix (c'est trop peu) mais avec jamie en prénom okay tu veux vraiment ma mort . hâte de voir ce que tu vas en faire mais je pense que l'italienne va prendre un abonnement pour voir l'équipe enfin surtout pour mater l’entraîneur hein JE SORS -et je pense que tu connais assez la maison donc je t'épargne le discours habituel.
Elsa J. Shadow
Empire State of Mind
◊ It's a new dawn, it's a new day, it's a new life
J'avais même pas capté Tu vois, tu hantes mes pensées sans que je ne puisse rien y faire
Heaven L. Tennessee a écrit:
MON MINOUUUUUUUU.
t'es à croquer comme ça. miaou.
Merci minou
Serena L. Douglas a écrit:
joder j'ai pété mon câble en zone invisible mais je recommence à la vue de tous BABY TIMBERLAKE :han:je vais pas dire que c'est un excellent choix (c'est trop peu) mais avec jamie en prénom okay tu veux vraiment ma mort . hâte de voir ce que tu vas en faire mais je pense que l'italienne va prendre un abonnement pour voir l'équipe enfin surtout pour mater l’entraîneur hein JE SORS -et je pense que tu connais assez la maison donc je t'épargne le discours habituel.
Ravie que ce choix te plaise, même si je n'avais aucun doute là dessus. Haha
Elsa E. Ducret a écrit:
iuhgfc Timberlake Rebienvenue Margotchoute, t'es belle comme ça
Merci Agatheyoubabe
Hope A. Roseberry a écrit:
Je peux t'épouser ? Re-bienvenue amour et quelle surprise ce choix, j'adore.
Je t'épouse et je te poke
Ondine L. Casanueva a écrit:
oh boy, j'approuve tellement le choix que tu fais la :pfiou:tu me devras obligatoirement un lien re-rebienvenue
Avec plaisir
Lorella A. Garibaldi a écrit:
Sexy Justin en avatar, damn tu vas faire des mort(e)s là Re-bienvenue choupette, fais comme chez toi surtout
En vue de la date à laquelle tu as posté ta fiche, il te reste une semaine pour terminer ta présentation, tu es donc considérée comme un membre en danger.